COLLECTION NUIT DE NOËL. Rien (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION NUIT DE NOËL. Rien (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Tags : Sensualité
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COLLECTION NUIT DE NOËL. Rien (1/1)
Ce matin, je me lève, 4 heures, jusqu’à 8 heures je vais écrire, soit la suite d’une histoire commencée, soit une nouvelle histoire.
« Rien. »
Rien, car en temps normal, depuis que j’écris des textes pour que vous puissiez les lire demain, ils sont déjà dans ma tête, mais là « rien. »
Cerveau vide, cerveau plat, sur les histoires en cours, aussi bien que sur une nouvelle histoire.
En temps normal, en me réveillant ça bouillonne, j’ai toujours l’idée d’une grosse vache, qui malgré son embonpoint adore se faire défoncer.
Mais là, je le dis, rien.
J’aurais bien une grosse salope, j’en ai une en réserve, mais son mari qui l’offrait à des bandes de niqueur est en voyage d’affaires et pour la baiser, ça exige sa présence.
Développons, que faut-il pour écrire une bonne histoire de cul.
Une fellation, une bonne grosse fellation, ça c’est bon, une jolie fille avec une grande bouche, même une très grande bouche.
Elle peut prendre les couilles du mec, les malaxer tout en lui suçant la verge jusqu’à la fente de son méat.
Mais pour une telle fellation, il faut une histoire par la suite pour étoffer, mais là rien.

Je vais voir mes mails, je vais souvent voir mes mails au réveil.
Quelques lecteurs ou lectrices voirent les deux m’envoient leurs histoires afin de les mettre en forme en partant d’une idée simple.
Mais ce matin rien, le syndrome de l’écrivain devant sa page blanche.
Je sais certains vont me dire que d’écrire des histoires de cul, nous sommes loin d’être des écrivains !
Je le conçois, alors auteur, c’est plus discret, mais là encore, rien.
Il est vrai que depuis quelque temps, je suis orphelin.
L’auteur et l’homme sont orphelins, même il a un sentiment d’abandon.
Dans mes histoires, souvent le nom de Radia revient.
Radia existe, elle met même des commentaires et elle adore que je la place dans des situations, comme une salope, voire une pute ou encore une suceuse de bite.
Elle adore cocufier son mari, mais Radia est-elle vraiment Radia, se cache-t-elle derrière un pseudo ?
Ce qui est sûr, c’est qu’elle est toujours chère à mon cœur.
On finit par s’attacher à ces petites bêtes qui aiment le cul et se faire défoncer.
Prenez par exemple, certaines de mes héroïnes, Maryse, Anne dont j’en ai fait ma muse, souvent elles m’envoient des textes, des idées dans les situations qu’elles aiment vivre et lire sur HDS.
Mais là rien, dans un autre genre, Phil et Iris, dont vous vous souvenez !
Iris, la petite sainte ni touche qui fait croire à son cocu de mari, qu’elle est blanche comme neige et qu’un simple verre de boisson alcoolisé, en fait une folle du cul.
Livio même s’il est homo, doit bien se marrer de me voir devant ma page blanche où rien ne vient.
En temps normal, il trouverait bien le moyen de sodomiser Phil, à défaut d’avoir envie d’Iris et de la baiser dans sa gondole dans le petit canal des amoureux.
Un cocu, dans les histoires de cul, ça fonctionne toujours, mais pour avoir un cocu, il faut un mari et celui de la grosse est parti pour ses affaires.
Où est ce con, Berlin, Amsterdam devant les vitrines ou le port d’Anvers et la ville de Gand dans ce même secteur des vitrines où je prostitue Audrey, la femme de Tony ?
Tony au secours dit moi ce que je dois faire de ta femme, toi qui adores quand elle se fait enculer ou gicler du sperme sur partout sur elle.
À oui, dans les histoires d’Audrey, il y a des gangs bangs.
Audrey aime les gangs bangs, vingt, voire trente mecs dont des grosses bites noires, elle adore, tu adores Tony.
Mais ce que tu aimes le plus c’est quand je te la ramène le matin et que tu lèches les kilos de sperme sur son corps que tous ces queutards ont éjaculé.
Tu la lèches avant de plonger ta bite dans sa chatte tellement défoncée, que tu pourrais y faire entrer un autobus avec tous ces passagers.
Voilà en temps normal ce que ma nuit m’apporte, des idées, mais là rien, rien de rien.
Souvent au matin, quand mon cerveau se réveille, j’arrive à me rendormir quelques minutes supplémentaires et je rêve.

J’ai peut-être une explication à ma page blanche, maître Domino le maître des maîtres dans le domaine de la domination.
Je me suis rendormi du moins, je somnolais, lorsqu’il est arrivé avec une grande paire de cisailles.
Il m’a coupé les deux index, c’est avec eux que j’écris, le sang giclait partout comme gicle le sperme dans mes histoires.
Je me suis réveillé me demandant à quel fantasme relier ce rêve à la réalité, mais rien.
À moins de créer une collection « GORE », mais les piloris, les croix et autres engins de tortures j’en ai écrit quels chapitres, mais sans plus, c’est lui le Maître avec un grand M.
Pour bien écrire, il faut, dans le réel, avoir passé un moment dans des clubs sadomasos.
Ma seule expérience, ce sont de petits films pornos sans grandes envergures où ce sont principalement des femmes qui se font martyriser.

Je parle d’une nouvelle collection, c’est pratique pour les lecteurs de se retrouver dans mes écrits.
Les belles-mères par exemple, prenez les belles-mères avec leur gendre, cherchons un développement !
Pour commencer un nom, Julia, 50 ans, toutes ses dents.
Une belle-mère, ça s’entretient, une grosse comme la femme du début, c’est difficile à lui faire mettre la jambe sur le plan de la cuisine donc elle doit être aussi sportive que sa fille.
Je dois bien en avoir une en réserve dans cette jolie villa qu’elles ont loué mère et fille pour leurs vacances.
C’est bien, j’ai un début, mais après, j’en ai mal à la tête , mais ça s’arrête là, plus rien, un début sans fin, c’est loin de faire ma prochaine histoire.
Je m’excuse, à votre réveil, aucune histoire signée Chris71 sur ce site.
J’aurais failli à ce que je m’étais promis d’essayer de vous faire, une fois par jour, profiter d’un moment de plaisir même si certains textes sont moins bons que d’autres.
Mais de là à voir cette page blanche, c’est vexant.
Je vais bien finir par avoir une petite lumière qui s’allume dans ma tête, une piscine.
Ça c’est sûr que ça va marcher, une piscine, sur un matelas gonflable, une jolie blonde se prélasse en flottant.
Qui est le con, qui vient de percer le matelas faisant s’envoler mon histoire et ce que j’aurais pu faire à cette nana.
Je vous jure, je l’aurais défoncée, j’aime que les femmes se fassent défoncer, se faire prendre sauvagement par qui, hélas, rien de rien.
Mon histoire coule au fond de la piscine avec la belle blonde.
J’irais bien la repêcher, mais mes parents ont oublié de m’apprendre à nager et une morte, c’est bien suffisant.
Mourir au champ d’honneur pour des histoires de sexe, c’est certainement une belle mort, mais pour ma part je pense avoir le temps de me retrouver dans le néant.
Le néant, on peut considérer ça comme un synonyme de « rien. »

Allons voir du côté des putes, les escortes girls des temps modernes.
Escorte, ça donne un alibi à de gros vicieux qui invitent une jeune femme plutôt mise de sa personne et sous couvert de l’inviter au restaurant, la monte dans la chambre qu’ils ont réservée !
Combien de lignes ce sujet va vous offrir, une page, deux, autant dire rien, encore rien toujours rien.

Tient allons boire un café, quelques fois, ça stimule les méninges et j’ai mon texte du lendemain.
Quel con, je devais la détartrer et pendant quelques jours la croisière surprise de Jennifer m'a tellement tenu en haleine que je l’ai oubliée et que ce matin, elle est bloquée.
Pourtant à part le temps, il faut peu un court moment pour le faire, autant dire « rien. »
Mais même peu de temps, ça me mettrait en retard pour vous envoyer mon texte.

Certains pourraient aller à la fenêtre fumer une cigarette, mais moi, côté cigarette, rien !
Pas l’ombre d’une dans ma vie, donc encore une fois rien pour me stimuler et régler mon souci.
Je sors tout de même sur mon balcon, avec un peu de chance, une belle grosse salope dans l’immeuble d’en face fera son ménage à poil et enceinte.
Il y a deux jours, je suis venu secouer ma nappe, il y en avait une au troisième sur ma gauche.
J’avais une vue plongeante sur sa salle lorsqu’elle époussetait, si vous saviez ce que c’était bandant de voir son ventre rond, sa chatte brune, une vraie forêt vierge.
Depuis combien de temps, ce genre de chatte poilue a disparu de la circulation avec cette mode à la con des chattes épilées.
Je me souviens d’un des premiers films pornos sur Canal plus, en 1984, trente-sept ans que cette chaîne m’offre des pornos.
Comme tout le monde, j’avais comme alibi les matchs de foot, le cul très peu pour moi, du moins c’est ce dont je voulais me convaincre.
Mais la grande brune, dans « les faveurs de Sophie » où cette magnifique actrice se retrouve entrainée dans le milieu de la prostitution.
C’est l’héritage de sa sœur à cause de son décès qu’elle se retrouve à faire la pute finissant par aimer ça.
Là il y avait une vraie femme avec une magnifique toison.
Si j’allais le revoir, je l’ai copié en CD.

Mais à cette heure, la nuit est noire, quelques rares fenêtres éclairées sans la moindre chatte à mater, hélas, « rien » pour me stimuler.
Cinq heures, l’éclairage public se met en marche.
Quel con, les illuminations de Noël illuminent la ville.
Quel con, c’est la nuit de Noël et la nuit de Noël, on pense aux enfants et surtout pas à des histoires de cul.
Ce doit être pour cela que ce mot « rien » est venu à mon cerveau........

Joyeux Noël à tous mes lecteurs et surtout lectrice.
Joyeux Noël aux administrateurs de H.D.S. qui publient toute l’année nos textes, même ceux de la nuit de Noël.
Un joyeux Noël à Michel, mon pote qui doit se lever pour aller s’occuper de ses vaches.
Et joyeux Noël Radia, par l’intermédiaire de ce texte puisque dans l’incapacité de le faire autrement à ce jour.
Je te serais toujours fidèle ma petite Radia.
Joyeux Noël, Anne, Maryse, Audrey et son mari Tony.
Joyeux Noël Iris, j’ai vu Livio hier à Paris, il est bien homo, il était avec son copain.
Phil, c’est à ton tour de faire gaffe.
Mais trêve de nostalgie, c’est une nuit de fête et je suis sûr que dès demain matin, mes idées salaces me seront revenues.
Fini le « rien » qui deviendra l’histoire d’une belle salope baisant avec le père Noël.

Les avis des lecteurs

Merci Laet et à toi aussi, c'est"Rien" de le dire...

Histoire Libertine
bonjour Chris, pour ma part ces "rien" si bien évoqués en cette matinée pluvieuse de
lendemain de fêtes de famille ont réveillé mes sens... et bien qu'étant allongée, je me
sens bien agitée intérieurement. Merci à vous et Joël Noël

Joyeux Noel Chris



Texte coquin : COLLECTION NUIT DE NOËL. Rien (1/1)
Histoire sexe : Une rose rouge
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