COLLECTION PUCEAU - PUCELLE. Trente ans après (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-12-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUCEAU - PUCELLE. Trente ans après (1/2)
• Bravo pour notre réussite au bac.
Aujourd’hui, nous entrons dans le monde des adultes.
Chacun d’entre nous va partir dans la direction de son choix dans des univers différents.
À votre bonne santé.
Pierre le chef de la bande que nous formons depuis le début de cette année est notre boute-en-train, il lève son verre.
Pendant les cours en cette année de terminal, c’est lui qui retombait toujours sur ses pattes, lorsqu’un prof l’interrogeait.
Le groupe s’est formé rapidement grâce à lui.
C’est à la cafétéria qu’il nous réunit de façon naturelle, jusqu’à ce soir ou il nous offre une boum de fin d’étude.
C’est lui qui nous prouve par des regards échangés avec elle, qu’il saute notre prof de math fraichement diplômé et déjà mère d’un petit garçon.
Il a invité des copines, chargées d’amener d’autres copines.
La plupart d’entre elles me sont familières, d’autres non.
• À la nôtre.
Moi, le puceau de la bande, j’ai réussi à faire croire à tous, que je baise à couille rabattue ma belle-mère, la nouvelle femme de mon père.
Ainsi, j’ai réussi à échapper aux colibets et aux remarques désobligeantes des autres garçons étant je le pense être le dernier puceau de notre bande.
Mais si je réussis à donner le change, d’autres ont-ils réussi la même chose, eux seuls le savent.
• À la nôtre.
Les verres défilent.
Certains garçons et filles dansent, certains sans équivoque possible montent jouer à des jeux plus pernicieux.
L’escalier menant aux chambres de la villa de ce fils de notaire, lui ayant laissé sa villa, afin de fêter sa mention, craque sous les pas des cavalcades certainement pour aller enfiler autre chose que des perles.
Là encore après avoir ôté nos chemises et les faire tourner autour de nos têtes, comme le demande la chanson, je retrouve le canapé.
• Tu penses à elle, elle te manque, c’est beau la fidélité !
J’ai choisi belle-maman comme maîtresse, car si j’avais dit avoir une petite amie hors des murs de notre maison, mon état aurait été découvert et j’aurais été emmerdé.
Sauter sa belle-mère, quand j’y repense trente ans après alors que j’ai cinquante ans et elle 80, c’était plutôt comique, mais très bien trouvé.
Papa brillant écrivain parcourait le monde pour dédicacer ses bouquins véritables best-sellers lui rapportant un max nous permettant de vivre sans grand souci.
Ses nombreuses absences nous permettaient, à mes dires, de baiser à tout moment et dans tout endroit de notre maison.
Bref, j’étais un sérial baiseur d’une femme de cinquante ans ayant de beau reste.
Laissons-les « à la nôtre, » surtout que Pierre demande à chacun de dire, comment il pense sa vie.
Je commence à être passablement éméché faisant rire tout le monde quand je bredouille des mots incohérents lorsque vient mon tour.
• T’es loin d’être en forme, viens, prendre un peu l’air, ça va te faire du bien.
Dans mon brouillard, elle est blonde, j’aime les blondes.
Poitrine avantageuse, j’aime les filles aux gros seins.
Dans mes mensonges quand je raconte, comment je baise belle-maman, je parle toujours de sa poitrine elle aussi assez proéminente, je suis ignare en taille de bonnet et je m’en bas la queue.
C’est à peu près tout, à si un détail, le cul de la jeune fille qui m’a interpellé à une fleur de lys sur sa fesse droite.
Mais je vais un peu vite même si la tache de naissance que j’ai vue dans mon brouillard avait un peu la forme décrite.
Je vais un peu vite car une fois dehors, elle me fait marcher allant sans intention préalable vers les voitures garées à l’extérieur de la propriété.
• Attends, j’ouvre, c’est la voiture d’une amie qui me la prête, écoutons de la musique.
Pour écouter de la musique, c’est plus facile quand on est à l’avant alors pourquoi s’installer banquette arrière.
Pour démarrer la radio, elle se penche aux dessus des sièges.
• Eh, on a le temps, j’aime que l’on me mette la main aux fesses, mais tu peux attendre quelques minutes.
Puceau, une chatte à porter de main sous sa minijupe rouge, comment résister même si l’on est un peu bourré.
Elle me donne ses lèvres, pour la première fois ma main caresse le genou d’une fille.
Pardon d’une femme, car au fure et à mesure de l’avancée de nos rapports, je prends conscience qu’à part des films pornos, le sexe m’est vraiment inconnu et sans son expérience je serais resté dans mon état et mon mensonge.
C’est en levrette que je la prends et qu’elle me dépucelle.
Je connais la position, lors de mes délires aux copains, combien de fois avec belle-maman l’ai-je prise jusqu’à la sodomie dans cette position !
Chaque fois que j’évoquais les sodomies que j’infligeais à ma belle-mère, je voyais les braguettes des pantalons se déformer, les mecs bandaient.
C’est comme ça dans la clarté de la lune outre mon pucelage que j’abandonne enfin sur le siège arrière, que je vois la fameuse fleur de lys et que, pour la première fois je remplis un vagin.
Ayant déchargé, j’ai envie de recommencer, mais c’est un autre plan qu’elle a en tête.
• Allez va, c’était sympa, je dois y aller.
C’est mon pantalon à la main avec mon slip et mes chaussures ayant gardé mon tee-shirt et elle sa mini et son chemisier que je me retrouve dans la rue.
Je la vois sauter par-dessus les sièges me montrant sa poitrine que j’ai tirée quand je la sexais me plaçant le corps sur le côté vu l’exiguïté de l’habitat.
Une fois la voiture partie je me rends compte que j’ignore jusqu’au nom de cette fille dont je tombe immédiatement amoureux.
Voilà, je peux m’enorgueillir d’être devenue un homme quand m’étant rhabillé je retrouve les copains.
Je subis d’autres colibets, mais bien différents, car ceux qui m’ont vu partir me rappellent que j’ai fait cocue belle-maman devenant encore un peu plus un serial niqueur.
Perdre son pucelage, c’est tomber amoureuse de celle qui vous aie fait l’honneur de vous offrir son sexe, je fais partie de ceux-là.
Renseignement pris auprès de Pierre, il ignore qui était cette fille, mais il me promet de faire des recherches.
Hélas, chaque fois que je lui en parle, il me dit avoir fait chou blanc.
Le temps efface les maux d’amour, c’est pareil pour moi.
Je rencontre Sacha, jolie jeune fille aux seins volumineux et je vis trois mois avec elle.
Elle sera suivie de Sabrina, Carla, Louisa et Wafae, cette dernière étant d’origine marocaine.
Tous des prénoms finissant en « a » et j’en oublie sauf pour un détail, elles sont exclusivement blondes à grosses poitrines.
Chaque fois que je les baise en levrette, mon regard se porte vers leurs fesses espérant voir si par le plus pur des hasards une fleur de lys serait présente.
Fait bizarre, mais c’est compréhensible, Wafae qui avait une petite poitrine, mais j’étais dans ma période exotique, je sortais d’une relation avec une Japonaise venue faire ses études à Paris.
Chercher une tache de naissance, c’était chercher une aiguille dans une botte de foin et je le sais.
C’est bizarre, ça m’aide à bander.
Des mois après, en sortant de mes cours, repris en fac, pour devenir avocat, je vois une voiture ressemblant étrangement à celle qui m’a permis de devenir un homme.
Quand je suis sorti, suivant cette femme sorte de fantôme, j’avais remarqué l’aile arrière gauche de couleur différente que l’ensemble de la voiture.
Celle-là, rouge avec une aile blanche, semble la même.
J’ouvre mon sac à dos et j’en sors un papier et un stylo.
« Excusez de vous ennuyer, en me garant, j’ai touché votre aile arrière.
Voici mon numéro de portable afin que nous puissions nous voir pour que je vous rembourse les frais de réparations. »
L’argent de papa va m’être utile, je vais lui faire croire que je paye cette réparation en liquide pour éviter de payer un malus avec mon assurance.
Prétexte, car je dois repasser mon permis que j’ai lamentablement loupé deux fois.
Deux jours plus tard, mon portable sonne.
C’est dans un café que je donne rendez-vous à la jeune femme dont j’entends la voix sans pour autant lui dire que nous nous connaissons peut-être intimement.
Un moment d’incertitude quand la jeune fille se présentant semble être celle de mon souvenir.
La manière de s’habiller, les cheveux, même si une jeune femme peut avoir des looks différents.
Je l’installe à la table où je suis en lui écartant sa chaise.
• Votre mot m’a étonné, j’ai regardé ma voiture et à part mon aile blanche suite à un ancien accident le reste est conforme !
• C’était un prétexte pour vous retrouver.
Je suis allé à une soirée ou je vous ai rencontré.
• Nous nous sommes déjà rencontrés, vous m’étonnez, j’ai une bonne mémoire et c’est la première fois que je vous vois !
Attendez, depuis combien de temps avez-vous vu ma voiture ?
• Presque un an.
• Alors, je comprends, vous avez rencontré Alpina, ma sœur jumelle.
En effet, elle était en France dans cette période et je lui ai prêté ma voiture.
Alors, vous avez flashé sur elle !
• Soyons francs, elle m’a dépucelé sur le siège arrière de votre auto et elle est partie sans me donner un moyen de la retrouver.
Alpina drôle de prénom et vous ?
• Francesca, c’est plus commun et facile à porter.
Si vous avez fait tout cela pour me revoir, c’est que vous êtes tombé amoureux de son image et de ce qu’elle vous avait apporté.
Dites-moi à quoi tient la chance de sa vie, pas avec elle, elle est aux USA, mais la voiture, il y a un peu plus d’un an que j’ai eu un accident.
Un copain m’a changé l’aile pour m’éviter un mallus et il devait la peindre après.
Le temps passant, il doit la peindre la semaine prochaine et je vous aurais loupé.
C’est vrai, surtout quand vous connaitrez la suite publiée rapidement...
Aujourd’hui, nous entrons dans le monde des adultes.
Chacun d’entre nous va partir dans la direction de son choix dans des univers différents.
À votre bonne santé.
Pierre le chef de la bande que nous formons depuis le début de cette année est notre boute-en-train, il lève son verre.
Pendant les cours en cette année de terminal, c’est lui qui retombait toujours sur ses pattes, lorsqu’un prof l’interrogeait.
Le groupe s’est formé rapidement grâce à lui.
C’est à la cafétéria qu’il nous réunit de façon naturelle, jusqu’à ce soir ou il nous offre une boum de fin d’étude.
C’est lui qui nous prouve par des regards échangés avec elle, qu’il saute notre prof de math fraichement diplômé et déjà mère d’un petit garçon.
Il a invité des copines, chargées d’amener d’autres copines.
La plupart d’entre elles me sont familières, d’autres non.
• À la nôtre.
Moi, le puceau de la bande, j’ai réussi à faire croire à tous, que je baise à couille rabattue ma belle-mère, la nouvelle femme de mon père.
Ainsi, j’ai réussi à échapper aux colibets et aux remarques désobligeantes des autres garçons étant je le pense être le dernier puceau de notre bande.
Mais si je réussis à donner le change, d’autres ont-ils réussi la même chose, eux seuls le savent.
• À la nôtre.
Les verres défilent.
Certains garçons et filles dansent, certains sans équivoque possible montent jouer à des jeux plus pernicieux.
L’escalier menant aux chambres de la villa de ce fils de notaire, lui ayant laissé sa villa, afin de fêter sa mention, craque sous les pas des cavalcades certainement pour aller enfiler autre chose que des perles.
Là encore après avoir ôté nos chemises et les faire tourner autour de nos têtes, comme le demande la chanson, je retrouve le canapé.
• Tu penses à elle, elle te manque, c’est beau la fidélité !
J’ai choisi belle-maman comme maîtresse, car si j’avais dit avoir une petite amie hors des murs de notre maison, mon état aurait été découvert et j’aurais été emmerdé.
Sauter sa belle-mère, quand j’y repense trente ans après alors que j’ai cinquante ans et elle 80, c’était plutôt comique, mais très bien trouvé.
Papa brillant écrivain parcourait le monde pour dédicacer ses bouquins véritables best-sellers lui rapportant un max nous permettant de vivre sans grand souci.
Ses nombreuses absences nous permettaient, à mes dires, de baiser à tout moment et dans tout endroit de notre maison.
Bref, j’étais un sérial baiseur d’une femme de cinquante ans ayant de beau reste.
Laissons-les « à la nôtre, » surtout que Pierre demande à chacun de dire, comment il pense sa vie.
Je commence à être passablement éméché faisant rire tout le monde quand je bredouille des mots incohérents lorsque vient mon tour.
• T’es loin d’être en forme, viens, prendre un peu l’air, ça va te faire du bien.
Dans mon brouillard, elle est blonde, j’aime les blondes.
Poitrine avantageuse, j’aime les filles aux gros seins.
Dans mes mensonges quand je raconte, comment je baise belle-maman, je parle toujours de sa poitrine elle aussi assez proéminente, je suis ignare en taille de bonnet et je m’en bas la queue.
C’est à peu près tout, à si un détail, le cul de la jeune fille qui m’a interpellé à une fleur de lys sur sa fesse droite.
Mais je vais un peu vite même si la tache de naissance que j’ai vue dans mon brouillard avait un peu la forme décrite.
Je vais un peu vite car une fois dehors, elle me fait marcher allant sans intention préalable vers les voitures garées à l’extérieur de la propriété.
• Attends, j’ouvre, c’est la voiture d’une amie qui me la prête, écoutons de la musique.
Pour écouter de la musique, c’est plus facile quand on est à l’avant alors pourquoi s’installer banquette arrière.
Pour démarrer la radio, elle se penche aux dessus des sièges.
• Eh, on a le temps, j’aime que l’on me mette la main aux fesses, mais tu peux attendre quelques minutes.
Puceau, une chatte à porter de main sous sa minijupe rouge, comment résister même si l’on est un peu bourré.
Elle me donne ses lèvres, pour la première fois ma main caresse le genou d’une fille.
Pardon d’une femme, car au fure et à mesure de l’avancée de nos rapports, je prends conscience qu’à part des films pornos, le sexe m’est vraiment inconnu et sans son expérience je serais resté dans mon état et mon mensonge.
C’est en levrette que je la prends et qu’elle me dépucelle.
Je connais la position, lors de mes délires aux copains, combien de fois avec belle-maman l’ai-je prise jusqu’à la sodomie dans cette position !
Chaque fois que j’évoquais les sodomies que j’infligeais à ma belle-mère, je voyais les braguettes des pantalons se déformer, les mecs bandaient.
C’est comme ça dans la clarté de la lune outre mon pucelage que j’abandonne enfin sur le siège arrière, que je vois la fameuse fleur de lys et que, pour la première fois je remplis un vagin.
Ayant déchargé, j’ai envie de recommencer, mais c’est un autre plan qu’elle a en tête.
• Allez va, c’était sympa, je dois y aller.
C’est mon pantalon à la main avec mon slip et mes chaussures ayant gardé mon tee-shirt et elle sa mini et son chemisier que je me retrouve dans la rue.
Je la vois sauter par-dessus les sièges me montrant sa poitrine que j’ai tirée quand je la sexais me plaçant le corps sur le côté vu l’exiguïté de l’habitat.
Une fois la voiture partie je me rends compte que j’ignore jusqu’au nom de cette fille dont je tombe immédiatement amoureux.
Voilà, je peux m’enorgueillir d’être devenue un homme quand m’étant rhabillé je retrouve les copains.
Je subis d’autres colibets, mais bien différents, car ceux qui m’ont vu partir me rappellent que j’ai fait cocue belle-maman devenant encore un peu plus un serial niqueur.
Perdre son pucelage, c’est tomber amoureuse de celle qui vous aie fait l’honneur de vous offrir son sexe, je fais partie de ceux-là.
Renseignement pris auprès de Pierre, il ignore qui était cette fille, mais il me promet de faire des recherches.
Hélas, chaque fois que je lui en parle, il me dit avoir fait chou blanc.
Le temps efface les maux d’amour, c’est pareil pour moi.
Je rencontre Sacha, jolie jeune fille aux seins volumineux et je vis trois mois avec elle.
Elle sera suivie de Sabrina, Carla, Louisa et Wafae, cette dernière étant d’origine marocaine.
Tous des prénoms finissant en « a » et j’en oublie sauf pour un détail, elles sont exclusivement blondes à grosses poitrines.
Chaque fois que je les baise en levrette, mon regard se porte vers leurs fesses espérant voir si par le plus pur des hasards une fleur de lys serait présente.
Fait bizarre, mais c’est compréhensible, Wafae qui avait une petite poitrine, mais j’étais dans ma période exotique, je sortais d’une relation avec une Japonaise venue faire ses études à Paris.
Chercher une tache de naissance, c’était chercher une aiguille dans une botte de foin et je le sais.
C’est bizarre, ça m’aide à bander.
Des mois après, en sortant de mes cours, repris en fac, pour devenir avocat, je vois une voiture ressemblant étrangement à celle qui m’a permis de devenir un homme.
Quand je suis sorti, suivant cette femme sorte de fantôme, j’avais remarqué l’aile arrière gauche de couleur différente que l’ensemble de la voiture.
Celle-là, rouge avec une aile blanche, semble la même.
J’ouvre mon sac à dos et j’en sors un papier et un stylo.
« Excusez de vous ennuyer, en me garant, j’ai touché votre aile arrière.
Voici mon numéro de portable afin que nous puissions nous voir pour que je vous rembourse les frais de réparations. »
L’argent de papa va m’être utile, je vais lui faire croire que je paye cette réparation en liquide pour éviter de payer un malus avec mon assurance.
Prétexte, car je dois repasser mon permis que j’ai lamentablement loupé deux fois.
Deux jours plus tard, mon portable sonne.
C’est dans un café que je donne rendez-vous à la jeune femme dont j’entends la voix sans pour autant lui dire que nous nous connaissons peut-être intimement.
Un moment d’incertitude quand la jeune fille se présentant semble être celle de mon souvenir.
La manière de s’habiller, les cheveux, même si une jeune femme peut avoir des looks différents.
Je l’installe à la table où je suis en lui écartant sa chaise.
• Votre mot m’a étonné, j’ai regardé ma voiture et à part mon aile blanche suite à un ancien accident le reste est conforme !
• C’était un prétexte pour vous retrouver.
Je suis allé à une soirée ou je vous ai rencontré.
• Nous nous sommes déjà rencontrés, vous m’étonnez, j’ai une bonne mémoire et c’est la première fois que je vous vois !
Attendez, depuis combien de temps avez-vous vu ma voiture ?
• Presque un an.
• Alors, je comprends, vous avez rencontré Alpina, ma sœur jumelle.
En effet, elle était en France dans cette période et je lui ai prêté ma voiture.
Alors, vous avez flashé sur elle !
• Soyons francs, elle m’a dépucelé sur le siège arrière de votre auto et elle est partie sans me donner un moyen de la retrouver.
Alpina drôle de prénom et vous ?
• Francesca, c’est plus commun et facile à porter.
Si vous avez fait tout cela pour me revoir, c’est que vous êtes tombé amoureux de son image et de ce qu’elle vous avait apporté.
Dites-moi à quoi tient la chance de sa vie, pas avec elle, elle est aux USA, mais la voiture, il y a un peu plus d’un an que j’ai eu un accident.
Un copain m’a changé l’aile pour m’éviter un mallus et il devait la peindre après.
Le temps passant, il doit la peindre la semaine prochaine et je vous aurais loupé.
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