COLLECTION PUTE. Après mon bac, je pensais arrêter (1/1)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION PUTE. Après mon bac, je pensais arrêter (1/1)
• Ondine, ce soir, ton prochain rendez-vous est à l’hôtel Excelsior République, chambre 209 à 20 heures.
L’homme s’appelle Freddy, marié avec enfants, la cinquantaine.
Client classique, jusqu’à ce jour, c’était Roselyne qui s’occupait de lui, mais elle est en vacances et il est prêt à te recevoir à sa place.
• Bien, madame Loïse, je m’en occupe, pour demain matin, ça peut durer !
• Je te couvre comme d’habitude si Sévrine me demande si tu es arrivée je lui dirais que tu devais passer chez un client à l’autre bout de Paris, pour lui faire signer et déposer quelques papiers.
Comme vient de le dire madame Loïse, adjointe de Séverine patronne de notre cabinet d’avocats, je peux dire que j’ai une double vie.
Celle officielle, dans ce cabinet où j’ai été embauché comme avocate débutante une fois que j’ai prêté serment.
La deuxième, c’est à d’autres moments où je suis une prostituée de haut rang.
Comment peut-on pratiquer deux métiers, si pute est un métier, bien que l’on dise que c’est le plus vieux du monde.
J’avais dix-huit ans l’année ayant suivi mon bac lorsque je suis montée à Paris comme l’on dit pour faire mon droit.
Seule dans une chambre de bonne, j’ai rapidement dépensé plus que les aides que je recevais, principalement de l’État et quelques euros de mes parents.
Je me suis rendue à ma banque pour solliciter un prêt étudiant qui m’a été refusé.
J’étais prête à abandonner lorsqu’un soir dans un bar j’ai rencontré madame Marguerite femme d’une cinquantaine d’années qui m’a dit qu’elle connaissait ma situation et qu’elle avait une solution à me proposer.
Elle pouvait me faire avoir la somme que je demandais avec de nombreuses facilités sur les remboursements.
J’ai été très intéressé surtout que j’aie décidé de me racheter une conduite et de réussir mes études.
Travaillée chez Leclerc comme caissière, s’était m’être battue pour avoir mon bac et de tout rater.
La contrepartie, je devais aller rencontrer des hommes et simplement de leur faire une fellation.
J’ai accepté et dans les mois qui ont suivi, madame Marguerite m’envoyait à des rendez-vous ou ma bouche était la seule sollicitée.
La première fellation que j’ai faite, j’ai vidé mon estomac dès que mon client était parti.
La deuxième, j’ai eu du mal à la faire entrer dans ma bouche tellement elle était grosse.
C’est comme ça pour satisfaire mon client que j’ai appris à les masturber d’une main très vite experte en les léchant des couilles au méat.
Comme j’avais pris goût à avaler, mes clients en redemandaient.
Dans les semaines et les mois qui ont suivi, il m’a été facile de vider les couilles de ces hommes, souvent très vieux.
C’est ainsi que j’ai réussi mes examens et aussi remplir mon contrat de prostituer, car très vite, j’ai compris que j’en étais devenue une.
Examen en poche, madame Marguerite a disparu de ma vie et jusqu’à ce qu’une femme demande à me rencontrer.
C’était madame Loïse adjointe de la patronne du cabinet d’avocats où j’ai eu la chance d’être embauchée qui rapidement m’a mise au parfum de ma nouvelle vie.
Je croyais la prostitution derrière moi, le nombre de bites que j’avais sucé ayant grandement remboursé mon prêt.
Le temps de prendre mes marques dans mon nouveau cabinet et quelques jours plus tard la vérité m’est apparue au grand jour, madame Loïse m’a convoqué dans son bureau.
• Ondine, ce soir, vous allez rencontrer votre premier client.
Lorsque madame Marguerite vous a fait ce prêt, c’est sur votre physique qu’elle vous a sélectionné.
Reconnaissez que pendant vos études, vous avez été grandement protégée.
Sucer des bites, c’était simple et ça vous a permis de passer vos diplômes.
Mais c’était loin de rembourser l’organisation que je représente.
En acceptant notre argent, sans le savoir vous avez rejoint notre réseau de call-girls de haute qualité.
Bien sûr, vous pouvez refuser, mais sachez que les portes du cabinet que vous venez d’intégrer vous seront définitivement fermées ainsi que la plupart des cabinets sur notre territoire, si vous vous rebellez.
• Mais madame, je suis vierge, à part ma bouche, les autres parties de mon corps sont pures.
• Cette pureté comme vous dites, nous allons y remédier dès ce soir, une seconde.
Madame Loïse a pris son téléphone et a eu une conversation avec un certain Hugo.
• Hugo, ce soir, un restaurant avec à la clef un dépucelage d’une de nos petites dindes qui va commencer à travailler pour nous.
Un temps assez court ou Hugo a dû lui répondre.
• Je t’envoie son adresse, tu la récupères, tu lui offres le resto et après tu la dépucelles, tu verras, elle sera très docile, elle sait ce qu’elle nous doit et ce qu’elle risque de perdre.
Ce soir-là, tout a été parfait, j’ai vite compris que je m’étais fait piéger.
Je me voyais mal aller à la police leur dire que j’avais sucé des dizaines de bites tout au long de mes études et que maintenant on me demandait d’écarter mes cuisses.
Hugo était ce que l’on peut dire un playboy et un as du sexe.
Après le resto, dès le premier soir, il m’a fait jouir ainsi que les quelques soirs suivants.
Madame Loïse sachant reconnaitre le mérite de Hugo, m’ayant fait ça en douceur.
Hugo avait un autre mérite, il savait à merveille porter les sacs de hauts couturiers lors des courses qu’il m’a fait faire pour que je devienne une avocate bien habillée et une pute de haut standing.
J’avais compris que le niveau auquel on m’amenait ce serait avec des clients que je les rembourserais et ce jour c’est le cas, comme avec ce dénommé Freddy.
Vingt heures, toujours être prêt à l’heure, Willy le chauffeur de taxi mis à ma disposition par l’organisation est là, au bas de mon immeuble.
Il a horreur du moindre retard, c’est viscéral chez lui.
Certainement d’autres filles à conduire près de leurs clients, sans que je les connaisse.
Des putes comme moi, il doit y en avoir des dizaines avec des couvertures officielles de haut rang.
Pour ma part, depuis que j’ai fait mon premier client, j’en ai découvert une au sein d’un autre cabinet d’avocats parisiens, Émilie, jolie blonde aux cheveux bouclés naturellement.
Nous nous étions connus en fac, elle aussi était sans le sou et avait certainement contacté le même prêt avec remboursement et intérêt en suçant des bites.
Nous avons travaillé sur deux clients voulant deux filles, ils nous échangeaient au gré de leurs envies.
C’est ce soir-là que j’ai sucé ma première chatte, les clients voulant voir deux femmes se gouiner.
Ils ont même payé un supplément.
Hugo avait été mon dépuceleur, Émilie fut la première avec une fille.
Elle est devenue mon amie, elle m’a expliqué qu’elle avait commencé par aimer les chattes et s’est en la suivant que je suis devenue experte en titillement de clitos.
Le clito, c’est mon point fort, c’est grâce à lui que dès la première fois j’ai eu du plaisir avec Hugo.
Il est si sensible, que la moindre caresse d’un doigt, d’une langue ou d’une bite l’enflamme.
Un vrai petit pénis taille petit garçon venant de naitre, ce sera encore le cas avec Freddy, homme plutôt laid mais dès qu’il me fait passer devant lui en m’ouvrant la porte de la chambre 209, il m’enlace.
Il glisse sa main par l’échancrure de ma jupe et passe un doigt le long de mon carré dit de protection, mais qui lui livre le mystère de la femme, plutôt de la salope que je suis devenue.
Mon clito s’enflamme et la porte refermée, je le calme.
Le fric d’abord, même si l’organisation va récupérer 30 % de ma prestation.
Sur 3 000 €, ça m’en laisse assez pour gonfler mon capital.
J’ai l’idée de devenir indépendante en ouvrant mon propre cabinet d’avocats.
Le compte est bon, 15 billets de 200, maintenant Freddy peut faire de moi ce qu’il veut même me sodomiser.
La sodomie, comme le suçage de chatte, c’est des plus dans mes prestations, qui sont proposés à mes clients et qui plaisent à mes patrons.
• Tout doux mon beau, on a toute la nuit devant nous et si tu m’offrais une coupe de champagne !
Faire durer le temps, c’est le plus difficile pour une pute de luxe.
Il est hors de question que je prenne le fric, que j’écarte mes cuisses et que mon client me pénètre comme un vulgaire morceau de bidoche.
Il est hors de question qu’après que mon client est déchargé, je lui dise bye-bye en peu de temps, j’aime le travail bien fait donc le travail qui dure.
De toute façon monsieur Willy m’attend à sept heures devant l’hôtel sans que je l’appelle.
En quittant l’hôtel à cette heure, la relève de la réceptionniste de l’équipe de soirée sera remplacée par celle du matin et cela évitera que l’on ne sache qu’une pute a officié cette nuit dans cet établissement.
D’où aussi ma remarque à madame Loïse de mon arrivée en retard au cabinet.
Je suis très élégante, mais comme avocate, je dois revêtir une tenue plus adéquate à cet autre milieu.
Je dois reconnaitre qu’en ayant pris plein la chatte et l’anus, un bain réparateur souvent ponctué d’un petit somme dans l’eau m’est nécessaire.
Demain j’ignore ce que Séverine voudra me faire faire et je veux éviter de bayer devant elle comme je l’ai fait la première fois ou j’ai passé la nuit à satisfaire mon client.
Émilie, que je vois de temps en temps, hors de soirée coquine, les jours ou je suis de repos, m’a dit que c’était Éric son patron qui lui avait obligé de continuer à les rembourser.
Elle a de la chance, patron, amant et proxo tout en un, elle a moins de difficulté à prendre des heures lorsqu’elle a bien tapiné.
Bref, je suce Freddy sans le faire décharger, par compte, mon corps est tout à lui, j’aime les cunnilingus pratiqués par mes clients, ça fait tourner la pendule.
• Freddy, enlève tes mains de ta verge, tu es un vilain garçon, maman va te punir.
Ça c’est une tactique, la maman et son fiston qui se masturbe tout en lui bouffant la chatte.
La punition si Freddy touche à sa verge, un soir, un de mes clients, c’est masturbé en me suçant, il a éjaculé et après rideau.
J’ai tout fait, impossible de lui faire tendre le bras et la nuit a été interminable.
La menace de la punition, ça retarde son éjaculation et de plus si les gens savaient comme ces messieurs aiment sauter leurs mamans même simplement en pensées, c’est faramineux.
Fantasme ou complexe d’Œdipe, jouer à la maman se faisant baiser par son fiston, le papa étant aller aux putes, ça marche du tonnerre.
Où vont se ficher leurs fantasmes, le mien ce serait de trouver un gentil garçon et de revenir la petite fille sage que j’étais lorsque je suis venue à Paris ?
Hélas, je suis une pute, pute je suis, pute je resterais.
• Bonjours madame, votre nuit s’est-elle bien passée ?
Ça c’est Willy lorsqu’il me récupère.
Il est quatorze heures lorsque je passe la porte de notre cabinet, Anaïs notre jeune réceptionniste m’interpelle lorsque j’ai badgé.
• Madame Ondine, madame Séverine m’a demandé de vous dire qu’elle vous attendait dans son bureau dès que vous serez dans nos murs !
C’est fichu, Séverine doit avoir eu vent de ma double vie et va me foutre à la porte.
• Ondine, je suis satisfaite de vous, Loïse doit partir vers d’autres cieux, vous devenez mon adjointe, demain je vous emmène à Marseille où vous m’aiderez dans le procès du siècle.
Allez la voir, elle vous mettra au courant sur vos fonctions et prenez le reste de votre après-midi, un taxi est à votre disposition.
Voilà, Loïse me met au courant pour deux choses, adjointe de Séverine et aussi responsable des putes à gérer avec ses fichiers, c’est moi qui prends leur rendez-vous avec les clients.
L’un de nos avocats partants pour suivre sa femme en Martinique, il y a aussi des putes de luxes dans cette île, j’embauche Émilie dans notre cabinet.
Elle m’aide pour augmenter le chiffre d’affaires de notre organisation, c’est une bonne gagneuse souvent sollicitée.
Pour ma part, fini les passes, dès notre voyage à Marseille avec Séverine, je me suis retrouvé dans son lit, elle adore me brouter le clito autant que j’aime le sien.
Elle me parle de mariage et de partage des parts de notre cabinet.
J’ai pensé à bien des façons de quitter la prostitution, sans savoir que je l’ai été, c’est ainsi que je retrouve la moitié du droit chemin.
Séverine ignore la gestion de la partie cachée de nos cabinets d’avocats et je me garde bien de lui en parler.
Pute un jour, pute toujours.
L’homme s’appelle Freddy, marié avec enfants, la cinquantaine.
Client classique, jusqu’à ce jour, c’était Roselyne qui s’occupait de lui, mais elle est en vacances et il est prêt à te recevoir à sa place.
• Bien, madame Loïse, je m’en occupe, pour demain matin, ça peut durer !
• Je te couvre comme d’habitude si Sévrine me demande si tu es arrivée je lui dirais que tu devais passer chez un client à l’autre bout de Paris, pour lui faire signer et déposer quelques papiers.
Comme vient de le dire madame Loïse, adjointe de Séverine patronne de notre cabinet d’avocats, je peux dire que j’ai une double vie.
Celle officielle, dans ce cabinet où j’ai été embauché comme avocate débutante une fois que j’ai prêté serment.
La deuxième, c’est à d’autres moments où je suis une prostituée de haut rang.
Comment peut-on pratiquer deux métiers, si pute est un métier, bien que l’on dise que c’est le plus vieux du monde.
J’avais dix-huit ans l’année ayant suivi mon bac lorsque je suis montée à Paris comme l’on dit pour faire mon droit.
Seule dans une chambre de bonne, j’ai rapidement dépensé plus que les aides que je recevais, principalement de l’État et quelques euros de mes parents.
Je me suis rendue à ma banque pour solliciter un prêt étudiant qui m’a été refusé.
J’étais prête à abandonner lorsqu’un soir dans un bar j’ai rencontré madame Marguerite femme d’une cinquantaine d’années qui m’a dit qu’elle connaissait ma situation et qu’elle avait une solution à me proposer.
Elle pouvait me faire avoir la somme que je demandais avec de nombreuses facilités sur les remboursements.
J’ai été très intéressé surtout que j’aie décidé de me racheter une conduite et de réussir mes études.
Travaillée chez Leclerc comme caissière, s’était m’être battue pour avoir mon bac et de tout rater.
La contrepartie, je devais aller rencontrer des hommes et simplement de leur faire une fellation.
J’ai accepté et dans les mois qui ont suivi, madame Marguerite m’envoyait à des rendez-vous ou ma bouche était la seule sollicitée.
La première fellation que j’ai faite, j’ai vidé mon estomac dès que mon client était parti.
La deuxième, j’ai eu du mal à la faire entrer dans ma bouche tellement elle était grosse.
C’est comme ça pour satisfaire mon client que j’ai appris à les masturber d’une main très vite experte en les léchant des couilles au méat.
Comme j’avais pris goût à avaler, mes clients en redemandaient.
Dans les semaines et les mois qui ont suivi, il m’a été facile de vider les couilles de ces hommes, souvent très vieux.
C’est ainsi que j’ai réussi mes examens et aussi remplir mon contrat de prostituer, car très vite, j’ai compris que j’en étais devenue une.
Examen en poche, madame Marguerite a disparu de ma vie et jusqu’à ce qu’une femme demande à me rencontrer.
C’était madame Loïse adjointe de la patronne du cabinet d’avocats où j’ai eu la chance d’être embauchée qui rapidement m’a mise au parfum de ma nouvelle vie.
Je croyais la prostitution derrière moi, le nombre de bites que j’avais sucé ayant grandement remboursé mon prêt.
Le temps de prendre mes marques dans mon nouveau cabinet et quelques jours plus tard la vérité m’est apparue au grand jour, madame Loïse m’a convoqué dans son bureau.
• Ondine, ce soir, vous allez rencontrer votre premier client.
Lorsque madame Marguerite vous a fait ce prêt, c’est sur votre physique qu’elle vous a sélectionné.
Reconnaissez que pendant vos études, vous avez été grandement protégée.
Sucer des bites, c’était simple et ça vous a permis de passer vos diplômes.
Mais c’était loin de rembourser l’organisation que je représente.
En acceptant notre argent, sans le savoir vous avez rejoint notre réseau de call-girls de haute qualité.
Bien sûr, vous pouvez refuser, mais sachez que les portes du cabinet que vous venez d’intégrer vous seront définitivement fermées ainsi que la plupart des cabinets sur notre territoire, si vous vous rebellez.
• Mais madame, je suis vierge, à part ma bouche, les autres parties de mon corps sont pures.
• Cette pureté comme vous dites, nous allons y remédier dès ce soir, une seconde.
Madame Loïse a pris son téléphone et a eu une conversation avec un certain Hugo.
• Hugo, ce soir, un restaurant avec à la clef un dépucelage d’une de nos petites dindes qui va commencer à travailler pour nous.
Un temps assez court ou Hugo a dû lui répondre.
• Je t’envoie son adresse, tu la récupères, tu lui offres le resto et après tu la dépucelles, tu verras, elle sera très docile, elle sait ce qu’elle nous doit et ce qu’elle risque de perdre.
Ce soir-là, tout a été parfait, j’ai vite compris que je m’étais fait piéger.
Je me voyais mal aller à la police leur dire que j’avais sucé des dizaines de bites tout au long de mes études et que maintenant on me demandait d’écarter mes cuisses.
Hugo était ce que l’on peut dire un playboy et un as du sexe.
Après le resto, dès le premier soir, il m’a fait jouir ainsi que les quelques soirs suivants.
Madame Loïse sachant reconnaitre le mérite de Hugo, m’ayant fait ça en douceur.
Hugo avait un autre mérite, il savait à merveille porter les sacs de hauts couturiers lors des courses qu’il m’a fait faire pour que je devienne une avocate bien habillée et une pute de haut standing.
J’avais compris que le niveau auquel on m’amenait ce serait avec des clients que je les rembourserais et ce jour c’est le cas, comme avec ce dénommé Freddy.
Vingt heures, toujours être prêt à l’heure, Willy le chauffeur de taxi mis à ma disposition par l’organisation est là, au bas de mon immeuble.
Il a horreur du moindre retard, c’est viscéral chez lui.
Certainement d’autres filles à conduire près de leurs clients, sans que je les connaisse.
Des putes comme moi, il doit y en avoir des dizaines avec des couvertures officielles de haut rang.
Pour ma part, depuis que j’ai fait mon premier client, j’en ai découvert une au sein d’un autre cabinet d’avocats parisiens, Émilie, jolie blonde aux cheveux bouclés naturellement.
Nous nous étions connus en fac, elle aussi était sans le sou et avait certainement contacté le même prêt avec remboursement et intérêt en suçant des bites.
Nous avons travaillé sur deux clients voulant deux filles, ils nous échangeaient au gré de leurs envies.
C’est ce soir-là que j’ai sucé ma première chatte, les clients voulant voir deux femmes se gouiner.
Ils ont même payé un supplément.
Hugo avait été mon dépuceleur, Émilie fut la première avec une fille.
Elle est devenue mon amie, elle m’a expliqué qu’elle avait commencé par aimer les chattes et s’est en la suivant que je suis devenue experte en titillement de clitos.
Le clito, c’est mon point fort, c’est grâce à lui que dès la première fois j’ai eu du plaisir avec Hugo.
Il est si sensible, que la moindre caresse d’un doigt, d’une langue ou d’une bite l’enflamme.
Un vrai petit pénis taille petit garçon venant de naitre, ce sera encore le cas avec Freddy, homme plutôt laid mais dès qu’il me fait passer devant lui en m’ouvrant la porte de la chambre 209, il m’enlace.
Il glisse sa main par l’échancrure de ma jupe et passe un doigt le long de mon carré dit de protection, mais qui lui livre le mystère de la femme, plutôt de la salope que je suis devenue.
Mon clito s’enflamme et la porte refermée, je le calme.
Le fric d’abord, même si l’organisation va récupérer 30 % de ma prestation.
Sur 3 000 €, ça m’en laisse assez pour gonfler mon capital.
J’ai l’idée de devenir indépendante en ouvrant mon propre cabinet d’avocats.
Le compte est bon, 15 billets de 200, maintenant Freddy peut faire de moi ce qu’il veut même me sodomiser.
La sodomie, comme le suçage de chatte, c’est des plus dans mes prestations, qui sont proposés à mes clients et qui plaisent à mes patrons.
• Tout doux mon beau, on a toute la nuit devant nous et si tu m’offrais une coupe de champagne !
Faire durer le temps, c’est le plus difficile pour une pute de luxe.
Il est hors de question que je prenne le fric, que j’écarte mes cuisses et que mon client me pénètre comme un vulgaire morceau de bidoche.
Il est hors de question qu’après que mon client est déchargé, je lui dise bye-bye en peu de temps, j’aime le travail bien fait donc le travail qui dure.
De toute façon monsieur Willy m’attend à sept heures devant l’hôtel sans que je l’appelle.
En quittant l’hôtel à cette heure, la relève de la réceptionniste de l’équipe de soirée sera remplacée par celle du matin et cela évitera que l’on ne sache qu’une pute a officié cette nuit dans cet établissement.
D’où aussi ma remarque à madame Loïse de mon arrivée en retard au cabinet.
Je suis très élégante, mais comme avocate, je dois revêtir une tenue plus adéquate à cet autre milieu.
Je dois reconnaitre qu’en ayant pris plein la chatte et l’anus, un bain réparateur souvent ponctué d’un petit somme dans l’eau m’est nécessaire.
Demain j’ignore ce que Séverine voudra me faire faire et je veux éviter de bayer devant elle comme je l’ai fait la première fois ou j’ai passé la nuit à satisfaire mon client.
Émilie, que je vois de temps en temps, hors de soirée coquine, les jours ou je suis de repos, m’a dit que c’était Éric son patron qui lui avait obligé de continuer à les rembourser.
Elle a de la chance, patron, amant et proxo tout en un, elle a moins de difficulté à prendre des heures lorsqu’elle a bien tapiné.
Bref, je suce Freddy sans le faire décharger, par compte, mon corps est tout à lui, j’aime les cunnilingus pratiqués par mes clients, ça fait tourner la pendule.
• Freddy, enlève tes mains de ta verge, tu es un vilain garçon, maman va te punir.
Ça c’est une tactique, la maman et son fiston qui se masturbe tout en lui bouffant la chatte.
La punition si Freddy touche à sa verge, un soir, un de mes clients, c’est masturbé en me suçant, il a éjaculé et après rideau.
J’ai tout fait, impossible de lui faire tendre le bras et la nuit a été interminable.
La menace de la punition, ça retarde son éjaculation et de plus si les gens savaient comme ces messieurs aiment sauter leurs mamans même simplement en pensées, c’est faramineux.
Fantasme ou complexe d’Œdipe, jouer à la maman se faisant baiser par son fiston, le papa étant aller aux putes, ça marche du tonnerre.
Où vont se ficher leurs fantasmes, le mien ce serait de trouver un gentil garçon et de revenir la petite fille sage que j’étais lorsque je suis venue à Paris ?
Hélas, je suis une pute, pute je suis, pute je resterais.
• Bonjours madame, votre nuit s’est-elle bien passée ?
Ça c’est Willy lorsqu’il me récupère.
Il est quatorze heures lorsque je passe la porte de notre cabinet, Anaïs notre jeune réceptionniste m’interpelle lorsque j’ai badgé.
• Madame Ondine, madame Séverine m’a demandé de vous dire qu’elle vous attendait dans son bureau dès que vous serez dans nos murs !
C’est fichu, Séverine doit avoir eu vent de ma double vie et va me foutre à la porte.
• Ondine, je suis satisfaite de vous, Loïse doit partir vers d’autres cieux, vous devenez mon adjointe, demain je vous emmène à Marseille où vous m’aiderez dans le procès du siècle.
Allez la voir, elle vous mettra au courant sur vos fonctions et prenez le reste de votre après-midi, un taxi est à votre disposition.
Voilà, Loïse me met au courant pour deux choses, adjointe de Séverine et aussi responsable des putes à gérer avec ses fichiers, c’est moi qui prends leur rendez-vous avec les clients.
L’un de nos avocats partants pour suivre sa femme en Martinique, il y a aussi des putes de luxes dans cette île, j’embauche Émilie dans notre cabinet.
Elle m’aide pour augmenter le chiffre d’affaires de notre organisation, c’est une bonne gagneuse souvent sollicitée.
Pour ma part, fini les passes, dès notre voyage à Marseille avec Séverine, je me suis retrouvé dans son lit, elle adore me brouter le clito autant que j’aime le sien.
Elle me parle de mariage et de partage des parts de notre cabinet.
J’ai pensé à bien des façons de quitter la prostitution, sans savoir que je l’ai été, c’est ainsi que je retrouve la moitié du droit chemin.
Séverine ignore la gestion de la partie cachée de nos cabinets d’avocats et je me garde bien de lui en parler.
Pute un jour, pute toujours.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très joli Chris un texte charmant ou une étudiante jolie et naïve devient pute puis maurelle et finit avec sa patronne le tout narre gentiment. Daniel

