COLLECTION PUTE. De mère en fille (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION PUTE. De mère en fille (1/1)
• Sandrine, le grand jour est arrivé !
• Maman, tu m’as fait quitter mon institues le jour de mes dix-huit ans.
Toutes mes amies qui ont été appelées par leurs parents à cet âge, c’était pour se marier avec l’un des meilleurs partis possibles.
Tu vas me présenter un prétendant issu de bonne famille que je vais devoir épouser.
Nous avons été formés dans ce but et je sais que je vais devoir faire l’amour avec celui que tu auras choisi et qui me fera des enfants pour perpétrer nos familles de nanties.
• Un seul homme, quelle horreur, lorsque tu étais petite, avant que je te place dans cet institut, tu devais avoir neuf ans, tu m’as demandé comment je gagnais ma vie.
Tu as ajouté, pourquoi tu étais l’une des jeunes filles de ton âge sans papa !
J’ai éludé ta question et j’ai su qu’il fallait que je me sépare temporairement de toi afin que dans l’école où je t’aie placé, on fasse ton éducation.
Aujourd’hui, tu es prête à connaître le secret de notre famille.
Lors de tes études, les sœurs ont dû te parler du chemin de croix que Jésus à suivi.
• Oui, il est mort sur la croix pour nous sauver.
• T’a-t-on parlé de Marie-Madeleine que le Christ a rencontrée lorsqu’il portait sa croix ?
• Oui, certaines des filles les plus délurées soutenaient que c’était sa femme et d’autres une prostituée !
• Prostituée, tu viens d’employer le bon terme, Marie-Madeleine était une prostituée venue demander sa rédemption à Jésus.
Nous descendons en droite ligne de cette femme et moi aussi je suis une prostituée.
• Maman, tu me dis que depuis des années, tu vends ton corps à des hommes, pour de l’argent et que tu vis de cela !
• Oui, nous sommes sur terre pour satisfaire les envies sexuelles des hommes et quelquefois des femmes pour de l’argent.
• Des femmes aussi, lorsque j’étais petite plusieurs fois, j’ai vu venir des femmes chez nous avant que tu m’enfermes dans ma chambre.
Tu me disais que c’était mes tantes qui venaient te visiter ?
• C’est vrai, je me souviens t’avoir dit ça, non, c’était des clientes venues pour que je les satisfasse sexuellement contre rétribution.
• À l’institut, il y avait des filles qui s’amusaient entre elles, d’autres disaient que c’étaient des gouines, tu es une gouine maman.
• Non, loin de là, mais ces femmes qui viennent me brouter le minou me payent plus cher qu’un homme, car une pute bisexuelle c’ait rare sur le marché de la prostitution.
• En me dévoilant tout ça, tu dois avoir un but, qu’attends-tu de moi ?
• Que je te forme à satisfaire les hommes, les femmes, nous verrons si tu as des dispositions.
Ce soir, j’ai sélectionné six de mes meilleurs clients, qui vont mettre le plus d’argent possible pour coucher avec toi.
• Que je sois la descendante de Marie-Madeleine et que je sois obligée de me prostituer, passe encore.
Mais six hommes dès le premier soir, tu veux avoir ma mort sur la conscience.
• Sandrine, tu es vierge, comme j’avais stipulé aux sœurs qui vous ont éduqué.
Ce soir, les six hommes vont faire comme ils ont fait pour moi il y a bientôt trente ans, ils vont mettre un max de fric sur la table pour prendre ta vertu, ton pucelage si tu préfères.
Sais-tu comment une femme peut satisfaire son client ?
• Maman, je découvre ton monde, alors que je pensais que mon mari le soir de mes noces m’apprendrait à me faire des enfants.
• Je vois, tu as bien été éduquée sans pour autant avoir des cours d’éducation sexuelle très développée.
Une femme, qu’elle soit mariée ou qu’elle soit une pute, à principalement trois centres d’intérêt.
Chez nous les putes, ces trois centres ont trois tarifs bien définis, ta bouche, ton sexe et ton anus.
Il y a aussi tes seins fort jolis comme tous les seins des filles de notre famille.
Tu peux branler ton client en les resserrant jusqu’à ce qu’il éjacule, mais c’est le même tarif qu’une fellation.
• Une fellation ?
• Fellation, ta bouche reçoit le sexe mâle qui se branle jusqu’à ce qu’il crache son sperme que tu devras apprendre à avaler.
• C’est dégueulasse !
• Les premières fois, ça te paraitra dégueulasse, mais rapidement lorsque l’homme t’aura donné du pognon, ça te paraîtra naturel.
Se branler entre tes seins, ça ce nome une cravate de notaire, ou une branlette espagnole, tarif 100 € jusqu’à avalement du sperme ou éjaculation sur ta figure.
Tu portes des lunettes, ça va te servir, les clients adorent voir couler leur sperme quand ils nous en ont mis partout
Dans deux heures, le temps que je te prépare, la première bite que tu vas sucer sera celle d’un de mes six clients.
Elle aura été tirée aux enchères, une ouverture à 5 000 € sera le prix de base pour que tu fasses ta première fellation.
• Pour toi aussi, ma grand-mère a vendu, ta bouche, ton minou ou ton petit trou !
• Lorsque j’ai commencé, c’était dans la rue qu’il a fallu que je trouve mes premiers clients.
Comme Marie-Madeleine notre ancêtre, nous étions ramassés par la police.
Ironie de l’histoire, étant fiché depuis que Marthe Richard a fait fermer les maisons closes, c’est elle qui a fait supprimer les fichiers.
Ironie de l’histoire, elle était elle-même une ancienne prostituée descendante de Marie-Madeleine, par ce geste, elle voulait faire table ras de son passé.
La rue et les arrestations arbitraires, avant qu’Internet nous permette de regagner un certain anonymat.
À notre époque, les putes ont été rebaptisées « escortes girls » et ont leurs photos avec un numéro de téléphone ou les appeler.
• Tu es inscrite sur ce genre de site avec ta photo !
• Non, la liste de mes clients est si longue qui se trouve sur ce carnet, que cela me suffit et te suffira pour savoir quel genre de client tu as affaire
Voilà comment maman m’a mis le pied à l’étrier et que je suis devenue pute descendante de Marie-Madeleine.
Après les enchères ayant très bien marché, ma carrière et mes clients remplissent toujours mon compte en banque et cela depuis environ vingt-cinq ans.
Il y a dix-huit ans, j’ai eu une fille née de père inconnu.
J’étais à deux doigts de la faire venir à Paris pour que je la forme à la succession de notre ancêtre.
Mais c’est moi qui ai été convoqué par le directeur de l’institut où j’avais placé Gabie.
• Madame, il s’est produit quelque chose entre votre fille et moi et je m’en excuse.
Nous avons eu un coup de foudre réciproque malgré notre différence d’âge.
Pour une différence d’âge, elle est grande, ce saligaud pourrait être mon père ou au moins l’âge d’un grand nombre de mes clients.
L’affaire aurait pu en rester là et ayant récupéré ma fille après son accouchement j’aurais pu la mettre au turbin !
Mais ce con a souhaité l’épouser, ce qui cassait la ligne directe entre Marie-Madeleine et notre époque.
Gabie a tout de même conservé une partie de cette lignée, Ludivine une fille.
Ludivine a grandi et est même devenue une magnifique jeune fille qui aurait fait une formidable pute en étant bien encadrée.
Il faut que je me contente de la voir de temps en temps lorsqu’elle a du temps à consacrer à sa grand-mère.
M’étant servi d’Internet, première génération à nous servir de ces services pour tapiner, même si grâce au carnet j’en suis restée aux bonnes vieilles méthodes, j’aime aller voir le profil des nouvelles escortes.
Aujourd’hui, une nouvelle fait son apparition, Lucrecia, rien à voir avec ma petite Ludivine la tête étant flouté.
06, son numéro, je mets du temps à oser appeler.
Je finis par craquer.
• Allo, oui madame, je fais les femmes, on me dit très doué, vous serez satisfaite de mes services.
Ou voulez-vous que l’on se rencontre.
• Au café de Paris près de chez moi !
Un café où je vais pouvoir comprendre comment ma petite fille a renoué avec la lignée de Marie-Madeleine en passant par Marthe Richard de putes au service de nos clients.
J’ai bien des choses à lui apprendre, tout en restant sa grand-mère il va de soi.
Ainsi, lorsqu’elle aura sa fille, elle pourra l’éduquer pour savoir du mieux possible satisfaire un client ou une cliente avec sa bouche, sa chatte ou son cul.
Elle lui racontera d’où nous venons et pourquoi chacune de nous est venue au monde.
Je suis très fière de ma petite Ludivine d’avoir su trouver son chemin seule, malgré la désaffection de sa mère qui étant veuve vient de se remarier sans connaître ses origines.
• Maman, tu m’as fait quitter mon institues le jour de mes dix-huit ans.
Toutes mes amies qui ont été appelées par leurs parents à cet âge, c’était pour se marier avec l’un des meilleurs partis possibles.
Tu vas me présenter un prétendant issu de bonne famille que je vais devoir épouser.
Nous avons été formés dans ce but et je sais que je vais devoir faire l’amour avec celui que tu auras choisi et qui me fera des enfants pour perpétrer nos familles de nanties.
• Un seul homme, quelle horreur, lorsque tu étais petite, avant que je te place dans cet institut, tu devais avoir neuf ans, tu m’as demandé comment je gagnais ma vie.
Tu as ajouté, pourquoi tu étais l’une des jeunes filles de ton âge sans papa !
J’ai éludé ta question et j’ai su qu’il fallait que je me sépare temporairement de toi afin que dans l’école où je t’aie placé, on fasse ton éducation.
Aujourd’hui, tu es prête à connaître le secret de notre famille.
Lors de tes études, les sœurs ont dû te parler du chemin de croix que Jésus à suivi.
• Oui, il est mort sur la croix pour nous sauver.
• T’a-t-on parlé de Marie-Madeleine que le Christ a rencontrée lorsqu’il portait sa croix ?
• Oui, certaines des filles les plus délurées soutenaient que c’était sa femme et d’autres une prostituée !
• Prostituée, tu viens d’employer le bon terme, Marie-Madeleine était une prostituée venue demander sa rédemption à Jésus.
Nous descendons en droite ligne de cette femme et moi aussi je suis une prostituée.
• Maman, tu me dis que depuis des années, tu vends ton corps à des hommes, pour de l’argent et que tu vis de cela !
• Oui, nous sommes sur terre pour satisfaire les envies sexuelles des hommes et quelquefois des femmes pour de l’argent.
• Des femmes aussi, lorsque j’étais petite plusieurs fois, j’ai vu venir des femmes chez nous avant que tu m’enfermes dans ma chambre.
Tu me disais que c’était mes tantes qui venaient te visiter ?
• C’est vrai, je me souviens t’avoir dit ça, non, c’était des clientes venues pour que je les satisfasse sexuellement contre rétribution.
• À l’institut, il y avait des filles qui s’amusaient entre elles, d’autres disaient que c’étaient des gouines, tu es une gouine maman.
• Non, loin de là, mais ces femmes qui viennent me brouter le minou me payent plus cher qu’un homme, car une pute bisexuelle c’ait rare sur le marché de la prostitution.
• En me dévoilant tout ça, tu dois avoir un but, qu’attends-tu de moi ?
• Que je te forme à satisfaire les hommes, les femmes, nous verrons si tu as des dispositions.
Ce soir, j’ai sélectionné six de mes meilleurs clients, qui vont mettre le plus d’argent possible pour coucher avec toi.
• Que je sois la descendante de Marie-Madeleine et que je sois obligée de me prostituer, passe encore.
Mais six hommes dès le premier soir, tu veux avoir ma mort sur la conscience.
• Sandrine, tu es vierge, comme j’avais stipulé aux sœurs qui vous ont éduqué.
Ce soir, les six hommes vont faire comme ils ont fait pour moi il y a bientôt trente ans, ils vont mettre un max de fric sur la table pour prendre ta vertu, ton pucelage si tu préfères.
Sais-tu comment une femme peut satisfaire son client ?
• Maman, je découvre ton monde, alors que je pensais que mon mari le soir de mes noces m’apprendrait à me faire des enfants.
• Je vois, tu as bien été éduquée sans pour autant avoir des cours d’éducation sexuelle très développée.
Une femme, qu’elle soit mariée ou qu’elle soit une pute, à principalement trois centres d’intérêt.
Chez nous les putes, ces trois centres ont trois tarifs bien définis, ta bouche, ton sexe et ton anus.
Il y a aussi tes seins fort jolis comme tous les seins des filles de notre famille.
Tu peux branler ton client en les resserrant jusqu’à ce qu’il éjacule, mais c’est le même tarif qu’une fellation.
• Une fellation ?
• Fellation, ta bouche reçoit le sexe mâle qui se branle jusqu’à ce qu’il crache son sperme que tu devras apprendre à avaler.
• C’est dégueulasse !
• Les premières fois, ça te paraitra dégueulasse, mais rapidement lorsque l’homme t’aura donné du pognon, ça te paraîtra naturel.
Se branler entre tes seins, ça ce nome une cravate de notaire, ou une branlette espagnole, tarif 100 € jusqu’à avalement du sperme ou éjaculation sur ta figure.
Tu portes des lunettes, ça va te servir, les clients adorent voir couler leur sperme quand ils nous en ont mis partout
Dans deux heures, le temps que je te prépare, la première bite que tu vas sucer sera celle d’un de mes six clients.
Elle aura été tirée aux enchères, une ouverture à 5 000 € sera le prix de base pour que tu fasses ta première fellation.
• Pour toi aussi, ma grand-mère a vendu, ta bouche, ton minou ou ton petit trou !
• Lorsque j’ai commencé, c’était dans la rue qu’il a fallu que je trouve mes premiers clients.
Comme Marie-Madeleine notre ancêtre, nous étions ramassés par la police.
Ironie de l’histoire, étant fiché depuis que Marthe Richard a fait fermer les maisons closes, c’est elle qui a fait supprimer les fichiers.
Ironie de l’histoire, elle était elle-même une ancienne prostituée descendante de Marie-Madeleine, par ce geste, elle voulait faire table ras de son passé.
La rue et les arrestations arbitraires, avant qu’Internet nous permette de regagner un certain anonymat.
À notre époque, les putes ont été rebaptisées « escortes girls » et ont leurs photos avec un numéro de téléphone ou les appeler.
• Tu es inscrite sur ce genre de site avec ta photo !
• Non, la liste de mes clients est si longue qui se trouve sur ce carnet, que cela me suffit et te suffira pour savoir quel genre de client tu as affaire
Voilà comment maman m’a mis le pied à l’étrier et que je suis devenue pute descendante de Marie-Madeleine.
Après les enchères ayant très bien marché, ma carrière et mes clients remplissent toujours mon compte en banque et cela depuis environ vingt-cinq ans.
Il y a dix-huit ans, j’ai eu une fille née de père inconnu.
J’étais à deux doigts de la faire venir à Paris pour que je la forme à la succession de notre ancêtre.
Mais c’est moi qui ai été convoqué par le directeur de l’institut où j’avais placé Gabie.
• Madame, il s’est produit quelque chose entre votre fille et moi et je m’en excuse.
Nous avons eu un coup de foudre réciproque malgré notre différence d’âge.
Pour une différence d’âge, elle est grande, ce saligaud pourrait être mon père ou au moins l’âge d’un grand nombre de mes clients.
L’affaire aurait pu en rester là et ayant récupéré ma fille après son accouchement j’aurais pu la mettre au turbin !
Mais ce con a souhaité l’épouser, ce qui cassait la ligne directe entre Marie-Madeleine et notre époque.
Gabie a tout de même conservé une partie de cette lignée, Ludivine une fille.
Ludivine a grandi et est même devenue une magnifique jeune fille qui aurait fait une formidable pute en étant bien encadrée.
Il faut que je me contente de la voir de temps en temps lorsqu’elle a du temps à consacrer à sa grand-mère.
M’étant servi d’Internet, première génération à nous servir de ces services pour tapiner, même si grâce au carnet j’en suis restée aux bonnes vieilles méthodes, j’aime aller voir le profil des nouvelles escortes.
Aujourd’hui, une nouvelle fait son apparition, Lucrecia, rien à voir avec ma petite Ludivine la tête étant flouté.
06, son numéro, je mets du temps à oser appeler.
Je finis par craquer.
• Allo, oui madame, je fais les femmes, on me dit très doué, vous serez satisfaite de mes services.
Ou voulez-vous que l’on se rencontre.
• Au café de Paris près de chez moi !
Un café où je vais pouvoir comprendre comment ma petite fille a renoué avec la lignée de Marie-Madeleine en passant par Marthe Richard de putes au service de nos clients.
J’ai bien des choses à lui apprendre, tout en restant sa grand-mère il va de soi.
Ainsi, lorsqu’elle aura sa fille, elle pourra l’éduquer pour savoir du mieux possible satisfaire un client ou une cliente avec sa bouche, sa chatte ou son cul.
Elle lui racontera d’où nous venons et pourquoi chacune de nous est venue au monde.
Je suis très fière de ma petite Ludivine d’avoir su trouver son chemin seule, malgré la désaffection de sa mère qui étant veuve vient de se remarier sans connaître ses origines.
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ok on ne peut pas tout réussir
Mal écrit, incompréhensible par moment