COLLECTION PUTE. Double vie (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-08-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION PUTE. Double vie (1/1)
Vingt-deux ans et une double vie, comment est-ce possible si jeune ?
Une officielle, l’autre secrète, la deuxième me faisant plus que vivre.
• Maman, je pars au travail, tu sais que j’ai horreur d’être en retard !
Ça, c’est l’officielle pour maman, pour elle, je suis très exactement infirmière de nuit dans la ville voisine à trente kilomètres de chez nous.
• Bonjours monsieur Georges, je suis heureuse que vous avez fait appel à mes services, c’est toujours un plaisir de venir passer un petit moment avec vous !
• Au tarif habituel ?
• Il va de soi, 500 € pour passer la soirée avec vous et vous soulager de vos tracas causés par votre femme !
• Heureusement que nous avons à notre disposition des jeunes filles comme vous pour nous faire connaitre les plaisirs que celle avec qui nous nous sommes mariés et qui sont incapables de nous satisfaire.
Ça, c’est ma deuxième vie, la vraie lorsque je rejoins mon appartement acheté avec mon cul lorsque j’ai commencé à me prostituer.
Ça fait quatre ans, dès ma majorité, que j’ai créé mon profil sur « escorte de nuit » réservée aux filles qui travaillent de 20 heures à 4 heures du matin à satisfaire leurs clients.
Ça fait quatre ans que je me vends pour améliorer mon ordinaire, maman sa bonne volonté devant faire face à de graves problèmes depuis qu’elle s’occupe de mamy gâteau.
Mamy gâteau, c’est sa maman à elle, que j’ai connue bien plus halante que maintenant où elle vit sous notre toi dans sa maison et qui après un passage dans mon hôpital vit dans un caisson qui lui évite de mourir.
Par chance, elle était en vacances lorsque cet accident la mise dans ce caisson dans un autre hôpital de la Côte d’azur d’où elle a été rapatrier directement chez elle.
Je vois bien que maman se débat avec un max de soucis et au fil du temps, ayant réussi ma vie de pute, ma clientèle est fidèle, je la soulage en évitant de lui faire payer ma garde robe et surtout assouvir ma passion pour les chaussures.
Chez moi dans une pièce, j’ai un dressing ou je range la centaine de paires déjà à ma disposition.
C’est mon endroit secret ou grâce à une psyché je peux m’admirer en pied allant et venant et choisir la paire que je vais mettre pour faire bander mes clients.
• Bonjour madame Armande est-elle là ?
• Que lui voulez-vous ?
J’ai été tiré de mon sommeil, la nuit dernière, j’ai reçu dix-huit clients, certes, j’ai fait un max de fric qui va me permettre de me payer cette jolie paire avec des talons de plus de 12 centimètres qui vont accentuer ma chute de rein et faire immédiatement bander mes clients lorsque je les aurais aux pieds.
Je sais à y bien regarder, j’en ai déjà une paire identique de couleur noire, mais celle-là est dorée et va faire monter mon standing.
• Monsieur Robert, huissier de justice, je viens faire un inventaire des meubles et autres objets de valeur avant saisi suite au non-paiement du crédit souscrit auprès d’un organisme.
Je tombe de haut, maman a des dettes, alors que je commence à avoir les moyens de l’aider, tant pi pour la paire de chaussures ou tous autres babioles, certaines fort futile.
C’est en entrant dans la chambre de mamy que je vois qu’elle est partie, son caisson étant parti avec elle.
Je suis rentrée comme d’habitude, sans savoir ce que je vais découvrir quelques minutes après.
Mamy a eu une attaque dans la nuit et les pompiers l’ont emmenée à l’hôpital accélérant la catastrophe.
• Susy, ta grand-mère est morte, son cœur a lâché, c’est bien triste, mais peux-tu me dire ou tu vas toutes les nuits soi-disant de travail à cet hôpital d’où j’arrive et ou Susy une infirmière de nuit est inexistante.
Comment peux-tu m’avoir caché cette vie que tu sembles assumer ?
• Et toi, comment peux-tu m’avoir caché que tu avais fait un emprunt après une dette que tu aurais contracté ?
Je vais être cynique, si mamy gâteau est morte, tu vas pouvoir vendre son pavillon qui te revient et rembourser cet emprunt ?
• Qu’est-ce que tu crois, lui aussi j’ai dû l’hypothéquer après qu’elle m’est donnée sa signature, elle m’avait caché un fait s’étant retournée contre nous !
• Lequel ?
• Je croyais qu’elle payait sa mutuelle, mais c’était faux, j’ai reçu les factures des différentes interventions qu’elle avait dû subir avec en points d’orgue la note d’électricité de 6 200 € pour faire fonctionner son poumon.
J’ai fait appel à la solidarité, ils m’ont octroyé dix pourcents de cette somme soit une remise de 620 €.
L’hypothèque arrive à échéance en fin d’année et ce jour-là nous allons tout perdre et nous retrouver à la rue, ils vont vendre sa maison.
Mais dit moi, que fais-tu lorsque tu vas soi-disant faire l’infirmière de nuit.
Lorsque l’on est dans le mensonge, on s’enfonce un peu plus.
• Je suis barmaid dans une boîte de nuit, j’avais peur que tu ne trouves ce travail dégradant, c’est pour cela que je me suis tu sur ce que je vais faire.
• Du moment que tu te respect, pourquoi voudrais-tu que je trouve le métier de barmaid dégradant.
• Maman, je vais voir ce que je peux faire pour t’aider et que nous gardions ce lieu même sans mamy gâteau ou toi comme moi avons passé notre vie.
Je comprends les réticences de maman sur le respect que j’ai de moi, mais il faut bien vivre.
Écarter mes cuisses pour me servir de mon sexe pour assouvir la plupart de mes désirs me paraît aussi honorable que la femme qu’elle est abandonnée par un homme qui l’a engrossée en la baisant sans mettre une capote ou s’acquérir si elle est protégée contre les grossesses.
Ce fut son cas, c’est pourquoi nous vivions chez mamy.
• Maman, voilà 5 000 €, je te les donne, ça va t’aider à rembourser le début de notre dette !
• Merci, mais tu rigoles, avec les arriérés, c’est 57 000 € que nous devons, ils nous restent à chercher un autre lieu de vie, ils vont nous expulser.
Mais dit-moi ou as-tu pu trouver 5 000 € en si peu de temps, j’ignore ce que tu gagnes dans ce bar, mais si tu as demandé une avance à ton patron, même si ça va nous aider, ce sera loin de nous sortir de la merde.
Depuis que j’ai enterré maman et que j’ai fini de m’occuper d’elle à plein temps, j’ai commencé à chercher du travail et à 3a ans, sans diplôme, à part femme de ménage ou aide à une personne âgée, il n’y a rien.
Le ménage, aux prix où ils payent, il faut oublier et les vieux il faut reconnaître que j’ai donné et question fric, c’est aussi mal payé que les ménages.
C’est à ce moment que je me dévoile sur la réalité de mon travail avec mes clients.
• Maman, tu es encore jeune et très bien foutue à ton âge, nous avons la possibilité de nous en sortir si tu suis la voie que j’ai empruntée à ma majorité en te faisant croire que j’étais infirmière et maintenant barmaid.
• Tu me fais peur, qu’est-ce qu’est encore que cette cachoterie ?
• Six soirs par semaine, je vais à la ville voisine ou je me suis acheté un logement ou je reçois mes clients et ou je gagne de quoi vivre.
Il en serait de même pour toi, je fais les nuits, l’appartement est libre le jour, je connais bien des hommes qui payeraient très cher pour passer un moment avec toi.
• Incroyable, ma fille voudrait faire de moi sa prostituer et devenir mon mac !
• Comme tu y vas !
Ma proposition a simplement pour but que nous réussissions à nous sortir du marasme que je découvre avec les obligations de dépenses que tu as eues à cause de mamy gâteau.
Dis-moi, certains soirs où tu sors, que tu rentres avec un homme et je te comprends, lorsque tu couches avec eux, y a-t-il toujours de l’amour.
• Tu m’as déjà entendue, pourtant nous faisons toujours attention surtout lorsque je te savais rentrer de ce que je pensais être ton travail à l’hôpital !
• Certes, c’est peu souvent, mais ça existe en moyenne une fois par mois, je te repose la question, chaque fois espères-tu le grand amour !
• Depuis que celui qui m’a séduite ce qui a entrainé ta naissance, l’amour avec un grand « A », je laisse cela à d’autres !
Mais je te l’ai toujours dit, le jour de ta naissance a été le plus beau de ma vie, surtout lorsque j’ai su que j’avais une fille.
J’ai bien des réserves sur ce que tu nous proposes pour nous faire sortir la tête de l’eau, mais j’ai toujours espéré avoir une vraie connivence avec ma petite fille.
• Alors, suis mon idée et rentabilisons notre appartement toi le jour moi la nuit.
Dis-moi que tu vas le faire, je te créerais ton profil sur Internet qui te permettra de te faire connaître.
Regarde mon profil, mon visage est flouté, seul mon corps est visible par nos futurs clients.
Trois jours, trois jours de réflexion avant que je prenne mon portable pour faire des photos de maman très dénudées, j’espère qu’à son âge, j’aurais la même chute de reins qu’elle.
J’ai fait visiter mon lieu de travail à maman, j’ai bien vu les doutes qui l’assaillaient, j’ai eu les mêmes à mes débuts.
À un détail près, le jour de mes dix-huit ans où j’ai reçu mon premier client, je venais de vendre aux enchères ma virginité.
Carlos, un travailleur dont la femme restait dans son pays a payé 25 000 € pour être le premier.
• Dis-moi chérie, je serais seule avec ces hommes puisque tu rentreras chez nous comme je le ferais avant que tu viennes pour les nuits.
Tes clients doivent te payer en liquide, si j’ai bien travaillé, j’aurais de l’argent je risque d’être attaqué.
• Maman, regarde, la caméra sur le Digicode, elle te permettra de voir qui est là.
Rapidement tu vas te faire une clientèle d’habituées dont tu connaitra leurs goûts, tu pourras laisser fermer si l’un d’eux te semble suspect.
Quant au liquide, regarde, il y a sur cette table un terminal carte bleu, que je paye, nos clients savent que nous refusons le liquide ou exceptionnellement.
Ça fait six mois que nous alternons maman et moi, nos dettes sont aux trois quarts remboursées et elle comme moi nous avons nos habitués.
J’ai même réussi à la mettre aux enchères lorsqu’elle m’a demandé si je me laissais sodomiser, ce qui est le cas.
L’anus pour nos clients ça les fait toujours bander surtout lorsque chez eux, ça leur est refusé.
C’est l’un de ses meilleurs clients qui a emporté le morceau, je devrais dire qui lui a mis son morceau bien profond.
10 000 €, ça nous a permis de payer une partie de l’hypothèque et de garder la maison de mamy gâteau.
J’ai une vie, maman aussi, terminée la double vie.
Une deuxième chose, maman a la même pointure de chaussures que moi et aime recevoir ses clients perchés sur ses talons.
Le jour de repos pour les deux, c’est ensemble que nous battons boutiques afin de compléter ma collection dans notre dressing devenu commun.
Une officielle, l’autre secrète, la deuxième me faisant plus que vivre.
• Maman, je pars au travail, tu sais que j’ai horreur d’être en retard !
Ça, c’est l’officielle pour maman, pour elle, je suis très exactement infirmière de nuit dans la ville voisine à trente kilomètres de chez nous.
• Bonjours monsieur Georges, je suis heureuse que vous avez fait appel à mes services, c’est toujours un plaisir de venir passer un petit moment avec vous !
• Au tarif habituel ?
• Il va de soi, 500 € pour passer la soirée avec vous et vous soulager de vos tracas causés par votre femme !
• Heureusement que nous avons à notre disposition des jeunes filles comme vous pour nous faire connaitre les plaisirs que celle avec qui nous nous sommes mariés et qui sont incapables de nous satisfaire.
Ça, c’est ma deuxième vie, la vraie lorsque je rejoins mon appartement acheté avec mon cul lorsque j’ai commencé à me prostituer.
Ça fait quatre ans, dès ma majorité, que j’ai créé mon profil sur « escorte de nuit » réservée aux filles qui travaillent de 20 heures à 4 heures du matin à satisfaire leurs clients.
Ça fait quatre ans que je me vends pour améliorer mon ordinaire, maman sa bonne volonté devant faire face à de graves problèmes depuis qu’elle s’occupe de mamy gâteau.
Mamy gâteau, c’est sa maman à elle, que j’ai connue bien plus halante que maintenant où elle vit sous notre toi dans sa maison et qui après un passage dans mon hôpital vit dans un caisson qui lui évite de mourir.
Par chance, elle était en vacances lorsque cet accident la mise dans ce caisson dans un autre hôpital de la Côte d’azur d’où elle a été rapatrier directement chez elle.
Je vois bien que maman se débat avec un max de soucis et au fil du temps, ayant réussi ma vie de pute, ma clientèle est fidèle, je la soulage en évitant de lui faire payer ma garde robe et surtout assouvir ma passion pour les chaussures.
Chez moi dans une pièce, j’ai un dressing ou je range la centaine de paires déjà à ma disposition.
C’est mon endroit secret ou grâce à une psyché je peux m’admirer en pied allant et venant et choisir la paire que je vais mettre pour faire bander mes clients.
• Bonjour madame Armande est-elle là ?
• Que lui voulez-vous ?
J’ai été tiré de mon sommeil, la nuit dernière, j’ai reçu dix-huit clients, certes, j’ai fait un max de fric qui va me permettre de me payer cette jolie paire avec des talons de plus de 12 centimètres qui vont accentuer ma chute de rein et faire immédiatement bander mes clients lorsque je les aurais aux pieds.
Je sais à y bien regarder, j’en ai déjà une paire identique de couleur noire, mais celle-là est dorée et va faire monter mon standing.
• Monsieur Robert, huissier de justice, je viens faire un inventaire des meubles et autres objets de valeur avant saisi suite au non-paiement du crédit souscrit auprès d’un organisme.
Je tombe de haut, maman a des dettes, alors que je commence à avoir les moyens de l’aider, tant pi pour la paire de chaussures ou tous autres babioles, certaines fort futile.
C’est en entrant dans la chambre de mamy que je vois qu’elle est partie, son caisson étant parti avec elle.
Je suis rentrée comme d’habitude, sans savoir ce que je vais découvrir quelques minutes après.
Mamy a eu une attaque dans la nuit et les pompiers l’ont emmenée à l’hôpital accélérant la catastrophe.
• Susy, ta grand-mère est morte, son cœur a lâché, c’est bien triste, mais peux-tu me dire ou tu vas toutes les nuits soi-disant de travail à cet hôpital d’où j’arrive et ou Susy une infirmière de nuit est inexistante.
Comment peux-tu m’avoir caché cette vie que tu sembles assumer ?
• Et toi, comment peux-tu m’avoir caché que tu avais fait un emprunt après une dette que tu aurais contracté ?
Je vais être cynique, si mamy gâteau est morte, tu vas pouvoir vendre son pavillon qui te revient et rembourser cet emprunt ?
• Qu’est-ce que tu crois, lui aussi j’ai dû l’hypothéquer après qu’elle m’est donnée sa signature, elle m’avait caché un fait s’étant retournée contre nous !
• Lequel ?
• Je croyais qu’elle payait sa mutuelle, mais c’était faux, j’ai reçu les factures des différentes interventions qu’elle avait dû subir avec en points d’orgue la note d’électricité de 6 200 € pour faire fonctionner son poumon.
J’ai fait appel à la solidarité, ils m’ont octroyé dix pourcents de cette somme soit une remise de 620 €.
L’hypothèque arrive à échéance en fin d’année et ce jour-là nous allons tout perdre et nous retrouver à la rue, ils vont vendre sa maison.
Mais dit moi, que fais-tu lorsque tu vas soi-disant faire l’infirmière de nuit.
Lorsque l’on est dans le mensonge, on s’enfonce un peu plus.
• Je suis barmaid dans une boîte de nuit, j’avais peur que tu ne trouves ce travail dégradant, c’est pour cela que je me suis tu sur ce que je vais faire.
• Du moment que tu te respect, pourquoi voudrais-tu que je trouve le métier de barmaid dégradant.
• Maman, je vais voir ce que je peux faire pour t’aider et que nous gardions ce lieu même sans mamy gâteau ou toi comme moi avons passé notre vie.
Je comprends les réticences de maman sur le respect que j’ai de moi, mais il faut bien vivre.
Écarter mes cuisses pour me servir de mon sexe pour assouvir la plupart de mes désirs me paraît aussi honorable que la femme qu’elle est abandonnée par un homme qui l’a engrossée en la baisant sans mettre une capote ou s’acquérir si elle est protégée contre les grossesses.
Ce fut son cas, c’est pourquoi nous vivions chez mamy.
• Maman, voilà 5 000 €, je te les donne, ça va t’aider à rembourser le début de notre dette !
• Merci, mais tu rigoles, avec les arriérés, c’est 57 000 € que nous devons, ils nous restent à chercher un autre lieu de vie, ils vont nous expulser.
Mais dit-moi ou as-tu pu trouver 5 000 € en si peu de temps, j’ignore ce que tu gagnes dans ce bar, mais si tu as demandé une avance à ton patron, même si ça va nous aider, ce sera loin de nous sortir de la merde.
Depuis que j’ai enterré maman et que j’ai fini de m’occuper d’elle à plein temps, j’ai commencé à chercher du travail et à 3a ans, sans diplôme, à part femme de ménage ou aide à une personne âgée, il n’y a rien.
Le ménage, aux prix où ils payent, il faut oublier et les vieux il faut reconnaître que j’ai donné et question fric, c’est aussi mal payé que les ménages.
C’est à ce moment que je me dévoile sur la réalité de mon travail avec mes clients.
• Maman, tu es encore jeune et très bien foutue à ton âge, nous avons la possibilité de nous en sortir si tu suis la voie que j’ai empruntée à ma majorité en te faisant croire que j’étais infirmière et maintenant barmaid.
• Tu me fais peur, qu’est-ce qu’est encore que cette cachoterie ?
• Six soirs par semaine, je vais à la ville voisine ou je me suis acheté un logement ou je reçois mes clients et ou je gagne de quoi vivre.
Il en serait de même pour toi, je fais les nuits, l’appartement est libre le jour, je connais bien des hommes qui payeraient très cher pour passer un moment avec toi.
• Incroyable, ma fille voudrait faire de moi sa prostituer et devenir mon mac !
• Comme tu y vas !
Ma proposition a simplement pour but que nous réussissions à nous sortir du marasme que je découvre avec les obligations de dépenses que tu as eues à cause de mamy gâteau.
Dis-moi, certains soirs où tu sors, que tu rentres avec un homme et je te comprends, lorsque tu couches avec eux, y a-t-il toujours de l’amour.
• Tu m’as déjà entendue, pourtant nous faisons toujours attention surtout lorsque je te savais rentrer de ce que je pensais être ton travail à l’hôpital !
• Certes, c’est peu souvent, mais ça existe en moyenne une fois par mois, je te repose la question, chaque fois espères-tu le grand amour !
• Depuis que celui qui m’a séduite ce qui a entrainé ta naissance, l’amour avec un grand « A », je laisse cela à d’autres !
Mais je te l’ai toujours dit, le jour de ta naissance a été le plus beau de ma vie, surtout lorsque j’ai su que j’avais une fille.
J’ai bien des réserves sur ce que tu nous proposes pour nous faire sortir la tête de l’eau, mais j’ai toujours espéré avoir une vraie connivence avec ma petite fille.
• Alors, suis mon idée et rentabilisons notre appartement toi le jour moi la nuit.
Dis-moi que tu vas le faire, je te créerais ton profil sur Internet qui te permettra de te faire connaître.
Regarde mon profil, mon visage est flouté, seul mon corps est visible par nos futurs clients.
Trois jours, trois jours de réflexion avant que je prenne mon portable pour faire des photos de maman très dénudées, j’espère qu’à son âge, j’aurais la même chute de reins qu’elle.
J’ai fait visiter mon lieu de travail à maman, j’ai bien vu les doutes qui l’assaillaient, j’ai eu les mêmes à mes débuts.
À un détail près, le jour de mes dix-huit ans où j’ai reçu mon premier client, je venais de vendre aux enchères ma virginité.
Carlos, un travailleur dont la femme restait dans son pays a payé 25 000 € pour être le premier.
• Dis-moi chérie, je serais seule avec ces hommes puisque tu rentreras chez nous comme je le ferais avant que tu viennes pour les nuits.
Tes clients doivent te payer en liquide, si j’ai bien travaillé, j’aurais de l’argent je risque d’être attaqué.
• Maman, regarde, la caméra sur le Digicode, elle te permettra de voir qui est là.
Rapidement tu vas te faire une clientèle d’habituées dont tu connaitra leurs goûts, tu pourras laisser fermer si l’un d’eux te semble suspect.
Quant au liquide, regarde, il y a sur cette table un terminal carte bleu, que je paye, nos clients savent que nous refusons le liquide ou exceptionnellement.
Ça fait six mois que nous alternons maman et moi, nos dettes sont aux trois quarts remboursées et elle comme moi nous avons nos habitués.
J’ai même réussi à la mettre aux enchères lorsqu’elle m’a demandé si je me laissais sodomiser, ce qui est le cas.
L’anus pour nos clients ça les fait toujours bander surtout lorsque chez eux, ça leur est refusé.
C’est l’un de ses meilleurs clients qui a emporté le morceau, je devrais dire qui lui a mis son morceau bien profond.
10 000 €, ça nous a permis de payer une partie de l’hypothèque et de garder la maison de mamy gâteau.
J’ai une vie, maman aussi, terminée la double vie.
Une deuxième chose, maman a la même pointure de chaussures que moi et aime recevoir ses clients perchés sur ses talons.
Le jour de repos pour les deux, c’est ensemble que nous battons boutiques afin de compléter ma collection dans notre dressing devenu commun.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Charlotte, dans mon histoire, le tarif que prennent les putes ne sont pas mon but pzut m'importe les tarifs pour cela je devrais aller aux putes moi même
Coucou, pour ta collection "Pute" tu ferais mieux de te tenir au courant des tarifs pratiqués