COLLECTION PUTE. Grand-mère Odette. Début de la saison V (13/15)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUTE. Grand-mère Odette. Début de la saison V (13/15)
• As-tu couché avec lui ?
C’est par cette interrogation, que j’ai terminée la saison IV de mes aventures racontées à Chris71.
C’est à Jeanne la femme d’un gendarme et institutrice retraité à qui je pose la question.
Tient, c’est vrai, Sacha et Jeanne m’ont toujours parlé du gendarme.
Cocu, semblent-ils, aux derrières informations, que Jeanne nous donne, mais sans identité réelle pour moi.
• Avant de me dire si vous avez couché avec mon grand-père, je peux savoir comment votre gendarme s’appelait.
• Tu sais Gladys, cet homme a été si insignifiant dans ma vie que son nom était sans importance, mais si tu veux le savoir, il s’appelait Anatole.
Je manque de pouffer de rire.
• Dans notre jeunesse, Anatole, Jacques, Jeanne étaient des noms communs.
Nos parents étaient loin d’avoir l’imagination des jeunes parents d’aujourd’hui.
Gladys, Sacha, même des noms de voitures, Mégane, Mercédès.
Mais tu m’as posé une question, j’en ai dit déjà beaucoup, cette période étant loin pour moi.
Oui, mais non.
• Je voudrais bien comprendre !
• Nous voudrions bien comprendre.
• Je vous ai dit que Jacques connaissait Arturo ton grand-père et qu’ils jouaient au poker.
Ils étaient cinq et nous étions cinq femmes.
Quand l’un d’eux perdait leur cave, c’était les jetons qu’ils avaient au départ, celui qui était le plus riche de la partie lui vendait la moitié de la sienne.
Ils en profitaient pour boire et se restaurer pendant que la femme du perdant se faisait sauter devant eux sur le canapé où nous attendions par celui qui avait renfloué son partenaire.
• Incroyable Jeanne, tu partouzais quand tu étais jeune et bien sûr Odette aussi, tu as baisé avec le grand-père de Gladys.
C’était le meilleur joueur de la table, un soir, il m’avait déjà baisé deux fois, il s’est senti fatigué et c’est le premier soir où il a demandé à Odette de le remplacer.
Ça a été la première fois ou avec Odette on s’est sucé en 69 et jusqu’à il y a peu, nous nous servions de ce gode avec sa ceinture chaque fois que je la rejoignais en passant par-derrière pour monter chez elle.
Je l’ai fait jouir si souvent que ce gode, je le reconnaitrais entre mille.
Sacha, tu vas me mettre dehors, tu vas trouver ignoble ce que j’ai fait.
Tu vas me séparer de tes enfants, je les aime comme tous ceux qui sont passés dans mes classes alors que la nature a fait que mon ventre est toujours resté vide.
À croire que là-haut, mes turpitudes et mes débordements de jeunesse, il me les a fait payer• Même si tu as tué des gens ennemis à nos pays, même si c’était pour des lingots d’or, ils étaient allemands, ennemis à nos pays.
Ces lingots auraient aidé à poursuivre la guerre, sans le savoir vous avez fait œuvre de résistance.
Comment pourrais-je te juger et t’enlever mes enfants alors que pour pouvoir les élever, je me prostitue dans le bar de ton amie ?
Surtout au moment où Gladys a besoin de nous et indirectement dans son état Odette.
Comment avez-vous su pour les lingots.
En disant ses mots, me regardant, je vois qu’elle essaye de m’aider pour les lingots.
Elle me prend la main me montrant toute son affection.
• J’étais femme de gendarme.
Pardon, j’étais la femme d’Anatole.
Il nous arrivait de faire l’amour.
Je dois plutôt dire que j’acceptais de faire l’amour pour gagner ma liberté, j’acceptais de faire mon devoir conjugal.
Il aimait fumer sa clope quand il avait terminé de se secouer dans mon vagin et chaque fois, il me racontait des choses pensant qu’elles étaient importantes.
Souvent il s’agissait d’histoires d’ivrogne sans importance.
Ce soir-là, il m’a parlé d’une intervention qu’il avait faite à l’hôpital auprès d’une femme médecin qui avait recueilli les derniers mots d’un haut gradé allemand ayant reçu des balles de résistant.
Il l’avait déjà rencontré et elle croyait qu’il était, lui aussi résistant et voulait rencontrer un de ses chefs de réseau, car elle voulait monnayer ses renseignements contre une part du butin.
Il en a rigolé, lui un résistant.
C’est là qu’il m’a parlé des lingots.
J’ai fait celle qui dans son sommeil lui posait une question sans importance.
Je lui ai caressé la bite, ça l’a troublé, il a lâché un nom, Jennifer.
J’ai prévenu Jacques qui en a parlé à Arturo.
Nous nous sommes réunis tous les quatre avec Odette.
Il lui était dans l’impossibilité de participer à l’attaque, alors c’est moi qui ai joué l’appât.
Nous sommes suspendus aux lèvres de Jeanne.
• C’est Arturo meneur de notre groupe qui s’y ait collé.
En souteneur, c’était le roi du bagout, il a été rencontrer la médecin Jennifer.
Elle a négocié ses renseignements contre une part des lingots.
L’arme que j’avais été l’arme de service d’Anatole.
Les deux mitraillets aussi, c’est moi qui les ai prises dans le râtelier du commissariat la veille de notre coup, car nous étions logés dans le commissariat.
En rentrant de l’attaque, nous avons jeté ces armes, depuis un pont dans la Meuse.
C’est la nuit précédente que j’ai enivré Anatole, ce qui était facile, il est mort d’une cirrhose.
Par chance, c’était notre anniversaire de mariage.
Je l’ai étonné en le recevant en petite culotte et soutien-gorge seules affaires sexy que je possédais dans ces années de guerre.
J’avais trouvé des bougies chez Jacques et surtout Arturo qui avait trouvé des bouteilles de bons vins au marché noir en France.
J’étais prête à baiser avant de nous coucher, mais c’est dans son fauteuil où il avait pu se traîner qu’il s’est endormi.
J’ai pris les clefs du râtelier d’armes et je suis descendu dans le commissariat.
Arturo et Jacques ont forcé la porte pour faire croire à un cambriolage et nous avons été jusqu’aux armes.
J’ignorais que les révolvers avaient été envoyés à Bruxelles pour entretien.
Il restait seulement les deux mitraillettes.
C’est moi qui avais le rôle primordial, il fallait que les soldats soient stupéfaits de voir l’un d’entre eux à terre.
Encore mieux car ce fut leur commandant, ça a donné le temps à mes partenaires de sortir des fourrés et de tous les tuer.
Pour le chauffeur, vous me l’apprenez, il est vrai que j’ai achevé l’officier et les hommes que mes partenaires avaient descendus.
Les armes jetées, Anatole s’est démerdé avec son administration pour la disparition de ces dernières.
Vous avez raison, il a été mis ces voles et ces attaques sur le compte d’un réseau de résistant inconnu et qui l’est resté.
Pour l’arme d’Anatole, il s’est bien gardé de dire que c’était la sienne, j’ignore, comment il s’en est sorti.
• Comment avez-vous réparti l’or ?
• Deux couples même illégitimes, une commanditaire Jennifer à l’hôpital.
• Je voulais que nous partagions les lingots en cinq parts égale, mais il était impossible de faire des morceaux de lingots.
La doctoresse imposait un tiers du magot sinon elle refusait de nous donner l’itinéraire et le nombre de soldats qui le transportait.
C’est ta grand-mère qui a fait le partage en trois groupes, six chacun la mienne avec Jacques, car nous étions amant.
• On va vous avouer quelque chose Jeanne, Serge, avec Lala, trahissait grand-mère.
Je suis allée chez lui hier pour chercher sa comptabilité, pendant que j’étais auprès de ma grand-mère, ça a déclenché une panique chez eux.
Ils sont venus pour fouiller les appartements d’Odette, je pense qu’ils savaient trouver et emporter de l’argent.
• Er aussi les quatre lingots qu’Odette gardait avec beaucoup d’argent dans son coffre.
Inutile de dire à cette vieille femme, que les lingots et l’argent sont au-dessus de sa tête.
Jusqu’à ou est-elle sincère dans son repenti ?
Je regarde Sacha, son mouvement de tête me montre notre parfaite complicité.
• Nous avons appelé la police en donnant la piste des feuillards.
Ils ont été arrêtés à la frontière avec seulement six lingots et une grosse sommes d’argent détourné par Lala depuis qu’elle travaillait avec Odette.
• J’avais bien entendu des sirènes de police, mais dans nos villes, c’est tellement fréquent.
Si Serge avait ces lingots, c’est qu’il savait ou son père les avait cachés.
Il a refusé de me donner mes trois lingots en me disant que j’avais qu’à aller à la police portée pleine.
Ton grand-père a essayé de lui faire entendre raison, mais comme il persistait, chercher sur Internet.
« Tournai, Jacques le propriétaire du bureau comptable s’électrocute dans sa baignoire. »
Je comprends et Sacha aussi que la si gentille grand-mère eût énormément de sang sur ses mains ou est-ce grand-père était aussi un homme qui savait ce qu’il voulait.
Un peu comme moi.
• Tes lingots, je crois que tu peux faire une croix dessus comme moi sur l’argent qu’ils ont détourné.
• Et ceux de ta grand-mère ?
Arturo a eu les moyens d’en revendre deux et c’est grâce à eux qu’il a acheté le bar pour mettre Odette dans ses meubles et la retirer du trottoir.
• La doctoresse et ses six lingots, qu’est-elle devenue ?...
• À la fin de la guerre, nous avons su qu’elle avait embarqué à Anvers pour une croisière vers les Amérique.
Elle avait 29 ans, mais après plus de nouvelle, elle s’est envolée avec sa fortune surtout à cette époque.
Hier, Gladys, j’ai rencontré le docteur Sala qui s’occupe de ta grand-mère, il semblait bien t’apprécier.
Il m’a parlé de placer mon amie dans une maison spécialisée ou chez elle avec une infirmière.
Pour me rattraper de ma mauvaise jeunesse, si Sacha tu l’acceptes, je vais la prendre chez moi dans la chambre inutilisée.
Sacha me regarde, on se comprend, Jeanne à notre accord.
Tiens, le docteur Sala semble m’apprécier.
Il faut dire qu’il est beau gosse.
Jeanne qui semble se désintéresser de mes lingots, même si elle a irrémédiablement perdu les siens.
À l’heure des visites, je suis près de mamy.
Pour la première fois, Sacha va gérer le bar après que j’ai reçu les filles.
Demain matin, je vais appeler des filles de la chemise rose si elles sont toujours disponibles...
C’est par cette interrogation, que j’ai terminée la saison IV de mes aventures racontées à Chris71.
C’est à Jeanne la femme d’un gendarme et institutrice retraité à qui je pose la question.
Tient, c’est vrai, Sacha et Jeanne m’ont toujours parlé du gendarme.
Cocu, semblent-ils, aux derrières informations, que Jeanne nous donne, mais sans identité réelle pour moi.
• Avant de me dire si vous avez couché avec mon grand-père, je peux savoir comment votre gendarme s’appelait.
• Tu sais Gladys, cet homme a été si insignifiant dans ma vie que son nom était sans importance, mais si tu veux le savoir, il s’appelait Anatole.
Je manque de pouffer de rire.
• Dans notre jeunesse, Anatole, Jacques, Jeanne étaient des noms communs.
Nos parents étaient loin d’avoir l’imagination des jeunes parents d’aujourd’hui.
Gladys, Sacha, même des noms de voitures, Mégane, Mercédès.
Mais tu m’as posé une question, j’en ai dit déjà beaucoup, cette période étant loin pour moi.
Oui, mais non.
• Je voudrais bien comprendre !
• Nous voudrions bien comprendre.
• Je vous ai dit que Jacques connaissait Arturo ton grand-père et qu’ils jouaient au poker.
Ils étaient cinq et nous étions cinq femmes.
Quand l’un d’eux perdait leur cave, c’était les jetons qu’ils avaient au départ, celui qui était le plus riche de la partie lui vendait la moitié de la sienne.
Ils en profitaient pour boire et se restaurer pendant que la femme du perdant se faisait sauter devant eux sur le canapé où nous attendions par celui qui avait renfloué son partenaire.
• Incroyable Jeanne, tu partouzais quand tu étais jeune et bien sûr Odette aussi, tu as baisé avec le grand-père de Gladys.
C’était le meilleur joueur de la table, un soir, il m’avait déjà baisé deux fois, il s’est senti fatigué et c’est le premier soir où il a demandé à Odette de le remplacer.
Ça a été la première fois ou avec Odette on s’est sucé en 69 et jusqu’à il y a peu, nous nous servions de ce gode avec sa ceinture chaque fois que je la rejoignais en passant par-derrière pour monter chez elle.
Je l’ai fait jouir si souvent que ce gode, je le reconnaitrais entre mille.
Sacha, tu vas me mettre dehors, tu vas trouver ignoble ce que j’ai fait.
Tu vas me séparer de tes enfants, je les aime comme tous ceux qui sont passés dans mes classes alors que la nature a fait que mon ventre est toujours resté vide.
À croire que là-haut, mes turpitudes et mes débordements de jeunesse, il me les a fait payer• Même si tu as tué des gens ennemis à nos pays, même si c’était pour des lingots d’or, ils étaient allemands, ennemis à nos pays.
Ces lingots auraient aidé à poursuivre la guerre, sans le savoir vous avez fait œuvre de résistance.
Comment pourrais-je te juger et t’enlever mes enfants alors que pour pouvoir les élever, je me prostitue dans le bar de ton amie ?
Surtout au moment où Gladys a besoin de nous et indirectement dans son état Odette.
Comment avez-vous su pour les lingots.
En disant ses mots, me regardant, je vois qu’elle essaye de m’aider pour les lingots.
Elle me prend la main me montrant toute son affection.
• J’étais femme de gendarme.
Pardon, j’étais la femme d’Anatole.
Il nous arrivait de faire l’amour.
Je dois plutôt dire que j’acceptais de faire l’amour pour gagner ma liberté, j’acceptais de faire mon devoir conjugal.
Il aimait fumer sa clope quand il avait terminé de se secouer dans mon vagin et chaque fois, il me racontait des choses pensant qu’elles étaient importantes.
Souvent il s’agissait d’histoires d’ivrogne sans importance.
Ce soir-là, il m’a parlé d’une intervention qu’il avait faite à l’hôpital auprès d’une femme médecin qui avait recueilli les derniers mots d’un haut gradé allemand ayant reçu des balles de résistant.
Il l’avait déjà rencontré et elle croyait qu’il était, lui aussi résistant et voulait rencontrer un de ses chefs de réseau, car elle voulait monnayer ses renseignements contre une part du butin.
Il en a rigolé, lui un résistant.
C’est là qu’il m’a parlé des lingots.
J’ai fait celle qui dans son sommeil lui posait une question sans importance.
Je lui ai caressé la bite, ça l’a troublé, il a lâché un nom, Jennifer.
J’ai prévenu Jacques qui en a parlé à Arturo.
Nous nous sommes réunis tous les quatre avec Odette.
Il lui était dans l’impossibilité de participer à l’attaque, alors c’est moi qui ai joué l’appât.
Nous sommes suspendus aux lèvres de Jeanne.
• C’est Arturo meneur de notre groupe qui s’y ait collé.
En souteneur, c’était le roi du bagout, il a été rencontrer la médecin Jennifer.
Elle a négocié ses renseignements contre une part des lingots.
L’arme que j’avais été l’arme de service d’Anatole.
Les deux mitraillets aussi, c’est moi qui les ai prises dans le râtelier du commissariat la veille de notre coup, car nous étions logés dans le commissariat.
En rentrant de l’attaque, nous avons jeté ces armes, depuis un pont dans la Meuse.
C’est la nuit précédente que j’ai enivré Anatole, ce qui était facile, il est mort d’une cirrhose.
Par chance, c’était notre anniversaire de mariage.
Je l’ai étonné en le recevant en petite culotte et soutien-gorge seules affaires sexy que je possédais dans ces années de guerre.
J’avais trouvé des bougies chez Jacques et surtout Arturo qui avait trouvé des bouteilles de bons vins au marché noir en France.
J’étais prête à baiser avant de nous coucher, mais c’est dans son fauteuil où il avait pu se traîner qu’il s’est endormi.
J’ai pris les clefs du râtelier d’armes et je suis descendu dans le commissariat.
Arturo et Jacques ont forcé la porte pour faire croire à un cambriolage et nous avons été jusqu’aux armes.
J’ignorais que les révolvers avaient été envoyés à Bruxelles pour entretien.
Il restait seulement les deux mitraillettes.
C’est moi qui avais le rôle primordial, il fallait que les soldats soient stupéfaits de voir l’un d’entre eux à terre.
Encore mieux car ce fut leur commandant, ça a donné le temps à mes partenaires de sortir des fourrés et de tous les tuer.
Pour le chauffeur, vous me l’apprenez, il est vrai que j’ai achevé l’officier et les hommes que mes partenaires avaient descendus.
Les armes jetées, Anatole s’est démerdé avec son administration pour la disparition de ces dernières.
Vous avez raison, il a été mis ces voles et ces attaques sur le compte d’un réseau de résistant inconnu et qui l’est resté.
Pour l’arme d’Anatole, il s’est bien gardé de dire que c’était la sienne, j’ignore, comment il s’en est sorti.
• Comment avez-vous réparti l’or ?
• Deux couples même illégitimes, une commanditaire Jennifer à l’hôpital.
• Je voulais que nous partagions les lingots en cinq parts égale, mais il était impossible de faire des morceaux de lingots.
La doctoresse imposait un tiers du magot sinon elle refusait de nous donner l’itinéraire et le nombre de soldats qui le transportait.
C’est ta grand-mère qui a fait le partage en trois groupes, six chacun la mienne avec Jacques, car nous étions amant.
• On va vous avouer quelque chose Jeanne, Serge, avec Lala, trahissait grand-mère.
Je suis allée chez lui hier pour chercher sa comptabilité, pendant que j’étais auprès de ma grand-mère, ça a déclenché une panique chez eux.
Ils sont venus pour fouiller les appartements d’Odette, je pense qu’ils savaient trouver et emporter de l’argent.
• Er aussi les quatre lingots qu’Odette gardait avec beaucoup d’argent dans son coffre.
Inutile de dire à cette vieille femme, que les lingots et l’argent sont au-dessus de sa tête.
Jusqu’à ou est-elle sincère dans son repenti ?
Je regarde Sacha, son mouvement de tête me montre notre parfaite complicité.
• Nous avons appelé la police en donnant la piste des feuillards.
Ils ont été arrêtés à la frontière avec seulement six lingots et une grosse sommes d’argent détourné par Lala depuis qu’elle travaillait avec Odette.
• J’avais bien entendu des sirènes de police, mais dans nos villes, c’est tellement fréquent.
Si Serge avait ces lingots, c’est qu’il savait ou son père les avait cachés.
Il a refusé de me donner mes trois lingots en me disant que j’avais qu’à aller à la police portée pleine.
Ton grand-père a essayé de lui faire entendre raison, mais comme il persistait, chercher sur Internet.
« Tournai, Jacques le propriétaire du bureau comptable s’électrocute dans sa baignoire. »
Je comprends et Sacha aussi que la si gentille grand-mère eût énormément de sang sur ses mains ou est-ce grand-père était aussi un homme qui savait ce qu’il voulait.
Un peu comme moi.
• Tes lingots, je crois que tu peux faire une croix dessus comme moi sur l’argent qu’ils ont détourné.
• Et ceux de ta grand-mère ?
Arturo a eu les moyens d’en revendre deux et c’est grâce à eux qu’il a acheté le bar pour mettre Odette dans ses meubles et la retirer du trottoir.
• La doctoresse et ses six lingots, qu’est-elle devenue ?...
• À la fin de la guerre, nous avons su qu’elle avait embarqué à Anvers pour une croisière vers les Amérique.
Elle avait 29 ans, mais après plus de nouvelle, elle s’est envolée avec sa fortune surtout à cette époque.
Hier, Gladys, j’ai rencontré le docteur Sala qui s’occupe de ta grand-mère, il semblait bien t’apprécier.
Il m’a parlé de placer mon amie dans une maison spécialisée ou chez elle avec une infirmière.
Pour me rattraper de ma mauvaise jeunesse, si Sacha tu l’acceptes, je vais la prendre chez moi dans la chambre inutilisée.
Sacha me regarde, on se comprend, Jeanne à notre accord.
Tiens, le docteur Sala semble m’apprécier.
Il faut dire qu’il est beau gosse.
Jeanne qui semble se désintéresser de mes lingots, même si elle a irrémédiablement perdu les siens.
À l’heure des visites, je suis près de mamy.
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