COLLECTION PUTE. Grand-mère Odette. Fin de la saison I (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION PUTE. Grand-mère Odette. Fin de la saison I (3/3)
Un bar à pute avec une grand-mère, ancienne pute lilloise qui le tien à Tournai en Belgique.
Si j’avais rencontré grand-mère Odette dans la rue, j’aurais cru croiser Véronique, maman, tellement elles se ressemblent !
La différence entre les deux femmes, c’est que l’on voit que ma grand-mère assume sa vie de pute puis de teneuse de bordel alors que maman est ce que l’on peut dire, une coincée du calbute.
• Odette, quel est cette beauté que tu nous amènes !
• La nouvelle comme tu dis, on la regarde avec les yeux, mais pas touche.
C’est Gladys, ma petite fille.
• Merde, c’est la fille de...
• Celle dont le nom est interdit dans ma maison, tient te le pour dit, si tu veux continuer à travailler pour moi.
J’élucide un mystère pour en retrouver un nouveau, pourquoi le nom de maman est tabou ici.
Grand-mère semble connaitre bien des choses sur moi, mais semble faire un blocage sur ma génitrice.
Ça sonne, un homme genre représentant de commerce entre.
• Sabine, c’est pour toi, pas de bêtise, souviens-toi, il avait payé une demi-heure et t’a fait croire qu’il avait payé une heure la dernière fois.
• Oui, madame Odette, une demi-heure.
Un autre client arrive, beau gosse, c’est con, je l’aurais laissé me baiser pour pas un rond un peu comme Bob le chauffeur qui m’a évité des kilomètres sur ma Vespa.
• La nouvelle, elle peut me rejoindre !
Je regarde tout ça d’un œil étonné presque amusée assis derrière le bar sur un tabouret.
Quand je prends conscience de la méprise du client pensant que je suis une nouvelle tapineuse, la tenue assez osée que j’ai l’habite de porter, dois entretenir la confusion.
• Les filles, champagne, Léon a bien bandé et me paye une bouteille.
• Deux bouteilles, le mien aussi nous offre une bouteille.
La deuxième, ce doit être Sacha, la femme aux trois enfants.
Certainement la trentaine longiligne avec une poitrine mise en valeur dans une guêpière rouge.
Nous trinquons, je vois Sacha parlé avec Lala, grand-mère rangeant sa caisse.
Les hommes défilent, jusqu’à une accalmie pour Sacha qui de l’autre côté du bar s’adresse à moi.
• Lala me dit que tu es la petite fille d’Odette.
• Oui, je suis venue pour connaître mes origines, je suis étonnée et très impressionnée.
Peux-tu me dire comment une femme comme toi, avec trois enfants se retrouve dans un tel endroit.
• Les mots ont un sens, tu peux le dire, dans un bar où les filles montent les clients, un bar à pute.
C’est simple, une femme un enfant, une fille de 10 ans.
Mariée et heureuse, hélas, son homme refuse l’évidence quand je lui ai annoncé que je suis enceinte qui plus est de jumelles.
Il a pris ses affaires et a repris un ferry pour franchir le Channel, c’était un anglais londonien, loin d’être un gentleman.
Aucune formation même caissières, même pour quelques heures afin d’élever mes filles dans la dignité.
Au début, Odette m’a dépanné, le temps que je trouve, mais les besoins des enfants m’ont obligé à continuer de m’occuper des bites de ces messieurs depuis deux ans.
Charlotte, mon aînée à 12 ans et quand je travaille, c’est elle avec une voisine qui s’occupe de Lusia et Louise, les jumelles.
• Elles sont donc 2 ans.
• Je vois que tu sais très bien compter, tu réussiras dans la vie.
Ça fait trois jours que ma grand-mère m’a accueillis.
Trois jours que je passe une grande partie de mon temps dans le bar.
C’est le cas ce soir ou lorsque je descends, le bar est vide, seules les filles sans Sacha sont là.
Je me rends utile en plaçant les verres dans le panier de la machine à les laver.
• Odette, elle a téléphoné, l’une de ses filles est malade, il lui est impossible de venir.
Dans le peu d’affaire placée dans mon sac de voyage, ce soir j’avais une mini que j’ai mise avec le débardeur du premier jour que j’avais lavé.
• Un vendredi, je crois que je vais lui signifier la fin de son contrat avec moi.
Je refuse des filles plus jeunes.
• Grand-mère, je te propose de la remplacer, j’ai bien vu comment les filles travaillent.
Dans les chambres, j’ai assez d’expérience avec des différents et nombreux amants que j’ai eus pour savoir satisfaire ces messieurs.
Je viens m’asseoir côté fille de joie, j’attends peu, avant que grand-mère Odette dise non.
Un client entre, m’offre une conso et paye pour une demi-heure.
Quand je le suis vers les chambres, je me rappelle le vendeur de ma Vespa.
Dire que j’avais refusé une remise de 20 % pour faire ce que je vais faire, la pute.
Cinq clients le premier soir.
Aucun reproche, j’ai satisfait tout le monde.
Sans vraiment sentir le grand frisson, deux d’entre eux mon donné du plaisir.
Le troisième, ayant une petite bite, s’est complet à me prendre en levrette me traitant principalement de pute.
Grand-mère était une pute, Véronique ma maman semble avoir refusé de travailler ici alors je ferme la boucle en tapinant dans ce bar de Tournai.
Grand-mère égale à elle-même derrière son tiroir-caisse m’a à peine regardé tout au long de la soirée.
Mais c’est une femme droite, ayant accepté que je travaille pour elle, elle va conserver Sacha.
Le lendemain Sacha arrive quand nous sommes descendues.
À l’heure pour cette fois, comme si elle voulait se faire pardonner.
J’ai repris ma place derrière le bar dans la zone protégée.
Ça sonne, la porte s’ouvre et trois hommes jeunes apparaissent.
L’un d’eux est un rouquin.
• Odette à boire, nous enterrons la vie de garçon de Franck.
Je comprends que Franck, c’est le rouquin à la manière dont il lui tape sur l’épaule.
• T’as qu’une fille disponible, il va falloir attendre.
• Sabine et Sylvie viennent de partir pour une heure, si vous voulez deux filles, il faudra être patient.
Patient, ils sont loin de l’être, c’est Sacha qui propose la solution me prenant la main.
• Odette, ils vont aller ailleurs, Gladys, tu serais d’accord ensemble !
Je me lève, sans m’attirer les foudres de grand-mère.
Elle semble avoir sa morale, c’est normal, elle est depuis des années dans le monde de la prostitution.
• Odette encaisse, venez !
Dans l’une des chambres disponibles, nous emmenons nos trois clients.
Si le rouquin va se marier, la main qu’il me met aux fesses me montre que sa future risque d’avoir de fréquentes cornes.
Pour la première fois, je vois une autre femme que moi nue.
Entièrement rasée, la brune et la blonde.
Les trois gars font ce pour quoi ils se sont payé nos culs.
Sacha en levrette, la bite du futur marié soit dans son vagin, soit son anus.
Comme je suis placée en missionnaire, le sexe d’un dénommé Boris me prenant la chatte alors que Lionel prend ma copine en sandwich lui tenant les oreilles et lui remplissant la bouche.
Il se peut qu’il la sodomise.
Je vois ses seins subissant l’attractivité terrestre, se balancer au rythme des coups de bite qu’elle reçoit.
J’avance ma main et je prends celui à ma portée entre mes doigts.
C’est doux, et ça va servir à Boris pour croire qu’il a fait jouir une pute quand Sacha lève sa main et la pose sur mon bas-ventre.
Un de ses doigts profite de la position de mon client à genoux entre mes cuisses pour me caresser le clito.
Depuis que je baise, mon clito est hypersensible et avant que Boris décharge en moi, j’ai un orgasme.
Lui rendant la pareille, ma main trouve la queue du rouquin.
Il la laboure dans sa chatte alors je lui caresse aussi le clitoris.
Avec un petit décalage elle prend son pied, elle aussi.
J’espère pour sa future, qu’il la fera grimper au rideau comme grimpe Sacha avec un regard complice entre nous.
Les clients parties boire une bière ailleurs, je reste à côté de Sacha.
Le restant de la nuit, je rejoins les chambres une fois, Sacha trois.
Après son retour, nous discutons du restant de notre nuit.
• Grand-mère, Sacha me propose d’aller passer la nuit chez elle.
Elle veut me présenter ses filles demain matin, ça te dérange !
Quand nous sortons, je vois là encore la façon dont ma grand-mère prend la vie.
• Bonne nuit les filles, Sacha, soit à l’heure demain, 18 heures comme tous les mercredis.
C’est une fleur que je te fais par rapport aux autres filles.
J’aime bien ta ténacité à faire ce que tu fais pour tes enfants.
Nous quittons le bar, ma grand-mère fermant derrière nous.
• On prend ma Vespa !
• Ton vieux machin que j’ai vu dans la remise où Sylvie range son vélo !
Elle éclate de rire en me prenant la main.
Ma Vespa, c’est à droite, nous partons à gauche.
Cent mètres et elle pousse la porte d’une vieille maison assez délabrée ou il y a deux boîtes aux lettres.
• C’est mon chez-moi, un peu en mauvais état, mais sans loyer, ça permet de m’y retrouver avec mes clients.
C’est la seule chose que mon divorce m’a laissée, nous l’avions acheté avec les gains d’un loto national et nous la rénovions.
Bien sûr, j’ai arrêté, je fais juste le nécessaire pour que mes filles aient un toit en état sur la tête.
La porte ouverte, je la vois regarder un babyphone posé sur la commode à côté des portes où doivent dormir les filles.
• À quoi ça te sert !
• Je laisse mes filles seules presque toutes les nuits.
L’autre partie de ce babyphone se trouve dans la chambre de Jeanne, la grand-mère à qui je loue à moitié pris pour entendre s’il y a un problème avec mes filles.
Charlotte les met au lit et dès que tous sont couchés elle le branche.
Ça a été utile deux fois, Louise avait de la toux et Charlotte avait fait un cauchemar.
C’est dans sa salle de bains qu’elle me conduit me tenant toujours par la main.
On pourrait penser voir deux collégiennes venant de découvrir leur attirance l’une pour l’autre alors que nous partageons nos corps avec des hommes.
Chez grand-mère, avant et après chaque client nous avons de l’hygiène, nous avons tout ce qu’il faut.
Ça été le cas toute cette soirée ou nous avons très bien travaillé.
Deux femmes dans une baignoire d’eau chaude.
Nos bouches se trouvent.
Pour la première fois, j’embrasse une fille, c’est suave, ça sent le frais, car elle mâche de la gomme mentholée entre deux clients.
Quand nous nous rapprochons, je sens la douceur de ce sein découvert tout à l’heure.
Mon cœur chavire, ou tout cela va-t-il nous conduire...
Voilà, la saison I se termine, dans quelques jours la saison II, j’espère que Gladys et sa grand-mère vous ont plu.
Si j’avais rencontré grand-mère Odette dans la rue, j’aurais cru croiser Véronique, maman, tellement elles se ressemblent !
La différence entre les deux femmes, c’est que l’on voit que ma grand-mère assume sa vie de pute puis de teneuse de bordel alors que maman est ce que l’on peut dire, une coincée du calbute.
• Odette, quel est cette beauté que tu nous amènes !
• La nouvelle comme tu dis, on la regarde avec les yeux, mais pas touche.
C’est Gladys, ma petite fille.
• Merde, c’est la fille de...
• Celle dont le nom est interdit dans ma maison, tient te le pour dit, si tu veux continuer à travailler pour moi.
J’élucide un mystère pour en retrouver un nouveau, pourquoi le nom de maman est tabou ici.
Grand-mère semble connaitre bien des choses sur moi, mais semble faire un blocage sur ma génitrice.
Ça sonne, un homme genre représentant de commerce entre.
• Sabine, c’est pour toi, pas de bêtise, souviens-toi, il avait payé une demi-heure et t’a fait croire qu’il avait payé une heure la dernière fois.
• Oui, madame Odette, une demi-heure.
Un autre client arrive, beau gosse, c’est con, je l’aurais laissé me baiser pour pas un rond un peu comme Bob le chauffeur qui m’a évité des kilomètres sur ma Vespa.
• La nouvelle, elle peut me rejoindre !
Je regarde tout ça d’un œil étonné presque amusée assis derrière le bar sur un tabouret.
Quand je prends conscience de la méprise du client pensant que je suis une nouvelle tapineuse, la tenue assez osée que j’ai l’habite de porter, dois entretenir la confusion.
• Les filles, champagne, Léon a bien bandé et me paye une bouteille.
• Deux bouteilles, le mien aussi nous offre une bouteille.
La deuxième, ce doit être Sacha, la femme aux trois enfants.
Certainement la trentaine longiligne avec une poitrine mise en valeur dans une guêpière rouge.
Nous trinquons, je vois Sacha parlé avec Lala, grand-mère rangeant sa caisse.
Les hommes défilent, jusqu’à une accalmie pour Sacha qui de l’autre côté du bar s’adresse à moi.
• Lala me dit que tu es la petite fille d’Odette.
• Oui, je suis venue pour connaître mes origines, je suis étonnée et très impressionnée.
Peux-tu me dire comment une femme comme toi, avec trois enfants se retrouve dans un tel endroit.
• Les mots ont un sens, tu peux le dire, dans un bar où les filles montent les clients, un bar à pute.
C’est simple, une femme un enfant, une fille de 10 ans.
Mariée et heureuse, hélas, son homme refuse l’évidence quand je lui ai annoncé que je suis enceinte qui plus est de jumelles.
Il a pris ses affaires et a repris un ferry pour franchir le Channel, c’était un anglais londonien, loin d’être un gentleman.
Aucune formation même caissières, même pour quelques heures afin d’élever mes filles dans la dignité.
Au début, Odette m’a dépanné, le temps que je trouve, mais les besoins des enfants m’ont obligé à continuer de m’occuper des bites de ces messieurs depuis deux ans.
Charlotte, mon aînée à 12 ans et quand je travaille, c’est elle avec une voisine qui s’occupe de Lusia et Louise, les jumelles.
• Elles sont donc 2 ans.
• Je vois que tu sais très bien compter, tu réussiras dans la vie.
Ça fait trois jours que ma grand-mère m’a accueillis.
Trois jours que je passe une grande partie de mon temps dans le bar.
C’est le cas ce soir ou lorsque je descends, le bar est vide, seules les filles sans Sacha sont là.
Je me rends utile en plaçant les verres dans le panier de la machine à les laver.
• Odette, elle a téléphoné, l’une de ses filles est malade, il lui est impossible de venir.
Dans le peu d’affaire placée dans mon sac de voyage, ce soir j’avais une mini que j’ai mise avec le débardeur du premier jour que j’avais lavé.
• Un vendredi, je crois que je vais lui signifier la fin de son contrat avec moi.
Je refuse des filles plus jeunes.
• Grand-mère, je te propose de la remplacer, j’ai bien vu comment les filles travaillent.
Dans les chambres, j’ai assez d’expérience avec des différents et nombreux amants que j’ai eus pour savoir satisfaire ces messieurs.
Je viens m’asseoir côté fille de joie, j’attends peu, avant que grand-mère Odette dise non.
Un client entre, m’offre une conso et paye pour une demi-heure.
Quand je le suis vers les chambres, je me rappelle le vendeur de ma Vespa.
Dire que j’avais refusé une remise de 20 % pour faire ce que je vais faire, la pute.
Cinq clients le premier soir.
Aucun reproche, j’ai satisfait tout le monde.
Sans vraiment sentir le grand frisson, deux d’entre eux mon donné du plaisir.
Le troisième, ayant une petite bite, s’est complet à me prendre en levrette me traitant principalement de pute.
Grand-mère était une pute, Véronique ma maman semble avoir refusé de travailler ici alors je ferme la boucle en tapinant dans ce bar de Tournai.
Grand-mère égale à elle-même derrière son tiroir-caisse m’a à peine regardé tout au long de la soirée.
Mais c’est une femme droite, ayant accepté que je travaille pour elle, elle va conserver Sacha.
Le lendemain Sacha arrive quand nous sommes descendues.
À l’heure pour cette fois, comme si elle voulait se faire pardonner.
J’ai repris ma place derrière le bar dans la zone protégée.
Ça sonne, la porte s’ouvre et trois hommes jeunes apparaissent.
L’un d’eux est un rouquin.
• Odette à boire, nous enterrons la vie de garçon de Franck.
Je comprends que Franck, c’est le rouquin à la manière dont il lui tape sur l’épaule.
• T’as qu’une fille disponible, il va falloir attendre.
• Sabine et Sylvie viennent de partir pour une heure, si vous voulez deux filles, il faudra être patient.
Patient, ils sont loin de l’être, c’est Sacha qui propose la solution me prenant la main.
• Odette, ils vont aller ailleurs, Gladys, tu serais d’accord ensemble !
Je me lève, sans m’attirer les foudres de grand-mère.
Elle semble avoir sa morale, c’est normal, elle est depuis des années dans le monde de la prostitution.
• Odette encaisse, venez !
Dans l’une des chambres disponibles, nous emmenons nos trois clients.
Si le rouquin va se marier, la main qu’il me met aux fesses me montre que sa future risque d’avoir de fréquentes cornes.
Pour la première fois, je vois une autre femme que moi nue.
Entièrement rasée, la brune et la blonde.
Les trois gars font ce pour quoi ils se sont payé nos culs.
Sacha en levrette, la bite du futur marié soit dans son vagin, soit son anus.
Comme je suis placée en missionnaire, le sexe d’un dénommé Boris me prenant la chatte alors que Lionel prend ma copine en sandwich lui tenant les oreilles et lui remplissant la bouche.
Il se peut qu’il la sodomise.
Je vois ses seins subissant l’attractivité terrestre, se balancer au rythme des coups de bite qu’elle reçoit.
J’avance ma main et je prends celui à ma portée entre mes doigts.
C’est doux, et ça va servir à Boris pour croire qu’il a fait jouir une pute quand Sacha lève sa main et la pose sur mon bas-ventre.
Un de ses doigts profite de la position de mon client à genoux entre mes cuisses pour me caresser le clito.
Depuis que je baise, mon clito est hypersensible et avant que Boris décharge en moi, j’ai un orgasme.
Lui rendant la pareille, ma main trouve la queue du rouquin.
Il la laboure dans sa chatte alors je lui caresse aussi le clitoris.
Avec un petit décalage elle prend son pied, elle aussi.
J’espère pour sa future, qu’il la fera grimper au rideau comme grimpe Sacha avec un regard complice entre nous.
Les clients parties boire une bière ailleurs, je reste à côté de Sacha.
Le restant de la nuit, je rejoins les chambres une fois, Sacha trois.
Après son retour, nous discutons du restant de notre nuit.
• Grand-mère, Sacha me propose d’aller passer la nuit chez elle.
Elle veut me présenter ses filles demain matin, ça te dérange !
Quand nous sortons, je vois là encore la façon dont ma grand-mère prend la vie.
• Bonne nuit les filles, Sacha, soit à l’heure demain, 18 heures comme tous les mercredis.
C’est une fleur que je te fais par rapport aux autres filles.
J’aime bien ta ténacité à faire ce que tu fais pour tes enfants.
Nous quittons le bar, ma grand-mère fermant derrière nous.
• On prend ma Vespa !
• Ton vieux machin que j’ai vu dans la remise où Sylvie range son vélo !
Elle éclate de rire en me prenant la main.
Ma Vespa, c’est à droite, nous partons à gauche.
Cent mètres et elle pousse la porte d’une vieille maison assez délabrée ou il y a deux boîtes aux lettres.
• C’est mon chez-moi, un peu en mauvais état, mais sans loyer, ça permet de m’y retrouver avec mes clients.
C’est la seule chose que mon divorce m’a laissée, nous l’avions acheté avec les gains d’un loto national et nous la rénovions.
Bien sûr, j’ai arrêté, je fais juste le nécessaire pour que mes filles aient un toit en état sur la tête.
La porte ouverte, je la vois regarder un babyphone posé sur la commode à côté des portes où doivent dormir les filles.
• À quoi ça te sert !
• Je laisse mes filles seules presque toutes les nuits.
L’autre partie de ce babyphone se trouve dans la chambre de Jeanne, la grand-mère à qui je loue à moitié pris pour entendre s’il y a un problème avec mes filles.
Charlotte les met au lit et dès que tous sont couchés elle le branche.
Ça a été utile deux fois, Louise avait de la toux et Charlotte avait fait un cauchemar.
C’est dans sa salle de bains qu’elle me conduit me tenant toujours par la main.
On pourrait penser voir deux collégiennes venant de découvrir leur attirance l’une pour l’autre alors que nous partageons nos corps avec des hommes.
Chez grand-mère, avant et après chaque client nous avons de l’hygiène, nous avons tout ce qu’il faut.
Ça été le cas toute cette soirée ou nous avons très bien travaillé.
Deux femmes dans une baignoire d’eau chaude.
Nos bouches se trouvent.
Pour la première fois, j’embrasse une fille, c’est suave, ça sent le frais, car elle mâche de la gomme mentholée entre deux clients.
Quand nous nous rapprochons, je sens la douceur de ce sein découvert tout à l’heure.
Mon cœur chavire, ou tout cela va-t-il nous conduire...
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