COLLECTION PUTE. Grand-mère Odette. Fin de la saison II (6/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION PUTE. Grand-mère Odette. Fin de la saison II (6/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(6.0 / 10)

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COLLECTION PUTE. Grand-mère Odette. Fin de la saison II (6/6)
Grand-mère Odile a fait un malaise en mon absence.
Lala a l’ouverture l’a vue dans son fauteuil dans son logement où je viens de monter.
Elle l’a trouvé se plaignant d’un mal à la tête et lui a donné du paracétamol.
Elle est descendue et s’est écroulée au milieu du bar, parmi nos premiers clients.
Elle est hospitalisée et j’en saurais un peu plus demain matin.
J’ai appelé, maman, elle fait la fête à Ibiza avec un certain Georges, elle que je considérais comme une none.
Elle sait que je suis chez ma vieille pute de grand-mère du moins pour elle et refuse de venir prendre les choses en mains.
J’ignore la loi, suis-je en droit de gérer ses affaires, je vais me renseigner, mais pour cela je veux comprendre certaines choses.
C’est le motif que je me donne pour fouiller dans son bureau derrière lequel je suis assise pour commencer.
J’y trouve des albums de photos m’interpelant.
Il y a une partie de notre vie, papa, maman et moi au début de ma vie à Avignon.
Un autre album montre les photos de maman et moi après la disparition de papa.
Surtout moi avec des garçons, souvent, même presque exclusivement mes amants dans la boulimie sexuelle qu’était la mienne à Avignon.
Qui a pris ces photos à des centaines de kilomètres d’ici ?
J’espère qu’un jour Mamy me le dira ou alors j’espère le découvrir.
C’est dans l’armoire de sa chambre, sous une pile de linge, que je découvre une grosse boîte où se trouvent là encore de vieilles photos et des lettres reliées par un ruban rose.
Elles arrivent d’Avignon, le cachet de la poste faisant foi.
Je prends, la plus vieille que j’ouvre.

« Odette, je t’écris pour m’excuser de ce que j’ai fait.
Je suis fautif, de ce qui s’est passé, j’aurais dû résister aux avances de ta fille Véronique. »
La lettre continue en ce plaignant de la façon dont maman le traitait.
Les suivantes toutes un peu pleureuses, me montrant de mon père un visage nouveau pour moi.
Chacune d’elles se finissent par un flot d’amour pour ma grand-mère et l’envie de revenir près d’elle à Tournai.
Malgré ça , je vois d’un autre œil ce que m’ont dit Jeanne et Sacha sur mes parents.
La dernière d’une tout autre teneur va changer le cours de ma vie.
L’enveloppe et la lettre sont maculées de larmes ayant fait couler l’encre.

« Odette, j’ai découvert que j’ai un problème de santé, j’ai consulté et je suis stérile certainement depuis de graves oreillons dans ma jeunesse.
Gladys est dans l’impossibilité d’être ma fille.
J’ai interrogé Véronique, elle s’est foutue de ma gueule !
Le notaire dans la rue voisine serait son amant et le père de ma fille.
Elle le rejoint chaque semaine sous couvert de payer le loyer de sa boutique.
Adieu. »
Je regarde la date, dans mon souvenir, mais surtout celle de sa mort sur sa pierre tombale me confirme qu’il est décédé dans ce moment-là.
Je disais que je voudrais savoir pour Gorges se trouvant à Ibiza avec maman.
J’avais oublié que le notaire s’appelait Georges.
L’accident de mon père, car il reste mon père, serait un suicide, c’est lui qui se serait jeté sous les roues de cette voiture.
Comment ma mère a pu me cacher son amant pendant toutes ces années, au point que je la prenais pour une bonne sœur ?
J’ai là encore une partie de la réponse, comment aurais-je pu penser que maman chaque semaine dans le temps où elle quittait la boutique allait se faire sauter par mon amant.
De toute façon, lui demander des explications sont impossibles, un jour elle sortira bien du bois en me parlant de Georges entendu à Ibiza.
Je me vois mal emporter ces lettres très intimes à mon retour à Avignon montrant que j’ai fouillé ses fonds de placard à elle aussi.
Sous ses lettres que je renoue proprement de son ruban rose, des photos très anciennes.
Deux jeunes femmes avec étoles de fourrure sur une robe imprimée, bas et talons hauts.
Mince, j’ai failli dire merde d’étonnement, c’est Mamy devant un hôtel où elle faisait certainement des passes dans sa jeunesse avec une autre pute.
J’ai dit merde, car un instant j’ai cru que c’était moi sur cette photo par chance en noir et blanc dissipant mon malentendu.
Les autres sont de la même époque, jusqu’à cette femme poussant un landau ou devaient se trouver maman.
Ce doit être grand-père qui prenait les photos, car à aucun moment il se trouve sur l’une d’elles.
Dessous, une surprise, des godes et un engin bizarre, une espèce d’œuf avec une tige, là je sèche.
J’ignore à quoi ça peut servir, comme les godes mamy devaient se mettre ça dans la chatte.
C’est drôle de payer ses filles pour s’enfoncer des verges pour de l’argent et de se satisfaire de sexes en silicone pour se donner du plaisir.
Pour moi, je suis réconfortée que le temps de trouver l’homme de ma vie dans bien des années, je veux profiter de ma jeunesse, pour continuer à me faire de beaux mecs dès mon retour à Avignon.
La nuit tombe, le temps de regarder les dernières photos, j’appuie sur le bouton de la lampe de bureau.
Mon regard est attiré par une ombre en face de moi.
Je me lève et l’impression que j’avais est exacte.
La croute d’une chasse à courre dans la campagne est, en fait un tableau pivotant cachant un coffre-fort.
C’est la poignée qui a empêché le tableau de reprendre sa place créant une ombre, sinon, à part si grand-mère me l’avait montré il m’aurait été impossible de le repérer.
Je tire sur cette poignée, il s’ouvre.
Tout ce qui brille n’est pas or, mais les quatre lingots d’un kilo y ressemblent bien.
À leurs côtés des liasses de billets principalement de 500 et 200 €.
Je les aligne sur le bureau, presque 3 millions d’euros et quelques dollars américains.
Mamy est riche et par contre cou maman et enfin moi.
Mais ce coffre à deux étages et au-dessus des lingots et de tout ce fric, il y a des dossiers.
Comme je l’ai fait pour les lettres et photos du carton, je m’installe pour les consulter.
En premier, l’acte de propriété du bar à pute.
Un deuxième m’interpelle, celui d’un salon de coiffure à Avignon, avec une lettre de Gorges, un notaire du coin.

« Madame, mon confrère de Tournai m’a chargé d’acheter le salon de coiffure de votre fille qui se trouvait être en vente.
Je l’ai rencontré, sans parler de vous bien sûr et elle a été étonnée du loyer modique que le nouveau propriétaire en demande.
J’ai aussi mandaté mon ami ancien détective à suivre votre fille et de vous faire parvenir des photos.
Pour vous servir... »
Et les formules de politesse d’usage pour un notaire.
Grand-mère en contactant son notaire ici à Tournai a indirectement propulsé les deux amants dans les bras l’un de l’autre.
Ma vue se trouble, je vois maman sur un bureau notarié la jupe soulevée et la bouche du notaire lui léchant la chatte.
Je me place les jambes sur le pureau et au vu de ces images, je me masturbe avant de prendre l’espèce d’œuf et de me le planter dans la chatte.
Pendant ce temps, maman a été retournée et semble apprécier la verge que celui qui est peut-être mon père, lui plante dans un de ses orifices.
C’est drôle de regarder sa mère se faire baiser sur un bureau.
Je sens que je suis à deux doigts de l’orgasme.

• Gladys, réveille-toi, qu’est-ce que c’est que tout ce bazar et ces liasses de billets sur le bureau d’Odette ?

C’est Sacha qui me réveille.
Mes jambes que j’avais posées sur le bureau dans ce qui a dû être en partie un rêve sont retombées au sol.
Dans mon rêve érotique, j’ai planté l’olisbos en forme d’œuf dans mon vagin.

• Pourquoi t’es-tu enfilée, ce machin, dans la chatte, les plugs se mettent dans l’anus ?

Mince, Mamy se servait de ce truc et c’est moi qui me le suis enfilé dans mon sommeil.
Je l’ôte et je le repose sur sa base.
On dirait un œuf dans son coquetier.

• Mais dit moi ma biche, comment es-tu entré, j’avais fermé.
Tout le monde a les clefs ici.
• Détrompe-toi, seule Lala et Jeanne les ont.
Odette avait la frousse de mourir seule dans cette grande maison.
Là encore j’ai appris que sa mère, ton arrière-grand-mère est morte seule dans une chambre de bonne à Paris, ainsi que ton arrière arrière-grand-mère à Parisot dans le sud de la France dans une ferme.
Elle a été retrouvée trois mois plus tard.
Jeanne est sa copine.
Je voulais avoir des nouvelles avant demain, jour de ton départ.
• Mon départ, je reste, j’ai eu ma mère, elle se trouve à Ibiza avec son amant qui serait mon père.
• Ton père, tu vas trop vite, reprenons à tête reposée...

Je suis tellement subjuguée par tout ce que je viens de découvrir que je me vois obligée d’appeler Chris.
Lui qui pensait écrire mon histoire en II chapitres, vu les derniers évènements se voit obligé d’en attaquer une troisième.
Mais il me confie qu’il va vous offrir cette saison II pour le début 2021.

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Texte coquin : COLLECTION PUTE. Grand-mère Odette. Fin de la saison II (6/6)
Histoire sexe : Une rose rouge
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