COLLECTION PUTE. Grand-mère Odette. Fin de la saison VI (18/18)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUTE. Grand-mère Odette. Fin de la saison VI (18/18)
Serrait-il possible que l’homme avec un accent du Sud soit Mario mon ancien amant que Karine m’a piqué pour ma plus grande satisfaction puisqu’il a voulu faire d’elle une pute ?
Certes, moi aussi je pense que ma copine est faite pour faire grimper les hommes aux rideaux moyennant rétributions.
Mais comment lui faire comprendre que là facilitée avec laquelle je l’ai amené à se faire baiser par Mario, lui ouvre des perspectives d’avenir dans mon bar ?
Quand on voit la difficulté qu’on les filles à notre époque à trouver un job, je veux lui offrir le moyen de s’en sortir en ce constituant un joli bas de laine.
Combien d’honorable mère de famille a écarté ses cuisses pour des clients soit pour payer leurs études, soit comme Sacha afin d’élever ses enfants avant de trouver l’équilibre dont la plupart des femmes aspirent.
Pour ma part, le sexe de Luis, encore ce soir, m’apporte la certitude que celui qui fera assez chavirer mon cœur pour que je fasse ma vie avec lui est encore dans les couilles de son père.
Jocelyne a dû sentir que j’ai caché à Karine qui est ma grand-mère et l’activité qu’elle exerçait et que j’ai reprise malgré les difficultés que cela représente.
• Ta grand-mère est sortie de sa chambre d’hôpital et comme tu l’as demandé a été conduite chez son amie Jeanne.
Sacha s’est parfaitement acquise de sa mission.
Autre chose, j’étais passé pour te voir, car les comptes trouvés dans la voiture de Serge, le comptable et Lala ont été analysés par les experts de la police.
Il s’avère que la totalité des billets trouvés dans leur voiture a bien été frauduleusement détournée par des systèmes de factures gonflées de doubles facturations et tout autre arnaque possible.
Il faudrait que tu prennes un avocat qui pourrait faire entendre à un juge que cet argent est le tient puisque tu gères les affaires de ta grand-mère le temps de son incapacité.
• Je vais voir ça avec Sacha.
• Parles-en à Jeanne, vu son ancienne situation elle pourrait être de bon conseil.
• Bien, j’y penserais, nous pouvons y aller, je suis fatiguée !
• Passez, appelle-moi si par hasard un nouveau client avec l’accent marseillais se présentait.
• Au revoir monsieur l’agent français, on passe en Belgique hors de votre zone de compétence.
• De toute façon, je vous laisse, j’ai fini mon service, je vais rejoindre ma femme qui m’attend, je vois Alain qui arrive pour me remplacer.
Salut Jocelyne, à la prochaine.
Je démarre ma Vespa en faisant un petit signe de la main à notre amie.
10 kilomètres et je rentre dans Tournai jusqu’au bar de grand-mère.
L’enseigne est encore allumée, les filles de service ce soir finissent à 1 heure !
J’entre dans la cour pour garer mon engin, qui une nouvelle fois m’a rendu service.
Le moment critique se présente à moi.
Je fais monter Karine par l’escalier extérieur donnant dans la cuisine très peu utilisée, nous passons toujours par l’intérieur et le bar.
Nous entendons la musique tournant tout le temps ou le bar est ouvert.
Les Athéniens s’atteignirent.
• Gladys, ta grand-mère tient un bar !
Je retarde l’échéance, je la conduis vers la chambre très connue par les gendarmettes et où j’ai menotté celle que nous venons de quitter à la frontière.
• Pose tes affaires, je vais te faire découvrir le monde que j’ai découvert au début de mes vacances.
Tu vas être surprise.
Je passe devant et je descends l’escalier intérieur cette fois jusqu’à la source de la musique.
Sacha est derrière la caisse, Sophie parle avec un client que j’ai déjà vu.
Sabine avec deux autres, buvant de la bière plutôt que de vouloir consommer la chatte de mon hôtesse qui pourtant a mise sont plus beau deux pièces pailletées.
L’un d’eut est de dos et j’ignore si c’est un habitué.
Sophie semble avoir conclu une dernière passe avant la fermeture.
Pour les filles, ces coups dans la dernière heure est une gratification, car souvent la soirée a été moyenne.
Le client passe à la caisse et très vite la transaction est faite, Sacha encaisse la passe et rejoint Sophie pour aller vers les chambres.
• Mais Gladys, ton bar, c’est...
• Un bar à pute, oui, ma grand-mère tenait ce bar dont j’ai repris la direction à son accident vasculaire.
À ce moment, l’un des deux clients parlant avec Sabine se retourne et voit Karine, affriolante dans la petite tenue que je lui ai achetée à Lille.
Je le connais, c’est Fred, un habitué, il repart rarement sans avoir consommé.
• Gladys, c’est une nouvelle, elle est partante pour une fellation, je passe à la caisse pour payer à Sacha.
Jusqu’à ce jour, c’était elle qui me suçait, mais elle vient de le dire d’en trouver une autre après le scandale dans la presse de ton comptable et de ta barmaid qui vous auraient volés.
• Non, pas du tout, je suis...
• Fred attend un instant, Karine vient avec moi, j’ai à te parler.
Je m’isole en un coin tranquille du bar à cette heure, il y a de la place.
• Karine, ce que je t’offre, c’est la chance de ta vie.
Chez les garçons tout à l’heure tu m’as fait voir la passivité que tu avais à suivre mes ordres sans rechigner quand tu as sucé Mario.
Ici tout le monde donne du sien.
Moi-même il m’est arrivé de mettre la main à la pâte pour aider Sacha que je vais te présenter.
Mario, celui qui semble être recherché par toutes les polices de France et d’ici t’a bien formé dans le but qu’il avait de faire de toi une pute.
Tu t’es enfui et grâce à ma mère, tu m’as rejoint.
Elle savait très bien ce qu’elle faisait en t’envoyant ici.
Avec Mario, celui du Sud, tu tapinerais sur le vieux port et tous ce que tu gagnerais irait dans sa poche pour assouvir son goût du jeu d’argent.
Ici, certes, tu seras une prostituée, mais une prostituée libre gagnant honnêtement sa vie.
Sur chaque passe, les clients payent à la caisse, une partie pour la location de la chambre et une part pour toi que tu recevras chaque mois tout frais payé même les impôts.
Sucer gratuitement ou te faire baiser comme tout à l’heure, c’est du pareil au même ici.
Tu es en droit de refuser un client si tu le désir.
Les prestations sont choisies et consentantes chez ma grand-mère.
En plus, je vais expliquer la situation aux filles et si Mario se pointe, il aura fort à faire, avec toutes les tigresses qui lui tomberont sur le dos.
Alors ?
J’ai gagné mon pari.
Karine, soumise de nature depuis sa plus tendre enfance, va vers Fred et ensemble va rejoindre Sophie qui a dû prendre une grande partie de jambes en l’air vu le temps qu’elle y passe.
Une fois que Fred la rejoint, je m’approche de Sacha.
• Va surveiller que tout se passe bien avec Karine, sinon intervient.
Une fellation, c’est rapide, mais c’est suffisant pour que je gagne mon pari.
Il me fallait trouver deux nouvelles filles, la première est trouvée et dès demain Karine se trouvera sur les tabourets du bar à attendre le client.
Sacha est revenue quand elle a vu que tout se passait bien et reprit sa place.
• Le transfère de mamy Odette s’est bien passée, Loïse l’attendait chez Jeanne et l’a installé devant la fenêtre dans le fauteuil que tu as fait livrer pour éviter les escarres.
Karine revient pendue au bras de Fred.
• Champagne, Sacha, la petite suce très bien, je reviendrais rapidement pour plus si affinités.
Connaissant mon amie, je vais devoir dire à Sacha de faire attention que Karine avec son cœur d’artichaut évite de tomber amoureuse avec chacun de ses clients, même si d’entrée elle met une bouteille sur la colonne conso.
Les clients sont partis, je suis seule avec mes filles.
• Je suis très satisfaite de vous les filles, la caisse est pleine et votre compte aussi.
Je vous présente Karine, elle est ici pour se protéger d’un connard s’appelant Mario.
Il avait des vues sur elle pour qu’elle se prostitue bien sûr en lui piquant tous son fric, prostitution forcée quand on se compare à vous.
Nous avons croisé Jocelyne, la gendarmette à la frontière.
Il semble que ce salopard, après avoir tué en France, cherche à se rapprocher d’elle.
Elle contrôlait la frontière avec la police française.
Protégé là comme votre sœur et toute la solidarité que je vous ai vu avoir depuis que ma grand-mère a été obligée de rejoindre l’hôpital et aujourd’hui la maison voisine.
• Si elle veut, ma voiture est devant, elle peut venir passer la nuit chez moi, nous reviendrons pour 14 heures demain à l’ouverture que je dois assurer.
Même s’il y a peu de monde, des bras supplémentaires seront les biens venus.
Voilà pourquoi j’aime mes filles, elles sont toutes solidaires, cela me rassérène, je vais pouvoir passer la nuit avec Sacha après avoir rentré l’argent de la journée dans le coffre-fort.
• Sabine, merci, tout va si vite pour moi, mais je serais rassuré de rejoindre un endroit ou je serais certainement plus en sécurité que dans le bar.
J’ai envie d’ajouter « à putes ».
Nous changeons de maison, nous prenons un bain en commun avec le plaisir de nous retrouver.
Dans notre lit, avant de faire un gros câlin seulement avec nos mains et nos langues.
J’interrage les journaux du Sud de la France.
« Mario, un truand avignonnais, pensait faire payer sa dette à son débiteur dans une dette de jeu, par une jeune femme, l’a tuée quand sa gagneuse s’est enfuie.
Il est passé par Avignon, bousculant légèrement une coiffeuse de la ville pour qu’elle lui dise si elle avait vu la fille.
Nous vous en dirons plus dans une prochaine édition. »...
Où est Mario, celui du Sud ?
Qui gagnera entre Mario du Sud et Mario du Nord et qu’elle va être l’influence de toutes ces filles bien solidaires entre elles ?
Nous le saurons dans les prochains épisodes de « Grand-mère Odette » dans la septième saison.
Certes, moi aussi je pense que ma copine est faite pour faire grimper les hommes aux rideaux moyennant rétributions.
Mais comment lui faire comprendre que là facilitée avec laquelle je l’ai amené à se faire baiser par Mario, lui ouvre des perspectives d’avenir dans mon bar ?
Quand on voit la difficulté qu’on les filles à notre époque à trouver un job, je veux lui offrir le moyen de s’en sortir en ce constituant un joli bas de laine.
Combien d’honorable mère de famille a écarté ses cuisses pour des clients soit pour payer leurs études, soit comme Sacha afin d’élever ses enfants avant de trouver l’équilibre dont la plupart des femmes aspirent.
Pour ma part, le sexe de Luis, encore ce soir, m’apporte la certitude que celui qui fera assez chavirer mon cœur pour que je fasse ma vie avec lui est encore dans les couilles de son père.
Jocelyne a dû sentir que j’ai caché à Karine qui est ma grand-mère et l’activité qu’elle exerçait et que j’ai reprise malgré les difficultés que cela représente.
• Ta grand-mère est sortie de sa chambre d’hôpital et comme tu l’as demandé a été conduite chez son amie Jeanne.
Sacha s’est parfaitement acquise de sa mission.
Autre chose, j’étais passé pour te voir, car les comptes trouvés dans la voiture de Serge, le comptable et Lala ont été analysés par les experts de la police.
Il s’avère que la totalité des billets trouvés dans leur voiture a bien été frauduleusement détournée par des systèmes de factures gonflées de doubles facturations et tout autre arnaque possible.
Il faudrait que tu prennes un avocat qui pourrait faire entendre à un juge que cet argent est le tient puisque tu gères les affaires de ta grand-mère le temps de son incapacité.
• Je vais voir ça avec Sacha.
• Parles-en à Jeanne, vu son ancienne situation elle pourrait être de bon conseil.
• Bien, j’y penserais, nous pouvons y aller, je suis fatiguée !
• Passez, appelle-moi si par hasard un nouveau client avec l’accent marseillais se présentait.
• Au revoir monsieur l’agent français, on passe en Belgique hors de votre zone de compétence.
• De toute façon, je vous laisse, j’ai fini mon service, je vais rejoindre ma femme qui m’attend, je vois Alain qui arrive pour me remplacer.
Salut Jocelyne, à la prochaine.
Je démarre ma Vespa en faisant un petit signe de la main à notre amie.
10 kilomètres et je rentre dans Tournai jusqu’au bar de grand-mère.
L’enseigne est encore allumée, les filles de service ce soir finissent à 1 heure !
J’entre dans la cour pour garer mon engin, qui une nouvelle fois m’a rendu service.
Le moment critique se présente à moi.
Je fais monter Karine par l’escalier extérieur donnant dans la cuisine très peu utilisée, nous passons toujours par l’intérieur et le bar.
Nous entendons la musique tournant tout le temps ou le bar est ouvert.
Les Athéniens s’atteignirent.
• Gladys, ta grand-mère tient un bar !
Je retarde l’échéance, je la conduis vers la chambre très connue par les gendarmettes et où j’ai menotté celle que nous venons de quitter à la frontière.
• Pose tes affaires, je vais te faire découvrir le monde que j’ai découvert au début de mes vacances.
Tu vas être surprise.
Je passe devant et je descends l’escalier intérieur cette fois jusqu’à la source de la musique.
Sacha est derrière la caisse, Sophie parle avec un client que j’ai déjà vu.
Sabine avec deux autres, buvant de la bière plutôt que de vouloir consommer la chatte de mon hôtesse qui pourtant a mise sont plus beau deux pièces pailletées.
L’un d’eut est de dos et j’ignore si c’est un habitué.
Sophie semble avoir conclu une dernière passe avant la fermeture.
Pour les filles, ces coups dans la dernière heure est une gratification, car souvent la soirée a été moyenne.
Le client passe à la caisse et très vite la transaction est faite, Sacha encaisse la passe et rejoint Sophie pour aller vers les chambres.
• Mais Gladys, ton bar, c’est...
• Un bar à pute, oui, ma grand-mère tenait ce bar dont j’ai repris la direction à son accident vasculaire.
À ce moment, l’un des deux clients parlant avec Sabine se retourne et voit Karine, affriolante dans la petite tenue que je lui ai achetée à Lille.
Je le connais, c’est Fred, un habitué, il repart rarement sans avoir consommé.
• Gladys, c’est une nouvelle, elle est partante pour une fellation, je passe à la caisse pour payer à Sacha.
Jusqu’à ce jour, c’était elle qui me suçait, mais elle vient de le dire d’en trouver une autre après le scandale dans la presse de ton comptable et de ta barmaid qui vous auraient volés.
• Non, pas du tout, je suis...
• Fred attend un instant, Karine vient avec moi, j’ai à te parler.
Je m’isole en un coin tranquille du bar à cette heure, il y a de la place.
• Karine, ce que je t’offre, c’est la chance de ta vie.
Chez les garçons tout à l’heure tu m’as fait voir la passivité que tu avais à suivre mes ordres sans rechigner quand tu as sucé Mario.
Ici tout le monde donne du sien.
Moi-même il m’est arrivé de mettre la main à la pâte pour aider Sacha que je vais te présenter.
Mario, celui qui semble être recherché par toutes les polices de France et d’ici t’a bien formé dans le but qu’il avait de faire de toi une pute.
Tu t’es enfui et grâce à ma mère, tu m’as rejoint.
Elle savait très bien ce qu’elle faisait en t’envoyant ici.
Avec Mario, celui du Sud, tu tapinerais sur le vieux port et tous ce que tu gagnerais irait dans sa poche pour assouvir son goût du jeu d’argent.
Ici, certes, tu seras une prostituée, mais une prostituée libre gagnant honnêtement sa vie.
Sur chaque passe, les clients payent à la caisse, une partie pour la location de la chambre et une part pour toi que tu recevras chaque mois tout frais payé même les impôts.
Sucer gratuitement ou te faire baiser comme tout à l’heure, c’est du pareil au même ici.
Tu es en droit de refuser un client si tu le désir.
Les prestations sont choisies et consentantes chez ma grand-mère.
En plus, je vais expliquer la situation aux filles et si Mario se pointe, il aura fort à faire, avec toutes les tigresses qui lui tomberont sur le dos.
Alors ?
J’ai gagné mon pari.
Karine, soumise de nature depuis sa plus tendre enfance, va vers Fred et ensemble va rejoindre Sophie qui a dû prendre une grande partie de jambes en l’air vu le temps qu’elle y passe.
Une fois que Fred la rejoint, je m’approche de Sacha.
• Va surveiller que tout se passe bien avec Karine, sinon intervient.
Une fellation, c’est rapide, mais c’est suffisant pour que je gagne mon pari.
Il me fallait trouver deux nouvelles filles, la première est trouvée et dès demain Karine se trouvera sur les tabourets du bar à attendre le client.
Sacha est revenue quand elle a vu que tout se passait bien et reprit sa place.
• Le transfère de mamy Odette s’est bien passée, Loïse l’attendait chez Jeanne et l’a installé devant la fenêtre dans le fauteuil que tu as fait livrer pour éviter les escarres.
Karine revient pendue au bras de Fred.
• Champagne, Sacha, la petite suce très bien, je reviendrais rapidement pour plus si affinités.
Connaissant mon amie, je vais devoir dire à Sacha de faire attention que Karine avec son cœur d’artichaut évite de tomber amoureuse avec chacun de ses clients, même si d’entrée elle met une bouteille sur la colonne conso.
Les clients sont partis, je suis seule avec mes filles.
• Je suis très satisfaite de vous les filles, la caisse est pleine et votre compte aussi.
Je vous présente Karine, elle est ici pour se protéger d’un connard s’appelant Mario.
Il avait des vues sur elle pour qu’elle se prostitue bien sûr en lui piquant tous son fric, prostitution forcée quand on se compare à vous.
Nous avons croisé Jocelyne, la gendarmette à la frontière.
Il semble que ce salopard, après avoir tué en France, cherche à se rapprocher d’elle.
Elle contrôlait la frontière avec la police française.
Protégé là comme votre sœur et toute la solidarité que je vous ai vu avoir depuis que ma grand-mère a été obligée de rejoindre l’hôpital et aujourd’hui la maison voisine.
• Si elle veut, ma voiture est devant, elle peut venir passer la nuit chez moi, nous reviendrons pour 14 heures demain à l’ouverture que je dois assurer.
Même s’il y a peu de monde, des bras supplémentaires seront les biens venus.
Voilà pourquoi j’aime mes filles, elles sont toutes solidaires, cela me rassérène, je vais pouvoir passer la nuit avec Sacha après avoir rentré l’argent de la journée dans le coffre-fort.
• Sabine, merci, tout va si vite pour moi, mais je serais rassuré de rejoindre un endroit ou je serais certainement plus en sécurité que dans le bar.
J’ai envie d’ajouter « à putes ».
Nous changeons de maison, nous prenons un bain en commun avec le plaisir de nous retrouver.
Dans notre lit, avant de faire un gros câlin seulement avec nos mains et nos langues.
J’interrage les journaux du Sud de la France.
« Mario, un truand avignonnais, pensait faire payer sa dette à son débiteur dans une dette de jeu, par une jeune femme, l’a tuée quand sa gagneuse s’est enfuie.
Il est passé par Avignon, bousculant légèrement une coiffeuse de la ville pour qu’elle lui dise si elle avait vu la fille.
Nous vous en dirons plus dans une prochaine édition. »...
Où est Mario, celui du Sud ?
Qui gagnera entre Mario du Sud et Mario du Nord et qu’elle va être l’influence de toutes ces filles bien solidaires entre elles ?
Nous le saurons dans les prochains épisodes de « Grand-mère Odette » dans la septième saison.
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