COLLECTION PUTE. Grand-mère Odette. Saison III (8/9)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUTE. Grand-mère Odette. Saison III (8/9)
Je suis à l’hôpital dans la chambre de mamy.
C’est le docteur Sala qui me réveille alors que je m’étais endormi dans le fauteuil visiteur en attendant le retour de ma grand-mère emmenée dans son lit passer un IRM.
Les découvertes de ma nuit dans ces appartements m’ayant fatigué.
Des brancardiers ramènent mamy.
Elle semble dormir.
• Je devais vous voir à 15 heures, voyez votre grand-mère se repose.
Mais lorsqu’elle se réveillera, elle sera dans l’incapacité de reconnaître la moindre personne.
Il va vous falloir la placer dans une maison spécialisée où des soins lui seront apportés, à moins que vous ayez la possibilité de la garder chez elle.
Je peux vous donner le nom d’infirmières spécialisées qui viendront à domicile trois fois par jour pour lui apporter les soins appropriés.
Je vous préviens, c’est assez onéreux à moins que votre grand-mère ait une assurance qui la rembourse bien.
Les billets sur un bureau m’apparaissent.
• Nous allons la garder quelques jours en observation, le temps que vous régliez vos problèmes.
Il me prend les mains et les secoue légèrement.
• Je vous laisse, vous pouvez venir dans les heures des visites quand vous voulez.
Si vous avez le moindre souci, vous avez mon numéro et mon bureau vous sera toujours ouvert, je serais à votre disposition pour vous renseigner ou vous aider.
• Êtes-vous marié ?
• Pourquoi cette question, mais non je suis célibataire ?
• Laissez, c’était osé de ma part.
Il me quitte, mon portable vibre.
Je vais dans le couloir, c’est Sacha.
« Gladys, Sabine vient de m’appeler, il y a un problème au bar !
Elles ont vu arriver Serge, le comptable, il a parlé à Lala.
Ils sont montés chez mamy avant de redescendre, ils semblaient en colère.
Ils ont arrêté de s’engueuler quand ils sont arrivés vers les filles.
Lala a pris son sac et son manteau et ils sont partis.
C’était la première fois qu’elles se retrouvaient dans cette situation.
Sylvie finissait avec un client, elles m’ont appelé, je suis venue.
À mon tour, je suis montée, tu avais vu juste en refermant le coffre.
Il était de nouveau ouvert et les godes étaient au sol. »
• Et ce que l’on avait caché !
Des malades promenant leur perfusion passent près de moi, j’évite de parler des lingots et de l’argent.
« Le bureau, la chambre, ta chambre et la salle de bains sont sens dessus dessous.
Ils ont même retourné la cuisine et la salle à manger. »
• Et ce que tu sais.
« Tout est dans la panière à linge, bien caché sous les culottes de ta grand-mère.
Ils ont pensé à tout, sauf à vérifier le linge sale, tu avais vu juste.
Qu’est-ce que je fais ? »
• Ferme le bar, donne de l’argent aux filles si le client a terminé.
La caisse du bar est ouverte !
« Oui, pour la caisse et le client. »
• Bien prend de l’argent assez pour qu’elle comprenne leur intérêt à se taire si elles sont interrogées dans les heures ou les jours prochains.
Lorsqu’elles seront parties, peux-tu emmener la panière et tous cacher ?
« Bien sûr, je le fais tout de suite. »
• Je viens de voir mamy, mais je t’en dirais plus quand j’arriverais.
Là aussi, il y a des décisions à prendre.
Dernier point, en même temps que, la ferraille brillante, emmène aussi les machins en plastique ainsi que le truc que j’avais dans ma chatte.
À ce moment passe près de moi un monsieur âgé avec sa perfusion.
J’ai beau faire attention aux mots que j’emploie, le mot chatte m’échappe.
Il lève la tête faute certainement de pouvoir lever sa queue quand je parle de ma chatte.
• Sur le bureau, il y a différentes chemises dont une rose met les dans le coffre sans refermer la porte.
À oui, s’il reste des billets dans la caisse, eux aussi rangent les à l’intérieur. Surtout pas touche à ceux dans la panière que tu vas emmener, on ignore leur provenance et s’ils sont propres.
Je quitte mamy, je serais bien restée plus longtemps, mais les emmerdes m’appellent.
Lorsque sur ma Vespa, je passe devant les bureaux de Serge, le comptable, la grosse Audi qui était devant, brille par son absence.
Il y a un papier collé sur la porte.
Je m’arrête.
« Fermeture temporairement. »
Si c’est ce que je pense et qui a fait partie de mon rêve, cette porte close risque de le rester un bon moment.
Je gare ma Pétrolette et je rejoins Sacha.
• Tout est fait, c’est d’équerre.
• J’appelle la police, laisse-moi seule, je t’appèlerais si c’est nécessaire.
Tu joueras l’incrédule et tu leur donneras des renseignements les plus simples possible.
Le bar a l’avantage d’être un peu retiré et sans voisinage intempestif.
Je fais un tour rapide, tout semble d’équerre, à part le bordel dans ce bordel.
Je sais que je joue gros, je peaufine le scénario en plaçant le dossier rose à moitié sorti et des feuillets au sol et à moitié sortie !
J’appelle la maréchaussée.
Ils arrivent une femme et deux hommes.
• Bonjour, Lieutenant Ludivine, c’est vous mademoiselle Gladys qui avez appelé ?
• Oui, la maison de ma grand-mère a été cambriolée.
• Et ou se trouve madame Odette !
• Je vois que vous connaissez, ma grand-mère.
Elle a été victime d’une attaque et est en ce moment sur son lit d’hôpital.
• Les filles étaient là.
C’est la nana jolie brune malgré sa tenue de gendarme qui semble la cheffe qui me parle.
• Non, nous avions fermé après son hospitalisation.
J’avais rendez-vous avec son médecin à 15 heures à l’hôpital.
La gendarmette prend des notes sur un calepin.
• Il pourra le confirmer.
• Oui, docteur Sala, mais il m’a parlé un peu plus tôt que prévu, c’est pourquoi je suis rentrée en avance, ma grand-mère devant se reposer, elle est encore dans le coma.
C’est dur de répondre de façon cohérente, sans rien omettre, l’heure de mon appel à son importance.
Nous entrons.
Ils font le tour du bar et des chambres des filles ainsi que la partie privée de mamy.
• Ça ressemble à un cambriolage, nous allons faire venir les services spécialisés, avez-vous des soupçons.
• Avant de partir à l’hôpital, j’ai demandé les livres de comptes à Lala la barmaid qui aidait ma grand-mère dans ses déclarations pour...
• Nous savons tout, parler sans pudeur, votre grand-mère tenait un bar à filles, nous venons de voir les chambres où elles officient.
• C’est illégal ?
• Non, sinon nous l’aurions fermé depuis longtemps.
À chaque contrôle tout étaient normales.
Son bar est assez retiré et aucune plainte de voisinage qui aurait pu nous conduire à le frapper d’interdiction.
Avez-vous des suspicions sur qui aurait fait cela ?
• J’ai des doutes sur le comptable et la barmaid de ma grand-mère, je me suis arrêté à l’aller, il avait l’air soucieux que je demande à voir la comptabilité.
Au retour j’ai vu que sa voiture était partie et un mot était scotché sur la porte disant qu’il s’était absenté.
• Serge, le comptable dans la rue principale ?
• Oui.
• Sergent foncé avec le bleu au commissariat déclencher un avis de recherche et d’interception d’une voiture de type Audi grise métallisée avec deux personnes à son bord dont une femme de couleur.
• Vous le connaissez !
• Oui, et Lala aussi, j’habite la maison voisine et même s’ils étaient discrets, ils sont amants.
Ils partent nous laissant seule.
Elle appelle les spécialistes qui vont arriver de Bruxelles.
• Tu es française du sud !
• Ça se reconnaît à mon accent !
• Oui, je vais en vacances au cap d’Agde !
• Es-tu naturiste ?
Nous nous sommes mis à nous tutoyer naturellement, la jeune femme m’accroche malgré son uniforme et son gros pétard à la ceinture.
• Oui, et lesbienne, c’est là-bas que j’assouvis mes besoins pendant mes vacances, car ici impossibles de faire voir à mes collèges ce que je suis.
Dans mon boulot nous sommes tous des mâles très virils.
Il faut que l’on en impose, que j’en impose devant mes hommes.
• Pourquoi me fais-tu cette confidence ?
Elle se rapproche de moi.
Me caresse la joue.
• Je sens que je peux te faire confiance, j’ai un instinct pour ça.
Je suis troublée de faire de l’effet à cette femme qui semble toute seule dans ce monde brutal.
Nos bouches se joignent.
• On a presque deux heures devant nous, ta chambre, c’est celle qui a le dessus de lit bleu ?
• Oui !
• Alors vient.
• Oui, Jocelyne.
En chemin, sur quelques mètres, elle détache son ceinturon avec son arme et ses menottes qu’elle me donne.
Elle commence à déboutonner sa chemise d’uniforme sur laquelle son nom est marqué et la laisse tomber au sol.
Nous rejoignons mon lit et nous roulons dessus.
Son flingue tombe au sol ainsi que la paire de bracelets, j’ai mieux à faire que de les garder dans ma main.
Ma figure tombe sur ses seins nus.
Je découvre une chose extraordinaire au moment où je les embrasse passionnément passant de l’un à l’autre.
Ses mamelons sont en érection, je sens que les miens aussi...
C’est le docteur Sala qui me réveille alors que je m’étais endormi dans le fauteuil visiteur en attendant le retour de ma grand-mère emmenée dans son lit passer un IRM.
Les découvertes de ma nuit dans ces appartements m’ayant fatigué.
Des brancardiers ramènent mamy.
Elle semble dormir.
• Je devais vous voir à 15 heures, voyez votre grand-mère se repose.
Mais lorsqu’elle se réveillera, elle sera dans l’incapacité de reconnaître la moindre personne.
Il va vous falloir la placer dans une maison spécialisée où des soins lui seront apportés, à moins que vous ayez la possibilité de la garder chez elle.
Je peux vous donner le nom d’infirmières spécialisées qui viendront à domicile trois fois par jour pour lui apporter les soins appropriés.
Je vous préviens, c’est assez onéreux à moins que votre grand-mère ait une assurance qui la rembourse bien.
Les billets sur un bureau m’apparaissent.
• Nous allons la garder quelques jours en observation, le temps que vous régliez vos problèmes.
Il me prend les mains et les secoue légèrement.
• Je vous laisse, vous pouvez venir dans les heures des visites quand vous voulez.
Si vous avez le moindre souci, vous avez mon numéro et mon bureau vous sera toujours ouvert, je serais à votre disposition pour vous renseigner ou vous aider.
• Êtes-vous marié ?
• Pourquoi cette question, mais non je suis célibataire ?
• Laissez, c’était osé de ma part.
Il me quitte, mon portable vibre.
Je vais dans le couloir, c’est Sacha.
« Gladys, Sabine vient de m’appeler, il y a un problème au bar !
Elles ont vu arriver Serge, le comptable, il a parlé à Lala.
Ils sont montés chez mamy avant de redescendre, ils semblaient en colère.
Ils ont arrêté de s’engueuler quand ils sont arrivés vers les filles.
Lala a pris son sac et son manteau et ils sont partis.
C’était la première fois qu’elles se retrouvaient dans cette situation.
Sylvie finissait avec un client, elles m’ont appelé, je suis venue.
À mon tour, je suis montée, tu avais vu juste en refermant le coffre.
Il était de nouveau ouvert et les godes étaient au sol. »
• Et ce que l’on avait caché !
Des malades promenant leur perfusion passent près de moi, j’évite de parler des lingots et de l’argent.
« Le bureau, la chambre, ta chambre et la salle de bains sont sens dessus dessous.
Ils ont même retourné la cuisine et la salle à manger. »
• Et ce que tu sais.
« Tout est dans la panière à linge, bien caché sous les culottes de ta grand-mère.
Ils ont pensé à tout, sauf à vérifier le linge sale, tu avais vu juste.
Qu’est-ce que je fais ? »
• Ferme le bar, donne de l’argent aux filles si le client a terminé.
La caisse du bar est ouverte !
« Oui, pour la caisse et le client. »
• Bien prend de l’argent assez pour qu’elle comprenne leur intérêt à se taire si elles sont interrogées dans les heures ou les jours prochains.
Lorsqu’elles seront parties, peux-tu emmener la panière et tous cacher ?
« Bien sûr, je le fais tout de suite. »
• Je viens de voir mamy, mais je t’en dirais plus quand j’arriverais.
Là aussi, il y a des décisions à prendre.
Dernier point, en même temps que, la ferraille brillante, emmène aussi les machins en plastique ainsi que le truc que j’avais dans ma chatte.
À ce moment passe près de moi un monsieur âgé avec sa perfusion.
J’ai beau faire attention aux mots que j’emploie, le mot chatte m’échappe.
Il lève la tête faute certainement de pouvoir lever sa queue quand je parle de ma chatte.
• Sur le bureau, il y a différentes chemises dont une rose met les dans le coffre sans refermer la porte.
À oui, s’il reste des billets dans la caisse, eux aussi rangent les à l’intérieur. Surtout pas touche à ceux dans la panière que tu vas emmener, on ignore leur provenance et s’ils sont propres.
Je quitte mamy, je serais bien restée plus longtemps, mais les emmerdes m’appellent.
Lorsque sur ma Vespa, je passe devant les bureaux de Serge, le comptable, la grosse Audi qui était devant, brille par son absence.
Il y a un papier collé sur la porte.
Je m’arrête.
« Fermeture temporairement. »
Si c’est ce que je pense et qui a fait partie de mon rêve, cette porte close risque de le rester un bon moment.
Je gare ma Pétrolette et je rejoins Sacha.
• Tout est fait, c’est d’équerre.
• J’appelle la police, laisse-moi seule, je t’appèlerais si c’est nécessaire.
Tu joueras l’incrédule et tu leur donneras des renseignements les plus simples possible.
Le bar a l’avantage d’être un peu retiré et sans voisinage intempestif.
Je fais un tour rapide, tout semble d’équerre, à part le bordel dans ce bordel.
Je sais que je joue gros, je peaufine le scénario en plaçant le dossier rose à moitié sorti et des feuillets au sol et à moitié sortie !
J’appelle la maréchaussée.
Ils arrivent une femme et deux hommes.
• Bonjour, Lieutenant Ludivine, c’est vous mademoiselle Gladys qui avez appelé ?
• Oui, la maison de ma grand-mère a été cambriolée.
• Et ou se trouve madame Odette !
• Je vois que vous connaissez, ma grand-mère.
Elle a été victime d’une attaque et est en ce moment sur son lit d’hôpital.
• Les filles étaient là.
C’est la nana jolie brune malgré sa tenue de gendarme qui semble la cheffe qui me parle.
• Non, nous avions fermé après son hospitalisation.
J’avais rendez-vous avec son médecin à 15 heures à l’hôpital.
La gendarmette prend des notes sur un calepin.
• Il pourra le confirmer.
• Oui, docteur Sala, mais il m’a parlé un peu plus tôt que prévu, c’est pourquoi je suis rentrée en avance, ma grand-mère devant se reposer, elle est encore dans le coma.
C’est dur de répondre de façon cohérente, sans rien omettre, l’heure de mon appel à son importance.
Nous entrons.
Ils font le tour du bar et des chambres des filles ainsi que la partie privée de mamy.
• Ça ressemble à un cambriolage, nous allons faire venir les services spécialisés, avez-vous des soupçons.
• Avant de partir à l’hôpital, j’ai demandé les livres de comptes à Lala la barmaid qui aidait ma grand-mère dans ses déclarations pour...
• Nous savons tout, parler sans pudeur, votre grand-mère tenait un bar à filles, nous venons de voir les chambres où elles officient.
• C’est illégal ?
• Non, sinon nous l’aurions fermé depuis longtemps.
À chaque contrôle tout étaient normales.
Son bar est assez retiré et aucune plainte de voisinage qui aurait pu nous conduire à le frapper d’interdiction.
Avez-vous des suspicions sur qui aurait fait cela ?
• J’ai des doutes sur le comptable et la barmaid de ma grand-mère, je me suis arrêté à l’aller, il avait l’air soucieux que je demande à voir la comptabilité.
Au retour j’ai vu que sa voiture était partie et un mot était scotché sur la porte disant qu’il s’était absenté.
• Serge, le comptable dans la rue principale ?
• Oui.
• Sergent foncé avec le bleu au commissariat déclencher un avis de recherche et d’interception d’une voiture de type Audi grise métallisée avec deux personnes à son bord dont une femme de couleur.
• Vous le connaissez !
• Oui, et Lala aussi, j’habite la maison voisine et même s’ils étaient discrets, ils sont amants.
Ils partent nous laissant seule.
Elle appelle les spécialistes qui vont arriver de Bruxelles.
• Tu es française du sud !
• Ça se reconnaît à mon accent !
• Oui, je vais en vacances au cap d’Agde !
• Es-tu naturiste ?
Nous nous sommes mis à nous tutoyer naturellement, la jeune femme m’accroche malgré son uniforme et son gros pétard à la ceinture.
• Oui, et lesbienne, c’est là-bas que j’assouvis mes besoins pendant mes vacances, car ici impossibles de faire voir à mes collèges ce que je suis.
Dans mon boulot nous sommes tous des mâles très virils.
Il faut que l’on en impose, que j’en impose devant mes hommes.
• Pourquoi me fais-tu cette confidence ?
Elle se rapproche de moi.
Me caresse la joue.
• Je sens que je peux te faire confiance, j’ai un instinct pour ça.
Je suis troublée de faire de l’effet à cette femme qui semble toute seule dans ce monde brutal.
Nos bouches se joignent.
• On a presque deux heures devant nous, ta chambre, c’est celle qui a le dessus de lit bleu ?
• Oui !
• Alors vient.
• Oui, Jocelyne.
En chemin, sur quelques mètres, elle détache son ceinturon avec son arme et ses menottes qu’elle me donne.
Elle commence à déboutonner sa chemise d’uniforme sur laquelle son nom est marqué et la laisse tomber au sol.
Nous rejoignons mon lit et nous roulons dessus.
Son flingue tombe au sol ainsi que la paire de bracelets, j’ai mieux à faire que de les garder dans ma main.
Ma figure tombe sur ses seins nus.
Je découvre une chose extraordinaire au moment où je les embrasse passionnément passant de l’un à l’autre.
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