COLLECTION PUTE. Grand-mère Odette. Saison VII (20/21) - histoire érotique

Quelle chance j’ai eue d’avoir l’idée de mettre une sonnette dans mon bureau déclenché par les filles depuis le bar.
Cette sécurité que je pensais essentielle, c’est Mario du nord qui l’a installé sans penser qu’elle nous servirait si vite.
Je descends quelques marches quand la voix que j’entends est sans équivoque.
Fernandel, des temps modernes, c’est la voix de Mario du Sud, celui que la police recherche.
Mario l’Avignonnais voulait faire payer ses dettes de jeu en profitant de Karine, mais contre toute attente pour une femme que je sais soumise, elle s’est enfuie jusqu’ici en Belgique.
Avec un fou furieux comme lui, coup de chance qu’il soit arrivé après que Clarissa et Karine ayant fini leur prestation au bar, s’en sont retournées chez elles.
J’allais pour remonter pour appeler Jocelyne, mais j’entends sa voix.

• Les filles, restez calme, monsieur, posez votre arme, vous risquez de blesser l’une de nous.
Cela arrive de faire des bêtises, j’en ai bien fait, moi aussi.

Elle me regarde quand elle me dit cela, les menottes ça l’a marqué.
Je sais Jocelyne entraîné pour ce genre de situation.
Si l’une d’entre nous connaît bien Mario, c’est moi.
Je finis par rejoindre le bar.

• Gladys, c’est toi, dis-moi ou Karine se cache, je vais lui faire la peau à cette salope, c’est entièrement de sa faute si j’ai fait une connerie.
• Calme toi Mario poses cette arme sur le comptoir, tu vas te blesser ou blesser quelqu’un.
Oseras-tu me tirer dessus et sur Sacha, que tu tiens par les cheveux ?
Elle a trois enfants, qui s’occuperont d’eux si tu flingues leur maman.
Que gagneras-tu, quelques jours de cavale de plus et une mort certaine alors qu’avec un bon avocat dans moins de dix ans tu seras libre ?
Karine, je l’ai raccompagnée à la gare de Lille tout à l’heure, elle est en route pour Avignon, tu vois tu es perdant sur toute la ligne.

Je me croyais incapable de dire tout cela sous l’œil agressif d’un flingue pointé dans ma direction.
Comme il est placé, il est hors de champ de Jocelyne qui cherche à se faire oublier tout en se rapprochant.
Il faut que je continue à détourner sa vue de notre amie la gendarmette belge.

• Je sais que tu es parti avec Karine, mais entre nous, il y a eu de grands moments de bonheur.
Pense que c’est toi qui as été l’un de mes premiers amants.

Ça va très vite, Jocelyne assez près tape sur le poignet de Mario, avec une force et une vitesse telle que l’arme tombe au sol.
Dans le même temps, elle le prend par le cou et repoussant Sacha sans ménagement le plaque au sol.
Quelle force et quelle vitesse pour un petit bout de femme comme elle.

• Bien, jouez Jocelyne, dommage que tu sois en civile, aujourd’hui tes menottes t’auraient été bien utile.
• Aucun problème Gladys, un bon policier a toujours des ressources.

Je la vois sortir de son jean un morceau de plastique blanc.

• Si tu avais le temps de regarder des séries américaines, tu verrais que les policiers ont tous ces colliers d’électricien en remplacement de leur jeu de menottes.
Léger, regarde, j’enserre les poignets de ce connard et je tire.
Eh ! arrête de bouger, tu veux que je te casse le bras !
Ça t’arrangerait que l’on dise que tu as été victime de brutalité policière.
C’est bien sage, vous voyez les files, ce collier se serre et il est impossible à défaire sauf à le couper.
Reste au sol pauvre con.
Tu croyais que de venir t’attaquer à des filles ferais de toi un héros.
• Tient, tient.

C’est la pauvre Sabine qui ayant certainement eu la peur de sa vie vient de décocher des coups de pied dans les couilles de Mario maintenant qu’il est immobilisé.
Mieux Sylvie pour éviter d’être en reste pose son talon aiguilles sur sa poitrine et tourne.
Mario hurle.

• Les filles, j’appelle mes adjoints, ils vont venir embastiller cet individu.
Laissez-en un petit peu pour que le juge puisse le condamner au niveau de son crime en France.
Avec en prime sa tentative arme en main de retrouver votre amie Karine et de la tuer.
• Tient.

Sabine a un dernier coup de rage.
Les gendarmes arrivent suivis par des journalistes.
Qui les a prévenus, je l’ignore, mais ils sont là, ils veulent faire des photos à l’intérieur du bar et surtout des photos des filles.
Jocelyne m’aide à les protéger.
Nous leur demandons de nous laisser tranquille, une nouvelle fois elle prend une initiative.

• Messieurs, dames, je vous convie au commissariat dans une heure, je serais en mesure de répondre à vos questions après consultation et accord de mes supérieurs.

Je vois qu’elle déplace le débat loin d’ici, la procédure étant en cour, j’ai souvent entendu dire qu’il est impossible de parler à une telle étape d’une affaire.
Lorsque tout est rentré dans l’ordre, une nouvelle fois je ferme le bar aux clients.
La pub, c’est bon, mais trop ça peut nuire au business.
Sacha rentre chez elle, je dois la rejoindre après quelques coups de téléphone à passer.

• Allo !

Pas de réponse, je fais le numéro de Clarissa.

• Allo !

Pas de réponse.
Ça sonne, je décroche.

• Gladys, tu m’as appelé !
• Oui, je voudrais te rassurer, Mario a été arrêté.
• Qui parle de moi ?
• Chut, attend, c’est Gladys qui me téléphone.

Incroyable, pendant que nous arrêtions Mario du Sud, jouant notre vie, Karine est chez Mario du Nord, qui plus est dans le Jacuzzi, j’entends le bruit de l’eau qui coule.
Je connais, j’ai pratiqué.

• Amusez-vous les filles, Karine tu m’expliqueras.
• Oui.

Le petit oui de fin m’enchante, Karine semble reprendre sa vie dans de meilleures dispositions.
Je range les quelques sous que les filles ont gagnés.
Quand j’ouvre le coffre, il a retrouvé ses quatre lingots et ses liasses d’euros.
Sacha a dû retrouver la clef du coffre des pirates et ses filles vont pouvoir se remettre leurs bandos sur l’œil et jouer avec leur sabre d’abordage.
Je ferme le bar et je retrouve Sacha qui est dans sa salle de bain.
J’arrive derrière elle, je la serre contre moi, ma main se posant sur sa chatte qui semble aimer mon initiative.
Je sens que contre moi, son corps encore humide, déborder d’adrénaline .
En nous jouant du Mario du Sud, cette dernière ressort par tous les pores de notre peau et de nos vagins.
Elle se retourne, me prend la tête entre ses mains, nos bouches se soudent.
Nos seins et nos fraises sont tellement étroitement liés que nos corps font qu’un.
Ma main et mes doigts descendent dans sa fourche qui ruisselle d’une bonne cyprine que je bois avec délice quand nous nous déplaçons vers son lit.
Quand elle se couche en arrière, nous manquons de rouler au sol, mais quand j’atterris sur mes genoux ma bouche qui a quitté la sienne se retrouve à hauteur de son clitoris.
Je le connais déjà très bien, mais dans l’excitation, suite à l’arrestation de Mario, je le trouve encore plus gros que les dernières fois ou je lui ai donné du plaisir.

• Croise bien tes jambes avec les miennes, je veux ton clitoris sur mon clitoris.
• Ah ! c’est bon, j’en avais tellement besoin.
Si tu savais comme j’ai eu peur.
Quand il me tenait par les cheveux, je voyais son arme pointée vers toi, j’avais les mains libres, mais j’étais tétanisée et dans l’impossible de lui faire ce que Jocelyne lui a fait.

Je sens son corps se détendre, après avoir vibré une dernière fois.
Nous nous retrouvons couchées dans les bras l’une l’autre.

• Tu sais, ce qu’a fait Jocelyne, c’est un métier, elle a dû apprendre ces techniques de défense et d’arrestation dans son école de police.
• Comme nous les putes, nous apprenons nos techniques pour faire décharger le plus rapidement possible nos clients pour passer au suivant.
• Là tu vas loin, donne-moi l’adresse de l’école où tu as appris à te prostituer, j’en aurais besoin au cas où l’une de nos filles nous lâcherait.
• Tu dis ça comme si tu savais que l’une d’entre elles allait nous quitter !

Je lui raconte mon coup de fil à Karine et où elle semblait être dans un Jacuzzi que je connais trop bien.

• Que Clarissa se range, ça m’étonnerait, j’ai vu quelques filles passer chez Odette depuis que je fais le métier pour élever mes filles.
Elle, c’est une pure et dure qui a certainement un compte à régler avec les hommes.
Je te suivrais plutôt pour ta copine, qui regardait un jumeau avec les yeux de l’amour.
• Elle a été tout le temps comme ça, il lui faut toujours les jouets des autres, elle est incapable de profiter de la vie comme je le fais.

Nous dormons, au matin, la triple tornade s’abat sur nous.

• Tante Gladys, maman a retrouvé la clef du coffre des pirates.
La bourse ou la vie.

Les trois sabres qui me menacent sont bien plus impressionnants que l’œil du flingue de Mario du Sud.

• La vie, je vous en supplie, laissez-moi la vie !...