COLLECTION PUTE. J’ai prêté ma maison familiale à deux putes (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUTE. J’ai prêté ma maison familiale à deux putes (1/2)
L’aventure qui vient de m’arriver va grandement changer l’idée que je me faisais de la vie et de la fille de ma femme.
Fille de ma femme qui étant fille-mère a eu une petite fille avec un mec de passage dans son village comme cela arrive de temps en temps à de nombreuses jeunes filles.
On parlait des plombiers polonais lorsque Sandrine a rencontré ce garçon, mais qui lui était chauffeur routier.
Il m’est impossible d’en dire beaucoup plus sur le père de sa fille !
Celle que j’ai rencontrée alors que Sylvana avait déjà seize ans s’est contentée de m’en dire le minimum sur ce garçon à part ce que je viens de dire qu’il était chauffeur routier.
De toute façon à quoi ça m’aurait servi d’en savoir plus !
Sandrine, c’est dans un bal du 14 Juillet que j’ai fait sa connaissance.
Elle était assise à une table avec trois verres devant elle.
Je me suis installé et j’ai réussi à engager la conversation.
De temps en temps deux jeunes filles, deux adolescentes venaient boire une gorgée de ce que je pense être du coca et repartaient rapidement se trémousser sur la piste.
• Je suis là pour chaperonner ma fille et son amie Paola, j’ai eu une mauvaise expérience de ces soirées de bal et je veux éviter à ma fille de subir ce que j’ai subi.
Avec un peu plus de recul, j’en ai déduit que ce chauffeur polonais s’était dans un bal qu’elle l’avait connu et s’était fait engrosser.
Sandrine était tout à fait le genre de femme que j’affectionnais, grande, je fais moi-même 1m90, avec des seins que son débardeur par cette chaude soirée d’été montrait généreusement.
Bien bronzé, là encore j’ai très vite su que dès qu’elle avait le temps, elle est secrétaire à la mairie de notre ville, elle fonçait sur la plage au bord de la Loire pour se faire bronzer.
À la fin de sa surveillance, les filles étant fatiguées, j’ai eu le temps de lui glisser une de mes cartes de visite, je suis responsable de l’agence immobilière de cette ville.
J’étais persuadé que jamais mon numéro serait composé et quelle fut ma surprise d’entendre sa voix me dire qu’elle était d’accord de dîner avec moi à l’auberge à la sortie de la ville.
• Sandrine, tu viens boire un dernier verre chez moi !
Et comme j’étais célibataire et que je lui plaisais, nous avons fait tout ce que tout couple libre fait dans de telles circonstances.
Inutile de dire que je l’ai embrassé, allongé sur mon canapé, que, rapidement j’ai pu goutter à ses lèvres et de là celle de sa chatte rasée sauf ce que l’on appelle un timbre-poste auburn.
Je m’arrête là, par respect pour elle et c’est comme cela que deux mois plus tard je les faisais emménager dans ma villa avec piscine.
Avant la fin de l’été, je faisais connaissance avec l’anatomie de Sylvana et Paola qui semblaient prendre un malin plaisir à me mettre leur charme devant mes yeux.
Pour ma part, je gardais un slip de bain même du genre moulant mes couilles.
Bien sûre, Sandrine a délaissé les bords de Loire pour se faire bronzer avec des deux pièces légèrement plus grandes que son timbre-poste qu’elle devait cacher.
Entouré de ces trois naïades, il était fréquent que je bande sans pour autant leur faire voir couché sur mon transat le ventre sur le matelas que j’avais installé.
Si l’érection durait trop longtemps, je sautais prestement dans ma piscine, l’eau froide m’aidant à débander.
Le temps a passé.
• Jacques, Paola et moi nous avons quelque chose à te demander !
Jacques, c’est moi et c’est Sylvana qui m’interpelle, de l’adolescente qu’elle était lorsqu’elle a emménagé avec sa mère, c’est devenu une bombe.
Lorsque nous sommes au bord de la piscine, je bande de plus en plus lorsque je vois les corps parfaits que la nature leur a donnés.
• Oui, que veux-tu ?
• Avec Paola, depuis que nous sommes majeurs, nous souhaiterions vivre sous le même toi, mais comme nous faisons nos études, nous sommes dans l’impossibilité de payer un loyer.
Je me doutais que ces deux belles filles toujours ensemble avaient fini par se gouiner et qu’elles voulaient un chez elle pour cacher leur amour.
• Tu refuses de vendre la maison de tes parents et surtout de ta maman qui nous a quitté l’an dernier.
Tu payes tous, impôts, les frais de chauffage l’hiver et même l’eau et le gaz.
J’ai fait visiter à Paola, j’ai pris la clef dans ton tiroir dans votre chambre avec maman.
Elle est enchantée et nous voudrions nous y installer.
Quelques jours plus tard, j’ai dû aider à faire le forcing auprès de Sandrine qui voyait d’un mauvais jour la désertion de sa fille.
Ça fait six mois qu’elles ont emménagé, les problèmes se sont aplanis entre Sylvana et Sandrine, tous les dimanches, elles délaissent leurs cahiers pour venir manger à la maison.
Ce soir, à dix-sept heures, j’ai rendez-vous avec un couple d’acheteurs devant une résidence que je compte vendre, bouclant le budget prévisionnel de l’année dès le mois de septembre.
Cette résidence, je la connais bien, je jouais avec le fils des anciens propriétaires, hélas, décédé et elle est voisine de la mienne ou vive Sylvane et Paola.
Je viens de conclure la vente, les acheteurs devant passer demain à l’agence pour finaliser.
Je vois Paola sortir, un cabas à la main, elle doit aller faire les courses à l’opposé d’où je suis.
Je vais pour l’interpeller lorsqu’une voiture s’arrête devant chez moi, pardon chez elles.
J’ai dû mal voir, l’homme m’a paru âgé, sa tenue d’homme d’affaires m’interpelle.
• Je vous laisse, à demain à l’agence, je retourne à l’intérieur j’ai oublié des papiers sur la cheminée de la salle à manger.
Étant proprio, je suis étonné de la visite de cet homme, Sylvana me ferait-elle un petit dans le dos en essayant de revendre mon bien !
Je suis un pro de la vente et je crois peu à cela, mais qu’est-ce que vient faire ce bonhomme chez moi ?
Je monte à l’étage, une fenêtre est mieux placée pour voir ce qu’il se passe.
Presque quarante minutes d’attente, je vois Paola revenir avec son cabas, je vois des poireaux, elle a bien été faire des courses.
Je suis un peu en avant de ma maison et de mon perron, la porte s’ouvre et je vois l’homme sortir avec derrière lui une chose impensable.
Sylvana en guêpière lui rehaussant les seins perchés sur de hauts talons avec une paire de bas blanc mettant en valeur ses cheveux flamboyants.
Elle parle quelques secondes avec l’homme qui la quitte et lui fait un petit geste de la main.
• Sandrine, je serais en retard pour dîner, mes clients sont arrivés en retard, ils ont eu un empêchement.
Ça m’arrive de temps en temps et comme chaque fois je la préviens, Sandrine est rassurée, ça me laisse du temps.
Je veux être certain que ce que j’ai vu était bien réelle, Sylvana a raccompagné cet homme dans une tenue non équivoque.
Ce serait un jeune homme, j’aurais pu croire que c’était un amant.
Mais la tenue, guêpière violine ses seins débordant de partout et surtout ras sa chatte, c’est une pute qui raccompagnait son client.
Les rendez-vous semblent être pris avec un moment de battement, ça fait une demi-heure que le premier homme a quittée ma belle-fille lorsqu’une nouvelle voiture s’arrête.
Encore un homme d’un certain âge, par rapport celui que je considère comme le premier client de la soirée de Sylvana, je suis placé pour mieux voir.
Je le vois appuyer sur la sonnette, je la connais bien, c’est moi qui l’ai changé du temps de ma maman.
Quelques minutes, la porte s’ouvre, changement de pute de service.
C’est Paola qui se présente, elle aussi en guêpière, mais bleu avec des bas noirs avec jarretelles, sur elle aussi, hauts talons noirs.
Plus de doute, la tenue est celle d’une pute, surtout quand avant que la porte se referme, je vois l’homme sortir des billets de sa poche et les donner à Paola.
Les filles se prostituent dans la maison de ma maman.
De mon père aussi, mais lui est mort depuis si longtemps que mon impression sur ce qu’elles font est atténuée avec le temps.
Je rentre chez moi, ma femme est là qui a préparé un bon repas pour son pauvre travailleur ayant fait des heures supplémentaires.
Si elle savait, pourquoi serait-elle moins enjouée qu’elle l’est à ce moment.
Je bande après avoir vu des putes chez moi et surtout les guêpières avec leurs bas et hauts talons.
Le lendemain, je reçois mes clients de la veille, ils signent sans rechigner, je viens de réussir un bon coup.
J’appelle la fac où les filles sont inscrites, je trouve un motif fallacieux et je sais qu’elles finissent à 16 heures.
J’ai donné deux jeux de clés de la maison voisine, je veux intervenir, mais je veux être sur à cent pour cent.
Sylvana arrive la première et quinze minutes plus tard, une voiture, deux hommes, la porte s’ouvre, tenue de pute, mais guêpière verte, il semble qu’elle en ait une grande panoplie.
Je me suis servi de mon portable pour filmer l’arrivée de ces deux mecs.
Deux mecs, la quarantaine, elle se prostitue et se fait mettre par deux mecs, une vraie salope.
J’attends une demi-heure et j’appelle son portable.
• Sylvana, je suis à quinze minutes de chez moi et j’aurais des affaires à récupérer dans le grenier de la maison de mes parents, ça te dérangerait afin que je passe les récupérer !
L’effet escompté se réalise, une vraie volée de moineau.
Pour commencer, deux mecs à moitié rhabiller qui précipitamment la maison de mes parents.
J’ai envie de m’amuser un peu de la situation...
Fille de ma femme qui étant fille-mère a eu une petite fille avec un mec de passage dans son village comme cela arrive de temps en temps à de nombreuses jeunes filles.
On parlait des plombiers polonais lorsque Sandrine a rencontré ce garçon, mais qui lui était chauffeur routier.
Il m’est impossible d’en dire beaucoup plus sur le père de sa fille !
Celle que j’ai rencontrée alors que Sylvana avait déjà seize ans s’est contentée de m’en dire le minimum sur ce garçon à part ce que je viens de dire qu’il était chauffeur routier.
De toute façon à quoi ça m’aurait servi d’en savoir plus !
Sandrine, c’est dans un bal du 14 Juillet que j’ai fait sa connaissance.
Elle était assise à une table avec trois verres devant elle.
Je me suis installé et j’ai réussi à engager la conversation.
De temps en temps deux jeunes filles, deux adolescentes venaient boire une gorgée de ce que je pense être du coca et repartaient rapidement se trémousser sur la piste.
• Je suis là pour chaperonner ma fille et son amie Paola, j’ai eu une mauvaise expérience de ces soirées de bal et je veux éviter à ma fille de subir ce que j’ai subi.
Avec un peu plus de recul, j’en ai déduit que ce chauffeur polonais s’était dans un bal qu’elle l’avait connu et s’était fait engrosser.
Sandrine était tout à fait le genre de femme que j’affectionnais, grande, je fais moi-même 1m90, avec des seins que son débardeur par cette chaude soirée d’été montrait généreusement.
Bien bronzé, là encore j’ai très vite su que dès qu’elle avait le temps, elle est secrétaire à la mairie de notre ville, elle fonçait sur la plage au bord de la Loire pour se faire bronzer.
À la fin de sa surveillance, les filles étant fatiguées, j’ai eu le temps de lui glisser une de mes cartes de visite, je suis responsable de l’agence immobilière de cette ville.
J’étais persuadé que jamais mon numéro serait composé et quelle fut ma surprise d’entendre sa voix me dire qu’elle était d’accord de dîner avec moi à l’auberge à la sortie de la ville.
• Sandrine, tu viens boire un dernier verre chez moi !
Et comme j’étais célibataire et que je lui plaisais, nous avons fait tout ce que tout couple libre fait dans de telles circonstances.
Inutile de dire que je l’ai embrassé, allongé sur mon canapé, que, rapidement j’ai pu goutter à ses lèvres et de là celle de sa chatte rasée sauf ce que l’on appelle un timbre-poste auburn.
Je m’arrête là, par respect pour elle et c’est comme cela que deux mois plus tard je les faisais emménager dans ma villa avec piscine.
Avant la fin de l’été, je faisais connaissance avec l’anatomie de Sylvana et Paola qui semblaient prendre un malin plaisir à me mettre leur charme devant mes yeux.
Pour ma part, je gardais un slip de bain même du genre moulant mes couilles.
Bien sûre, Sandrine a délaissé les bords de Loire pour se faire bronzer avec des deux pièces légèrement plus grandes que son timbre-poste qu’elle devait cacher.
Entouré de ces trois naïades, il était fréquent que je bande sans pour autant leur faire voir couché sur mon transat le ventre sur le matelas que j’avais installé.
Si l’érection durait trop longtemps, je sautais prestement dans ma piscine, l’eau froide m’aidant à débander.
Le temps a passé.
• Jacques, Paola et moi nous avons quelque chose à te demander !
Jacques, c’est moi et c’est Sylvana qui m’interpelle, de l’adolescente qu’elle était lorsqu’elle a emménagé avec sa mère, c’est devenu une bombe.
Lorsque nous sommes au bord de la piscine, je bande de plus en plus lorsque je vois les corps parfaits que la nature leur a donnés.
• Oui, que veux-tu ?
• Avec Paola, depuis que nous sommes majeurs, nous souhaiterions vivre sous le même toi, mais comme nous faisons nos études, nous sommes dans l’impossibilité de payer un loyer.
Je me doutais que ces deux belles filles toujours ensemble avaient fini par se gouiner et qu’elles voulaient un chez elle pour cacher leur amour.
• Tu refuses de vendre la maison de tes parents et surtout de ta maman qui nous a quitté l’an dernier.
Tu payes tous, impôts, les frais de chauffage l’hiver et même l’eau et le gaz.
J’ai fait visiter à Paola, j’ai pris la clef dans ton tiroir dans votre chambre avec maman.
Elle est enchantée et nous voudrions nous y installer.
Quelques jours plus tard, j’ai dû aider à faire le forcing auprès de Sandrine qui voyait d’un mauvais jour la désertion de sa fille.
Ça fait six mois qu’elles ont emménagé, les problèmes se sont aplanis entre Sylvana et Sandrine, tous les dimanches, elles délaissent leurs cahiers pour venir manger à la maison.
Ce soir, à dix-sept heures, j’ai rendez-vous avec un couple d’acheteurs devant une résidence que je compte vendre, bouclant le budget prévisionnel de l’année dès le mois de septembre.
Cette résidence, je la connais bien, je jouais avec le fils des anciens propriétaires, hélas, décédé et elle est voisine de la mienne ou vive Sylvane et Paola.
Je viens de conclure la vente, les acheteurs devant passer demain à l’agence pour finaliser.
Je vois Paola sortir, un cabas à la main, elle doit aller faire les courses à l’opposé d’où je suis.
Je vais pour l’interpeller lorsqu’une voiture s’arrête devant chez moi, pardon chez elles.
J’ai dû mal voir, l’homme m’a paru âgé, sa tenue d’homme d’affaires m’interpelle.
• Je vous laisse, à demain à l’agence, je retourne à l’intérieur j’ai oublié des papiers sur la cheminée de la salle à manger.
Étant proprio, je suis étonné de la visite de cet homme, Sylvana me ferait-elle un petit dans le dos en essayant de revendre mon bien !
Je suis un pro de la vente et je crois peu à cela, mais qu’est-ce que vient faire ce bonhomme chez moi ?
Je monte à l’étage, une fenêtre est mieux placée pour voir ce qu’il se passe.
Presque quarante minutes d’attente, je vois Paola revenir avec son cabas, je vois des poireaux, elle a bien été faire des courses.
Je suis un peu en avant de ma maison et de mon perron, la porte s’ouvre et je vois l’homme sortir avec derrière lui une chose impensable.
Sylvana en guêpière lui rehaussant les seins perchés sur de hauts talons avec une paire de bas blanc mettant en valeur ses cheveux flamboyants.
Elle parle quelques secondes avec l’homme qui la quitte et lui fait un petit geste de la main.
• Sandrine, je serais en retard pour dîner, mes clients sont arrivés en retard, ils ont eu un empêchement.
Ça m’arrive de temps en temps et comme chaque fois je la préviens, Sandrine est rassurée, ça me laisse du temps.
Je veux être certain que ce que j’ai vu était bien réelle, Sylvana a raccompagné cet homme dans une tenue non équivoque.
Ce serait un jeune homme, j’aurais pu croire que c’était un amant.
Mais la tenue, guêpière violine ses seins débordant de partout et surtout ras sa chatte, c’est une pute qui raccompagnait son client.
Les rendez-vous semblent être pris avec un moment de battement, ça fait une demi-heure que le premier homme a quittée ma belle-fille lorsqu’une nouvelle voiture s’arrête.
Encore un homme d’un certain âge, par rapport celui que je considère comme le premier client de la soirée de Sylvana, je suis placé pour mieux voir.
Je le vois appuyer sur la sonnette, je la connais bien, c’est moi qui l’ai changé du temps de ma maman.
Quelques minutes, la porte s’ouvre, changement de pute de service.
C’est Paola qui se présente, elle aussi en guêpière, mais bleu avec des bas noirs avec jarretelles, sur elle aussi, hauts talons noirs.
Plus de doute, la tenue est celle d’une pute, surtout quand avant que la porte se referme, je vois l’homme sortir des billets de sa poche et les donner à Paola.
Les filles se prostituent dans la maison de ma maman.
De mon père aussi, mais lui est mort depuis si longtemps que mon impression sur ce qu’elles font est atténuée avec le temps.
Je rentre chez moi, ma femme est là qui a préparé un bon repas pour son pauvre travailleur ayant fait des heures supplémentaires.
Si elle savait, pourquoi serait-elle moins enjouée qu’elle l’est à ce moment.
Je bande après avoir vu des putes chez moi et surtout les guêpières avec leurs bas et hauts talons.
Le lendemain, je reçois mes clients de la veille, ils signent sans rechigner, je viens de réussir un bon coup.
J’appelle la fac où les filles sont inscrites, je trouve un motif fallacieux et je sais qu’elles finissent à 16 heures.
J’ai donné deux jeux de clés de la maison voisine, je veux intervenir, mais je veux être sur à cent pour cent.
Sylvana arrive la première et quinze minutes plus tard, une voiture, deux hommes, la porte s’ouvre, tenue de pute, mais guêpière verte, il semble qu’elle en ait une grande panoplie.
Je me suis servi de mon portable pour filmer l’arrivée de ces deux mecs.
Deux mecs, la quarantaine, elle se prostitue et se fait mettre par deux mecs, une vraie salope.
J’attends une demi-heure et j’appelle son portable.
• Sylvana, je suis à quinze minutes de chez moi et j’aurais des affaires à récupérer dans le grenier de la maison de mes parents, ça te dérangerait afin que je passe les récupérer !
L’effet escompté se réalise, une vraie volée de moineau.
Pour commencer, deux mecs à moitié rhabiller qui précipitamment la maison de mes parents.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est très méchant d'agir avec une méchanceté si voluptueuse et dévergondée
J'adore la chaleur et l'humidité de cette histoire
Nadia la rebelle
J'adore la chaleur et l'humidité de cette histoire
Nadia la rebelle
Aujourd'hui
Alors mon cher Chris, tu es sans pitié avec ces gentes demoiselles...
J'aurais peut-être fait pareil 😉😉😉🤣🤣
Vivement la suite
Cyrille
J'aurais peut-être fait pareil 😉😉😉🤣🤣
Vivement la suite
Cyrille
vite la suite
Je suis curieuse