COLLECTION PUTE. J’ai toujours réussi à faire croire à Maman que j’étais avocate (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUTE. J’ai toujours réussi à faire croire à Maman que j’étais avocate (1/1)
« Collection pute. »
Je sais, j’ai déjà une : « Collection Escorte Girl », mais on peut être pute sans être sur Internet dans un site de Cover-Girl.
L’histoire qui arrive à cette jeune femme va dans ce sens.
Tout a commencé dès la rentrée à la fac de Nanterre pour des études afin de devenir avocate.
Je suis en chemin vers l’entrée quand je vois un homme au volant me faisant signe.
Je m’avance, il a un papier à la main, il doit chercher sa route.
Il va être déçu, j’arrive du pays du chabichou et je suis à Paris depuis huit jours.
• Mademoiselle, je fais partie d’une organisation aidant les jeunes filles mignonnes comme vous à financer leurs études, du moins en cas de besoin, il va de soi.
Maman m’a mise au courant des hommes, de son genre, qui vous promette la lune, mais qui peut vous faire devenir une jeune femme de mauvaise vie.
Elle a oublié deux choses, il est sapé comme un prince et à des yeux bleus comme la mer au fond de laquelle on a envie de se perdre.
Surtout que maman ignore qu’ayant eu mon bac avec facilité, je suis sortie lorsqu’elle était partie à son hôpital en service de nuit et que j’ai perdu mon pucelage, avant qu’elle ne revienne au matin.
Alors mon indépendance, ce sont des risques de sollicitation, mais pas avec ce garçon, mais à qui je prends tout de même son bristol.
Ou je l’ai mis, merde, pardon, mot trop expressif dans la bouche d’une jeune fille très bien élevée par sa maman chérie.
À oui, dans ce tas de papiers, monsieur Serge, 06 00 .. !
• Monsieur Serge à votre service, je vais être direct, si vous avez mon numéro, donc ma carte, c’est que je vous ai repéré en début d’année lorsque je distribuais mes cartes devant votre fac.
Rendez-vous à 20 heures au restaurant des trois cerfs, il y a des chambres à l’étage et je vous ferais passer votre premier examen de fac, pour voir si vous êtes capable de satisfaire les clients que je vous fournirais.
Il est facile de se faire tringler par son petit copain, il est plus dur d’écarter ses cuisses pour qu’un homme inconnu vous la mette après avoir touché votre enveloppe.
Comme je l’ai dit, maman m’avait prévenu de ce genre de sollicitation.
Restaurant, monté vers les étages, cette fois dans une de mes robes de jeunes filles.
Bite que je sors et que je suce, sortie de son pantalon par Serge, me laissant plonger mes yeux jusqu’au fond de la mer que représentent les siens.
60 à 40, c’est le pourcentage qu’il rend, mais en prime dès votre examen de passage, il vous emmène vous habiller, façon femme fatale.
Vous passez dans les mains d’une jeune femme dans l’institut de beauté ou vous avez rendez-vous chaque semaine pour vous rendre la plus belle possible.
À chaque rendez-vous que l’on a compris galant, moyennant grosses coupures, vous passez un quart d’heure le temps de refaire votre brushing.
Le premier jour, j’avais des cheveux qui me tombaient à mi dos,
Il me les a fait couper, au grand dam de maman la première fois où je suis venue la voir après avoir fait le numéro de Serge.
J’ai été assez maligne de lui faire comprendre, que l’entretien me coutait cher et que je savais me contenter du peu d’argent que j’avais.
Ce jour-là, je remettais les vêtements de mon départ en gare dans les bras de maman ayant peur de perdre sa fille.
J’ai vu que je pouvais aller plus loin, je porte les tenues qui font de moi une femme fatale et qui plaisent à mes clients.
C’est passé comme une lettre à la poste, comme les bites qui me payent très cher et qui entrent dans ma chatte comme des lettres à la poste.
• Maman, voici le premier chèque qui va te permettre d’arrêter de travailler de nuit.
J’ai été reçu à mes examens et un cabinet parisien m’a embauché.
Tu auras le même le mois prochain et ainsi tous les mois, maintenant que je gagne largement ma vie, c’est normal de te rendre la pareille.
• Séverine, je vois que tu as amené ta robe, passe là que je fasse des photos que je mette sur ma cheminée.
Mes copines au boulot, me disaient que c’était une erreur de te laisser partir seule à Paris, qu’a la capitale, il y a des maquereaux qui allaient faire de toi une prostituée.
• Maman, c’était mal me connaitre, prend autant de photos que tu le désires, même si je préfère mon nouveau look à celui que j’avais avant.
Cheveux, look, je peaufine mon personnage de fille moderne gageant largement ma vie, grâce à la voiture de sport dans laquelle je la promène chaque fois que je viens la voir.
Ce qu’elle aime par-dessus tout, c’est les jours de beaux temps décapotant autant que je décalotte mes clients, faire signe à des copines que l’on croise la fille qu’elle a faite de moi.
La pute, non, ça c’est mon secret, mais l’avocate que je suis censée être.
• C’est moi Serge, mais tu as reconnu ma voix.
Séverine, 20 heures restaurant que tu rejoindras par le taxi qui te prendra devant ton loft.
C’est un vieux monsieur que tu reconnaitra, inutile de te dire d’être discrète, tu es une perle de ce côté-là.
Robe de soirée sans être trop longue, si tu fais l’affaire, il m’a parlé de la Réunion pour un mois.
Soleil et cocotier.
Il y a un procès là-bas où officiellement tu assisteras ton patron qui plaide tout ce mois.
60 pour moi, 40 pour toi, tu vas pouvoir te payer ta voiture de sport Audi électrique dont tu rêves pour promener ta maman.
Comment changer de métier, il est plus rentable d’être pute qu’avocat, surtout que de là-bas, j’enverrais des vidéos à maman devant le tribunal, à l’intérieur du tribunal ?
Devant le palace, là c’est facile, inutile de me déguiser.
Au restaurant sans que l’on voit mon client.
À la plage sur un transat un cocktail en main.
Et surtout dans ma chambre là encore sans lui montrer celle que fait Gaston, c’est mon client qui me flash nue dans le spa dans ma salle de bain.
• Maman, pour nos vacances, je t’offre la Martinique dans un hôtel le plus haut standing possible, les pieds dans l’eau.
La Martinique, car la réunion, la pute que je suis, n’y a encore jamais mis les pieds.
J’éviterais qu’un employé de ce palace, me dise qu’il m’a rencontré avec un monsieur friqué dont il aura évité le nom.
Je veux laisser maman vieillir dans ses croyances que sa fille a réussies sans coucher.
Je sais, j’ai déjà une : « Collection Escorte Girl », mais on peut être pute sans être sur Internet dans un site de Cover-Girl.
L’histoire qui arrive à cette jeune femme va dans ce sens.
Tout a commencé dès la rentrée à la fac de Nanterre pour des études afin de devenir avocate.
Je suis en chemin vers l’entrée quand je vois un homme au volant me faisant signe.
Je m’avance, il a un papier à la main, il doit chercher sa route.
Il va être déçu, j’arrive du pays du chabichou et je suis à Paris depuis huit jours.
• Mademoiselle, je fais partie d’une organisation aidant les jeunes filles mignonnes comme vous à financer leurs études, du moins en cas de besoin, il va de soi.
Maman m’a mise au courant des hommes, de son genre, qui vous promette la lune, mais qui peut vous faire devenir une jeune femme de mauvaise vie.
Elle a oublié deux choses, il est sapé comme un prince et à des yeux bleus comme la mer au fond de laquelle on a envie de se perdre.
Surtout que maman ignore qu’ayant eu mon bac avec facilité, je suis sortie lorsqu’elle était partie à son hôpital en service de nuit et que j’ai perdu mon pucelage, avant qu’elle ne revienne au matin.
Alors mon indépendance, ce sont des risques de sollicitation, mais pas avec ce garçon, mais à qui je prends tout de même son bristol.
Ou je l’ai mis, merde, pardon, mot trop expressif dans la bouche d’une jeune fille très bien élevée par sa maman chérie.
À oui, dans ce tas de papiers, monsieur Serge, 06 00 .. !
• Monsieur Serge à votre service, je vais être direct, si vous avez mon numéro, donc ma carte, c’est que je vous ai repéré en début d’année lorsque je distribuais mes cartes devant votre fac.
Rendez-vous à 20 heures au restaurant des trois cerfs, il y a des chambres à l’étage et je vous ferais passer votre premier examen de fac, pour voir si vous êtes capable de satisfaire les clients que je vous fournirais.
Il est facile de se faire tringler par son petit copain, il est plus dur d’écarter ses cuisses pour qu’un homme inconnu vous la mette après avoir touché votre enveloppe.
Comme je l’ai dit, maman m’avait prévenu de ce genre de sollicitation.
Restaurant, monté vers les étages, cette fois dans une de mes robes de jeunes filles.
Bite que je sors et que je suce, sortie de son pantalon par Serge, me laissant plonger mes yeux jusqu’au fond de la mer que représentent les siens.
60 à 40, c’est le pourcentage qu’il rend, mais en prime dès votre examen de passage, il vous emmène vous habiller, façon femme fatale.
Vous passez dans les mains d’une jeune femme dans l’institut de beauté ou vous avez rendez-vous chaque semaine pour vous rendre la plus belle possible.
À chaque rendez-vous que l’on a compris galant, moyennant grosses coupures, vous passez un quart d’heure le temps de refaire votre brushing.
Le premier jour, j’avais des cheveux qui me tombaient à mi dos,
Il me les a fait couper, au grand dam de maman la première fois où je suis venue la voir après avoir fait le numéro de Serge.
J’ai été assez maligne de lui faire comprendre, que l’entretien me coutait cher et que je savais me contenter du peu d’argent que j’avais.
Ce jour-là, je remettais les vêtements de mon départ en gare dans les bras de maman ayant peur de perdre sa fille.
J’ai vu que je pouvais aller plus loin, je porte les tenues qui font de moi une femme fatale et qui plaisent à mes clients.
C’est passé comme une lettre à la poste, comme les bites qui me payent très cher et qui entrent dans ma chatte comme des lettres à la poste.
• Maman, voici le premier chèque qui va te permettre d’arrêter de travailler de nuit.
J’ai été reçu à mes examens et un cabinet parisien m’a embauché.
Tu auras le même le mois prochain et ainsi tous les mois, maintenant que je gagne largement ma vie, c’est normal de te rendre la pareille.
• Séverine, je vois que tu as amené ta robe, passe là que je fasse des photos que je mette sur ma cheminée.
Mes copines au boulot, me disaient que c’était une erreur de te laisser partir seule à Paris, qu’a la capitale, il y a des maquereaux qui allaient faire de toi une prostituée.
• Maman, c’était mal me connaitre, prend autant de photos que tu le désires, même si je préfère mon nouveau look à celui que j’avais avant.
Cheveux, look, je peaufine mon personnage de fille moderne gageant largement ma vie, grâce à la voiture de sport dans laquelle je la promène chaque fois que je viens la voir.
Ce qu’elle aime par-dessus tout, c’est les jours de beaux temps décapotant autant que je décalotte mes clients, faire signe à des copines que l’on croise la fille qu’elle a faite de moi.
La pute, non, ça c’est mon secret, mais l’avocate que je suis censée être.
• C’est moi Serge, mais tu as reconnu ma voix.
Séverine, 20 heures restaurant que tu rejoindras par le taxi qui te prendra devant ton loft.
C’est un vieux monsieur que tu reconnaitra, inutile de te dire d’être discrète, tu es une perle de ce côté-là.
Robe de soirée sans être trop longue, si tu fais l’affaire, il m’a parlé de la Réunion pour un mois.
Soleil et cocotier.
Il y a un procès là-bas où officiellement tu assisteras ton patron qui plaide tout ce mois.
60 pour moi, 40 pour toi, tu vas pouvoir te payer ta voiture de sport Audi électrique dont tu rêves pour promener ta maman.
Comment changer de métier, il est plus rentable d’être pute qu’avocat, surtout que de là-bas, j’enverrais des vidéos à maman devant le tribunal, à l’intérieur du tribunal ?
Devant le palace, là c’est facile, inutile de me déguiser.
Au restaurant sans que l’on voit mon client.
À la plage sur un transat un cocktail en main.
Et surtout dans ma chambre là encore sans lui montrer celle que fait Gaston, c’est mon client qui me flash nue dans le spa dans ma salle de bain.
• Maman, pour nos vacances, je t’offre la Martinique dans un hôtel le plus haut standing possible, les pieds dans l’eau.
La Martinique, car la réunion, la pute que je suis, n’y a encore jamais mis les pieds.
J’éviterais qu’un employé de ce palace, me dise qu’il m’a rencontré avec un monsieur friqué dont il aura évité le nom.
Je veux laisser maman vieillir dans ses croyances que sa fille a réussies sans coucher.
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