COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (1/18)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (1/18)
18 chapitres, 6 fois 3 et vous aurez la première partie de cette histoire qui je l’espère vous vous plaire.
• Bonjour mademoiselle, vous venez pour postuler pour le poste de secrétariat !
• Oui, le poste m’intéresse surtout que sur votre annonce reçue dans ma boîte aux lettres, vous stipuliez avec ou sans expérience !
Je viens de louper ma première année de BTS en secrétariat et étant orpheline, il m’est impossible de recommencer une nouvelle année.
• Vous étiez si mauvaise que ça !
• Non, mais je devais cumuler deux boulots en plus de mes cours et s’était trop.
• Que faisiez-vous comme travail ?
• Je m’occupais d’une mémé le matin et le soir et je rejoignais mon service sur l’autoroute non loin d’ici.
Je suis très bonne en Français et je sais écouter.
Ça, c’était il y a presque un an, contre toute attente, j’ai été embauché dans cette grosse chocolaterie par monsieur Pierre.
J’étais au travail à l’heure bien que j’aie gardé les soins de mamy gâteau, c’est comme cela que ses enfants et petits-enfants l’appel.
Dans un premier temps, ce travail m’a permis de garder la chambre qui m’était fournie gratuitement contre ses soins.
Un jour, j’ai été appelé par monsieur Pierre lorsqu’un jeune homme est venu dans la société.
• Élisa, voici mon fils Victor, il va commencer à prendre ses marques avec nous, un jour il dirigera mon entreprise à ma place.
Dans votre contrat il est dit que vous seriez amené à vous déplacer pendant plusieurs jours.
Ce sera le cas cette semaine, Élisa, demain matin, mon fils passera vous chercher à 8 heures à votre adresse.
Vous l’accompagnerez, voici les villes ou vous vous rendrez.
Odile que vous avez remplacée, dans la base informatique, avait une liste des adresse et numéro de téléphone des hôtels où vous pourrez réserver deux chambres, mettez-vous au travail.
Je suis retourné dans mon bureau et j’ai fait ce qu’il m’était demandé, j’ai aussi appelé Françoise, la fille de mamy gâteau.
Il était prévu qu’elle vienne s’occuper de sa belle-mère si j’avais besoin de m’absenter, elle assumerait.
Parlons de moi, dix-neuf ans, de petite taille 1 mètre 52 et 42 kilos.
Dans l’orphelinat que j’ai quitté il y a un an pour aller chez mamy gâteau, on m’appelait la poupée Barby à cause de mes boucles blondes.
Parlons de lui, le fils, vingt-deux ans, 1 mètre 72, mais 80 kilos et signe suprême, boutonneux au début de notre aventure qui devait nous conduire jusqu’au mariage.
Le rapprochement s’est fait lors de cette semaine, j’ai vu l’opportunité de m’élever vers le haut de l’échelle sociale en épousa le fils du patron et pour cela je l’ai dépucelé.
Pour arriver à mes fins, lorsque je suis allée dans sa chambre, j’étais sûr que je serais la première malgré mon manque de connaissances du sexe personnellement.
J’ai été dépucelé à la veille de quitter l’orphelinat par Olaf, le gardien, qui m’avait attiré dans sa maison près de l’entrée de cette grande demeure ancienne, manoir racheté par l’État.
Il m’a pris sur la table de sa cuisine sans grand plaisir, car la perte de mon hymen a été un peu douloureuse.
Je suis donc mariée et mon beau-père nous installe dans un appartement non loin de notre travail.
Ça fait un mois que j’ai dit oui, quand mon beau-papa me demande dans son bureau.
• Élisa, voici la ville ou nous serons dans deux jours, toi et moi pour que je rencontre un client vers 17 heures.
J’ai moi-même réservé les chambres pour deux nuits, prépare ta petite valise, nous partirons vers 13 heures.
J’ai oublié de dire qu’avec mes premières payes et depuis que je suis la femme d’un garçon ayant du répondant, je me suis fringuée plus sélecte, mais classique.
À l’heure de partir dans la grosse Audi de Pierre mon beau-père, je porte une robe rouge avec botte et pull de la même couleur mettant mes seins en valeur et surtout leurs pointes, car ils se tiennent tout seuls.
Le manque de soutien tif embellit ma silhouette.
Comme je l’ai dit à part mes seins, je suis assez sélecte avec mon trois quarts en fausse fourrure posée sur mes épaules.
J’ai fait ma queue-de-cheval, qui me donne un air évitant la provocation.
Nous prenons l’autoroute et nous sortons 200 kilomètres plus loin avant d’arriver devant l’hôtel de très bon standing.
• Bonjour madame, j’ai réservé une chambre au nom de monsieur Pierre pour deux nuits.
• Oui, la 103, au premier, Serge, voulez-vous monter les bagages de ces personnes, voici vos deux cartes sécurisées !
J’ai failli faire savoir à mon beau-père, que la réceptionniste avait parlé d’une seule chambre, mais devant le jeune employé, j’ai fermé ma bouche.
• Élisa va prendre une douche pendant que je me change.
Lorsque j’ai réservé, il y avait un problème de place et comme je descends toujours ici, j’ai pris la seule chambre disponible pour nous deux.
J’ai bien fait de fermer ma gueule surtout que la salle de bains ou j’entre après avoir sortie mon nécessaire de toilettes est un vrai bijou.
Je veux laisser le temps à beau-papa de se changer pour aller voir notre client, il est 15 heures 30 et nous avons du temps avant les 17 heures du rendez-vous.
Je finis par sortir de l’eau et m’entourant d’une serviette de bain, je retourne dans la chambre persuadée que monsieur Pierre va sortir ou venir dans la salle de bains le temps que je passe mes vêtements.
• Entre Élisa, approche, soit sans crainte, je vais t’expliquer, mais avant viens me sucer.
• Mais je suis la femme de votre fils, êtes-vous devenu fou.
• Fou, oui peut-être, mais de toi, approche, viens t’assoir sur notre lit, j’ai des choses à t’apprendre.
Je devrais m’offusquer, crier au viol, mais la verge de mon beau-père m’attire comme un aimant.
Noueuse et grosse, c’est la première fois que je voyais une bite de ce calibre surtout après mon peu d’expérience.
• C’est bien, prends-là dans ta main, comme je te l’ai dit, je vais tout t’expliquer.
Un jour de retour d’une visite comme celle que nous allons faire chez un client, je me suis arrêté sur l’autoroute, ayant une petite envie présente.
Je t’ai vu et j’ai eu un coup de foudre pour toi.
Je me suis renseigné et j’ai su où tu habitais et que tu avais des ennuis avec tes études.
J’ai fait paraître une annonce pour un poste même sans aucune expérience en mettant l’article dans ta boîte aux lettres.
Tu as vu l’opportunité que je t’offrais.
J’ai été pris de court quand mon fils et toi êtes venus me dire votre amour.
Élisa reconnaît que tu as vu l’opportunité de t’élever dans l’échelle sociale avec mon boutonneux de fils.
J’ai failli te foutre à la porte, mais je me suis dit qu’une jeune femme, véritable bouton d’or comprendrait l’intérêt que j’ai pour elle en venant dans cette chambre.
J’ai beaucoup aimé ta prise d’initiative.
J’ai rapidement compris l’intelligence de Pierre ayant lu mon jeu.
J’avais beaucoup à gagner à satisfaire celui que je viens d’appeler Pierre à la place de monsieur ou de beau-papa.
Un seul problème, sa verge, j’essaye de la faire entrer dans ma bouche, avec Victor qui en a une d’à peine cinq à six centimètres, c’est en le suçant qu’il est devenu accro de moi.
Mon pauvre chéri, s’il savait que sa femme est une pute en suçant la verge de son propre père avant de finir par s’empaler, il hurlerait de dépis.
Hurler, c’est moi qui le fait rempli à m’en faire éclater la chatte, lorsqu’un orgasme me dévaste et que Pierre m’envoie de belles giclées d’un bon sperme revigorant.
Je me laisse glisser le long de son corps, certes, commençant à se rider, mais certainement bien entretenue en faisant du sport.
Je lui nettoie la verge de nouveau avec ma langue, inutile de risquer le déboitement de mâchoire en essayant de la faire entrer.
• Pierre, il est 16 heures 50, tu vas louper ton rendez-vous !
• Reste tranquille, on a le temps le rendez-vous et à 17 heures, mais demain, je voulais que nous ayons le temps de faire connaissance plus intimement.
Voilà qui est fait, peux-tu écarter tes jolies petites cuisses, j’adore bouffer les chattes des femmes que j’honore ?
Je devrais m’offusquer de ce qu’il me parle des salopes qu’il doit baiser, avec ses cheveux, poivre et sel, sans être un apollon, c’est un bel homme.
Lorsqu’il commence à me lécher le clito, une nouvelle fois, je ferme ma gueule.
Je suis sûr que si je sais y faire, il y a moyen de moyenner ici en devenant la pute de mon patron qui plus ait mon beau-père.
Certains où certaines ont l’expérience de la rue, moi j’ai l’expérience de notre orphelinat où il fallait savoir jouer des coudes pour obtenir une vie meilleure.
• Service d’étage, pouvez-vous nous faire monter un foie gras, vos excellentes profiteroles avec une bouteille de votre meilleur champagne !
Je fais un peu plus connaissance avec le luxe, lorsqu’un serveur nous apporte une table roulante avec le foie gras que je déguste pour la première fois.
À ce jour lors des repas de fêtes, c’était du pâté de foie qui nous était servi.
Quand le jeune garçon qui vient nous apporter ces mets divins, je reste nue sur notre lit.
Ses yeux lui sortent de la tête, une si jolie blonde.
Pierre a simplement tiré sur sa verge, la serviette que j’avais autour de mes seins lorsque je suis revenue de la salle de bains.
Impossible pour ce garçon d’ignorer que je viens de me faire baiser par ce quinquagénaire.
C’est de nouveau dans la baignoire, mais là les deux ensemble que nous entamons la deuxième partie de notre relation.
Les profiteroles, c’est dans ma chatte qui les faits entrés me la glaçant avec la crème glacée vanille à l’intérieur de la pâte à choux, recouverte de chocolat chaud.
Nous nous sommes levés, je me couche le dos sur la table de la chambre et il m’écarte de nouveau les cuisses.
Je le vois prendre une boule de profiterole dans sa main.
Il réussit à la faire entrer dans mon vagin qui dégouline de chocolat.
Il lèche, mord pour récupérer la pâte à choux qu’il a du mal à attraper.
Il va sans dire, que les voisins doivent entendre que leur voisine est une belle salope dès le premier soir avec mon amant.
Pour nous laver, une partie de la chambre étant maculée, nous sommes dans l’eau.
Je sens qu’avec beau-papa, je suis, certes, sa pute, mais une pute à laquelle il va apprendre bien des choses dans les heures et les jours prochains.
En devenant la maitresse de mon beau-père, je pense avoir pris la meilleure route possible, l’avenir nous le dira…
• Bonjour mademoiselle, vous venez pour postuler pour le poste de secrétariat !
• Oui, le poste m’intéresse surtout que sur votre annonce reçue dans ma boîte aux lettres, vous stipuliez avec ou sans expérience !
Je viens de louper ma première année de BTS en secrétariat et étant orpheline, il m’est impossible de recommencer une nouvelle année.
• Vous étiez si mauvaise que ça !
• Non, mais je devais cumuler deux boulots en plus de mes cours et s’était trop.
• Que faisiez-vous comme travail ?
• Je m’occupais d’une mémé le matin et le soir et je rejoignais mon service sur l’autoroute non loin d’ici.
Je suis très bonne en Français et je sais écouter.
Ça, c’était il y a presque un an, contre toute attente, j’ai été embauché dans cette grosse chocolaterie par monsieur Pierre.
J’étais au travail à l’heure bien que j’aie gardé les soins de mamy gâteau, c’est comme cela que ses enfants et petits-enfants l’appel.
Dans un premier temps, ce travail m’a permis de garder la chambre qui m’était fournie gratuitement contre ses soins.
Un jour, j’ai été appelé par monsieur Pierre lorsqu’un jeune homme est venu dans la société.
• Élisa, voici mon fils Victor, il va commencer à prendre ses marques avec nous, un jour il dirigera mon entreprise à ma place.
Dans votre contrat il est dit que vous seriez amené à vous déplacer pendant plusieurs jours.
Ce sera le cas cette semaine, Élisa, demain matin, mon fils passera vous chercher à 8 heures à votre adresse.
Vous l’accompagnerez, voici les villes ou vous vous rendrez.
Odile que vous avez remplacée, dans la base informatique, avait une liste des adresse et numéro de téléphone des hôtels où vous pourrez réserver deux chambres, mettez-vous au travail.
Je suis retourné dans mon bureau et j’ai fait ce qu’il m’était demandé, j’ai aussi appelé Françoise, la fille de mamy gâteau.
Il était prévu qu’elle vienne s’occuper de sa belle-mère si j’avais besoin de m’absenter, elle assumerait.
Parlons de moi, dix-neuf ans, de petite taille 1 mètre 52 et 42 kilos.
Dans l’orphelinat que j’ai quitté il y a un an pour aller chez mamy gâteau, on m’appelait la poupée Barby à cause de mes boucles blondes.
Parlons de lui, le fils, vingt-deux ans, 1 mètre 72, mais 80 kilos et signe suprême, boutonneux au début de notre aventure qui devait nous conduire jusqu’au mariage.
Le rapprochement s’est fait lors de cette semaine, j’ai vu l’opportunité de m’élever vers le haut de l’échelle sociale en épousa le fils du patron et pour cela je l’ai dépucelé.
Pour arriver à mes fins, lorsque je suis allée dans sa chambre, j’étais sûr que je serais la première malgré mon manque de connaissances du sexe personnellement.
J’ai été dépucelé à la veille de quitter l’orphelinat par Olaf, le gardien, qui m’avait attiré dans sa maison près de l’entrée de cette grande demeure ancienne, manoir racheté par l’État.
Il m’a pris sur la table de sa cuisine sans grand plaisir, car la perte de mon hymen a été un peu douloureuse.
Je suis donc mariée et mon beau-père nous installe dans un appartement non loin de notre travail.
Ça fait un mois que j’ai dit oui, quand mon beau-papa me demande dans son bureau.
• Élisa, voici la ville ou nous serons dans deux jours, toi et moi pour que je rencontre un client vers 17 heures.
J’ai moi-même réservé les chambres pour deux nuits, prépare ta petite valise, nous partirons vers 13 heures.
J’ai oublié de dire qu’avec mes premières payes et depuis que je suis la femme d’un garçon ayant du répondant, je me suis fringuée plus sélecte, mais classique.
À l’heure de partir dans la grosse Audi de Pierre mon beau-père, je porte une robe rouge avec botte et pull de la même couleur mettant mes seins en valeur et surtout leurs pointes, car ils se tiennent tout seuls.
Le manque de soutien tif embellit ma silhouette.
Comme je l’ai dit à part mes seins, je suis assez sélecte avec mon trois quarts en fausse fourrure posée sur mes épaules.
J’ai fait ma queue-de-cheval, qui me donne un air évitant la provocation.
Nous prenons l’autoroute et nous sortons 200 kilomètres plus loin avant d’arriver devant l’hôtel de très bon standing.
• Bonjour madame, j’ai réservé une chambre au nom de monsieur Pierre pour deux nuits.
• Oui, la 103, au premier, Serge, voulez-vous monter les bagages de ces personnes, voici vos deux cartes sécurisées !
J’ai failli faire savoir à mon beau-père, que la réceptionniste avait parlé d’une seule chambre, mais devant le jeune employé, j’ai fermé ma bouche.
• Élisa va prendre une douche pendant que je me change.
Lorsque j’ai réservé, il y avait un problème de place et comme je descends toujours ici, j’ai pris la seule chambre disponible pour nous deux.
J’ai bien fait de fermer ma gueule surtout que la salle de bains ou j’entre après avoir sortie mon nécessaire de toilettes est un vrai bijou.
Je veux laisser le temps à beau-papa de se changer pour aller voir notre client, il est 15 heures 30 et nous avons du temps avant les 17 heures du rendez-vous.
Je finis par sortir de l’eau et m’entourant d’une serviette de bain, je retourne dans la chambre persuadée que monsieur Pierre va sortir ou venir dans la salle de bains le temps que je passe mes vêtements.
• Entre Élisa, approche, soit sans crainte, je vais t’expliquer, mais avant viens me sucer.
• Mais je suis la femme de votre fils, êtes-vous devenu fou.
• Fou, oui peut-être, mais de toi, approche, viens t’assoir sur notre lit, j’ai des choses à t’apprendre.
Je devrais m’offusquer, crier au viol, mais la verge de mon beau-père m’attire comme un aimant.
Noueuse et grosse, c’est la première fois que je voyais une bite de ce calibre surtout après mon peu d’expérience.
• C’est bien, prends-là dans ta main, comme je te l’ai dit, je vais tout t’expliquer.
Un jour de retour d’une visite comme celle que nous allons faire chez un client, je me suis arrêté sur l’autoroute, ayant une petite envie présente.
Je t’ai vu et j’ai eu un coup de foudre pour toi.
Je me suis renseigné et j’ai su où tu habitais et que tu avais des ennuis avec tes études.
J’ai fait paraître une annonce pour un poste même sans aucune expérience en mettant l’article dans ta boîte aux lettres.
Tu as vu l’opportunité que je t’offrais.
J’ai été pris de court quand mon fils et toi êtes venus me dire votre amour.
Élisa reconnaît que tu as vu l’opportunité de t’élever dans l’échelle sociale avec mon boutonneux de fils.
J’ai failli te foutre à la porte, mais je me suis dit qu’une jeune femme, véritable bouton d’or comprendrait l’intérêt que j’ai pour elle en venant dans cette chambre.
J’ai beaucoup aimé ta prise d’initiative.
J’ai rapidement compris l’intelligence de Pierre ayant lu mon jeu.
J’avais beaucoup à gagner à satisfaire celui que je viens d’appeler Pierre à la place de monsieur ou de beau-papa.
Un seul problème, sa verge, j’essaye de la faire entrer dans ma bouche, avec Victor qui en a une d’à peine cinq à six centimètres, c’est en le suçant qu’il est devenu accro de moi.
Mon pauvre chéri, s’il savait que sa femme est une pute en suçant la verge de son propre père avant de finir par s’empaler, il hurlerait de dépis.
Hurler, c’est moi qui le fait rempli à m’en faire éclater la chatte, lorsqu’un orgasme me dévaste et que Pierre m’envoie de belles giclées d’un bon sperme revigorant.
Je me laisse glisser le long de son corps, certes, commençant à se rider, mais certainement bien entretenue en faisant du sport.
Je lui nettoie la verge de nouveau avec ma langue, inutile de risquer le déboitement de mâchoire en essayant de la faire entrer.
• Pierre, il est 16 heures 50, tu vas louper ton rendez-vous !
• Reste tranquille, on a le temps le rendez-vous et à 17 heures, mais demain, je voulais que nous ayons le temps de faire connaissance plus intimement.
Voilà qui est fait, peux-tu écarter tes jolies petites cuisses, j’adore bouffer les chattes des femmes que j’honore ?
Je devrais m’offusquer de ce qu’il me parle des salopes qu’il doit baiser, avec ses cheveux, poivre et sel, sans être un apollon, c’est un bel homme.
Lorsqu’il commence à me lécher le clito, une nouvelle fois, je ferme ma gueule.
Je suis sûr que si je sais y faire, il y a moyen de moyenner ici en devenant la pute de mon patron qui plus ait mon beau-père.
Certains où certaines ont l’expérience de la rue, moi j’ai l’expérience de notre orphelinat où il fallait savoir jouer des coudes pour obtenir une vie meilleure.
• Service d’étage, pouvez-vous nous faire monter un foie gras, vos excellentes profiteroles avec une bouteille de votre meilleur champagne !
Je fais un peu plus connaissance avec le luxe, lorsqu’un serveur nous apporte une table roulante avec le foie gras que je déguste pour la première fois.
À ce jour lors des repas de fêtes, c’était du pâté de foie qui nous était servi.
Quand le jeune garçon qui vient nous apporter ces mets divins, je reste nue sur notre lit.
Ses yeux lui sortent de la tête, une si jolie blonde.
Pierre a simplement tiré sur sa verge, la serviette que j’avais autour de mes seins lorsque je suis revenue de la salle de bains.
Impossible pour ce garçon d’ignorer que je viens de me faire baiser par ce quinquagénaire.
C’est de nouveau dans la baignoire, mais là les deux ensemble que nous entamons la deuxième partie de notre relation.
Les profiteroles, c’est dans ma chatte qui les faits entrés me la glaçant avec la crème glacée vanille à l’intérieur de la pâte à choux, recouverte de chocolat chaud.
Nous nous sommes levés, je me couche le dos sur la table de la chambre et il m’écarte de nouveau les cuisses.
Je le vois prendre une boule de profiterole dans sa main.
Il réussit à la faire entrer dans mon vagin qui dégouline de chocolat.
Il lèche, mord pour récupérer la pâte à choux qu’il a du mal à attraper.
Il va sans dire, que les voisins doivent entendre que leur voisine est une belle salope dès le premier soir avec mon amant.
Pour nous laver, une partie de la chambre étant maculée, nous sommes dans l’eau.
Je sens qu’avec beau-papa, je suis, certes, sa pute, mais une pute à laquelle il va apprendre bien des choses dans les heures et les jours prochains.
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