COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (2/18)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (2/18)
Mariée, je suis mariée à Victor le fils du patron de la chocolaterie industrielle ou j’ai été engagé sans grandes références comme secrétaire suite à une annonce d’embauche placée dans ma boîte aux lettres.
Seule candidate, sans que je le sache, j’ai accepté le poste que monsieur Pierre, le père de Victor m’a proposé.
Il a accepté notre mariage sans faire la moindre remarque lorsque son fils éternel puceau lui a dit vouloir m’épouser.
Il aurait pu faire une objection, car c’était lui qui avait flaché sur moi.
Je travaillais sur l’autoroute alors que rentrant d’une tournée, il m’avait vu dans ce restauroute.
C’était à quelques kilomètres de la ville où nous habitons en région parisienne et où je travaillais pour pouvoir payer mes études.
C’est dès notre première sortie ensemble, respectueuse de mon contrat de suivre mon patron lorsqu’il en exprime la nécessité, que je me suis retrouvée dans son lit.
Je me suis laissé faire, il m’attire malgré que je sois sa belle-fille.
Je comprends que je l’ai pris de vitesse en me faisant épouser et qu’il rattrape son coup en faisant de la petite poupée que je suis sa pute.
J’y trouve mon compte, car Victor a une petite bite et est à la limite d’être un éjaculateur précoce.
Celle de celui que j’appelle maintenant Pierre, est grosse et noueuse, même très grosse.
Comment peut-on être le père d’un garçon avec une telle anatomie physique ?
Je pourrais m’étendre sur ce sujet, mais comme la réponse appartient aux deux hommes, refermons cette parenthèse.
Dans son lit, sur la table et maintenant dans notre bain, j’assume être femme du fils et maîtresse du père.
C’est après avoir joué avec des profiteroles, baladeurs dans ma chatte, que nous finissons la nuit dans le lit pris dans cet hôtel de luxe que j’ai la chance de découvrir.
Vivre dans le luxe, moi la petite orpheline, j’y prends rapidement goût.
Pierre m’a déjà fait l’amour par deux fois, mais dans la nuit, je sens une main qui vient caresser mes seins.
C’est impossible, Pierre est un obsédé sexuel, à son âge, il ferait bien de se ménager.
• C’est incroyable, rien qu’à penser à ton petit cul, je bande Élisa !
• Tu veux encore, je suis satisfaite de te plaire au point que tu aies encore envie de me baiser.
Avant d’aller plus loin, peux-tu me dire, comment il se fait que ton fils est loin de te ressembler ?
• Je vais tout te dire, Mélanie, sa mère était une chaude du cul et baisait tout ce qui se présentait à elle.
Elle avait un amant qui faisait du sport avec moi et je le voyais dans les vestiaires.
Il avait une bite ressemblant étrangement à celle de mon fils.
Quand elle m’a annoncé qu’elle était enceinte, je savais qu’elle me mentait.
Voyant que nous attendions bêtement une naissance, j’ai fait un contrôle de spermatozoïde, ils sont bien là et comme, tu l’as vu, j’ai un sperme abondant, mais un sperme impropre à procréer !
Je savais que mon fils était d’un autre, mais la venue de cet enfant réglait mes problèmes de stérilité et permettait dans le futur la continuité de mon entreprise.
Rapidement outre la petite bite que j’ai vue dès sa naissance, je me suis aperçu que son QI était près de celui d’un légume.
Comme je te l’ai dit, au début c’est ton petit cul qui m’intéressait, mais maintenant si tu sais y faire, tu pourrais gagner gros.
• Et ta femme ?
• Morte il y a trois ans, sous les coups d’un déséquilibré qu’elle avait rencontré dans un bar.
Elle a été retrouvée dans une décharge à ordures à deux kilomètres de chez nous.
Au début, j’ai été arrêté pour féminicide envers mon épouse, mais par chance des ouvriers du bâtiment prenant l’apéro, l’avais vu suivre ce presque SDF en direction de ce dépôt d’ordures.
Inutile que je te dise sous quel tas d’immondices, les flics l’ont retrouvé.
Le gars a été arrêté et il est en préventive en attendant son procès dans les mois prochains.
• Eh ! où vas-tu, je sens ta queue se frotter à mon anus, tu serais de la taille de ton fils, je dirais peut-être oui, mais là tu vas me défoncer.
• Trop tard, regarde, il est vrai qu’elle est grosse, mais tu devais sérieusement avoir envie que je t'encule, je glisse comme dans une motte de beurre.
Un moment j’ai cru être dans le dernier tango à Paris ou Marlon Brando encule Maria Schneider sur un parquet après qu’ils aient fini de pique-niquer en lui demandant de lui passer le beurre.
Tu es trop jeune, même si c’était suggérer, c’était explicite que c’était pour l’enculer !
J’ignore l’histoire de « passe moi le beurre », mais j’accepte ce qui arrive.
En une soirée, Pierre mon beau-père m’aura tout pris mon honneur de femme mariée et la virginité de mon anus.
Au matin, quand je sens l’odeur du café et des croissants, j’ouvre un œil et je sens mon cul qui me brûle.
Je suis de nouveau nue devant le serveur du roomservice, instinctivement je passe ma main et surtout mes doigts sur mon petit trou.
Il a bien repris sa forme normale, mais j’ai encore du sperme qui me le macule.
Je vois aussi le jeune garçon regarder le bordel du côté de la table.
C’est là que je me rends compte que les femmes de service vont avoir du boulot à réparer les dégâts dus au chocolat.
Que doit penser ce jeune garçon de la salope qui est à l’origine de tout ce bordel ?
Alors que comme certains seraient enclins à le dire, on me donnerait le bon dieu sans confession.
Eh ! que dire du lit qui est dévasté, après que Pierre m’ait empalé.
Il m’a limé pendant de très longues minutes avant de me faire jouir par ma petite fleur en me remplissant de nouveau avec de belles giclées de sperme.
• Prépare-toi, je vais te conduire chez une amie qui tient un institue de beauté.
Elle travaillait près de chez nous et ma femme en était une cliente assidue.
J’ai investi dans son institut et je veux qu’elle te fasse le tablier comme j’aime.
Même si tu es blonde, j’ai horreur des grosses touffes.
Elle va te relooker avec une nouvelle coupe de cheveux.
Elle coupera ta queue-de-cheval, je veux que tu montres à tous la fraicheur de ton visage.
Tu es bien habillée lorsque tu es dans l’entreprise, mais pour aller chez nos clients, je veux que tu attires les regards, car ça les déstabilisera et ça nous permettra de remplir notre carnet de commandes.
Il est dix heures lorsque je rencontre Céline, femme la quarantaine qui me prend en main.
Nous allons manger avec elle dans le meilleur resto et l’après-midi, je suis une autre lorsque nous rejoignons le client au bar de notre hôtel.
Je me demande quelques instants ce que je fais là, j’ai l’impression d’être la potiche, car ils discutent sans s’inquiéter de moi.
Chacun d’eux a ouvert son attaché et ils regardent les catalogues de produits que nous proposons.
Pierre a une boîte avec divers échantillons de nos chocolats.
C’est drôle de se retrouver dans une société qui fabrique des chocolats sans aimer cela sauf dans ma chatte, hier au soir.
Potiche, mais jolie potiche, car je sens que je suis le point de mire de monsieur Georges notre client.
Je rêvasse en mangeant mon foie gras sur la signification de tout ceci.
J’entends vaguement le nom de « prestige », là, je connais, c’est la boîte, phare de notre production et le chiffre de 2 000.
Si ma présence permet à Pierre de signer un contrat pour 2000 boîtes de ces chocolats, je serai contente de donner du travail à nos ouvriers et surtout ouvrières.
C’est à ce moment que je sens un pied venir s’insinuer entre mes jambes que je tenais bien serrés dans ma nouvelle mini que Céline a choisie pour moi et pour cette soirée.
Je suis à deux doigts de faire un esclandre, mais la raison me revient, je suis là pour satisfaire mon beau-père, mais aussi le client de ce dernier.
Je tiens à être la pute que mon patron et beau-père, veux que je sois, alors je me laisse faire.
• Je réfléchissais au nombre de boîtes que la centrale que je desserre pourrait écouler Pierre.
Si nous allions dans le club voisin, l’atmosphère feutrée me permettrait de réfléchir avec ses lumières tamisées !
Je vais aller satisfaire un petit besoin naturel, avant que nous y allions.
Georges se lève et va vers les toilettes.
• Pierre, ce vieux salopard m’a mis son pied entre les cuisses, j’ai failli le repousser.
Mais lorsque j’ai entendu le chiffre de 2 000 boîtes « Prestige », je me suis retenue.
• C’est très bien continue à jouer avec lui, ce chiffre est un chiffre provisoire, pour qu’il grossisse, tout dépend de toi.
• Mais tu serais prêt à me partager !
• Je te partage bien avec mon fils, attention, il revient, je compte sur toi.
C’est ainsi que je me retrouve très près de notre hôtel dans un club privé.
• Vous dansez Élisa, j’adore ces slows, ils me rappellent ma jeunesse.
• Monsieur, Georges, vous vieux vous rigolez !
Je suis à deux doigts d’éclater de rire.
Pierre m’aurait laissé dans l’ignorance de ce qu’il attend de moi, je l’aurais fait.
Là, sachant que je suis sa pute de service, je me coule dans les bras de cet homme, sachant très bien où cela va m’emmener.
• Monsieur Georges, vous bandez, je vous fais tellement envie.
• J’ignore combien votre patron vous paye, mais je dois reconnaître que vous êtes la plus jolie escorte qu’il est amené avec lui.
Pourtant, ça fait cinq ans que je travaille avec sa société.
C’est après ces mots que je comprends tout.
Les autres fois, Pierre devait payer une escorte pour l’accompagner et l’offrir à cet homme pour qu’il soit satisfait de sa soirée.
Je comprends que le contrat sera à la hauteur de ma prestation, Pierre en plus de sa maîtresse veut d’une pute dans le lit de cet homme.
• Georges, tu as fait connaissance avec ma secrétaire, si nous allions finir notre soirée dans notre chambre, qu’en penses-tu ?
• Si Élisa, est d’accord, mais je pense qu’elle le sera, allons y, je dois partir de bonne heure demain matin, j’ai rendez-vous à mon bureau avec mes collaborateurs.
C’est ainsi que je me retrouve dans l’ascenseur avec ces deux hommes.
Pierre m’embrasse, je quitte sa bouche pour la donner à celle de Georges, je vois nettement que les deux sont loin d’être jaloux.
Je sens que je vais franchir une étape de ma vie de femme libérée et de pute de mon patron et en plus ce qui ne gâche rien, beau-papa...
Seule candidate, sans que je le sache, j’ai accepté le poste que monsieur Pierre, le père de Victor m’a proposé.
Il a accepté notre mariage sans faire la moindre remarque lorsque son fils éternel puceau lui a dit vouloir m’épouser.
Il aurait pu faire une objection, car c’était lui qui avait flaché sur moi.
Je travaillais sur l’autoroute alors que rentrant d’une tournée, il m’avait vu dans ce restauroute.
C’était à quelques kilomètres de la ville où nous habitons en région parisienne et où je travaillais pour pouvoir payer mes études.
C’est dès notre première sortie ensemble, respectueuse de mon contrat de suivre mon patron lorsqu’il en exprime la nécessité, que je me suis retrouvée dans son lit.
Je me suis laissé faire, il m’attire malgré que je sois sa belle-fille.
Je comprends que je l’ai pris de vitesse en me faisant épouser et qu’il rattrape son coup en faisant de la petite poupée que je suis sa pute.
J’y trouve mon compte, car Victor a une petite bite et est à la limite d’être un éjaculateur précoce.
Celle de celui que j’appelle maintenant Pierre, est grosse et noueuse, même très grosse.
Comment peut-on être le père d’un garçon avec une telle anatomie physique ?
Je pourrais m’étendre sur ce sujet, mais comme la réponse appartient aux deux hommes, refermons cette parenthèse.
Dans son lit, sur la table et maintenant dans notre bain, j’assume être femme du fils et maîtresse du père.
C’est après avoir joué avec des profiteroles, baladeurs dans ma chatte, que nous finissons la nuit dans le lit pris dans cet hôtel de luxe que j’ai la chance de découvrir.
Vivre dans le luxe, moi la petite orpheline, j’y prends rapidement goût.
Pierre m’a déjà fait l’amour par deux fois, mais dans la nuit, je sens une main qui vient caresser mes seins.
C’est impossible, Pierre est un obsédé sexuel, à son âge, il ferait bien de se ménager.
• C’est incroyable, rien qu’à penser à ton petit cul, je bande Élisa !
• Tu veux encore, je suis satisfaite de te plaire au point que tu aies encore envie de me baiser.
Avant d’aller plus loin, peux-tu me dire, comment il se fait que ton fils est loin de te ressembler ?
• Je vais tout te dire, Mélanie, sa mère était une chaude du cul et baisait tout ce qui se présentait à elle.
Elle avait un amant qui faisait du sport avec moi et je le voyais dans les vestiaires.
Il avait une bite ressemblant étrangement à celle de mon fils.
Quand elle m’a annoncé qu’elle était enceinte, je savais qu’elle me mentait.
Voyant que nous attendions bêtement une naissance, j’ai fait un contrôle de spermatozoïde, ils sont bien là et comme, tu l’as vu, j’ai un sperme abondant, mais un sperme impropre à procréer !
Je savais que mon fils était d’un autre, mais la venue de cet enfant réglait mes problèmes de stérilité et permettait dans le futur la continuité de mon entreprise.
Rapidement outre la petite bite que j’ai vue dès sa naissance, je me suis aperçu que son QI était près de celui d’un légume.
Comme je te l’ai dit, au début c’est ton petit cul qui m’intéressait, mais maintenant si tu sais y faire, tu pourrais gagner gros.
• Et ta femme ?
• Morte il y a trois ans, sous les coups d’un déséquilibré qu’elle avait rencontré dans un bar.
Elle a été retrouvée dans une décharge à ordures à deux kilomètres de chez nous.
Au début, j’ai été arrêté pour féminicide envers mon épouse, mais par chance des ouvriers du bâtiment prenant l’apéro, l’avais vu suivre ce presque SDF en direction de ce dépôt d’ordures.
Inutile que je te dise sous quel tas d’immondices, les flics l’ont retrouvé.
Le gars a été arrêté et il est en préventive en attendant son procès dans les mois prochains.
• Eh ! où vas-tu, je sens ta queue se frotter à mon anus, tu serais de la taille de ton fils, je dirais peut-être oui, mais là tu vas me défoncer.
• Trop tard, regarde, il est vrai qu’elle est grosse, mais tu devais sérieusement avoir envie que je t'encule, je glisse comme dans une motte de beurre.
Un moment j’ai cru être dans le dernier tango à Paris ou Marlon Brando encule Maria Schneider sur un parquet après qu’ils aient fini de pique-niquer en lui demandant de lui passer le beurre.
Tu es trop jeune, même si c’était suggérer, c’était explicite que c’était pour l’enculer !
J’ignore l’histoire de « passe moi le beurre », mais j’accepte ce qui arrive.
En une soirée, Pierre mon beau-père m’aura tout pris mon honneur de femme mariée et la virginité de mon anus.
Au matin, quand je sens l’odeur du café et des croissants, j’ouvre un œil et je sens mon cul qui me brûle.
Je suis de nouveau nue devant le serveur du roomservice, instinctivement je passe ma main et surtout mes doigts sur mon petit trou.
Il a bien repris sa forme normale, mais j’ai encore du sperme qui me le macule.
Je vois aussi le jeune garçon regarder le bordel du côté de la table.
C’est là que je me rends compte que les femmes de service vont avoir du boulot à réparer les dégâts dus au chocolat.
Que doit penser ce jeune garçon de la salope qui est à l’origine de tout ce bordel ?
Alors que comme certains seraient enclins à le dire, on me donnerait le bon dieu sans confession.
Eh ! que dire du lit qui est dévasté, après que Pierre m’ait empalé.
Il m’a limé pendant de très longues minutes avant de me faire jouir par ma petite fleur en me remplissant de nouveau avec de belles giclées de sperme.
• Prépare-toi, je vais te conduire chez une amie qui tient un institue de beauté.
Elle travaillait près de chez nous et ma femme en était une cliente assidue.
J’ai investi dans son institut et je veux qu’elle te fasse le tablier comme j’aime.
Même si tu es blonde, j’ai horreur des grosses touffes.
Elle va te relooker avec une nouvelle coupe de cheveux.
Elle coupera ta queue-de-cheval, je veux que tu montres à tous la fraicheur de ton visage.
Tu es bien habillée lorsque tu es dans l’entreprise, mais pour aller chez nos clients, je veux que tu attires les regards, car ça les déstabilisera et ça nous permettra de remplir notre carnet de commandes.
Il est dix heures lorsque je rencontre Céline, femme la quarantaine qui me prend en main.
Nous allons manger avec elle dans le meilleur resto et l’après-midi, je suis une autre lorsque nous rejoignons le client au bar de notre hôtel.
Je me demande quelques instants ce que je fais là, j’ai l’impression d’être la potiche, car ils discutent sans s’inquiéter de moi.
Chacun d’eux a ouvert son attaché et ils regardent les catalogues de produits que nous proposons.
Pierre a une boîte avec divers échantillons de nos chocolats.
C’est drôle de se retrouver dans une société qui fabrique des chocolats sans aimer cela sauf dans ma chatte, hier au soir.
Potiche, mais jolie potiche, car je sens que je suis le point de mire de monsieur Georges notre client.
Je rêvasse en mangeant mon foie gras sur la signification de tout ceci.
J’entends vaguement le nom de « prestige », là, je connais, c’est la boîte, phare de notre production et le chiffre de 2 000.
Si ma présence permet à Pierre de signer un contrat pour 2000 boîtes de ces chocolats, je serai contente de donner du travail à nos ouvriers et surtout ouvrières.
C’est à ce moment que je sens un pied venir s’insinuer entre mes jambes que je tenais bien serrés dans ma nouvelle mini que Céline a choisie pour moi et pour cette soirée.
Je suis à deux doigts de faire un esclandre, mais la raison me revient, je suis là pour satisfaire mon beau-père, mais aussi le client de ce dernier.
Je tiens à être la pute que mon patron et beau-père, veux que je sois, alors je me laisse faire.
• Je réfléchissais au nombre de boîtes que la centrale que je desserre pourrait écouler Pierre.
Si nous allions dans le club voisin, l’atmosphère feutrée me permettrait de réfléchir avec ses lumières tamisées !
Je vais aller satisfaire un petit besoin naturel, avant que nous y allions.
Georges se lève et va vers les toilettes.
• Pierre, ce vieux salopard m’a mis son pied entre les cuisses, j’ai failli le repousser.
Mais lorsque j’ai entendu le chiffre de 2 000 boîtes « Prestige », je me suis retenue.
• C’est très bien continue à jouer avec lui, ce chiffre est un chiffre provisoire, pour qu’il grossisse, tout dépend de toi.
• Mais tu serais prêt à me partager !
• Je te partage bien avec mon fils, attention, il revient, je compte sur toi.
C’est ainsi que je me retrouve très près de notre hôtel dans un club privé.
• Vous dansez Élisa, j’adore ces slows, ils me rappellent ma jeunesse.
• Monsieur, Georges, vous vieux vous rigolez !
Je suis à deux doigts d’éclater de rire.
Pierre m’aurait laissé dans l’ignorance de ce qu’il attend de moi, je l’aurais fait.
Là, sachant que je suis sa pute de service, je me coule dans les bras de cet homme, sachant très bien où cela va m’emmener.
• Monsieur Georges, vous bandez, je vous fais tellement envie.
• J’ignore combien votre patron vous paye, mais je dois reconnaître que vous êtes la plus jolie escorte qu’il est amené avec lui.
Pourtant, ça fait cinq ans que je travaille avec sa société.
C’est après ces mots que je comprends tout.
Les autres fois, Pierre devait payer une escorte pour l’accompagner et l’offrir à cet homme pour qu’il soit satisfait de sa soirée.
Je comprends que le contrat sera à la hauteur de ma prestation, Pierre en plus de sa maîtresse veut d’une pute dans le lit de cet homme.
• Georges, tu as fait connaissance avec ma secrétaire, si nous allions finir notre soirée dans notre chambre, qu’en penses-tu ?
• Si Élisa, est d’accord, mais je pense qu’elle le sera, allons y, je dois partir de bonne heure demain matin, j’ai rendez-vous à mon bureau avec mes collaborateurs.
C’est ainsi que je me retrouve dans l’ascenseur avec ces deux hommes.
Pierre m’embrasse, je quitte sa bouche pour la donner à celle de Georges, je vois nettement que les deux sont loin d’être jaloux.
Je sens que je vais franchir une étape de ma vie de femme libérée et de pute de mon patron et en plus ce qui ne gâche rien, beau-papa...
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