COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (3/18)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2497 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 368 724 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 450 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (3/18)
Je sens que je vais franchir une étape de ma vie de femme libérée et de pute de mon patron et comme on le sait beau-papa.
C’est ce que je pense lorsque je suis dans l’ascenseur qui nous conduit vers notre chambre à Pierre et moi.
C’est drôle quand je repense à la distance parcourue depuis hier ou je suis arrivée dans cet hôtel et que je me suis aperçue que je devais partager ma chambre avec mon beau-père.
Beau-père, qui m’avoue avoir craqué pour moi lorsqu’il m’avait vu dans mon ancien travail sur le restauroute près de la ville de la région parisienne où j’ai échoué dans mes études.
Embauché par Pierre, je le prends de vitesse en séduisant son fils dont je peux dire, qu’il est loin d’avoir décroché la lune.
Lors de cette nuit, ma lune Pierre me la prend malgré sa grosse queue finissant par devenir supportable.
L’ascenseur s’arrête et je me retrouve dans notre chambre, chacun d’eux pose leur attaché sur la table de nouveau impeccable.
L’orgie de chocolat que Pierre m’a mis dans la chatte pour manger ses profiteroles a été nettoyée.
Sachant que les contrats sont là, je veux que, demain ils aient fructifié.
Aussi je m’attelle à la tâche que Pierre semble m’avoir dévolu, être sa belle-fille, sa maîtresse et de fil en aiguille, sa pute.
Je vais être franche, j’apprécie franchement cette situation surtout avec la petite bite découverte dans le pantalon de mon mari.
Alors, je suis à la disposition des deux hommes et pour commencer avec ma bouche.
• Oui, prend bien la verge de mon ami au fond de ta bouche, fais-lui une gorge profonde, avec moi tu sais que c’est impossible.
Je fais entrer notre client bien au fond de ma gorge, ses couilles touchant mes lèvres, alors que pour Pierre, c’est en le léchant que je le fais bander.
J’ai mes deux mains sur chacune de leurs couilles et je les malaxe un peu gauche au début.
Il faut reconnaitre que pour moi la situation est un peu nouvelle et je dois m’adapter.
À cet instant, lorsque la verge de Georges touche ma glotte, j’ai une pensée pour Victor, mon mari, qui doit se morfondre dans notre appartement.
Dire qu’il est tombé amoureux d’une jolie petite salope qui va se donner, pardon, se faire prendre par deux verges là où ces messieurs auront envie de me prendre.
Dès le premier soir où m’étant donnée à lui, je l’ai sucé, il était loin d’arriver à toucher ma glotte.
C’est quand j’ai senti qu’il allait éclater en moins de deux minutes que je l’ai recraché prestement.
Là avec Georges et Pierre, le jeu peut durer, ils sont loin d’être les éjaculateurs précoces comme celui que j’ai épousé.
Même si mon cul me brûle encore légèrement, la prise comme un trophée de Pierre hier au soir me permet de penser que tout va nous être permis.
Georges en a une moins grosse que Pierre, mais il a des muscles et je me trouve dévêtue propulsée sur le lit où il vient à son tour me bouffer la chatte, parfaitement taillée.
Ma cyprine explose littéralement sous sa langue lorsque se redressant il vient me prendre alors que Pierre vient de nouveau se faire lécher et entretenir son érection.
Mes hommes se relayaient dans ma bouche, ils se relayent dans ma chatte pour me faire une nouvelle fois hurler de plaisir.
En levrette, ils me prennent tour à tour, Georges cette deuxième fois m’encule se servant de moi comme une poupée de chiffon.
A-t-il compris qu’il avait tous les droits et moi je lui permets, malgré les blancs dans mon cerveau, ayant toujours en tête les contrats.
Depuis combien de temps, me baisent-ils lorsque je me retrouve empalée sur mon beau-père, mais l’est-il à ce moment, divinement rempli ?
Je sens Georges reprendre ma voix anale, me prenant en double pénétration.
Je sens leurs deux verges se toucher séparé par mon périnée, nom que j’ai appris lors de mes cours d’histoire naturelle à l’orphelinat.
C’est dans un moment d’une rare intensité que tous nous éclatons dans une gerbe de plaisir.
• Bonjour, monsieur, madame, voici le petit déjeuner que vous avez commandé bonne journée à vous.
J’ouvre un œil, c’est une jeune femme qui vient nous apporter notre petit déjeuner.
Ce qu’il y a de bien, avec les passes magnétiques que les employés possèdent, c’est qu’il a suffi à mon amant de dire qu’elle entre pour qu’elle soit près de nous.
D’un coup, j’ai consciente qu’elle a dit, « monsieur » et non « messieurs », nous devrions être trois dans notre lit.
Force est de constater que j’ai loupé mon coup, Georges et sa mallette sont partis.
La jeune femme nous quitte, je viens me lover dans les bras de celui étant resté près de moi.
• Il est parti, pardon Pierre, j’ai dû lui déplaire et tu dois m’en vouloir de t’avoir fait perdre un gros contrat !
• Petite sotte regarde ce que je tiens dans ma main, pas le contrat, les contrats.
5 000 boîtes « prestige » au lieu de 2 000 et 2 500 boîtes de « Gourmet ».
2500 dans les trois déclinaisons, chocolat noir, blanc avec aussi celles au lait.
Ma chérie, tu viens de nous faire signer le contrat du siècle, Georges représente une chaîne de magasins en plein développement.
Je suis sûr que dans les années prochaines, nous maintiendrons ce chiffre et même que vous l’améliorerez.
Nous pouvons rentrer, je suis très satisfait de notre séjour.
Nous nous préparons, je veux fêter notre victoire en le caressant.
• Non, Élisa, il faut que je rentre, nous avons du travail à faire pour que cette commande se mette en place en temps et en heures.
Il porte sa main vers son cœur, mais je suis trop occupé à ramasser mes affaires éparpillées, sur le coup, pour m’en apercevoir.
Nous prenons la route et je somnole afin de récupérer de ma nuit tumultueuse.
D’un coup, je reviens sur terre après un grand coup de volant de Pierre.
Je vois qu’il pose sa main sur son cœur.
• Tu as un coup de fatigue !
• Non, je t’ai caché quelque chose, je voulais voir si tu étais capable d’assurer avant de te dire la vérité.
Les docteurs me donnent de six à vingt-quatre mois à vivre.
Tu as vu le sexe, que la nature m’a donné.
Pour l’alimenter, depuis ma puberté, mon cœur travaille en surmultiplier et comme j’ai eu de nombreuses femmes dans ma vie, il est usé, plus qu’usé.
J’ai suivi un traitement, mais sans grand résultat.
Lorsque je t’ai vu sur l’autoroute, je savais que si je te mettais dans mon lit, je brûlais mes dernières cartouches, plus rapidement, mais je l’ai faite sans hésiter.
Je dois reconnaître que tu m’as pris de court en séduisant mon fils, mais j’y ai vu mon intérêt pour le court temps qu’il me reste à vivre.
Tu m’as donné tant de plaisir pendant ces deux jours que si je dois partir plus vite, tu auras fait de moi le plus heureux des hommes.
Voilà tu sais presque tout, nous arrivons, rentre chez toi et retrouve ton mari.
Une seule chose, promet moi que temps que je serais vivant, tu auras des rapports avec mon fils sans risque de la moindre grossesse.
Tout à l’heure je vais rencontrer un ami et là encore tu en sauras plus.
Pierre me dépose et le soir Victor rentre de l’usine.
• Bonsoir, ma chérie, je t’ai manqué, papa s’est bien tenu !
• Énormément Victor, mais tu sais que c’est dans le contrat que j’ai signé avec lui, je dois l’accompagner chaque fois qu’il a besoin de moi, bébé, mais si tu savais comment tu m’as manqué.
Et puis c’est ton père, tu sais qu’il te respectera, il s’est très bien tenu pendant ces deux jours.
Il était dans sa chambre, au 1er et moi au 2e, nous nous sommes vues avec son client et le reste du temps, j’ai regardé la télévision.
Mais c’est qu’il serait jaloux mon gros bébé et de son père par-dessus le marché.
• Non, ton look a changé, je suis sûr qu’il t’a fait rencontrer Céline, la femme qui tient l’institue de beauté dans la ville de Normandie où vous étiez.
C’était l’amie de ma mère, un jour elle a eu les moyens de s’installer et en a profité.
• Oui, ton père m’a fait rencontrer Céline, qui m’a relooké à ma demande, je te l’avoue, c’étais dans le but de te plaire mon amour, je te plait ?
• Tu es magnifique, viens, je veux te faire l’amour !
• Eh ! tout doux mon chéri, on a le temps, laisse-moi digérer mon voyage, j’ai un manque d’habitude, emmène-moi au restaurant.
J’ai oublié de te dire, nous avons même dîné ensemble avec Pierre, ton père et Céline.
Je pense qu’il y a quelques sentiments entre eux, après dîner, il m’a laissé à l’hôtel et a proposé de la raccompagner sous couvert de galanterie.
Tu vois, aucun motif d’être jaloux, il a dû lui faire l’amour toute la nuit.
Nous nous sommes retrouvés au bar ou notre client nous attendait.
• Tu as surement raison ma chérie, mais tu sais entre mes parents et moi la vie a été difficile, ce week-end, je vais te faire découvrir l’univers que je préfère.
C’est une surprise.
Pauvre France, il est vrai qu’il est facile de gruger un homme, pour fixer mon couple et rester dans ce milieu aisé, j’avais dans mon esprit de me faire faire un enfant.
Je décide d’attendre comme je l’ai promis à Pierre dans la voiture.
Je fais l’amour avec Victor après le restaurant.
Je l’ai tellement chauffé allant même jusqu’à lui caresser la queue dès que j’en ai eu l’occasion.
Je le branle vigoureusement au point qu’il éjacule dans ma main, autant de spermatozoïdes qui partent dans les draps m’évitant une grossesse intempestive.
Le pauvre chéri, il est à deux doigts de pleurer car il a éjaculé sans me faire jouir.
Il me sera facile dans les jours prochains de concilier vie de couple et aussi vie avec mon amant, même si j’ai compris que notre amour durera si je sais le ménager sexuellement.
Je revois Pierre, le lendemain et je retrouve mes habitudes de secrétaire réservée.
Va s’engager une vie de femme présentable et de femme cachée.
Victor voulait me faire découvrir son coin secret en Normandie, il est tout ronchon quand je lui dis qu’il est impossible que ce soit ce week-end.
En effet, Pierre me fait savoir que nous partons pour quelques jours en Savoie dans le chalet d’une amie.
Nous devons discuter matière première, principalement la matière la plus importante d’une chocolaterie, les fèves de cacao avec une jeune femme s’appelant Chantal.
Aura-t-il besoin de sa pute ou simplement de sa maîtresse, la neige est tombée à Courchevel et je vais même apprendre à faire du ski.
Si c’est la pute, vais-je découvrir de nouveaux plaisirs, les femmes...
C’est ce que je pense lorsque je suis dans l’ascenseur qui nous conduit vers notre chambre à Pierre et moi.
C’est drôle quand je repense à la distance parcourue depuis hier ou je suis arrivée dans cet hôtel et que je me suis aperçue que je devais partager ma chambre avec mon beau-père.
Beau-père, qui m’avoue avoir craqué pour moi lorsqu’il m’avait vu dans mon ancien travail sur le restauroute près de la ville de la région parisienne où j’ai échoué dans mes études.
Embauché par Pierre, je le prends de vitesse en séduisant son fils dont je peux dire, qu’il est loin d’avoir décroché la lune.
Lors de cette nuit, ma lune Pierre me la prend malgré sa grosse queue finissant par devenir supportable.
L’ascenseur s’arrête et je me retrouve dans notre chambre, chacun d’eux pose leur attaché sur la table de nouveau impeccable.
L’orgie de chocolat que Pierre m’a mis dans la chatte pour manger ses profiteroles a été nettoyée.
Sachant que les contrats sont là, je veux que, demain ils aient fructifié.
Aussi je m’attelle à la tâche que Pierre semble m’avoir dévolu, être sa belle-fille, sa maîtresse et de fil en aiguille, sa pute.
Je vais être franche, j’apprécie franchement cette situation surtout avec la petite bite découverte dans le pantalon de mon mari.
Alors, je suis à la disposition des deux hommes et pour commencer avec ma bouche.
• Oui, prend bien la verge de mon ami au fond de ta bouche, fais-lui une gorge profonde, avec moi tu sais que c’est impossible.
Je fais entrer notre client bien au fond de ma gorge, ses couilles touchant mes lèvres, alors que pour Pierre, c’est en le léchant que je le fais bander.
J’ai mes deux mains sur chacune de leurs couilles et je les malaxe un peu gauche au début.
Il faut reconnaitre que pour moi la situation est un peu nouvelle et je dois m’adapter.
À cet instant, lorsque la verge de Georges touche ma glotte, j’ai une pensée pour Victor, mon mari, qui doit se morfondre dans notre appartement.
Dire qu’il est tombé amoureux d’une jolie petite salope qui va se donner, pardon, se faire prendre par deux verges là où ces messieurs auront envie de me prendre.
Dès le premier soir où m’étant donnée à lui, je l’ai sucé, il était loin d’arriver à toucher ma glotte.
C’est quand j’ai senti qu’il allait éclater en moins de deux minutes que je l’ai recraché prestement.
Là avec Georges et Pierre, le jeu peut durer, ils sont loin d’être les éjaculateurs précoces comme celui que j’ai épousé.
Même si mon cul me brûle encore légèrement, la prise comme un trophée de Pierre hier au soir me permet de penser que tout va nous être permis.
Georges en a une moins grosse que Pierre, mais il a des muscles et je me trouve dévêtue propulsée sur le lit où il vient à son tour me bouffer la chatte, parfaitement taillée.
Ma cyprine explose littéralement sous sa langue lorsque se redressant il vient me prendre alors que Pierre vient de nouveau se faire lécher et entretenir son érection.
Mes hommes se relayaient dans ma bouche, ils se relayent dans ma chatte pour me faire une nouvelle fois hurler de plaisir.
En levrette, ils me prennent tour à tour, Georges cette deuxième fois m’encule se servant de moi comme une poupée de chiffon.
A-t-il compris qu’il avait tous les droits et moi je lui permets, malgré les blancs dans mon cerveau, ayant toujours en tête les contrats.
Depuis combien de temps, me baisent-ils lorsque je me retrouve empalée sur mon beau-père, mais l’est-il à ce moment, divinement rempli ?
Je sens Georges reprendre ma voix anale, me prenant en double pénétration.
Je sens leurs deux verges se toucher séparé par mon périnée, nom que j’ai appris lors de mes cours d’histoire naturelle à l’orphelinat.
C’est dans un moment d’une rare intensité que tous nous éclatons dans une gerbe de plaisir.
• Bonjour, monsieur, madame, voici le petit déjeuner que vous avez commandé bonne journée à vous.
J’ouvre un œil, c’est une jeune femme qui vient nous apporter notre petit déjeuner.
Ce qu’il y a de bien, avec les passes magnétiques que les employés possèdent, c’est qu’il a suffi à mon amant de dire qu’elle entre pour qu’elle soit près de nous.
D’un coup, j’ai consciente qu’elle a dit, « monsieur » et non « messieurs », nous devrions être trois dans notre lit.
Force est de constater que j’ai loupé mon coup, Georges et sa mallette sont partis.
La jeune femme nous quitte, je viens me lover dans les bras de celui étant resté près de moi.
• Il est parti, pardon Pierre, j’ai dû lui déplaire et tu dois m’en vouloir de t’avoir fait perdre un gros contrat !
• Petite sotte regarde ce que je tiens dans ma main, pas le contrat, les contrats.
5 000 boîtes « prestige » au lieu de 2 000 et 2 500 boîtes de « Gourmet ».
2500 dans les trois déclinaisons, chocolat noir, blanc avec aussi celles au lait.
Ma chérie, tu viens de nous faire signer le contrat du siècle, Georges représente une chaîne de magasins en plein développement.
Je suis sûr que dans les années prochaines, nous maintiendrons ce chiffre et même que vous l’améliorerez.
Nous pouvons rentrer, je suis très satisfait de notre séjour.
Nous nous préparons, je veux fêter notre victoire en le caressant.
• Non, Élisa, il faut que je rentre, nous avons du travail à faire pour que cette commande se mette en place en temps et en heures.
Il porte sa main vers son cœur, mais je suis trop occupé à ramasser mes affaires éparpillées, sur le coup, pour m’en apercevoir.
Nous prenons la route et je somnole afin de récupérer de ma nuit tumultueuse.
D’un coup, je reviens sur terre après un grand coup de volant de Pierre.
Je vois qu’il pose sa main sur son cœur.
• Tu as un coup de fatigue !
• Non, je t’ai caché quelque chose, je voulais voir si tu étais capable d’assurer avant de te dire la vérité.
Les docteurs me donnent de six à vingt-quatre mois à vivre.
Tu as vu le sexe, que la nature m’a donné.
Pour l’alimenter, depuis ma puberté, mon cœur travaille en surmultiplier et comme j’ai eu de nombreuses femmes dans ma vie, il est usé, plus qu’usé.
J’ai suivi un traitement, mais sans grand résultat.
Lorsque je t’ai vu sur l’autoroute, je savais que si je te mettais dans mon lit, je brûlais mes dernières cartouches, plus rapidement, mais je l’ai faite sans hésiter.
Je dois reconnaître que tu m’as pris de court en séduisant mon fils, mais j’y ai vu mon intérêt pour le court temps qu’il me reste à vivre.
Tu m’as donné tant de plaisir pendant ces deux jours que si je dois partir plus vite, tu auras fait de moi le plus heureux des hommes.
Voilà tu sais presque tout, nous arrivons, rentre chez toi et retrouve ton mari.
Une seule chose, promet moi que temps que je serais vivant, tu auras des rapports avec mon fils sans risque de la moindre grossesse.
Tout à l’heure je vais rencontrer un ami et là encore tu en sauras plus.
Pierre me dépose et le soir Victor rentre de l’usine.
• Bonsoir, ma chérie, je t’ai manqué, papa s’est bien tenu !
• Énormément Victor, mais tu sais que c’est dans le contrat que j’ai signé avec lui, je dois l’accompagner chaque fois qu’il a besoin de moi, bébé, mais si tu savais comment tu m’as manqué.
Et puis c’est ton père, tu sais qu’il te respectera, il s’est très bien tenu pendant ces deux jours.
Il était dans sa chambre, au 1er et moi au 2e, nous nous sommes vues avec son client et le reste du temps, j’ai regardé la télévision.
Mais c’est qu’il serait jaloux mon gros bébé et de son père par-dessus le marché.
• Non, ton look a changé, je suis sûr qu’il t’a fait rencontrer Céline, la femme qui tient l’institue de beauté dans la ville de Normandie où vous étiez.
C’était l’amie de ma mère, un jour elle a eu les moyens de s’installer et en a profité.
• Oui, ton père m’a fait rencontrer Céline, qui m’a relooké à ma demande, je te l’avoue, c’étais dans le but de te plaire mon amour, je te plait ?
• Tu es magnifique, viens, je veux te faire l’amour !
• Eh ! tout doux mon chéri, on a le temps, laisse-moi digérer mon voyage, j’ai un manque d’habitude, emmène-moi au restaurant.
J’ai oublié de te dire, nous avons même dîné ensemble avec Pierre, ton père et Céline.
Je pense qu’il y a quelques sentiments entre eux, après dîner, il m’a laissé à l’hôtel et a proposé de la raccompagner sous couvert de galanterie.
Tu vois, aucun motif d’être jaloux, il a dû lui faire l’amour toute la nuit.
Nous nous sommes retrouvés au bar ou notre client nous attendait.
• Tu as surement raison ma chérie, mais tu sais entre mes parents et moi la vie a été difficile, ce week-end, je vais te faire découvrir l’univers que je préfère.
C’est une surprise.
Pauvre France, il est vrai qu’il est facile de gruger un homme, pour fixer mon couple et rester dans ce milieu aisé, j’avais dans mon esprit de me faire faire un enfant.
Je décide d’attendre comme je l’ai promis à Pierre dans la voiture.
Je fais l’amour avec Victor après le restaurant.
Je l’ai tellement chauffé allant même jusqu’à lui caresser la queue dès que j’en ai eu l’occasion.
Je le branle vigoureusement au point qu’il éjacule dans ma main, autant de spermatozoïdes qui partent dans les draps m’évitant une grossesse intempestive.
Le pauvre chéri, il est à deux doigts de pleurer car il a éjaculé sans me faire jouir.
Il me sera facile dans les jours prochains de concilier vie de couple et aussi vie avec mon amant, même si j’ai compris que notre amour durera si je sais le ménager sexuellement.
Je revois Pierre, le lendemain et je retrouve mes habitudes de secrétaire réservée.
Va s’engager une vie de femme présentable et de femme cachée.
Victor voulait me faire découvrir son coin secret en Normandie, il est tout ronchon quand je lui dis qu’il est impossible que ce soit ce week-end.
En effet, Pierre me fait savoir que nous partons pour quelques jours en Savoie dans le chalet d’une amie.
Nous devons discuter matière première, principalement la matière la plus importante d’une chocolaterie, les fèves de cacao avec une jeune femme s’appelant Chantal.
Aura-t-il besoin de sa pute ou simplement de sa maîtresse, la neige est tombée à Courchevel et je vais même apprendre à faire du ski.
Si c’est la pute, vais-je découvrir de nouveaux plaisirs, les femmes...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

