COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (4/18)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (4/18)
Si on m’avait dit le jour de mes dix-huit ans, lorsque l’administration de mon pays m’a mise dehors de mon orphelinat qu’une telle aventure m’arriverait.
Si l’on m’avait dit que je deviendrais la pute de mon patron devenu mon beau-père, j’aurais simplement haussé les épaules.
Je connaissais très peu le sexe, ayant été défloré par Olaf, le gardien de notre orphelinat au moment où l’on m’a mise dehors.
Une grand-mère et un emploi dans le restauroute non loin de chez moi m’ont permis de m’installer dans la vie, mais petitement.
Lorsque j’ai trouvé cette proposition de Pierre de rejoindre son entreprise fabriquant des boîtes de chocolats, j’ai failli la laisser passer, car j’ai horreur du goût du chocolat.
Mais ce travail sans qualification était une aubaine, moi qui venais de louper ma première année de secrétariat par manque de temps afin de gagner de quoi survivre.
Ce que j’ignorais c’est que c’était un coup monté par Pierre le patron de cette société m’ayant vu sur l’autoroute où je servais pour gagner ma vie et ayant des vues sur mon petit cul de blonde naturelle.
C’est à Courchevel en Savoie que je dois aider Pierre à gagner grâce à mes fesses plus de fric pour notre société, ce travail ayant quelques particularités.
Pour ce voyage, je me suis rendue dans une boutique pour me fringuer en vraie championne de ski, Pierre est généreux sur mes fringues du moment que ça nous aide dans la gestion de son entreprise de chocolat.
Ce lundi nous sommes sur l’autoroute nous venons de contourner Lyon jusqu’à Saint-Priest et nous allons atteindre Chambéry.
Pendant le week-end, j’ai pu faire du shopping pour cette semaine au ski, alors que Victor voulait m’emmener à ce qu’il a appelé son coin de paradis.
Hélas, pour lui, mais mon départ le lundi à 4 heures du matin avec Pierre dont le fils ignore les forfaitures de sa femme devenue sa maîtresse, nous en a empêché.
Je lui ai promis de l’accompagner dès le prochain week-end ou je serais libre.
C’est pourquoi, avec mon beau-père, nous roulons vers Courchevel, il y a de la circulation lorsque je me réveille.
• Ma chère Élisa, tu as un peu dormi depuis que nous roulons vers ces montagnes.
Je suis très satisfait que depuis que nous sommes allés en Normandie, tu sois resté près de Victor sans ne rien lui avouer sur nos rapports entre nous.
Je suis retourné voir mon médecin, les choses se précisent.
À Courchevel, je vais te demander dès ce soir, de jouer un jeu un peu plus spécial avec la femme qui nous a invités.
Elle nous attend dans son chalet, tu vas très vite comprendre, que ma grosse queue est loin d’être son truc, c’est ta petite chatte qui va l’intéresser.
C’est sa société qui me fournit nos fèves de cacao, principale matière première pour nous, elle les fait venir d’Afrique et d’Amérique centrale où elle se rend fréquemment.
Le moindre pourcent de remise de cet or noir, nous permet de dégager, des milliers d’euros de dividende source de nos bénéfices en fin d’exercice surtout après la signature de notre gros contrat avec Georges.
Veux-tu m’aider à les gagner et protéger les emplois de nos employés ?
• Tu sais, les hommes, même si j’avais peu d’expérience, s’étaient facile, les femmes, j’ignore comment les choses se passent sexuellement avec elles ?
• Je te fais confiance, tu sauras faire ce qu’il faut, comme tu as su faire la semaine dernière, notre personnel est sauvé bien qu’à chaque jour suffit sa peine.
Je médite ces mots, espérant que la femme sera belle et au moins agréable, ce qui j’ai tendance à penser me facilitera la tâche.
Avec l’arrêt pour prendre un petit déjeuner dans un restauroute identique à celui où je servais, il est presque midi lorsque Pierre arrête la voiture au pied d’un très beau chalet en bois.
Il y a de nombreux kilomètres que nous roulons entourés de montagnes enneigées.
Par chance, les chasses neiges sont passées sur la fin de parcours et grâce aux pneus pour la neige, c’est sans encombre que nous arrivons à destination.
• Bonjour, Pierre, je vois que tu as encore changé de secrétaire.
Faite attention mademoiselle mon ami Pierre est un don Juan, même si sur moi son charme est loin d’avoir de l’effet.
• Chantal, je te présente Élisa, elle a rejoint mon équipe et vous ferez bien ce que vous voulez, le repos et l’air des cimes, c’est la seule chose qui m’importe.
La vie en région parisienne est de plus en plus stressante.
• Depuis le temps que je te dis de délocaliser ton entreprise à Lyon comme je l’ai fait pour la mienne, tu aurais trouvé une vie plus douce.
• Tu m’excuses d’avoir du sentiment pour la société que mon père a créée et les ouvriers que j’emploie, pendant notre séjour, chaise longue sur ta terrasse ou fauteuil au pied de ta cheminée, suivant le temps.
• Bon tu connais la maison, allez vous installer, je me prépare de mon côté, tu sais que pour moi, ces vacances à la montagne son synonyme de repos côté cuisine.
Jean-François, nous attend pour une heure, notre table est réservée.
Lorsque je dépose ma valise dans ma chambre, à l’étage de ce chalet alors que la salle est très belle avec sa grande cheminée centrale où des bûches crépitent,
Je vois Chantal, magnifique rousse entrer dans sa chambre au milieu de celle que rejoint Pierre et la mienne où se trouve un grand lit.
J’appelle Victor comme je l’ai fait pendant le week-end, j’ai du réseau, mais c’est le répondeur de mon mari que j’arrive à joindre.
Je lui laisse un message voulant savoir s’il est bien rentré.
Je me dénude et je vais dans la salle de bains, en passant, je remarque qu’il y a une porte de communication.
Je me fais couler un bain bien chaud même si la pièce est à bonne température, malgré le froid extérieur.
• Élisa, je peux te poser une question !
Je sursaute, Chantal est entrée dans la salle d’eau par l’autre porte qui doit donner dans sa chambre sans prendre soin de mon intimité.
• Excuse de t’avoir fait peur, nous faisons salle de bains commune, Pierre à sa propre douche dans sa chambre.
Tu es ravissante, tu es la plus jolie des escortes qu’il m’ait offerte depuis douze ans que je le connais et que je lui ai dit que son sexe, il pouvait le remettre dans son pantalon.
Excuse d’être si direct, il l’ignore mais je connais sa façon de fonctionner en affaires, il y a longtemps que tu l’accompagnes, tu sembles être si jeune !
Je suis à deux doigts de lui dire que je suis la bru de Pierre, mais je veux en dire le moins possible afin d’éviter tout imper, j’ai nettement compris l’importance de notre voyage.
• J’étais dans un orphelinat jusqu’à mes dix-huit ans et lorsque je suis sortie, se servir de mon corps a été ma seule planche de salut.
En dire, le moins possible, mélanger le vrai et le faux.
J’ai l’habitude, avec les gardes-chiourme à l’orphelinat, il fallait savoir ruser lorsqu’on avait fait une connerie avec mes copines.
• Combien pense-t-il que je vais lui faire gagner en pourcentage en échange de ton joli petit cul ?
Là, encore, rapide prise de décision.
• On a parlé dans la voiture et il espère un bon pourcentage, mais il n’a donné aucun chiffre précis, peut être 10 %, crois-tu cela possible !
Elle me prend dans ses bras, je suis toute tremblante et si Pierre espérait proposer plus, comment va-t-il prendre cette trahison ?
• Merci du renseignement, je saurais m’en souvenir, embrasse-moi, tu es bien là pour ça !
Pour la première fois de ma vie, les lèvres d’une femme viennent se poser sur mes lèvres.
Son parfum poivré m’enivre, j’avais une copine, « poil de carotte, » à l’orphelinat qui sentait fort, comme elle.
J’aurais pu être rebuté, mais c’est Salvinia qui me permet de me couler dans les bras de Chantal et de lui prendre sa bouche.
Je me sens toute chose, que dois-je faire, je sens que je me découvre, car comme Chantal me prend pour la pute de mon beau-père, je devrais savoir comment faire pour la satisfaire.
Elle s’écarte de moi.
• Arrête, petite fille, depuis l’année ayant suivi mon refus de coucher avec lui, Pierre vient avec sa première secrétaire changeant chaque année, toutes étaient de parfaites lesbiennes.
Toi, je sens que les rapports avec les femmes te son étrangère, explique-toi ?
Une nouvelle fois piégée, non, je réfléchis à cent à l’heure.
• Je suis une pute, je le reconnais, mais hétéro jusqu’à ce jour.
Pierre a eu un problème pour trouver une escorte lesbienne, il me paye de temps en temps pour une nuit, mais avec certains de ses clients.
Il m’a appelé pour me demander de le dépanner, alors pour la somme qu’il me proposait et ces vacances à la montagne, j’ai accepté.
Aime-moi, j’ai eu quelques contacts avec des clientes féminines, je les ai refusés par manque de connaissance des amours lesbiens.
• Je t’aime bien, au moins tu es directe, mais dis-moi, sais-tu skier ?
• Non, mais j’apprends vite.
Dans la suite directe, plus de question, je pense que je l’ai convaincu.
• À te poser ces questions, le temps a filé, douchons-nous et allons rejoindre Pierre, pour aller au restaurant.
Nous irons chercher les skis que j’ai réservés et je t’apprendrais le planter de bâtons.
Ce soir, si tu es d’accord, je t’apprendrais comment aimer une femme.
Le planter de bâtons, l’allusion à Jean-Claude Dusse est trop connue.
Une fois prête, nous frappons à la porte de Pierre qui sort en tenue décontractée ayant laissé tomber son costume trois-pièces.
Pantalon et pull à colle roulée, ça lui donne une allure plus jeune.
• Bonjour Chantal, salut Pierre de retour parmi nous, content de te revoir, mais qui est donc cette jeune fille ravissante, si j’étais hétéro, je vous épouserais mademoiselle.
Mince, je n’avais pas vu votre alliance, je suis un indécrottable gaffeur, votre mari à bien de la chance.
Cette tantouze efféminée plus que je ne peux l’être ou Chantal aussi, en cinq secondes dès notre entrée dans son établissement nous met Pierre et moi dans la merde.
Je suis l’escorte de service, à moi de nous en sortir rapidement…
Si l’on m’avait dit que je deviendrais la pute de mon patron devenu mon beau-père, j’aurais simplement haussé les épaules.
Je connaissais très peu le sexe, ayant été défloré par Olaf, le gardien de notre orphelinat au moment où l’on m’a mise dehors.
Une grand-mère et un emploi dans le restauroute non loin de chez moi m’ont permis de m’installer dans la vie, mais petitement.
Lorsque j’ai trouvé cette proposition de Pierre de rejoindre son entreprise fabriquant des boîtes de chocolats, j’ai failli la laisser passer, car j’ai horreur du goût du chocolat.
Mais ce travail sans qualification était une aubaine, moi qui venais de louper ma première année de secrétariat par manque de temps afin de gagner de quoi survivre.
Ce que j’ignorais c’est que c’était un coup monté par Pierre le patron de cette société m’ayant vu sur l’autoroute où je servais pour gagner ma vie et ayant des vues sur mon petit cul de blonde naturelle.
C’est à Courchevel en Savoie que je dois aider Pierre à gagner grâce à mes fesses plus de fric pour notre société, ce travail ayant quelques particularités.
Pour ce voyage, je me suis rendue dans une boutique pour me fringuer en vraie championne de ski, Pierre est généreux sur mes fringues du moment que ça nous aide dans la gestion de son entreprise de chocolat.
Ce lundi nous sommes sur l’autoroute nous venons de contourner Lyon jusqu’à Saint-Priest et nous allons atteindre Chambéry.
Pendant le week-end, j’ai pu faire du shopping pour cette semaine au ski, alors que Victor voulait m’emmener à ce qu’il a appelé son coin de paradis.
Hélas, pour lui, mais mon départ le lundi à 4 heures du matin avec Pierre dont le fils ignore les forfaitures de sa femme devenue sa maîtresse, nous en a empêché.
Je lui ai promis de l’accompagner dès le prochain week-end ou je serais libre.
C’est pourquoi, avec mon beau-père, nous roulons vers Courchevel, il y a de la circulation lorsque je me réveille.
• Ma chère Élisa, tu as un peu dormi depuis que nous roulons vers ces montagnes.
Je suis très satisfait que depuis que nous sommes allés en Normandie, tu sois resté près de Victor sans ne rien lui avouer sur nos rapports entre nous.
Je suis retourné voir mon médecin, les choses se précisent.
À Courchevel, je vais te demander dès ce soir, de jouer un jeu un peu plus spécial avec la femme qui nous a invités.
Elle nous attend dans son chalet, tu vas très vite comprendre, que ma grosse queue est loin d’être son truc, c’est ta petite chatte qui va l’intéresser.
C’est sa société qui me fournit nos fèves de cacao, principale matière première pour nous, elle les fait venir d’Afrique et d’Amérique centrale où elle se rend fréquemment.
Le moindre pourcent de remise de cet or noir, nous permet de dégager, des milliers d’euros de dividende source de nos bénéfices en fin d’exercice surtout après la signature de notre gros contrat avec Georges.
Veux-tu m’aider à les gagner et protéger les emplois de nos employés ?
• Tu sais, les hommes, même si j’avais peu d’expérience, s’étaient facile, les femmes, j’ignore comment les choses se passent sexuellement avec elles ?
• Je te fais confiance, tu sauras faire ce qu’il faut, comme tu as su faire la semaine dernière, notre personnel est sauvé bien qu’à chaque jour suffit sa peine.
Je médite ces mots, espérant que la femme sera belle et au moins agréable, ce qui j’ai tendance à penser me facilitera la tâche.
Avec l’arrêt pour prendre un petit déjeuner dans un restauroute identique à celui où je servais, il est presque midi lorsque Pierre arrête la voiture au pied d’un très beau chalet en bois.
Il y a de nombreux kilomètres que nous roulons entourés de montagnes enneigées.
Par chance, les chasses neiges sont passées sur la fin de parcours et grâce aux pneus pour la neige, c’est sans encombre que nous arrivons à destination.
• Bonjour, Pierre, je vois que tu as encore changé de secrétaire.
Faite attention mademoiselle mon ami Pierre est un don Juan, même si sur moi son charme est loin d’avoir de l’effet.
• Chantal, je te présente Élisa, elle a rejoint mon équipe et vous ferez bien ce que vous voulez, le repos et l’air des cimes, c’est la seule chose qui m’importe.
La vie en région parisienne est de plus en plus stressante.
• Depuis le temps que je te dis de délocaliser ton entreprise à Lyon comme je l’ai fait pour la mienne, tu aurais trouvé une vie plus douce.
• Tu m’excuses d’avoir du sentiment pour la société que mon père a créée et les ouvriers que j’emploie, pendant notre séjour, chaise longue sur ta terrasse ou fauteuil au pied de ta cheminée, suivant le temps.
• Bon tu connais la maison, allez vous installer, je me prépare de mon côté, tu sais que pour moi, ces vacances à la montagne son synonyme de repos côté cuisine.
Jean-François, nous attend pour une heure, notre table est réservée.
Lorsque je dépose ma valise dans ma chambre, à l’étage de ce chalet alors que la salle est très belle avec sa grande cheminée centrale où des bûches crépitent,
Je vois Chantal, magnifique rousse entrer dans sa chambre au milieu de celle que rejoint Pierre et la mienne où se trouve un grand lit.
J’appelle Victor comme je l’ai fait pendant le week-end, j’ai du réseau, mais c’est le répondeur de mon mari que j’arrive à joindre.
Je lui laisse un message voulant savoir s’il est bien rentré.
Je me dénude et je vais dans la salle de bains, en passant, je remarque qu’il y a une porte de communication.
Je me fais couler un bain bien chaud même si la pièce est à bonne température, malgré le froid extérieur.
• Élisa, je peux te poser une question !
Je sursaute, Chantal est entrée dans la salle d’eau par l’autre porte qui doit donner dans sa chambre sans prendre soin de mon intimité.
• Excuse de t’avoir fait peur, nous faisons salle de bains commune, Pierre à sa propre douche dans sa chambre.
Tu es ravissante, tu es la plus jolie des escortes qu’il m’ait offerte depuis douze ans que je le connais et que je lui ai dit que son sexe, il pouvait le remettre dans son pantalon.
Excuse d’être si direct, il l’ignore mais je connais sa façon de fonctionner en affaires, il y a longtemps que tu l’accompagnes, tu sembles être si jeune !
Je suis à deux doigts de lui dire que je suis la bru de Pierre, mais je veux en dire le moins possible afin d’éviter tout imper, j’ai nettement compris l’importance de notre voyage.
• J’étais dans un orphelinat jusqu’à mes dix-huit ans et lorsque je suis sortie, se servir de mon corps a été ma seule planche de salut.
En dire, le moins possible, mélanger le vrai et le faux.
J’ai l’habitude, avec les gardes-chiourme à l’orphelinat, il fallait savoir ruser lorsqu’on avait fait une connerie avec mes copines.
• Combien pense-t-il que je vais lui faire gagner en pourcentage en échange de ton joli petit cul ?
Là, encore, rapide prise de décision.
• On a parlé dans la voiture et il espère un bon pourcentage, mais il n’a donné aucun chiffre précis, peut être 10 %, crois-tu cela possible !
Elle me prend dans ses bras, je suis toute tremblante et si Pierre espérait proposer plus, comment va-t-il prendre cette trahison ?
• Merci du renseignement, je saurais m’en souvenir, embrasse-moi, tu es bien là pour ça !
Pour la première fois de ma vie, les lèvres d’une femme viennent se poser sur mes lèvres.
Son parfum poivré m’enivre, j’avais une copine, « poil de carotte, » à l’orphelinat qui sentait fort, comme elle.
J’aurais pu être rebuté, mais c’est Salvinia qui me permet de me couler dans les bras de Chantal et de lui prendre sa bouche.
Je me sens toute chose, que dois-je faire, je sens que je me découvre, car comme Chantal me prend pour la pute de mon beau-père, je devrais savoir comment faire pour la satisfaire.
Elle s’écarte de moi.
• Arrête, petite fille, depuis l’année ayant suivi mon refus de coucher avec lui, Pierre vient avec sa première secrétaire changeant chaque année, toutes étaient de parfaites lesbiennes.
Toi, je sens que les rapports avec les femmes te son étrangère, explique-toi ?
Une nouvelle fois piégée, non, je réfléchis à cent à l’heure.
• Je suis une pute, je le reconnais, mais hétéro jusqu’à ce jour.
Pierre a eu un problème pour trouver une escorte lesbienne, il me paye de temps en temps pour une nuit, mais avec certains de ses clients.
Il m’a appelé pour me demander de le dépanner, alors pour la somme qu’il me proposait et ces vacances à la montagne, j’ai accepté.
Aime-moi, j’ai eu quelques contacts avec des clientes féminines, je les ai refusés par manque de connaissance des amours lesbiens.
• Je t’aime bien, au moins tu es directe, mais dis-moi, sais-tu skier ?
• Non, mais j’apprends vite.
Dans la suite directe, plus de question, je pense que je l’ai convaincu.
• À te poser ces questions, le temps a filé, douchons-nous et allons rejoindre Pierre, pour aller au restaurant.
Nous irons chercher les skis que j’ai réservés et je t’apprendrais le planter de bâtons.
Ce soir, si tu es d’accord, je t’apprendrais comment aimer une femme.
Le planter de bâtons, l’allusion à Jean-Claude Dusse est trop connue.
Une fois prête, nous frappons à la porte de Pierre qui sort en tenue décontractée ayant laissé tomber son costume trois-pièces.
Pantalon et pull à colle roulée, ça lui donne une allure plus jeune.
• Bonjour Chantal, salut Pierre de retour parmi nous, content de te revoir, mais qui est donc cette jeune fille ravissante, si j’étais hétéro, je vous épouserais mademoiselle.
Mince, je n’avais pas vu votre alliance, je suis un indécrottable gaffeur, votre mari à bien de la chance.
Cette tantouze efféminée plus que je ne peux l’être ou Chantal aussi, en cinq secondes dès notre entrée dans son établissement nous met Pierre et moi dans la merde.
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