COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (5/18)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (5/18) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (5/18)
• Bon, dis-moi qui tu es réellement, une escorte mariée ça existe, mais une escorte gardant son alliance, permet moi de te dire que depuis ce midi je me pose de sérieuses questions !

Que s’est-il passé depuis qu’au restaurant, cette tapette de Jean-François a fait remarquer à qui voulait l’entendre que j’étais une femme mariée portant son alliance.

Reprenons depuis que la tante nous a installés à notre table avec vue sur La Dent du Villard, site incontournable que Chantal nous fait découvrir du moins à moi, Pierre étant un habitué des lieux.
Chantal après l’imper du patron du restaurant efféminé est restée stoïque, aucune question, sauf des anecdotes avec Pierre sur de précédents moments de neige.
Il nous a quitté à la fin du repas ayant récupéré les clefs du chalet.
Il a expliqué à Chantal que son cœur lui jouant des tours et qu’au lieu du ski, il va aller se reposer du voyage et de la tartiflette spécialité avec la fondue savoyarde de l’établissement de mon gaffeur.
Une fois seule, Chantal me conduit à deux pas de là dans un magasin de location de matériel de ski.

• Bonjour Servin, tu m’as mis de côté le matériel pour Élisa notre amie, que je t’ai réservée, tu chausses bien du 36, je vais aussi récupérer ma planche que tu devais vérifier !

Nous sortons du magasin, Pierre avait dû lui communiquer ma pointure et ma taille car skis et chaussures sont prête.
Ça commence mal, marcher avec des chaussures de skis ce n’est pas une sinécure, mais nous rejoignons les pistes de ski.

Après des débuts de démonstration laborieuse, ou le bâton mal placé a été la cause de plusieurs chutes, nous décidons de faire une pause.
Nous entrons dans un salon de thé tout près des pistes boire un chocolat chaud avec des viennoiseries.
C’est à ce moment que Chantal finit par revenir à la charge, je décide de lui dire la vérité.

• Je vais être franche Chantal, tu as été patiente avec moi en me servant de chaperon sur ces pistes toi qui sur ta planche, tu dois être capable de dévaler les pistes noires.
Pierre est mon beau-père et je suis la femme de Victor son fils.

Je recommence tout ce que vous savez déjà et de la manière dont Pierre, croyant me piéger, s’est retrouvé piégé par mon mariage.

• Je comprends, Pierre est pragmatique, il a vu son intérêt dans ton mariage avec son fils en te mettant dans son lit.
Il te baise et gagne du fric en ayant fait de toi une fille de joie, faisant par là-même la pute de son entreprise.
Je n’y aurais pas pensé, je savais Pierre machiavélique en affaires, mais je comprends aussi ton manque d’expérience avec les filles.
Pourtant tu m’as dit sortir d’un orphelinat pour jeunes filles, du moins si cela est vrai, tu n’as jamais été tenté par l’une d’elles !

Je comprends, l’allusion, déjà la chambre communicante par la salle de bain, Chantal faute de me tâter les seins, tâte le terrain pour voir si elle a tout de même une chance avec moi.

• Lorsque Olaf, le gardien, sous couvert de me donner des papiers m’a attiré dans sa loge à la sortie de la propriété, j’ai perdu mon pucelage sans en savoir plus sur le sexe.
Si certaines de mes congénères, avaient des rapports entre elles, c’est passé au-dessus de ma tête.
Mais depuis avec Pierre, j’ai rattrapé grandement mon retard, je crois même que pour les rapports avec les hommes, j’ai pris quelques longueurs d’avance.

À ce moment mon portable dans ma combinaison de ski s’est mis à jouer « la marche funèbre » sonnerie que j’ai choisie pour me prévenir d’un appel.

• Victor, viens-tu aux nouvelles ?
Oui, je suis seule pendant quelques instants, je suis dans un salon de thé profitant du soleil,
Je viens de skier, tu verrais mes fesses, elles sont remplies des bleus dus à mes trop nombreuses chutes.
Mais la dernière descente, le planté de bâton a été meilleure et je suis prête à dévaler les pistes les plus dures de la station.
Ton père, non, il se repose du voyage dans sa chambre, je suis avec Chantal au salon de thé, mais elle s’est absentée pour aller faire un petit pipi.
Qu’as-tu à me dire sur elle ?

J’ignore pourquoi je fais croire à Victor que je suis seule alors que Chantal est à mon côté.

• Faire attention, Chantal est une gouine.
• Comment le sais-tu, tu as essayé de la baiser ?
Même avant de me connaitre, tu n’as pas essayé, tu l’as rencontré avec ton père et tu t’es vite rendu compte que ta verge ne l’intéressait pas !
Et Jean-François, le restaurateur, il a eu de l’intérêt pour toi !
Mais oui, je te fais marcher, je sais que j’ai été ta première et j’espère aussi depuis ta seule.
Et les hommes, très peu pour toi !
Oui, chéri, je sais que je serais à jamais la seule, moi aussi bébé.
Bon Chantal revient, je la vois au bout de la salle remonter des toilettes.
Je ferai encore plus attention, si je vois qu’elle me fait des propositions douteuses, bises, on se rappelle.

Je raccroche.

• Quelle salope, tu tiens bien ton rôle, si tu ne m’avais pas dit qui tu étais, j’aurais compris comment tu le tiens par les couilles.
Tu veux que je te fasse un compliment, tu es une véritable pute.
• Je t’ai tout dit, à toi de me dire comment tu as su que tu étais lesbienne ou gouine, comme tu veux que je dise ?
• Gouine, ça me va, je vais te poser une question, ça ne te fait rien d’avoir un sexe esclave de la bite d’un homme, ou des hommes comme tu veux le dire.
Moi, ça me répugne.
• Une telle aversion, tu as dû subir un traumatisme qui a créé un blocage en toi.
La femme est un trou certes, l’homme a un manche calibré pour remplir ce trou.
Je serais d’accord avec toi, si la nature ou pour certains, le divin, ne nous avait pas donné les multiples façons de jouir, nous sommes les seuls mammifères à avoir cette particularité.
Les animaux baisent seulement pour leur reproduction.
De plus, les hommes croient qu’ils nous dominent, alors que c’est nous qui en leur disant « oui ou non », somme maîtresse du jeu.
Regarde, moi, avec mon mari et mon amant, en prenant ce poste et en me mariant, ils croient benoitement que l’un je lui suis fidèle et l’autre que je suis sa pute.
L’un m’apporte le confort matériel.
L’autre, qui virerait sa propre bru de son entreprise alors qu’une secrétaire, c’est un Kleenex tout juste bon à mettre à la poubelle après deux ou trois utilisations.
Pierre, a une pute à demeure qui doit fermer sa gueule de peur de perdre les avantages qu’elle a gagnés en épousant son fils.
• Tu es machiavélique, tu as en plus, raison sur mon traumatisme, ça vient de mon adolescence.
J’aime lire des livres érotiques lorsque je suis seule dans mon chalet et il y a de très bons sites sur le Net.
Fréquemment les auteurs se servent de jeunes filles pour introduire leurs histoires.
La demoiselle découvre d’une façon opportune que ses parents baisent.
Je l’ai vécu réellement vers mes douze ans.
Tout pareil que dans ces livres, je me suis levée pour aller faire pipi, je devais passer au-dessus du salon où mes parents se trouvaient.
• Tu as vu ton père, baiser ta mère, si tu étais au-dessus d’eux, tu étais sur une mezzanine et tu voyais tout en vue plongeante.
• Oui, ce machin qui entrait et qui sortait, j’ai trouvé ça dégoûtant, j’en ai parlé trois ans plus tard pour la première fois avec Véronique ma meilleure amie du moment.
Elle était lesbienne ce que j’ignorais à ce moment et m’a montré de l’intérêt.
• Et tu as basculé !
• Oui, rejoignant ma chambre, l’envie de pipi qui pour la première fois, m’avait obligé de me lever, ce qui ne m’était jamais arrivé, m’a propulsé vers le refus des sexes d’hommes.
Au matin, j’avais fait pipi au lit, j’aurais dû dire à maman que je l’avais vue se faire baiser par mon paternel, mais j’ai été incapable de formuler quoi que ce soit.
• Tu te serais épanchée, il se peut que tu aurais perdu ton pucelage tout comme moi je l’ai fait avec ce vieux gardien de notre orphelinat.
Tu aurais connu des chattes, mais dans d’autres circonstances, comme moi je vais le faire avec toi dès que nous serons rentrées à ton chalet.
• Croix ce que tu veux, pour les hommes, je me vois mal baiser avec toi et Pierre.
Lui, c’est un peu comme il s’est passé avec mon père, mais avec mon frère, bien que nous n’ayons aucun lien de parenté.
• Chantal, que m’as-tu dit tout au long de l’après-midi sur ces pistes pour débutants.
« Aie confiance, ça va venir. »
Je te le dis, tu peux avoir confiance Chantal, j’ai bien trouvé comment épouser Victor alors que c’est loin d’être une lumière et d’assurer mon avenir en devenant la pute de son père.
Je trouverais bien le moyen de te guérir de ton traumatisme de jeunesse, il faut savoir saisir sa chance.
• Rêves Élisa, mais il est temps de refermer nos combinaisons, dommage ça va cacher tes si jolis seins que je vois poindrent sous ton tee-shirt.
• Toi aussi lorsque tu remets la tienne, tu me caches tes deux grosses pommes d’amour que tu dissimules sous des vêtements d’homme et surtout très ample.
Laisse les vivres.

Comme dit depuis que Chantal m’a rejointe dans notre salle de bains, j’ai pu voir qu’elle en avait des magnifiques alors que moi, ils sont beaux en forme de poire, mais plus petits.
C’est vrai que je suis sans le moindre soutient gorge et que lorsque je referme ma combi, je cache ces deux merveilles qui m’ont permis avec bien d’autres choses de séduire ma petite bite de mari.

• Dépêchons-nous, il est encore temps de monter sur la piste pour débutant bien plus long que celle des petits tire-fesses pour les enfants et les novices, ce que tu n’es plus.
Fait moi confiance, ton planté de bâton commence à venir, après nous irons remettre le matériel et nous rejoindrons ce salopard de Pierre…

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