COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (6/18)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (6/18)
• Dépêchons-nous, il est encore temps de monter sur la piste pour débutant, bien plus longue que celle des petits tire-fesses pour les enfants et les débutantes où nous étions pour t’apprendre le planter du bâton.
Fait moi confiance, ton planté commence à venir, après nous irons rendre le matériel et nous rejoindrons ce salopard de Pierre.
Nous avions défait le haut de nos combis pour profiter de ce soleil alpin gardant tout de même nos débardeurs et ainsi montrer la marchandise que nos mamans nous ont fournie.
Lorsque je parle de maman, c’est plutôt celle de Chantal, la mienne j’ignore pourquoi elle m’a abandonné à ma naissance.
Si j’ignore qui était maman, que dire de mon père qui a planté la graine qui m’a conçu.
Une fois de nouveau prête, nous récupérons skis et bâtons, Chantal sa planche, direction les installations.
Nous passons les tire-fesses du début d’après-midi, je voudrais bien continuer à skier sur ces pistes, mais nous approchons de l’installation suivante.
Nous prenons un télésiège du même genre que celui où s’est retrouvé Jean-Claude.
« Quand te reverrais-je pays merveilleux. »
Heureusement, le soleil commence à se cacher derrière les montagnes dont j’ignore les noms et l’installation nous dépose au départ de cette piste que Chantal veut me faire descendre.
Effectivement nous redescendons, moi en zigzaguant, elle tout schuss sur sa planche.
Je la vois s’arrêter net sans tomber pour m’attendre et m’encourager, d’après elle je m’en sors très bien.
Comment font-ils tous ces snowboardeurs pour tenir sur leurs deux pieds fixés sur une planche alors que moi sur deux skis, j’ai un mal de chien, mais je réussis à la rejoindre ?
Tant bien que mal, je rejoins le bas de la piste sans la moindre chute.
Dans les derniers mètres je me surprends même à accélérer, le ski ça comment à venir et à me plaire, le planter de bâtons, ce n’est pas si difficile que ça.
Attention, je suis encore loin de pouvoir m’attaquer à la piste noire réservée aux skieurs ou snowboardeurs chevronnés, comme l’est Chantal.
C’est lorsque je suis près d’elle qu’un grand paquet de neige est propulsé vers nous, vite suivi d’un deuxième arrivant de cette piste noire.
Deux beaux gosses s’arrêtent près de nous, le premier me regarde, me sourit, mais l’autre se détourne, j’ai le temps d’entendre.
• Ours, laisse tomber, la rouquine je la connais, c’est une gouine, pour ce soir s’est foutu.
• Merde.
Ils déchaussent leurs planches, les ramassent et se dirigent vers la sortie des pistes et le parking.
• Messieurs, un moment ne partez pas si vite avec vos accents venus de Suisse, vous alliez nous proposer quelque chose, si toi dont j’ignore le nom, tu as vu deux chattes à baiser !
• Vous avez raison, j’aurais dû avoir la légendaire prestance des Suisses, de me présenter, François.
Si nous avions eu la moindre chance de finir la soirée en parfaite amitié, nous vous aurions invité à venir dîner dans notre hôtel le « Prestige ».
Est-ce un signe du destin, le chocolat « Prestige » et l’hôtel « Prestige » ?
• Le « Prestige » où vous avez deux chambres où vous espériez nous entrainer pour plus si affinités !
Ma copine, la rousse, la gouine, c’est Chantal, moi c’est Élisa.
À quelle heure à votre hôtel, plutôt au bar !
• Vingt heures, si ça vous va ou vingt heures trente, comme il vous plaira.
• Le temps de rapporter notre matériel, d’aller nous refaire une beauté et vous verrez bien à quelle heure nous seront près de vous.
• Chantal, je pense que tu connais où se trouve le baisodrome de ces messieurs ?
En nous attendant vous prendrez un petit remontant pour vous maintenir en forme, nous aimons des hommes qui en veules.
Rancard conclu, ils tournent leurs pieds et continuent à se diriger vers le parking.
• Élisa, tu iras toute seule, hors de question d’aller à ce rendez-vous, ils ont des bites et moi tu sais ce que je pense de leur machin.
• Chantal tous l’après-midi, tu m’as dit, « fait moi confiance, » je l’ai fait et j’ai réussi à descendre cette piste sans me casser une seule fois la figure.
En plus, j’ai planté mon bâton pour tourner et ralentir chaque fois que nécessaire.
À mon tour de te dire, « fais-moi confiance Chantal, » tu auras toute latitude pour t’échapper, moi j’assumerais.
• Tu vas me faire croire que tu serais capable de monter seule dans leur chambre et de les satisfaire tous les deux !
• Sans le moindre problème, j’adore baiser et être prise en double pénétration.
• Tu laisses des hommes t’enculer, quelle horreur !
• Encore tes putains de préjugés, lorsque de ta mezzanine, tu as vu ton père prendre ta mère en levrette, aies-tu certaine que ce n’est pas dans son cul que sa verge était ?
Si tu as la réponse, ça voudra dire, que tu as insisté à regarder alors que je conçois très bien que tu sois retourné dans ta chambre te mettre la tête sous ton oreiller.
Un regard, maltapropos et te voilà traumatisé pour le restant de ta vie.
Comme je te l’ai dit, « fait moi confiance, » dépêchons, j’ai quelques emplettes à faire.
Nous quittons le champ de neige pour retourner à la boutique de location.
• Avez-vous de la corde, s’il vous plait ?
• Quelle, grandeur, quel diamètre, pour quel usage, pour faire de la grimpette ?
• Non, à usage personnel, petit diamètre !
• À cette époque c’est en réserve, de la ficelle pour les piquets de tente, ça vous irait !
• Oui, il m’en faudrait environ deux fois deux mètres !
• Cet article, c’est en bobine de dix mètres que nous le vendons, nous ne sommes pas une quincaillerie !
• Alors une bobine de 10 mètres nous nous en arrangerons.
• Que vas-tu faire avec 10 mètres de corde pour les tentes ?
• Chantal, je t’ai dit de me faire confiance, merci patron pour cet article, merci pour le sac pour le porter.
Chantal fait mettre les 10 mètres de corde sur son compte, nous ressortons et nous allons vers la pharmacie tout près de là.
• Bonsoir madame, je voudrais une boîte de préservatifs, modèle standard s’il vous plait !
• Vous avez raison, il faut sortir couvert, même si le sida ça se contient, les blennorragies sont légion pendant ces séjours de neige.
Les gens manquent d’hygiène à notre époque, bonne soirée mesdames.
• Élisa…
• Une dernière fois, fais-moi confiance Chantal, je ne te le redirais pas.
C’est dans le bain de notre salle commune que je prépare Chantal à ce qui devrait être son coming-out à l’envers à la fin de ma première journée de ski.
• Attends, tu vas mettre ce pantalon et cette chemisette qui te fait ressembler à un garçon manqué, tu as bien une jupe ou une robe ?
• Non, je n’en ai jamais mis, je suis toujours avec ce genre de tenue.
• Nous avons la même taille, voyons dans cette valise ce que je vais me mettre et ce que toi tu pourrais mettre.
Voilà, cet ensemble pour moi et cette mini rose pour toi avec son petit boléro de même couleur.
• Mais, je vais être indécente, c’est tout juste si l’on ne voit pas ma petite culotte.
• Enlève là, fait comme moi j’aime avoir ma chatte à la disposition de mon beau-père qui dort encore, en arrivant j’ai ouvert sa porte.
Inutile de le réveiller, je nous vois mal arriver au Prestige à son bras, ce soir, c’est moi et toi qui vont s’éclater.
Il est 21 heures lorsque nous arrivons.
• Tu vois, je t’avais dit qu’elle viendrait, François, certes avec un temps de retard sur la précision suisse, mais elles sont venues, c’est le principal.
Gaétan, du champagne pour tout le monde, mesdames vous êtes resplendissants.
Voulez-vous que je vous délaisse de ce sac Dior, vous êtes passé acheter quelques parfums, avant de venir ?
• Laisse Ours, c’est bien aimable, mais nous verrons ça plus tard.
C’est dans ce sac que Chantal m’a donné que j’ai rangé ma bobine de ficelle de toile de tente et les capotes, inutile qu’ils les voient avant leur utilité Chantal me faisant confiance.
• Je vois que l’on se tutoie Élisa, tu as raison, vous êtes là, brisons la glace, si vous êtes venus, c’est bien pour ça !
Champagne, deux verres, je suis un peu pompette, pour la fin de la soirée se serait parfait.
Mais avant le repas servi dans la salle du restaurant je fais attention à ce que je bois, je tiens à garder ma lucidité et la confiance de Chantal.
Si je sais m’y prendre ce dont je crois fortement, j’espère faire passer à celle devenue mon amie, une soirée qui va révolutionner sa vie.
Elle a bien commencé dans le bain, elle m’a lavé, je l’ai lavée.
J’ai appris en lui mettant deux, non, trois doigts, qu’elle était loin d’être vierge, même si aucune bite masculine n’est jamais entrée en elle.
Elle m’a montré avant de nous préparer le godemichet au bout d’une ceinture que sa copine l’ayant quitté lui enfilait lorsqu’elle faisait l’homme.
Ça va facilité ma tâche lorsque nous suivons les petits Suisses, (il fallait bien que je le fasse une fois), surtout que chacun d’eux mesure au moins 1 mètre 80.
Que dire du repas, égal au standing de l’hôtel, hélas sans petits suisses au fromage ?
(Deux fois, coup sur coup, ça, c’est de l’excès.)
J’ai adoré la fondue aux fromages de la région, ça nous a permis de faire fondre définitivement la glace entre la Suisse et la France.
Ours s’occupant plus spécifiquement de Chantal et François de moi.
Ours est Suisse Allemand, originaire du Canton d’Uri.
François du canton de Genève principalement à Genève, ils travaillent ensemble à Neuchâtel dans les métaux précieux.
Ils se disent célibataire, mais qui peut nous le prouver, certes à leur annulaire ils ont de belles chevalières, mais n’est-ce pas pour cacher la trace de leur alliance qu’elles sont là.
Mais je m’en fiche seules leurs bites m’intéressent, espérant que celle d’Ours intéressera Chantal plus pompettes que moi.
Je me suis méfié du vin blanc de Savoie que nous avons bu avec la fondue.
• Et si nous vous faisions voir nos chambres, mesdames !
• Oui, sans problème, tu es d’accord Chantal, surtout que chacun de vous a fait tomber au moins un crouton dans la fondue et que je vais pouvoir à chacun et chacune de vous, être maîtresse de vos gages…
Fait moi confiance, ton planté commence à venir, après nous irons rendre le matériel et nous rejoindrons ce salopard de Pierre.
Nous avions défait le haut de nos combis pour profiter de ce soleil alpin gardant tout de même nos débardeurs et ainsi montrer la marchandise que nos mamans nous ont fournie.
Lorsque je parle de maman, c’est plutôt celle de Chantal, la mienne j’ignore pourquoi elle m’a abandonné à ma naissance.
Si j’ignore qui était maman, que dire de mon père qui a planté la graine qui m’a conçu.
Une fois de nouveau prête, nous récupérons skis et bâtons, Chantal sa planche, direction les installations.
Nous passons les tire-fesses du début d’après-midi, je voudrais bien continuer à skier sur ces pistes, mais nous approchons de l’installation suivante.
Nous prenons un télésiège du même genre que celui où s’est retrouvé Jean-Claude.
« Quand te reverrais-je pays merveilleux. »
Heureusement, le soleil commence à se cacher derrière les montagnes dont j’ignore les noms et l’installation nous dépose au départ de cette piste que Chantal veut me faire descendre.
Effectivement nous redescendons, moi en zigzaguant, elle tout schuss sur sa planche.
Je la vois s’arrêter net sans tomber pour m’attendre et m’encourager, d’après elle je m’en sors très bien.
Comment font-ils tous ces snowboardeurs pour tenir sur leurs deux pieds fixés sur une planche alors que moi sur deux skis, j’ai un mal de chien, mais je réussis à la rejoindre ?
Tant bien que mal, je rejoins le bas de la piste sans la moindre chute.
Dans les derniers mètres je me surprends même à accélérer, le ski ça comment à venir et à me plaire, le planter de bâtons, ce n’est pas si difficile que ça.
Attention, je suis encore loin de pouvoir m’attaquer à la piste noire réservée aux skieurs ou snowboardeurs chevronnés, comme l’est Chantal.
C’est lorsque je suis près d’elle qu’un grand paquet de neige est propulsé vers nous, vite suivi d’un deuxième arrivant de cette piste noire.
Deux beaux gosses s’arrêtent près de nous, le premier me regarde, me sourit, mais l’autre se détourne, j’ai le temps d’entendre.
• Ours, laisse tomber, la rouquine je la connais, c’est une gouine, pour ce soir s’est foutu.
• Merde.
Ils déchaussent leurs planches, les ramassent et se dirigent vers la sortie des pistes et le parking.
• Messieurs, un moment ne partez pas si vite avec vos accents venus de Suisse, vous alliez nous proposer quelque chose, si toi dont j’ignore le nom, tu as vu deux chattes à baiser !
• Vous avez raison, j’aurais dû avoir la légendaire prestance des Suisses, de me présenter, François.
Si nous avions eu la moindre chance de finir la soirée en parfaite amitié, nous vous aurions invité à venir dîner dans notre hôtel le « Prestige ».
Est-ce un signe du destin, le chocolat « Prestige » et l’hôtel « Prestige » ?
• Le « Prestige » où vous avez deux chambres où vous espériez nous entrainer pour plus si affinités !
Ma copine, la rousse, la gouine, c’est Chantal, moi c’est Élisa.
À quelle heure à votre hôtel, plutôt au bar !
• Vingt heures, si ça vous va ou vingt heures trente, comme il vous plaira.
• Le temps de rapporter notre matériel, d’aller nous refaire une beauté et vous verrez bien à quelle heure nous seront près de vous.
• Chantal, je pense que tu connais où se trouve le baisodrome de ces messieurs ?
En nous attendant vous prendrez un petit remontant pour vous maintenir en forme, nous aimons des hommes qui en veules.
Rancard conclu, ils tournent leurs pieds et continuent à se diriger vers le parking.
• Élisa, tu iras toute seule, hors de question d’aller à ce rendez-vous, ils ont des bites et moi tu sais ce que je pense de leur machin.
• Chantal tous l’après-midi, tu m’as dit, « fait moi confiance, » je l’ai fait et j’ai réussi à descendre cette piste sans me casser une seule fois la figure.
En plus, j’ai planté mon bâton pour tourner et ralentir chaque fois que nécessaire.
À mon tour de te dire, « fais-moi confiance Chantal, » tu auras toute latitude pour t’échapper, moi j’assumerais.
• Tu vas me faire croire que tu serais capable de monter seule dans leur chambre et de les satisfaire tous les deux !
• Sans le moindre problème, j’adore baiser et être prise en double pénétration.
• Tu laisses des hommes t’enculer, quelle horreur !
• Encore tes putains de préjugés, lorsque de ta mezzanine, tu as vu ton père prendre ta mère en levrette, aies-tu certaine que ce n’est pas dans son cul que sa verge était ?
Si tu as la réponse, ça voudra dire, que tu as insisté à regarder alors que je conçois très bien que tu sois retourné dans ta chambre te mettre la tête sous ton oreiller.
Un regard, maltapropos et te voilà traumatisé pour le restant de ta vie.
Comme je te l’ai dit, « fait moi confiance, » dépêchons, j’ai quelques emplettes à faire.
Nous quittons le champ de neige pour retourner à la boutique de location.
• Avez-vous de la corde, s’il vous plait ?
• Quelle, grandeur, quel diamètre, pour quel usage, pour faire de la grimpette ?
• Non, à usage personnel, petit diamètre !
• À cette époque c’est en réserve, de la ficelle pour les piquets de tente, ça vous irait !
• Oui, il m’en faudrait environ deux fois deux mètres !
• Cet article, c’est en bobine de dix mètres que nous le vendons, nous ne sommes pas une quincaillerie !
• Alors une bobine de 10 mètres nous nous en arrangerons.
• Que vas-tu faire avec 10 mètres de corde pour les tentes ?
• Chantal, je t’ai dit de me faire confiance, merci patron pour cet article, merci pour le sac pour le porter.
Chantal fait mettre les 10 mètres de corde sur son compte, nous ressortons et nous allons vers la pharmacie tout près de là.
• Bonsoir madame, je voudrais une boîte de préservatifs, modèle standard s’il vous plait !
• Vous avez raison, il faut sortir couvert, même si le sida ça se contient, les blennorragies sont légion pendant ces séjours de neige.
Les gens manquent d’hygiène à notre époque, bonne soirée mesdames.
• Élisa…
• Une dernière fois, fais-moi confiance Chantal, je ne te le redirais pas.
C’est dans le bain de notre salle commune que je prépare Chantal à ce qui devrait être son coming-out à l’envers à la fin de ma première journée de ski.
• Attends, tu vas mettre ce pantalon et cette chemisette qui te fait ressembler à un garçon manqué, tu as bien une jupe ou une robe ?
• Non, je n’en ai jamais mis, je suis toujours avec ce genre de tenue.
• Nous avons la même taille, voyons dans cette valise ce que je vais me mettre et ce que toi tu pourrais mettre.
Voilà, cet ensemble pour moi et cette mini rose pour toi avec son petit boléro de même couleur.
• Mais, je vais être indécente, c’est tout juste si l’on ne voit pas ma petite culotte.
• Enlève là, fait comme moi j’aime avoir ma chatte à la disposition de mon beau-père qui dort encore, en arrivant j’ai ouvert sa porte.
Inutile de le réveiller, je nous vois mal arriver au Prestige à son bras, ce soir, c’est moi et toi qui vont s’éclater.
Il est 21 heures lorsque nous arrivons.
• Tu vois, je t’avais dit qu’elle viendrait, François, certes avec un temps de retard sur la précision suisse, mais elles sont venues, c’est le principal.
Gaétan, du champagne pour tout le monde, mesdames vous êtes resplendissants.
Voulez-vous que je vous délaisse de ce sac Dior, vous êtes passé acheter quelques parfums, avant de venir ?
• Laisse Ours, c’est bien aimable, mais nous verrons ça plus tard.
C’est dans ce sac que Chantal m’a donné que j’ai rangé ma bobine de ficelle de toile de tente et les capotes, inutile qu’ils les voient avant leur utilité Chantal me faisant confiance.
• Je vois que l’on se tutoie Élisa, tu as raison, vous êtes là, brisons la glace, si vous êtes venus, c’est bien pour ça !
Champagne, deux verres, je suis un peu pompette, pour la fin de la soirée se serait parfait.
Mais avant le repas servi dans la salle du restaurant je fais attention à ce que je bois, je tiens à garder ma lucidité et la confiance de Chantal.
Si je sais m’y prendre ce dont je crois fortement, j’espère faire passer à celle devenue mon amie, une soirée qui va révolutionner sa vie.
Elle a bien commencé dans le bain, elle m’a lavé, je l’ai lavée.
J’ai appris en lui mettant deux, non, trois doigts, qu’elle était loin d’être vierge, même si aucune bite masculine n’est jamais entrée en elle.
Elle m’a montré avant de nous préparer le godemichet au bout d’une ceinture que sa copine l’ayant quitté lui enfilait lorsqu’elle faisait l’homme.
Ça va facilité ma tâche lorsque nous suivons les petits Suisses, (il fallait bien que je le fasse une fois), surtout que chacun d’eux mesure au moins 1 mètre 80.
Que dire du repas, égal au standing de l’hôtel, hélas sans petits suisses au fromage ?
(Deux fois, coup sur coup, ça, c’est de l’excès.)
J’ai adoré la fondue aux fromages de la région, ça nous a permis de faire fondre définitivement la glace entre la Suisse et la France.
Ours s’occupant plus spécifiquement de Chantal et François de moi.
Ours est Suisse Allemand, originaire du Canton d’Uri.
François du canton de Genève principalement à Genève, ils travaillent ensemble à Neuchâtel dans les métaux précieux.
Ils se disent célibataire, mais qui peut nous le prouver, certes à leur annulaire ils ont de belles chevalières, mais n’est-ce pas pour cacher la trace de leur alliance qu’elles sont là.
Mais je m’en fiche seules leurs bites m’intéressent, espérant que celle d’Ours intéressera Chantal plus pompettes que moi.
Je me suis méfié du vin blanc de Savoie que nous avons bu avec la fondue.
• Et si nous vous faisions voir nos chambres, mesdames !
• Oui, sans problème, tu es d’accord Chantal, surtout que chacun de vous a fait tomber au moins un crouton dans la fondue et que je vais pouvoir à chacun et chacune de vous, être maîtresse de vos gages…
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