COLLECTION PUTE. Opportuniste (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-09-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUTE. Opportuniste (2/2)
- Alors suce !
Un Ehpad, un parc, une pensionnaire en fauteuil roulant, je retrouve Lulu, la suceuse Marseillaise de ma jeunesse avec qui je montais baiser moyennant rétribution ?
Payé pour baiser, je l’ai fait systématiquement tout au long de ma vie autour du monde.
Lulu, c’était de loin la meilleure, une classe mondiale et je peux le certifier.
Je me suis retrouvé orphelin quand elle a disparu.
- Alors suce !
Assise dans son fauteuil, Lulu est à la bonne hauteur pour qu’une fois ma verge sortie, elle se serve de sa bouche et de ses mains avec la même ardeur que dans mon esprit.
Je décharge.
Elle se penche pour cracher.
- Avale tout, tu es la première femme que je tapisse les amygdales sans avoir sorti de biftons.
Chaque fois que tu allais cracher dans le lavabo, je rêvais que tu avales, pour moi ça aurait été un peu de reconnaissance de l’amour que j’avais pour toi.
Elle avale, me regardant droit dans les yeux.
Je sais quelque part c’est un peu dégueulasse de profiter d’une vieille, moi je dis que c’est de l’opportunité.
- Belote, belote et 10 de Der.
500 on a gagné, Lulu.
- Lulu, tu l’appelles Lulu, vous semblez bien intime après votre promenade.
- Luc ferme ta gueule, Jean est sympa, je viens de trouver le partenaire idéal à la belote et tu es jaloux.
Capot, vous êtes capot avec Agathe, Jean, comment fais-tu pour tout compter et tout additionner ?
- Je retiens les chiffres facilement, c’est un don, ajouter les partis chaque jour tout au long de ma carrière sur tous les cargos où j’ai embarqué et vous avez Jean, le roi de la belote.
Dans les jours suivants, je trouve toujours un endroit pour m’isoler avec Lulu et me faire sucer divinement.
C’est lundi, au moment de manger, ma partenaire aux cartes et sexuelle est absente.
- Où est Lulu, elle est malade ?
- Retourne-toi, Jean, sa fille est venue manger avec elle comme tous les lundis, c’est son jour de repos.
Tient, c’est vrai depuis que tu es avec nous, elle a arrêté de parler d’elle alors qu’avant, c’était Sandrine par ci, Sandrine par là.
Depuis plus un mot.
Le croisement d’un mac noir et d’une pute blanche, ça donne une magnifique pouliche d’une quarantaine d’années métissée du peu que j’en vois en me retournant rapidement.
Aujourd’hui chou blanc pas de sucette, pas de gorge profonde, c’est ça en partie le secret de Lulu, la suceuse.
- Sa fille habite dans le coin !
- À la sortie de la ville, elle est directrice du parc zoologique.
- Mariée ?
- Divorcé avec une fille de 16 ans en pension en Suisse.
Le lendemain, il fait beau, promenade en poussant le fauteuil roulant avant la belote.
Au lieu de nous isoler, je m’assieds sur un banc, le fauteuil de Lucienne face à moi.
- Pas de fellation aujourd’hui ?
- Tu me prends pour un obsédé, ça peut attendre.
Dis-moi Sandrine, c’est la fille d’Oméga, ton mac.
Elle éclate de rire.
- Non, et ça m’a valu trois jours d’hosto,
Un client fidèle comme toi a voulu me faire quitter la prostitution.
Il m’a chargé dans son gros camion et nous avons pris la route.
À Aix, on a été coincé par Oméga et trois de ses copains alors que nous étions chez lui depuis deux jours à baiser.
Ils lui ont cassé la tête et moi j’ai ramassé une première fois.
- Il était black !
- Comment le sais-tu ?
- J’ai vu ta fille hier, à moins d’un saut de génération avoir une fille métisse, ça veut dire avoir baisé avec une queue noire.
- C’est ce que m’a dit mon mac quand il m’a remis au turbin, les gens avaient vu un noir d’une entreprise d’Aix me faire monter dans son camion.
Ils se souvenaient du nom sur la bâche, je dois reconnaître que sur ce coup, nous avions été puérils.
- Et la deuxième ?
- À la naissance de Sandrine, ça faisait plusieurs mois qu’il me punissait de nos moments personnels, il savait qu’elle avait un autre géniteur.
Quand je suis revenue de la maternité avec ma fille, il m’a pris mon couffin, ma foutue une volée à coups de ceinturon, mon dos en porte encore les marques.
Après, il est parti la confier à une vieille maquerelle près de l’hôtel.
Le reste de la journée, j’ai monté mes clients avec l’envie de hurler chaque fois que je m’allongeais sur le dos et que le client pesait sur moi.
Par chance, ma maquerelle venait me voir avec elle et je savais où elle habitait.
Quand mon mac est mort dans mes bras, je suis allé la chercher et avec l’expérience de ma première fugue, je suis allée assez loin pour me faire une nouvelle vie avec l’argent que la police doit toujours chercher.
Le jeudi, profitant du beau temps, je préviens la direction que je sors.
Je fais partie de ceux qui le peuvent en prévenant.
Certains pensionnaires ont des bracelets qui sonnent quand ils franchissent la porte de sécurité.
Ils ont souvent perdu la tête et risquent de se perdre.
Je prends le bus et je vais au Parc Zoologique.
J’en ai visité des vraies grandeur nature en Afrique, les animaux en liberté.
Au détour d’un chemin, je vois Sandrine parler avec un homme devant le parc des girafes.
Je la vois, elle me voir et viens vers-moi.
- Vous êtes le monsieur qui sait pour maman et qui a gardé ça pour vous.
Je vous remercie du fond du cœur.
- Vous savez pour votre mère !
- Oui, j’ai voulu savoir qui était mon père, j’ai engagé un détective qui a tout découvert.
- Vous lui en avez parlé !
- Oui, car je l’admire de m’avoir élevé en me faisant faire des études, si vous voyez ma fille.
J’ai été à deux doigts de tomber dans la prostitution moi aussi.
Elle a su que je me droguais et avait une vie dissolue à 18 ans.
Elle aimait les noirs, ce qui l’a perdue et ça doit être de famille moi aussi, elle m’a aidé à effacer ces années avant que je me marie, mais que je finisse par divorcer.
Je veux éviter tout problème du même genre et avec les biens de maman qui m’aide, Justine est en Suisse dans une institution ou son éducation est très stricte.
Je parle, je parle, il fait chaud, voulez-vous que je vous offre un verre chez moi, j’habite juste en face dans cette maison.
- Vous habitez à l’intérieur du zoo !
- Oui, venez !
Comment refuser, surtout que l’on dirait une féline, dans sa robe moulante ?
Un salon attenant à une salle à manger fort bien meublée.
J’entends rugir, je m’approche d’une grande baie vitrée, elle donne sur l’enclos au naturel des tigres du Bengale.
Six magnifiques animaux dont un couple de tigres blancs.
- Vous admirez les animaux favoris du zoo que je dirige.
Regardez Roxanne, la tigresse blanche, elle est en mal d’amour, c’est pour ça que le couple est isolé des quatre autres surtout de l’autre mâle.
Elle vient s’appuyer sur mon épaule, ça me surprend une fraction de seconde.
Au moment où le mâle blanc sailli sa femelle, je me retourne et je l’embrasse.
Une fraction de seconde, je me rends compte qu’elle se donne à moi croyant que j’ai protégé sa mère alors que j’ai profité de la situation pour recommencer à me faire sucer sans payer.
- Je suis un peu vieux !
- L’âge, depuis mon divorce, j’attendais un homme ayant des principes.
C’est si rare.
62 pour moi, 42 pour elle, pourquoi me poser plus de questions.
Je la dénude facilement.
Sous son fourreau, elle est nue et dire que je l’ai rencontré auprès d’un de ces employés.
Savait-il qu’elle avait sa chatte rasée à quelques centimètres de ses mains ?
Quand je la plaque contre la vitre, ma bite que j’ai sortie entre directement en elle.
Nos bouches sont soudées dans un baiser très profond.
L’orgasme la rattrape et je lui remplis son vagin si chaud.
À nos pieds, le rugissement de plaisir de la tigresse ayant peut-être elle aussi un orgasme monte jusqu’à nous.
Le mâle se sépare de la femelle qui lui montre les crocs, il lève sa tête semblant me dire, moi aussi.
Pour nous c’est moins bestial, mais néanmoins si bon.
Elle m’entraîne vers sa chambre.
- Viens voir mon balcon.
Un grand lit, une porte-fenêtre, un balcon.
Il donne sur l’enclos des gorilles.
Un couple avec un bébé.
Le mâle nous voit, il se lève et semblant me défier, se tape la poitrine.
Je prends Sandrine dans mes bras et le regardant fixement je me tape, moi aussi la poitrine lui signifiant que Sandrine est ma femelle.
Au petit déjeuner, dans la cuisine une petite fenêtre est ouverte au-dessus de l’évier quand une tête passe.
Je sursaute.
- Bonjour Aglaé, ta fille va bien.
Aglaé est l’une des girafes du parc qui vient nous dire bonjour.
Trois jours plus tard, j’ai donné mon compte à la maison de retraite.
J’ai emménagé dans la maison du zoo construit par l’architecte qui l’a conçu pour que nous voyions les animaux de plusieurs points de chez nous, sans que les visiteurs nous voient.
Lucienne !
Tous les jeudis, je viens la chercher avec la camionnette du zoo pour qu’elle passe la journée avec nous.
En la ramenant je passe dans un petit bois et un chemin creux bien pratique.
Si je baise Sandrine à l’œil, je me fais sucer par la championne du monde des suceuses.
Ah oui, samedi, je vais chercher Justine à la gare venant pour quelques jours en vacances.
Quand je vois ses photos, partout dans la maison au fil de sa vie, de bébé à jeune ingénue.
Quand je vois sa belle bouche faite pour sucer comme sa grand-mère, son cul pour baiser comme sa mère lorsque l’an dernier elle donnait le biberon à l’éléphanteau né quelques jours plus tôt.
Je suis prêt à laisser quelques billets pour retrouver le sexe tarifé, un seul problème !
Mon âge !
Non !
Je suis white et non black, mais il faut savoir être opportuniste.
Un Ehpad, un parc, une pensionnaire en fauteuil roulant, je retrouve Lulu, la suceuse Marseillaise de ma jeunesse avec qui je montais baiser moyennant rétribution ?
Payé pour baiser, je l’ai fait systématiquement tout au long de ma vie autour du monde.
Lulu, c’était de loin la meilleure, une classe mondiale et je peux le certifier.
Je me suis retrouvé orphelin quand elle a disparu.
- Alors suce !
Assise dans son fauteuil, Lulu est à la bonne hauteur pour qu’une fois ma verge sortie, elle se serve de sa bouche et de ses mains avec la même ardeur que dans mon esprit.
Je décharge.
Elle se penche pour cracher.
- Avale tout, tu es la première femme que je tapisse les amygdales sans avoir sorti de biftons.
Chaque fois que tu allais cracher dans le lavabo, je rêvais que tu avales, pour moi ça aurait été un peu de reconnaissance de l’amour que j’avais pour toi.
Elle avale, me regardant droit dans les yeux.
Je sais quelque part c’est un peu dégueulasse de profiter d’une vieille, moi je dis que c’est de l’opportunité.
- Belote, belote et 10 de Der.
500 on a gagné, Lulu.
- Lulu, tu l’appelles Lulu, vous semblez bien intime après votre promenade.
- Luc ferme ta gueule, Jean est sympa, je viens de trouver le partenaire idéal à la belote et tu es jaloux.
Capot, vous êtes capot avec Agathe, Jean, comment fais-tu pour tout compter et tout additionner ?
- Je retiens les chiffres facilement, c’est un don, ajouter les partis chaque jour tout au long de ma carrière sur tous les cargos où j’ai embarqué et vous avez Jean, le roi de la belote.
Dans les jours suivants, je trouve toujours un endroit pour m’isoler avec Lulu et me faire sucer divinement.
C’est lundi, au moment de manger, ma partenaire aux cartes et sexuelle est absente.
- Où est Lulu, elle est malade ?
- Retourne-toi, Jean, sa fille est venue manger avec elle comme tous les lundis, c’est son jour de repos.
Tient, c’est vrai depuis que tu es avec nous, elle a arrêté de parler d’elle alors qu’avant, c’était Sandrine par ci, Sandrine par là.
Depuis plus un mot.
Le croisement d’un mac noir et d’une pute blanche, ça donne une magnifique pouliche d’une quarantaine d’années métissée du peu que j’en vois en me retournant rapidement.
Aujourd’hui chou blanc pas de sucette, pas de gorge profonde, c’est ça en partie le secret de Lulu, la suceuse.
- Sa fille habite dans le coin !
- À la sortie de la ville, elle est directrice du parc zoologique.
- Mariée ?
- Divorcé avec une fille de 16 ans en pension en Suisse.
Le lendemain, il fait beau, promenade en poussant le fauteuil roulant avant la belote.
Au lieu de nous isoler, je m’assieds sur un banc, le fauteuil de Lucienne face à moi.
- Pas de fellation aujourd’hui ?
- Tu me prends pour un obsédé, ça peut attendre.
Dis-moi Sandrine, c’est la fille d’Oméga, ton mac.
Elle éclate de rire.
- Non, et ça m’a valu trois jours d’hosto,
Un client fidèle comme toi a voulu me faire quitter la prostitution.
Il m’a chargé dans son gros camion et nous avons pris la route.
À Aix, on a été coincé par Oméga et trois de ses copains alors que nous étions chez lui depuis deux jours à baiser.
Ils lui ont cassé la tête et moi j’ai ramassé une première fois.
- Il était black !
- Comment le sais-tu ?
- J’ai vu ta fille hier, à moins d’un saut de génération avoir une fille métisse, ça veut dire avoir baisé avec une queue noire.
- C’est ce que m’a dit mon mac quand il m’a remis au turbin, les gens avaient vu un noir d’une entreprise d’Aix me faire monter dans son camion.
Ils se souvenaient du nom sur la bâche, je dois reconnaître que sur ce coup, nous avions été puérils.
- Et la deuxième ?
- À la naissance de Sandrine, ça faisait plusieurs mois qu’il me punissait de nos moments personnels, il savait qu’elle avait un autre géniteur.
Quand je suis revenue de la maternité avec ma fille, il m’a pris mon couffin, ma foutue une volée à coups de ceinturon, mon dos en porte encore les marques.
Après, il est parti la confier à une vieille maquerelle près de l’hôtel.
Le reste de la journée, j’ai monté mes clients avec l’envie de hurler chaque fois que je m’allongeais sur le dos et que le client pesait sur moi.
Par chance, ma maquerelle venait me voir avec elle et je savais où elle habitait.
Quand mon mac est mort dans mes bras, je suis allé la chercher et avec l’expérience de ma première fugue, je suis allée assez loin pour me faire une nouvelle vie avec l’argent que la police doit toujours chercher.
Le jeudi, profitant du beau temps, je préviens la direction que je sors.
Je fais partie de ceux qui le peuvent en prévenant.
Certains pensionnaires ont des bracelets qui sonnent quand ils franchissent la porte de sécurité.
Ils ont souvent perdu la tête et risquent de se perdre.
Je prends le bus et je vais au Parc Zoologique.
J’en ai visité des vraies grandeur nature en Afrique, les animaux en liberté.
Au détour d’un chemin, je vois Sandrine parler avec un homme devant le parc des girafes.
Je la vois, elle me voir et viens vers-moi.
- Vous êtes le monsieur qui sait pour maman et qui a gardé ça pour vous.
Je vous remercie du fond du cœur.
- Vous savez pour votre mère !
- Oui, j’ai voulu savoir qui était mon père, j’ai engagé un détective qui a tout découvert.
- Vous lui en avez parlé !
- Oui, car je l’admire de m’avoir élevé en me faisant faire des études, si vous voyez ma fille.
J’ai été à deux doigts de tomber dans la prostitution moi aussi.
Elle a su que je me droguais et avait une vie dissolue à 18 ans.
Elle aimait les noirs, ce qui l’a perdue et ça doit être de famille moi aussi, elle m’a aidé à effacer ces années avant que je me marie, mais que je finisse par divorcer.
Je veux éviter tout problème du même genre et avec les biens de maman qui m’aide, Justine est en Suisse dans une institution ou son éducation est très stricte.
Je parle, je parle, il fait chaud, voulez-vous que je vous offre un verre chez moi, j’habite juste en face dans cette maison.
- Vous habitez à l’intérieur du zoo !
- Oui, venez !
Comment refuser, surtout que l’on dirait une féline, dans sa robe moulante ?
Un salon attenant à une salle à manger fort bien meublée.
J’entends rugir, je m’approche d’une grande baie vitrée, elle donne sur l’enclos au naturel des tigres du Bengale.
Six magnifiques animaux dont un couple de tigres blancs.
- Vous admirez les animaux favoris du zoo que je dirige.
Regardez Roxanne, la tigresse blanche, elle est en mal d’amour, c’est pour ça que le couple est isolé des quatre autres surtout de l’autre mâle.
Elle vient s’appuyer sur mon épaule, ça me surprend une fraction de seconde.
Au moment où le mâle blanc sailli sa femelle, je me retourne et je l’embrasse.
Une fraction de seconde, je me rends compte qu’elle se donne à moi croyant que j’ai protégé sa mère alors que j’ai profité de la situation pour recommencer à me faire sucer sans payer.
- Je suis un peu vieux !
- L’âge, depuis mon divorce, j’attendais un homme ayant des principes.
C’est si rare.
62 pour moi, 42 pour elle, pourquoi me poser plus de questions.
Je la dénude facilement.
Sous son fourreau, elle est nue et dire que je l’ai rencontré auprès d’un de ces employés.
Savait-il qu’elle avait sa chatte rasée à quelques centimètres de ses mains ?
Quand je la plaque contre la vitre, ma bite que j’ai sortie entre directement en elle.
Nos bouches sont soudées dans un baiser très profond.
L’orgasme la rattrape et je lui remplis son vagin si chaud.
À nos pieds, le rugissement de plaisir de la tigresse ayant peut-être elle aussi un orgasme monte jusqu’à nous.
Le mâle se sépare de la femelle qui lui montre les crocs, il lève sa tête semblant me dire, moi aussi.
Pour nous c’est moins bestial, mais néanmoins si bon.
Elle m’entraîne vers sa chambre.
- Viens voir mon balcon.
Un grand lit, une porte-fenêtre, un balcon.
Il donne sur l’enclos des gorilles.
Un couple avec un bébé.
Le mâle nous voit, il se lève et semblant me défier, se tape la poitrine.
Je prends Sandrine dans mes bras et le regardant fixement je me tape, moi aussi la poitrine lui signifiant que Sandrine est ma femelle.
Au petit déjeuner, dans la cuisine une petite fenêtre est ouverte au-dessus de l’évier quand une tête passe.
Je sursaute.
- Bonjour Aglaé, ta fille va bien.
Aglaé est l’une des girafes du parc qui vient nous dire bonjour.
Trois jours plus tard, j’ai donné mon compte à la maison de retraite.
J’ai emménagé dans la maison du zoo construit par l’architecte qui l’a conçu pour que nous voyions les animaux de plusieurs points de chez nous, sans que les visiteurs nous voient.
Lucienne !
Tous les jeudis, je viens la chercher avec la camionnette du zoo pour qu’elle passe la journée avec nous.
En la ramenant je passe dans un petit bois et un chemin creux bien pratique.
Si je baise Sandrine à l’œil, je me fais sucer par la championne du monde des suceuses.
Ah oui, samedi, je vais chercher Justine à la gare venant pour quelques jours en vacances.
Quand je vois ses photos, partout dans la maison au fil de sa vie, de bébé à jeune ingénue.
Quand je vois sa belle bouche faite pour sucer comme sa grand-mère, son cul pour baiser comme sa mère lorsque l’an dernier elle donnait le biberon à l’éléphanteau né quelques jours plus tôt.
Je suis prêt à laisser quelques billets pour retrouver le sexe tarifé, un seul problème !
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