COLLECTION PUTE. Perverse jusqu’à me prostituer (3/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-09-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION PUTE. Perverse jusqu’à me prostituer (3/5)
• Eh ! par là, c’est 500 de plus.
• Comme pour la fellation, je te les donnerais après...
J’en suis là de cette première passe lorsque Jacques mon client cherche à me pénétrer l’anus.
La morale aurait voulu que je l’envoie promener.
Mais après ma chatte qu’il a pénétré centimètre par centimètre, j’ai envie de lui faire confiance pour les 500 € comme je l’ai faite pour les 50 de cette première fellation que je viens de pratiquer.
J’ai décidé de me prostituer une seule fois malgré le dicton « pute un jour pute toujours » et comme le début du mal est fait autant aller jusqu’au bout de cette sodomie.
Ainsi, je saurais ce que July ressent de se vendre pour une poignée de billets.
• Je te fais entièrement confiance, alors tu peux m’enculer !
Est-ce bien moi qui prononce ces mots ou une autre, mais j’ai beau regardé à droite et à gauche, je suis la seule femme sur ce lit avec ce mâle en rut qui me tient par les hanches.
July en m’avouant qu’elle se prostitue a déclenché en moi une envie de connaitre la même expérience.
Quelle perversité alors que bien qu’il soit à son travail, nous vivons deux étages plus haut avec ma fille Sandrine et mon mari Romuald.
Pourtant au moment où je ressens comme un tisonnier rougi à blanc me rentrant dans l’anus, j’avais une autre possibilité.
Il m’aurait suffi de parler avec mon mari et de lui dire la frustration que je ressentais lors de nos parties de sexe, toujours linéaire, se passant sur le même modèle.
Mais c’est trop tard, si ma chatte était bien plus remplie par la verge de Jacques lorsqu’il m’a pris par la vulve, que dire de ce que je ressens lorsque ses couilles viennent battre mes fesses.
J’aurais envie de hurler de douleur, mais l’on dirait que cette verge est remontée jusque dans ma gorge et qu’il m’est impossible d’émettre le moindre son.
Si je pouvais me voir, ma bouche doit faire la carpe cherchant désespérément son air.
• Putain, t’es une bonne salope, j’ai bien fait de venir te voir, t’ai pas donné, mais j’en ai pour mon argent.
Tient haaaaaa !
Je m’écroule sur le lit prêté par July, je suis à moitié dans les vapes.
Il m’est impossible de réagir, mais je me sens libérée.
Jacques a dû sortir sa grosse bite de mon corps après avoir déchargé dans sa capote.
Je l’entends se déplacer, j’ai l’instinct de tourner ma tête, je dois être faite pour être pute, car j’ai peur de le voir se rhabiller oubliant le fric qu’il me doit.
Sa verge est à hauteur de mes yeux et s’approche de ma bouche.
• Suce jolie salope, nettoie-moi la verge bien comme il faut.
Je la prends dans ma main et avec ma langue j’enlève tout ce qui reste sur son pieu après qu’il ait ôté la capote.
J’aurais tout connu d’un coup pour une première et dernière fois où je me prostituais.
La fellation, la levrette, sans oublier la sodomie et maintenant le nettoyage de bite.
Nettoyage, ou je récupère assez de spermes pour en avaler suffisamment pour la première et certainement dernière fois.
Dès que j’aurais retrouvé mes esprits, que j’aurais ôté cette tenue de femme fatale, je vais reprendre l’ascenseur, monter mes deux étages et me couler dans un bon bain bien chaud.
Mes vieux jours sont assurés, je vais faire mentir le dicton « pute un jour, pute toujours. »
• Tiens, c’est ce que je te dois, j’ai passé un moment merveilleux cette après-midi avec toi Céline, lorsque July m’a dit qu’elle travaillait avec une nouvelle, j’avais peur d’être déçu.
T’es pas donné, mais tu m’en as donné pour mon argent, nul doute que je vais revenir te voir.
Je sens quelque chose me tomber sur le corps et la porte de ma chambre s’ouvrir et mon client me quitter.
• Céline, qu’est-ce que c’est que tout cet argent qui est sur ton lit, 750 €, à non, 850 avec un seul client ?
J’émerge de ma torpeur.
• Les 200 pour la levrette qu’il avait commandée, 50 pour la fellation qu’il m’a demandé de lui faire, car il bandait mou.
Tu ajoutes les 500 € pour la sodomie elle aussi demandée en supplément, je sens mon cul qui me brûle, les 100 de plus, j’ignore pourquoi, certainement un pourboire, il est parti plus que satisfait.
• Comment ?
Tu as fait payer chaque partie de ta prestation individuellement !
Mais la fellation, ça fait partie de la mise en train de ton client.
Il t’a payé 500 € pour une sodomie, je croyais que tu refusais cette pratique.
• Dans le feu de l’action lorsqu’il me prenait en levrette, position que j’ai découverte pour la première fois, il a attaqué mon anus.
Quand je lui ai indiqué que c’était plus cher que ma chatte, il m’a dit qu’il allait me payer lorsqu’il aurait terminé.
Je dois t’avouer que j’y prenais tellement de plaisir pour la première fois de ma vie, j’étais prête à tout faire pour les 200 € qu’il m’avait donnés au début de ma prestation.
Je dois aussi te dire qu’à un moment, j’étais parti à des lieux de cette chambre, lorsqu’il m’a pris par le petit, même si maintenant mon cul me brûle.
Je suis restée de marbre, du moins c’est l’impression que j’ai eue.
• Que tu croies, tu as gueulé si fort que j’ai cru qu’il t’avait égorgé.
Je suis venue pour te sauver, j’ai entrouvert la porte, mais je t’ai vu les fesses en l’air, tout m’est apparu normal, je suis retournée dans ma cuisine.
Viens dans la salle de bains, je vais soulager tes intimités, tu es tombée sur un mec tellement bien monté qu’il a dû te défoncer.
• Au début, j’ai eu peur, mais si tu savais comme tout a été bon, je dois rester fidèle à ma volonté et je ferais cela une seule fois.
• Tu sais, il y a du travail pour deux ici.
Entre mes obligations familiales et le tapin, le temps m’est compté, je m’occupe des rendez-vous et regarde comme tu es maligne pour nous faire gagner plus d’argent que je le réussis à en faire moi-même.
• Tu es gentil July, tu m’as fait connaitre des moments qui seront inoubliables, mais si toi tu te prostitues pour élever ton fils, pour ma part mon mari pourvois à mon bien-être matériel.
Tu t’es trouvé sans ressource lorsque le père de ton enfant t’a abandonné, moi c’est différent, Romuald pourrait m’enlever ma fille et si cela arrivait, je crois que je mourrais.
• Lève-toi, je vais t’aider à prendre un bain, dans moins d’une heure, il faut que nous allions rechercher nos enfants à l’école.
Je te propose de nous présenter à leurs maîtresses et ainsi si l’une à quelque chose à faire, l’autre pourra prendre son enfant.
• Je te vois venir, tu espères que je vais recommencer à faire ce que je viens de faire, mais je te le répète, je vais faire mentir le dicton, « pute un jour, pute toujours. »
• Pense ce que tu veux, mais je suis moins tordu que toi, je pensais simplement que tu aurais pu prendre Jules, certains soirs et me le garder pendant que je me fais un client supplémentaire.
Aller au bain.
C’est comme cela que se termine mon aventure comme péripatéticienne, mais avant July m’aide à rejoindre la salle d’eau, me fait couler un bain.
J’ai le cul cassé par la bite de Jacques, mais je sens un grand bien être sous les doigts de July qui plonge son bras dans l’eau pour me passer du savon tout le long de mon anus.
Si la prostitution, c’était pour un temps, les doigts de mon amie courant sur mon intimité déclenchent en moi une nouvelle source de plaisir.
Elle a sur elle un peignoir qu’elle enlève et viens me rejoindre dans l’eau.
Elle était prête à sursoir à ma carence avec Jacques si au dernier moment j’avais reculé.
Un instant, sa chatte blonde est à hauteur de mes yeux, je suis à deux doigts de la prendre par les hanches et lui sucer son abricot doré.
Hélas, elle disparait dans la mousse me laissant simplement voir la pointe de ses seins sortant de l’eau.
Elle a des seins à croquer, en poire alors que les miens sont plutôt en forme de bol avec des pointes minuscules.
Ses tétons sont bien découpés, si j’étais lesbienne, je crois que j’aimerais les mettre dans ma bouche.
• Lève-toi que je te nettoie même si j’ai vu dans la corbeille la capote pleine de sperme de ton client, dans notre métier, l’hygiène, c’est primordial.
Je pensais prendre ses tétons dans ma bouche, c’est elle qui me passe le gant de toilette qu’elle m’a fourni entre mes jambes que j’écarte.
Ce jour aura été celui des grandes premières et des grandes révélations, après m’être vendu à un homme, ce sont les doigts de July qui entre dans ma chatte.
Les plaisirs féminins, je les découvre.
J’étais vraiment une oie blanche et lorsque ses lèvres viennent emprisonner mon clitoris, je frissonne de plaisir malgré la vapeur d’eau s’échappant de la baignoire.
Je suis à deux doigts de m’affaler dans l’eau lorsque j’écarte mes cuisses pour que sa langue rejoigne ses doigts au plus loin de mon intimité.
Si j’ai bien compris alors que j’étais à moitié dans les vapes lorsque Jacques m’a sodomisé, j’aurais hurlé sous la pénétration.
J’en fais de même, mais en ce moment, bien consciente, lorsqu’un orgasme me traverse pour la première fois sous les assauts d’une femme.
Il est l’heure de redevenir descente pour aller à l’école chercher les enfants, en chemin je fais une confidence à ma drôle de nouvelle amie.
• July, la prostitution s’est terminée, mais les plaisirs saphiques avec toi lorsque tu auras un petit moment à me consacrer, j’aimerais que cela perdure.
• Soit sans crainte Céline, j’ai beaucoup aimé le moment trop cour après que ton client soit parti.
Je te promets de te donner bien du plaisir et que tu m’en donnes, toi aussi autant en retour.
Si Romuald ton mari sonne s’il a vent que tu pourrais te prostituer, il trouvera deux femmes aimant se donner du plaisir.
Je connais bien les hommes depuis que, je me prostitue, il sera soulagé d’être cocu par une femme au lieu d’un autre homme.
Certains sont très fiers que leur femme les trompes avec une autre, il serait même possible de le faire participer à nos jeux et en faire l’homme que tu rêverais qu’il soit.
Si cela se produit, ma satisfaction sera grande de vous avoir apporté ce regain d’amour par le sexe.
• Si c’était possible, ma vie deviendrait un paradis entre vous deux.
Nous arrivons à l’école un peu essoufflée, nous rencontrons les maîtresses qui notent la possibilité pour l’une ou pour l’autre de récupérer Jules ou Sandrine.
Nous nous retournons chacune chez nous, une page de ma vie vient de se tourner, j’ai dans mon sac à main les 750 € me permettant de dire qu’un instant de ma vie, j’ai été une pute.
Mais pas pour toujours, « pute un jour, pute toujours », à d’autres, moi je reprends ma vie d’avant de femme au foyer...
• Comme pour la fellation, je te les donnerais après...
J’en suis là de cette première passe lorsque Jacques mon client cherche à me pénétrer l’anus.
La morale aurait voulu que je l’envoie promener.
Mais après ma chatte qu’il a pénétré centimètre par centimètre, j’ai envie de lui faire confiance pour les 500 € comme je l’ai faite pour les 50 de cette première fellation que je viens de pratiquer.
J’ai décidé de me prostituer une seule fois malgré le dicton « pute un jour pute toujours » et comme le début du mal est fait autant aller jusqu’au bout de cette sodomie.
Ainsi, je saurais ce que July ressent de se vendre pour une poignée de billets.
• Je te fais entièrement confiance, alors tu peux m’enculer !
Est-ce bien moi qui prononce ces mots ou une autre, mais j’ai beau regardé à droite et à gauche, je suis la seule femme sur ce lit avec ce mâle en rut qui me tient par les hanches.
July en m’avouant qu’elle se prostitue a déclenché en moi une envie de connaitre la même expérience.
Quelle perversité alors que bien qu’il soit à son travail, nous vivons deux étages plus haut avec ma fille Sandrine et mon mari Romuald.
Pourtant au moment où je ressens comme un tisonnier rougi à blanc me rentrant dans l’anus, j’avais une autre possibilité.
Il m’aurait suffi de parler avec mon mari et de lui dire la frustration que je ressentais lors de nos parties de sexe, toujours linéaire, se passant sur le même modèle.
Mais c’est trop tard, si ma chatte était bien plus remplie par la verge de Jacques lorsqu’il m’a pris par la vulve, que dire de ce que je ressens lorsque ses couilles viennent battre mes fesses.
J’aurais envie de hurler de douleur, mais l’on dirait que cette verge est remontée jusque dans ma gorge et qu’il m’est impossible d’émettre le moindre son.
Si je pouvais me voir, ma bouche doit faire la carpe cherchant désespérément son air.
• Putain, t’es une bonne salope, j’ai bien fait de venir te voir, t’ai pas donné, mais j’en ai pour mon argent.
Tient haaaaaa !
Je m’écroule sur le lit prêté par July, je suis à moitié dans les vapes.
Il m’est impossible de réagir, mais je me sens libérée.
Jacques a dû sortir sa grosse bite de mon corps après avoir déchargé dans sa capote.
Je l’entends se déplacer, j’ai l’instinct de tourner ma tête, je dois être faite pour être pute, car j’ai peur de le voir se rhabiller oubliant le fric qu’il me doit.
Sa verge est à hauteur de mes yeux et s’approche de ma bouche.
• Suce jolie salope, nettoie-moi la verge bien comme il faut.
Je la prends dans ma main et avec ma langue j’enlève tout ce qui reste sur son pieu après qu’il ait ôté la capote.
J’aurais tout connu d’un coup pour une première et dernière fois où je me prostituais.
La fellation, la levrette, sans oublier la sodomie et maintenant le nettoyage de bite.
Nettoyage, ou je récupère assez de spermes pour en avaler suffisamment pour la première et certainement dernière fois.
Dès que j’aurais retrouvé mes esprits, que j’aurais ôté cette tenue de femme fatale, je vais reprendre l’ascenseur, monter mes deux étages et me couler dans un bon bain bien chaud.
Mes vieux jours sont assurés, je vais faire mentir le dicton « pute un jour, pute toujours. »
• Tiens, c’est ce que je te dois, j’ai passé un moment merveilleux cette après-midi avec toi Céline, lorsque July m’a dit qu’elle travaillait avec une nouvelle, j’avais peur d’être déçu.
T’es pas donné, mais tu m’en as donné pour mon argent, nul doute que je vais revenir te voir.
Je sens quelque chose me tomber sur le corps et la porte de ma chambre s’ouvrir et mon client me quitter.
• Céline, qu’est-ce que c’est que tout cet argent qui est sur ton lit, 750 €, à non, 850 avec un seul client ?
J’émerge de ma torpeur.
• Les 200 pour la levrette qu’il avait commandée, 50 pour la fellation qu’il m’a demandé de lui faire, car il bandait mou.
Tu ajoutes les 500 € pour la sodomie elle aussi demandée en supplément, je sens mon cul qui me brûle, les 100 de plus, j’ignore pourquoi, certainement un pourboire, il est parti plus que satisfait.
• Comment ?
Tu as fait payer chaque partie de ta prestation individuellement !
Mais la fellation, ça fait partie de la mise en train de ton client.
Il t’a payé 500 € pour une sodomie, je croyais que tu refusais cette pratique.
• Dans le feu de l’action lorsqu’il me prenait en levrette, position que j’ai découverte pour la première fois, il a attaqué mon anus.
Quand je lui ai indiqué que c’était plus cher que ma chatte, il m’a dit qu’il allait me payer lorsqu’il aurait terminé.
Je dois t’avouer que j’y prenais tellement de plaisir pour la première fois de ma vie, j’étais prête à tout faire pour les 200 € qu’il m’avait donnés au début de ma prestation.
Je dois aussi te dire qu’à un moment, j’étais parti à des lieux de cette chambre, lorsqu’il m’a pris par le petit, même si maintenant mon cul me brûle.
Je suis restée de marbre, du moins c’est l’impression que j’ai eue.
• Que tu croies, tu as gueulé si fort que j’ai cru qu’il t’avait égorgé.
Je suis venue pour te sauver, j’ai entrouvert la porte, mais je t’ai vu les fesses en l’air, tout m’est apparu normal, je suis retournée dans ma cuisine.
Viens dans la salle de bains, je vais soulager tes intimités, tu es tombée sur un mec tellement bien monté qu’il a dû te défoncer.
• Au début, j’ai eu peur, mais si tu savais comme tout a été bon, je dois rester fidèle à ma volonté et je ferais cela une seule fois.
• Tu sais, il y a du travail pour deux ici.
Entre mes obligations familiales et le tapin, le temps m’est compté, je m’occupe des rendez-vous et regarde comme tu es maligne pour nous faire gagner plus d’argent que je le réussis à en faire moi-même.
• Tu es gentil July, tu m’as fait connaitre des moments qui seront inoubliables, mais si toi tu te prostitues pour élever ton fils, pour ma part mon mari pourvois à mon bien-être matériel.
Tu t’es trouvé sans ressource lorsque le père de ton enfant t’a abandonné, moi c’est différent, Romuald pourrait m’enlever ma fille et si cela arrivait, je crois que je mourrais.
• Lève-toi, je vais t’aider à prendre un bain, dans moins d’une heure, il faut que nous allions rechercher nos enfants à l’école.
Je te propose de nous présenter à leurs maîtresses et ainsi si l’une à quelque chose à faire, l’autre pourra prendre son enfant.
• Je te vois venir, tu espères que je vais recommencer à faire ce que je viens de faire, mais je te le répète, je vais faire mentir le dicton, « pute un jour, pute toujours. »
• Pense ce que tu veux, mais je suis moins tordu que toi, je pensais simplement que tu aurais pu prendre Jules, certains soirs et me le garder pendant que je me fais un client supplémentaire.
Aller au bain.
C’est comme cela que se termine mon aventure comme péripatéticienne, mais avant July m’aide à rejoindre la salle d’eau, me fait couler un bain.
J’ai le cul cassé par la bite de Jacques, mais je sens un grand bien être sous les doigts de July qui plonge son bras dans l’eau pour me passer du savon tout le long de mon anus.
Si la prostitution, c’était pour un temps, les doigts de mon amie courant sur mon intimité déclenchent en moi une nouvelle source de plaisir.
Elle a sur elle un peignoir qu’elle enlève et viens me rejoindre dans l’eau.
Elle était prête à sursoir à ma carence avec Jacques si au dernier moment j’avais reculé.
Un instant, sa chatte blonde est à hauteur de mes yeux, je suis à deux doigts de la prendre par les hanches et lui sucer son abricot doré.
Hélas, elle disparait dans la mousse me laissant simplement voir la pointe de ses seins sortant de l’eau.
Elle a des seins à croquer, en poire alors que les miens sont plutôt en forme de bol avec des pointes minuscules.
Ses tétons sont bien découpés, si j’étais lesbienne, je crois que j’aimerais les mettre dans ma bouche.
• Lève-toi que je te nettoie même si j’ai vu dans la corbeille la capote pleine de sperme de ton client, dans notre métier, l’hygiène, c’est primordial.
Je pensais prendre ses tétons dans ma bouche, c’est elle qui me passe le gant de toilette qu’elle m’a fourni entre mes jambes que j’écarte.
Ce jour aura été celui des grandes premières et des grandes révélations, après m’être vendu à un homme, ce sont les doigts de July qui entre dans ma chatte.
Les plaisirs féminins, je les découvre.
J’étais vraiment une oie blanche et lorsque ses lèvres viennent emprisonner mon clitoris, je frissonne de plaisir malgré la vapeur d’eau s’échappant de la baignoire.
Je suis à deux doigts de m’affaler dans l’eau lorsque j’écarte mes cuisses pour que sa langue rejoigne ses doigts au plus loin de mon intimité.
Si j’ai bien compris alors que j’étais à moitié dans les vapes lorsque Jacques m’a sodomisé, j’aurais hurlé sous la pénétration.
J’en fais de même, mais en ce moment, bien consciente, lorsqu’un orgasme me traverse pour la première fois sous les assauts d’une femme.
Il est l’heure de redevenir descente pour aller à l’école chercher les enfants, en chemin je fais une confidence à ma drôle de nouvelle amie.
• July, la prostitution s’est terminée, mais les plaisirs saphiques avec toi lorsque tu auras un petit moment à me consacrer, j’aimerais que cela perdure.
• Soit sans crainte Céline, j’ai beaucoup aimé le moment trop cour après que ton client soit parti.
Je te promets de te donner bien du plaisir et que tu m’en donnes, toi aussi autant en retour.
Si Romuald ton mari sonne s’il a vent que tu pourrais te prostituer, il trouvera deux femmes aimant se donner du plaisir.
Je connais bien les hommes depuis que, je me prostitue, il sera soulagé d’être cocu par une femme au lieu d’un autre homme.
Certains sont très fiers que leur femme les trompes avec une autre, il serait même possible de le faire participer à nos jeux et en faire l’homme que tu rêverais qu’il soit.
Si cela se produit, ma satisfaction sera grande de vous avoir apporté ce regain d’amour par le sexe.
• Si c’était possible, ma vie deviendrait un paradis entre vous deux.
Nous arrivons à l’école un peu essoufflée, nous rencontrons les maîtresses qui notent la possibilité pour l’une ou pour l’autre de récupérer Jules ou Sandrine.
Nous nous retournons chacune chez nous, une page de ma vie vient de se tourner, j’ai dans mon sac à main les 750 € me permettant de dire qu’un instant de ma vie, j’ai été une pute.
Mais pas pour toujours, « pute un jour, pute toujours », à d’autres, moi je reprends ma vie d’avant de femme au foyer...
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Collection Pute, je suis comme toi chère lectrice, je l'adore, j'ai regardé 23 (textes commencer à finir...
De quoi t'éclater...
De quoi t'éclater...
J'adore cette collection pute, j'espère qu'il y en aura plus
Je m'attache peux à ce détail des prix, j'ai voyagé à travers le monde, ma Collection le Marin l'atteste, j'ai même payé deux paquets de cigarette au Brésil pour passer une nuit.
Bonjour, je suis votre récit (ainsi que vos autres écrits) mais permettez-moi de vous dire que les tarifs indiqués sont complétement faux, du moins dans mon pays