COLLECTION PUTE. Perverse jusqu’à me prostituer (4/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUTE. Perverse jusqu’à me prostituer (4/5)
Mais pas pour toujours.
C’est quatre mots, je les prononce dans ma tête lorsque nous revenons de l’école ou nous avons récupéré nos enfants.
Quelle journée de dingue entre Jacques qui restera mon premier et seul client et July m’ayant initié à nous donner du plaisir entre filles.
Pour être honnête, c’est elle qui m’a montré les plaisirs qui pourraient être les nôtres.
Le lendemain après une soirée et une nuit un peu compliquée, mon cul, non, je sens le passage de la verge de mon client, mais ça devient rapidement supportable.
Ma fille, Sandrine, encore moins, entre la préparation du repas après être passé chez le traiteur acheter le pâté en croute que Romuald adore.
Certainement un petit remord de ce que j’ai fait cette après-midi, j’en profite pour payer en liquide sous le regard étonné de la charcutière.
Depuis que je me sers chez elle après notre emménagement, j’ai toujours payé avec ma carte de crédit.
Il faut bien que j’écoule le fruit de ma forfaiture envers celui à qui j’avais juré fidélité.
J’ai eu raison de refuser à July de l’aider dans son travail, car je me fais des petits vélos dans ma tête et je risque de finir dingue si je recommence.
Dans mon fauteuil lorsque je regarde un film avec Romuald, une ou deux scènes montrent une jeune femme couchant avec deux hommes pour le plaisir.
J’évite de tourner ma tête, j’ai peur de rougir pensant à ce que j’ai fait il y a peu.
• Viens-tu te coucher ?
J’ai une solution, la migraine, depuis qu’il m’a dépucelé, même si quelquefois mon envie était moins forte que le sien, j’ai toujours fait mon devoir conjugal.
J’ai beau l’avoir trompé en baisant avec une capote, sentir sa verge à la place de celle de mon client dont je veux oublier le nom, j’aurais du mal à le supporter.
• Chéri, je me suis allongée sur notre canapé et je me suis endormie, Sandrine s’était réveillée la nuit dernière ayant fait un cauchemar.
Je vais regarder le sujet de deuxième partie de la soirée sur la famine en Afrique, sinon je vais lire et je vais te déranger.
Il se lève, je vois que j’ai raison, son pantalon de pyjama fait une bosse, la jeune blonde ressemblant vaguement à July lui a fait de l’effet.
Si je l’avais suivi, je serais passée à la casserole, je sais, le terme est loin d’être joli, ce doit être mon côté pute qui ressort.
Ça devient obsessionnel « pute un jour, pute toujours. »
Je me fiche un peu de la misère en Afrique, je prends mon livre, je baisse le son et je lis une heure avant de rejoindre Romuald ayant embrassé Sandrine et l’ayant rebordé.
J’ai un peu de remords de l’avoir prise à témoin, la nuit dernière, elle a dormi comme mon petit bébé ainsi que mon mari qui dort dès qu’il est couché.
Le lendemain, je retrouve July, si j’ai encore un peu de mal à marcher, c’est de plus en plus supportable.
Elle a la bonne idée d’éviter de me parler de ce que j’ai accepté de faire, c’est le lundi suivant qu’indirectement elle me présente deux clefs sur un porte-clefs.
Il est en forme de bouche bien rouge un peu comme la mienne lorsque j’ai reçu mon client, voyez, j’ai oublié qu’il s’appelait Jacques, bouche ou il est marqué « LOVE ».
• Comme tu vas m’aider pour aller chercher Jules, j’ai pris un client pour 17 heures, il est de passage et voulait impérativement que ce soit moi qui m’occupe de sa petite affaire.
Tu rentres avec les enfants et tu vas dans la chambre de mon fils jouer avec eux.
Si tu veux, je peux te défrayer d’une partie de mon cachet pour que tu me rendes ce service.
• Inutile, garde ton argent, je garde ta clef pour d’autres occasions et je ferais monter ton fils chez moi
Comme chez toi les appartements étant les mêmes, il y a une pièce que nous avons transformée en salle de jeux, ils trouveront ce qu’il faut pour s’amuser avant que tu montes le chercher.
Voilà comment les choses se passent dans les jours suivants, un seul détail, la bouche me disant « love », mais la vraie bouche de July, nous sommes devenues des lesbiennes régulières.
Lorsque nous avons du temps, c’est toujours chez-elle souvent dans la chambre où elle fait ses passes que nous allons rouler sur le lit.
Nous adorons l’une l’autre nous lécher la chatte.
July a même des godes qui me font jouir lorsqu’elle me les fait entrer dans le vagin.
Je trouve un équilibre entre les petits coups de Romuald et les vibrations de nos olisbos qui me font jouir.
Si mon mari avait su me révéler, je lui serais restée fidèle, mais j’ai de plus en plus besoin de ces moments avec mon amie.
Un jour, je reçois un message de July alors que je viens de déposer les enfants à l’école.
Elle est partie depuis la veille et c’est moi qui ai gardé Jules.
C’est aussi Romuald dès son retour du travail qui a joué avec les enfants et surtout le fils que je suis incapable de lui donner.
J’ai eu des soucis à la naissance de Sandrine et pour nous elle restera la seule et unique, c’est du moins ce que mon médecin accoucheur m’a dit.
• Ma chérie, je suis chez maman, elle est malade et je dois rester encore jusqu’à ce soir.
J’avais pris un rendez-vous pour 10 heures, j’ai essayé de joindre mon client, son portable semble éteint, peux-tu descendre lui dire de repartir.
Je compte sur toi, c’est un de mes clients les plus fidèles, j’ai peur de le perdre et qu’il aille voir ailleurs.
Ou pouvait-il y avoir malice, à 10 heures, je descends, Alex est là, c’est le nom qu’elle m’a donné.
Je devrais me contenter de lui passe le message et de remonter.
Mais je fais l’erreur d’ouvrir et de le faire entrer, afin d’éviter que quelqu’un puisse avoir la fâcheuse idée de sortir de l’ascenseur ou de la cage escalier.
Je jure sur la tête de ma fille, que c’est sans intention que je le fais entrer.
• C’est vous qui remplacez July, j’ai bien fait de venir, vous êtes ravissante, je sens que je vais passer un excellent moment.
• Vous vous trompez, je suis seulement son amie, il va vous falloir revenir.
• C’est impossible, j’ai mon rendrez-vous et j’ai simplement une heure pour venir me vider les couilles.
Je vois, vous voulez faire monter les enchères, je suis venue pour une prestation à 200 €, je vous en donne le double en liquide bien sûr.
Il est un peu vulgaire, en me disant qu’il a peu de temps pour se vider les couilles.
Je le vois sortir de sa veste un portefeuille avec un gros paquet de billets.
• Bon allé, je vais être beau joueur, j’ai vraiment besoin de baiser, 1 000 €, c’est mon dernier prix, sinon la prochaine fois j’irais voir ailleurs.
J’entends les mots de July me disant qu’elle veut éviter de perdre ce client.
Je la comprends un mec capable de proposer 1 000 € pour une simple prestation, il faut le garder précieusement.
Je prends les billets qu’il me tend et je l’entraine dans la chambre où je me suis fait sauter par le premier homme dont j’ai oublié le nom.
« Pute un jour, pute toujours, » Alex est mon deuxième et comme j’y ai pris du plaisir sans qu’il s’occupe de mon cul, dès qu’elle revient, je la mets au parfum.
Ça fait deux mois que nous tapinons de concert, tout se passe bien à la maison, Romuald tout à ses recherches ignore ce que sa femme fait lorsqu’il est parti au boulot.
J’ai même mon propre portable et mes propres clients dont Alex et Jacques que nous nous partageons à tour de rôle avec July.
July est dans la cuisine elle nous prépare du café, après nous avoir broutés le minou.
La sonnette de la porte d’entrée retentie, nous nous regardons.
• Attends-tu un client ?
• Non, et toi, je vais voir !
Par instinct, je regarde par l’œilleton, c’est Romuald que je croyais au travail qui est derrière la porte.
Ce que j’avais envisagé arrive, mon mari sait que je reçois des clients dans cet appartement et il va me retirer ma fille.
July est derrière moi venue aux nouvelles, par chance en sortant de ma chambre où nous nous sommes donnée du plaisir, j’avais remis ma robe et elle un peignoir en soie.
• C’est mon mari, je suis fichue.
• Entre dans la chambre de Jules, et cache-toi dans la penderie, je le vois mal entrer dans une chambre d’enfant pensant que ce soit là que tu te trouves.
Je le fais, mais je laisse la porte entrouverte, je veux voir à quelle sauce je vais être manger.
• July, c’est toi que je suis venu voir, Bernard mon copain m’a dit qu’une professionnelle...
Par instinct je sors de la poche de ma robe, le portable qui me sert à prendre mes clients et je commence à filmer.
• ...Reçoit ses clients chez-elle, j’ai été étonné lorsqu’il m’a dit ton nom, nous gardons ton fils chaque fois que tu as besoin de nous.
• Et alors ?
• Je vais te faire un aveu, ton amie est très peu active au lit et il m’arrive fréquemment d’aller voir des professionnelles.
Il m’a dit que pour 500 € tes clients peuvent tout te faire, même la sodomie.
J’ai essayé une fois avec Céline, j’ai pris une baffe et puis c’est la mère de ma fille.
Le salopard, il me rejette la faute de notre infortune au lit, surtout la sodo.
Depuis que je tapine après avoir rendu service à July, je me fais régulièrement enculer.
J’avais mal au début et depuis j’y prends même du plaisir.
Quant à la claque elle est imaginaire, beaucoup de mes clients, me claquent les fesses, ça pimente nos jeux lorsque je suis à quatre pattes devant eux, hélas, jamais avec Romuald.
• Viens, je vais m’occuper de toi mon grand bébé.
Je vois les 500 € qu’il a sortis de sa poche passer dans les mains de July, j’ai une magnifique preuve en image et en son que mon mari me trompe avec une pute...
C’est quatre mots, je les prononce dans ma tête lorsque nous revenons de l’école ou nous avons récupéré nos enfants.
Quelle journée de dingue entre Jacques qui restera mon premier et seul client et July m’ayant initié à nous donner du plaisir entre filles.
Pour être honnête, c’est elle qui m’a montré les plaisirs qui pourraient être les nôtres.
Le lendemain après une soirée et une nuit un peu compliquée, mon cul, non, je sens le passage de la verge de mon client, mais ça devient rapidement supportable.
Ma fille, Sandrine, encore moins, entre la préparation du repas après être passé chez le traiteur acheter le pâté en croute que Romuald adore.
Certainement un petit remord de ce que j’ai fait cette après-midi, j’en profite pour payer en liquide sous le regard étonné de la charcutière.
Depuis que je me sers chez elle après notre emménagement, j’ai toujours payé avec ma carte de crédit.
Il faut bien que j’écoule le fruit de ma forfaiture envers celui à qui j’avais juré fidélité.
J’ai eu raison de refuser à July de l’aider dans son travail, car je me fais des petits vélos dans ma tête et je risque de finir dingue si je recommence.
Dans mon fauteuil lorsque je regarde un film avec Romuald, une ou deux scènes montrent une jeune femme couchant avec deux hommes pour le plaisir.
J’évite de tourner ma tête, j’ai peur de rougir pensant à ce que j’ai fait il y a peu.
• Viens-tu te coucher ?
J’ai une solution, la migraine, depuis qu’il m’a dépucelé, même si quelquefois mon envie était moins forte que le sien, j’ai toujours fait mon devoir conjugal.
J’ai beau l’avoir trompé en baisant avec une capote, sentir sa verge à la place de celle de mon client dont je veux oublier le nom, j’aurais du mal à le supporter.
• Chéri, je me suis allongée sur notre canapé et je me suis endormie, Sandrine s’était réveillée la nuit dernière ayant fait un cauchemar.
Je vais regarder le sujet de deuxième partie de la soirée sur la famine en Afrique, sinon je vais lire et je vais te déranger.
Il se lève, je vois que j’ai raison, son pantalon de pyjama fait une bosse, la jeune blonde ressemblant vaguement à July lui a fait de l’effet.
Si je l’avais suivi, je serais passée à la casserole, je sais, le terme est loin d’être joli, ce doit être mon côté pute qui ressort.
Ça devient obsessionnel « pute un jour, pute toujours. »
Je me fiche un peu de la misère en Afrique, je prends mon livre, je baisse le son et je lis une heure avant de rejoindre Romuald ayant embrassé Sandrine et l’ayant rebordé.
J’ai un peu de remords de l’avoir prise à témoin, la nuit dernière, elle a dormi comme mon petit bébé ainsi que mon mari qui dort dès qu’il est couché.
Le lendemain, je retrouve July, si j’ai encore un peu de mal à marcher, c’est de plus en plus supportable.
Elle a la bonne idée d’éviter de me parler de ce que j’ai accepté de faire, c’est le lundi suivant qu’indirectement elle me présente deux clefs sur un porte-clefs.
Il est en forme de bouche bien rouge un peu comme la mienne lorsque j’ai reçu mon client, voyez, j’ai oublié qu’il s’appelait Jacques, bouche ou il est marqué « LOVE ».
• Comme tu vas m’aider pour aller chercher Jules, j’ai pris un client pour 17 heures, il est de passage et voulait impérativement que ce soit moi qui m’occupe de sa petite affaire.
Tu rentres avec les enfants et tu vas dans la chambre de mon fils jouer avec eux.
Si tu veux, je peux te défrayer d’une partie de mon cachet pour que tu me rendes ce service.
• Inutile, garde ton argent, je garde ta clef pour d’autres occasions et je ferais monter ton fils chez moi
Comme chez toi les appartements étant les mêmes, il y a une pièce que nous avons transformée en salle de jeux, ils trouveront ce qu’il faut pour s’amuser avant que tu montes le chercher.
Voilà comment les choses se passent dans les jours suivants, un seul détail, la bouche me disant « love », mais la vraie bouche de July, nous sommes devenues des lesbiennes régulières.
Lorsque nous avons du temps, c’est toujours chez-elle souvent dans la chambre où elle fait ses passes que nous allons rouler sur le lit.
Nous adorons l’une l’autre nous lécher la chatte.
July a même des godes qui me font jouir lorsqu’elle me les fait entrer dans le vagin.
Je trouve un équilibre entre les petits coups de Romuald et les vibrations de nos olisbos qui me font jouir.
Si mon mari avait su me révéler, je lui serais restée fidèle, mais j’ai de plus en plus besoin de ces moments avec mon amie.
Un jour, je reçois un message de July alors que je viens de déposer les enfants à l’école.
Elle est partie depuis la veille et c’est moi qui ai gardé Jules.
C’est aussi Romuald dès son retour du travail qui a joué avec les enfants et surtout le fils que je suis incapable de lui donner.
J’ai eu des soucis à la naissance de Sandrine et pour nous elle restera la seule et unique, c’est du moins ce que mon médecin accoucheur m’a dit.
• Ma chérie, je suis chez maman, elle est malade et je dois rester encore jusqu’à ce soir.
J’avais pris un rendez-vous pour 10 heures, j’ai essayé de joindre mon client, son portable semble éteint, peux-tu descendre lui dire de repartir.
Je compte sur toi, c’est un de mes clients les plus fidèles, j’ai peur de le perdre et qu’il aille voir ailleurs.
Ou pouvait-il y avoir malice, à 10 heures, je descends, Alex est là, c’est le nom qu’elle m’a donné.
Je devrais me contenter de lui passe le message et de remonter.
Mais je fais l’erreur d’ouvrir et de le faire entrer, afin d’éviter que quelqu’un puisse avoir la fâcheuse idée de sortir de l’ascenseur ou de la cage escalier.
Je jure sur la tête de ma fille, que c’est sans intention que je le fais entrer.
• C’est vous qui remplacez July, j’ai bien fait de venir, vous êtes ravissante, je sens que je vais passer un excellent moment.
• Vous vous trompez, je suis seulement son amie, il va vous falloir revenir.
• C’est impossible, j’ai mon rendrez-vous et j’ai simplement une heure pour venir me vider les couilles.
Je vois, vous voulez faire monter les enchères, je suis venue pour une prestation à 200 €, je vous en donne le double en liquide bien sûr.
Il est un peu vulgaire, en me disant qu’il a peu de temps pour se vider les couilles.
Je le vois sortir de sa veste un portefeuille avec un gros paquet de billets.
• Bon allé, je vais être beau joueur, j’ai vraiment besoin de baiser, 1 000 €, c’est mon dernier prix, sinon la prochaine fois j’irais voir ailleurs.
J’entends les mots de July me disant qu’elle veut éviter de perdre ce client.
Je la comprends un mec capable de proposer 1 000 € pour une simple prestation, il faut le garder précieusement.
Je prends les billets qu’il me tend et je l’entraine dans la chambre où je me suis fait sauter par le premier homme dont j’ai oublié le nom.
« Pute un jour, pute toujours, » Alex est mon deuxième et comme j’y ai pris du plaisir sans qu’il s’occupe de mon cul, dès qu’elle revient, je la mets au parfum.
Ça fait deux mois que nous tapinons de concert, tout se passe bien à la maison, Romuald tout à ses recherches ignore ce que sa femme fait lorsqu’il est parti au boulot.
J’ai même mon propre portable et mes propres clients dont Alex et Jacques que nous nous partageons à tour de rôle avec July.
July est dans la cuisine elle nous prépare du café, après nous avoir broutés le minou.
La sonnette de la porte d’entrée retentie, nous nous regardons.
• Attends-tu un client ?
• Non, et toi, je vais voir !
Par instinct, je regarde par l’œilleton, c’est Romuald que je croyais au travail qui est derrière la porte.
Ce que j’avais envisagé arrive, mon mari sait que je reçois des clients dans cet appartement et il va me retirer ma fille.
July est derrière moi venue aux nouvelles, par chance en sortant de ma chambre où nous nous sommes donnée du plaisir, j’avais remis ma robe et elle un peignoir en soie.
• C’est mon mari, je suis fichue.
• Entre dans la chambre de Jules, et cache-toi dans la penderie, je le vois mal entrer dans une chambre d’enfant pensant que ce soit là que tu te trouves.
Je le fais, mais je laisse la porte entrouverte, je veux voir à quelle sauce je vais être manger.
• July, c’est toi que je suis venu voir, Bernard mon copain m’a dit qu’une professionnelle...
Par instinct je sors de la poche de ma robe, le portable qui me sert à prendre mes clients et je commence à filmer.
• ...Reçoit ses clients chez-elle, j’ai été étonné lorsqu’il m’a dit ton nom, nous gardons ton fils chaque fois que tu as besoin de nous.
• Et alors ?
• Je vais te faire un aveu, ton amie est très peu active au lit et il m’arrive fréquemment d’aller voir des professionnelles.
Il m’a dit que pour 500 € tes clients peuvent tout te faire, même la sodomie.
J’ai essayé une fois avec Céline, j’ai pris une baffe et puis c’est la mère de ma fille.
Le salopard, il me rejette la faute de notre infortune au lit, surtout la sodo.
Depuis que je tapine après avoir rendu service à July, je me fais régulièrement enculer.
J’avais mal au début et depuis j’y prends même du plaisir.
Quant à la claque elle est imaginaire, beaucoup de mes clients, me claquent les fesses, ça pimente nos jeux lorsque je suis à quatre pattes devant eux, hélas, jamais avec Romuald.
• Viens, je vais m’occuper de toi mon grand bébé.
Je vois les 500 € qu’il a sortis de sa poche passer dans les mains de July, j’ai une magnifique preuve en image et en son que mon mari me trompe avec une pute...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je pense que ça va leur donner du piment au lit après.
Bien fait à faire la pute j'espère que tu sera punie