COLLECTION PUTE. Pute pour 1€ (2/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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COLLECTION PUTE. Pute pour 1€ (2/4)
• Madame, je vous avais promis de faire appel de votre dossier, le juge d’application des peines a accepté de vous libérer dès demain matin.
• Bien gentil, mais toujours aussi con, maître Lionel, je viens d’être prévenu qu’à la moitié de ma peine et pour bonne conduite je serais libérée dans deux jours.
C’est le pognon qui m’inquiète, 7 000 € de dommage et intérêts à ces gentilles forces de police et assujétit et 100 000 € de préjudice à l’état, comment croyez-vous que je vais pouvoir payer.
• Pour la peine, c’est toujours un jour de gagner, mais en ce qui concerne l’argent les faits sont trop graves et vous avez irrité toute la magistrature par vos propos au juge qui s’occupait de notre affaire.
Ils sont inflexibles, vous ferez un emprunt.
• Laissez tomber, je vais voir ce que je peux faire en sortant.
Quinze jours que je suis là, dans cette prison pour femmes, j’en ai vu des vertes et des pas mûres pendant ces deux semaines, c’est vrai moins un jour.
Merci à ce jeune puceau dans tous les sens du terme d’avocat commise d’office.
Dès que je suis arrivée, Léonide m'a pris en grippe, c'est une grosse bonne femme qui règne sur les deux autres filles.
L’une d’elles lui lavait ses petites culottes, pardon ses gigantesques culottes elle devait faire du 60 de tour de taille.
Ces mamelles étaient en rapport de sa culotte, le plus drôle c’est qu’elle couchait au-dessus de moi.
Il fallait la voir monter à l’échelle, mais elle y arrivait, dès la première nuit, j’ai vite compris pourquoi.
Mélissa, une jeune paumée prise à chiper dans un magasin avait ramassé trois mois, la grosse en avait fait sa gougnotte.
La petite sortait le lendemain.
La nuit suivante, les deux femmes ont dû fêter son départ, car dans la nuit le lit bougeant m’a réveillé.
Je me suis levée pour m’asseoir sur la lunette des toilettes parfaitement entretenues contrairement à ce que j’avais entendu de ces lieux oubliés de tous.
Le pachyderme était nu, ses mamelles pendant lamentablement.
Elle devait faire trois kilos chacune et était en forme de queue de castor.
Elle était assise sur la figure de Mélissa qui devait lui lécher la chatte avec sa langue.
J’ai failli intervenir, mais la grosse commençait à jouir.
La veilleuse me laissait les voir comme je voyais Nouzha, une jeune Marocaine se recroqueviller dans son lit.
Subissait-elle aussi l'appétit sexuel de cette femme monstrueuse?
C’est à ce moment que j’ai compris pourquoi Léonide prenait le lit à l’étage.
La hauteur sous plafond était suffisante pour qu’elle se tienne à genoux sur la figure de Mélissa, c’était dégueulasse.
Je me suis recouchée, Nouzha me regardait avec des yeux de chiens battus.
Le lendemain Mélissa a pris ses affaires et est partie sans un mot.
La grosse était à table, Nouzha avait reçu un colis de sa sœur la veille de mon arrivée.
La vieille salope l’avait récupéré et se gavait de petits gâteaux pleins de sucre.
Se levant, elle va sur les toilettes.
Je l’entends péter un coup, sans la moindre précaution de notre présence.
Comble de l’ignominie, je l’entends déféquer avant de se nettoyer sommairement.
• Nouzha lave les chiottes, je veux qu’elle soit propre dans cinq minutes.
• Nouzha reste assise sur ton lit, la grosse, c’est toi qui vas nettoyer ta merde.
• Pardon je crois que l’on a oublié de me présenter petite salope.
Ici tu sauras que c’est moi qui commande.
• Maintenant ça va changer, attention j’ai horreur qu’on m’emmerde.
Si tu doutes de moi, demande au flic qui a essayé de m’arrêter, il doit toujours avoir des couilles comme des pastèques.
• Ça va, je vais nettoyer, inutile de s’écharper pour un peu de merde.
La journée a été calme jusqu’à l’extinction des feux.
Je croyais que Léonide avec compris que son pain blanc était mangé jusqu’à mon arrivée, mais j’ai entendu « psitt, » « psitt » et encore « psitt ».
La grosse voulait attirer l’attention de Nouzha.
• La grosse, je crois que tu as déjà oublié, descend prend le lit de Nouzha.
J’en ai mare de t’entendre te masturber comme tu le fais depuis que la lampe est éteinte.
• Elle est folle celle-là, demain je vais la faire changer de cellule.
En moins de temps qu’il faut pour le dire, je sur mes pieds.
J’attrape Léonide par l’un de ses seins, c’est la première chose que je peux saisir, je la tire à moi, elle dégringole au sol.
Malgré son poids, elle se redresse et va taper à la porte.
Elle fait tellement de raffut que la gardienne de l’étage arrive, regarde par l’oeilleton et fait tourner la clef.
• Janine, change-moi de cellule, cette femme est folle, elle veut me massacrer.
• Léonide, enfin une détenue qui te tient tête.
Si tu crois que tu m’impressionnes avec tes cris, retourne te coucher, j’en parlerais demain à la relève qui en parlera au directeur, qui en parlera à mon cul.
La gardienne referme la porte me laissant seule avec mon problème.
C’est à quatre pattes nous montrant son gros cul que Léonide rejoint le lit de Nouzha qui prestement monte dans le sien.
Mon pied a encore agi.
La lumière s’éteint.
Dans l’action, j’avais oublié l’extinction des feux.
Léonide regarde le mur et semble prostrée.
Nouzha descend et vient dans se blottir dans mes bras.
Là, l’impossible se produit, est-ce elle ou moi qui avançons nos bouches.
J’étais dans l’incapacité de penser qu’un jour je ferais ce geste, j’ouvre ses lèvres avec ma langue.
Je sens que la petite attend, que je prenne l’initiative, pourtant c’est elle qui s’est précipitée sur mon lit.
Comment fait-on entre filles, c’est naturellement que ma main se pose sur son genou et qu’elle monte ?
Naturellement, alors que je remonte sa chemise de nuit que je redescends hésitant à atteindre sa fourche.
C’est à ce moment qu’à la deuxième montée elle écarte d’elle-même ses cuisses me permettant d’atteindre son intimité.
Je dors en pyjama, elle glisse sa main sous la partie supérieure m’empoignant un sein.
Sans être trop gros, ils sont en forme de pamplemousse et en rien tombants comme ceux de l’autre qui ronfle en face de nous.
Nouzha quitte ma bouche, descends le long de mes jambes, tire sur mon pantalon.
Je me soulève de façon mécanique, j’aspire, moi aussi à découvrir ce monde secret des femmes entre femmes.
C’est un monde que toute jeune femme devrait connaître moi qui ai déjà la rudesse des garçons.
Là, c’est un monde de douceur qui s’offre à moi quand je sens sa langue sur mon clitoris.
J’apprends vite, Léonide doit entendre que je peux jouir aussi sont les coups de langue d’une femme.
Si la gardienne fait une ronde, les cris de plaisir que je pousse doivent lui faire comprendre que dans notre cellule, la paix et l’amour sont revenus.
Dans les jours qui me séparent de ma sortie, je l’ai dit quinze jours moins un à ma mi-peine, la grosse nettoyait les chiottes sans qu’on ait besoin de la bousculer.
Le plus drôle, c’est que même quand c’était nous et que nous étions propres, elle recommençait.
Toutes les nuits Nouzha me retrouvait dans mon lit et quand cinq jours avant ma sortie, Jennifer est venue nous rejoindre ni la grosse ni moi, nous avons essayé de la séduire bien qu’elle soit fort jolie.
Au moment où la cellule s’est ouverte, Léonide vient dans mes bras et m’embrasse sur les deux joues.
Nouzha me serre dans ses bras elle aussi.
Comment va se passer la suite, je suis dans l’impossibilité de le savoir et sur un certain côté je m’en fiche, j’ai besoin d’air libre ?
Comment oublier que je suis là simplement pour une histoire de 1 € ?
Quand je sors, je sens que je suis différente, la fureur qui était en moi, semble m’avoir abandonné.
J’ai le temps de comprendre ce que j’ai fait surtout qu’au début de mon incarcération j’ai eu le droit de joindre, maman et ma tante à qui j’ai menti.
Je leur ai fait croire que j’avais décroché un contrat et que je partais sur une île du Finistère tourner un téléfilm.
Les deux femmes m’ont cru et à ce jour, elles semblent avoir compris que j’avais horreur d’être dérangée.
Ma tante m’embrasse quand j’arrive chez elle, elle est contente que j’aie réussi à décrocher un contrat, si elle savait, mais une lettre est arrivée de la préfecture concernant ma voiture.
Il y a deux jours que dans cette lettre, un avis d’enlèvement m’a été adressé, sous peine qu’elle soit emmenée à la fourrièreÀ peine arrivée, à peine repartie, métro et marche à pied, j’arrive à l’emplacement ou mon altercation avec la police a eu lieu.
Elle brille par son absence, soit on l’a volé soit ils l’ont déjà emmené.
J’entends que l’on m’interpelle, je me retourne.
Un serveur d’un café ayant à sa main son plateau me fait signe de venir vers lui.
• Ils l’ont emmené il y a deux heures, une voiture l’a soulevé par l’avant et l’a tiré vers la fourrière, les PV s’accumulaient sur votre pare-brise.
J’étais là quand vous avez démonté les flics, je vous aurais bien aidé, mais je risquais de me faire emmener et perdre ma place.
Venez, je vous offre un café.
Le garçon 25 à 30 ans gilet de serveur de terrasse de bar sur une chemise blanche entre dans le café son plateau posé sur ses doigts.
C’est drôle on m’aurait dit qu’il y en avait un, j’aurais juré mes grands dieux que non.
C’est marrant dans ma colère et mon souvenir, comment ai-je dit tout ça ?
• Tenez, buvez, ils ont été cool avec vous.
• Parlez pour vous, j’ai pris un max, même de la prison pendant deux semaines.
Ça, j’ai digéré, mais pour l’amande, même en empruntant je crois que ma vie est fichue.
7 000 € envers les flics et 100 000 à l’état, lorsque je compare avec ce que je touche comme intermittente, impossible de rembourser cette dette.
• J’aurais bien une solution, j’ai un ami qui est client et qui pourrait te dépanner en te trouvant du travail.
Regarde voici sa carte.
Il m’en a laissé quelques-unes, tu es assez bien foutu pour travailler pour lui.
Je sais que son agence est sérieuse.
Il vient de me placer mon café devant moi, je vois qu’il me tutoie, il sort une carte d’une veste sur son porte-manteau et me la donne.
Je lis.
« Agence d’escorte girl » suivie d’un numéro de téléphone, un dessin subjectif de femme stylisé la complète…
• Bien gentil, mais toujours aussi con, maître Lionel, je viens d’être prévenu qu’à la moitié de ma peine et pour bonne conduite je serais libérée dans deux jours.
C’est le pognon qui m’inquiète, 7 000 € de dommage et intérêts à ces gentilles forces de police et assujétit et 100 000 € de préjudice à l’état, comment croyez-vous que je vais pouvoir payer.
• Pour la peine, c’est toujours un jour de gagner, mais en ce qui concerne l’argent les faits sont trop graves et vous avez irrité toute la magistrature par vos propos au juge qui s’occupait de notre affaire.
Ils sont inflexibles, vous ferez un emprunt.
• Laissez tomber, je vais voir ce que je peux faire en sortant.
Quinze jours que je suis là, dans cette prison pour femmes, j’en ai vu des vertes et des pas mûres pendant ces deux semaines, c’est vrai moins un jour.
Merci à ce jeune puceau dans tous les sens du terme d’avocat commise d’office.
Dès que je suis arrivée, Léonide m'a pris en grippe, c'est une grosse bonne femme qui règne sur les deux autres filles.
L’une d’elles lui lavait ses petites culottes, pardon ses gigantesques culottes elle devait faire du 60 de tour de taille.
Ces mamelles étaient en rapport de sa culotte, le plus drôle c’est qu’elle couchait au-dessus de moi.
Il fallait la voir monter à l’échelle, mais elle y arrivait, dès la première nuit, j’ai vite compris pourquoi.
Mélissa, une jeune paumée prise à chiper dans un magasin avait ramassé trois mois, la grosse en avait fait sa gougnotte.
La petite sortait le lendemain.
La nuit suivante, les deux femmes ont dû fêter son départ, car dans la nuit le lit bougeant m’a réveillé.
Je me suis levée pour m’asseoir sur la lunette des toilettes parfaitement entretenues contrairement à ce que j’avais entendu de ces lieux oubliés de tous.
Le pachyderme était nu, ses mamelles pendant lamentablement.
Elle devait faire trois kilos chacune et était en forme de queue de castor.
Elle était assise sur la figure de Mélissa qui devait lui lécher la chatte avec sa langue.
J’ai failli intervenir, mais la grosse commençait à jouir.
La veilleuse me laissait les voir comme je voyais Nouzha, une jeune Marocaine se recroqueviller dans son lit.
Subissait-elle aussi l'appétit sexuel de cette femme monstrueuse?
C’est à ce moment que j’ai compris pourquoi Léonide prenait le lit à l’étage.
La hauteur sous plafond était suffisante pour qu’elle se tienne à genoux sur la figure de Mélissa, c’était dégueulasse.
Je me suis recouchée, Nouzha me regardait avec des yeux de chiens battus.
Le lendemain Mélissa a pris ses affaires et est partie sans un mot.
La grosse était à table, Nouzha avait reçu un colis de sa sœur la veille de mon arrivée.
La vieille salope l’avait récupéré et se gavait de petits gâteaux pleins de sucre.
Se levant, elle va sur les toilettes.
Je l’entends péter un coup, sans la moindre précaution de notre présence.
Comble de l’ignominie, je l’entends déféquer avant de se nettoyer sommairement.
• Nouzha lave les chiottes, je veux qu’elle soit propre dans cinq minutes.
• Nouzha reste assise sur ton lit, la grosse, c’est toi qui vas nettoyer ta merde.
• Pardon je crois que l’on a oublié de me présenter petite salope.
Ici tu sauras que c’est moi qui commande.
• Maintenant ça va changer, attention j’ai horreur qu’on m’emmerde.
Si tu doutes de moi, demande au flic qui a essayé de m’arrêter, il doit toujours avoir des couilles comme des pastèques.
• Ça va, je vais nettoyer, inutile de s’écharper pour un peu de merde.
La journée a été calme jusqu’à l’extinction des feux.
Je croyais que Léonide avec compris que son pain blanc était mangé jusqu’à mon arrivée, mais j’ai entendu « psitt, » « psitt » et encore « psitt ».
La grosse voulait attirer l’attention de Nouzha.
• La grosse, je crois que tu as déjà oublié, descend prend le lit de Nouzha.
J’en ai mare de t’entendre te masturber comme tu le fais depuis que la lampe est éteinte.
• Elle est folle celle-là, demain je vais la faire changer de cellule.
En moins de temps qu’il faut pour le dire, je sur mes pieds.
J’attrape Léonide par l’un de ses seins, c’est la première chose que je peux saisir, je la tire à moi, elle dégringole au sol.
Malgré son poids, elle se redresse et va taper à la porte.
Elle fait tellement de raffut que la gardienne de l’étage arrive, regarde par l’oeilleton et fait tourner la clef.
• Janine, change-moi de cellule, cette femme est folle, elle veut me massacrer.
• Léonide, enfin une détenue qui te tient tête.
Si tu crois que tu m’impressionnes avec tes cris, retourne te coucher, j’en parlerais demain à la relève qui en parlera au directeur, qui en parlera à mon cul.
La gardienne referme la porte me laissant seule avec mon problème.
C’est à quatre pattes nous montrant son gros cul que Léonide rejoint le lit de Nouzha qui prestement monte dans le sien.
Mon pied a encore agi.
La lumière s’éteint.
Dans l’action, j’avais oublié l’extinction des feux.
Léonide regarde le mur et semble prostrée.
Nouzha descend et vient dans se blottir dans mes bras.
Là, l’impossible se produit, est-ce elle ou moi qui avançons nos bouches.
J’étais dans l’incapacité de penser qu’un jour je ferais ce geste, j’ouvre ses lèvres avec ma langue.
Je sens que la petite attend, que je prenne l’initiative, pourtant c’est elle qui s’est précipitée sur mon lit.
Comment fait-on entre filles, c’est naturellement que ma main se pose sur son genou et qu’elle monte ?
Naturellement, alors que je remonte sa chemise de nuit que je redescends hésitant à atteindre sa fourche.
C’est à ce moment qu’à la deuxième montée elle écarte d’elle-même ses cuisses me permettant d’atteindre son intimité.
Je dors en pyjama, elle glisse sa main sous la partie supérieure m’empoignant un sein.
Sans être trop gros, ils sont en forme de pamplemousse et en rien tombants comme ceux de l’autre qui ronfle en face de nous.
Nouzha quitte ma bouche, descends le long de mes jambes, tire sur mon pantalon.
Je me soulève de façon mécanique, j’aspire, moi aussi à découvrir ce monde secret des femmes entre femmes.
C’est un monde que toute jeune femme devrait connaître moi qui ai déjà la rudesse des garçons.
Là, c’est un monde de douceur qui s’offre à moi quand je sens sa langue sur mon clitoris.
J’apprends vite, Léonide doit entendre que je peux jouir aussi sont les coups de langue d’une femme.
Si la gardienne fait une ronde, les cris de plaisir que je pousse doivent lui faire comprendre que dans notre cellule, la paix et l’amour sont revenus.
Dans les jours qui me séparent de ma sortie, je l’ai dit quinze jours moins un à ma mi-peine, la grosse nettoyait les chiottes sans qu’on ait besoin de la bousculer.
Le plus drôle, c’est que même quand c’était nous et que nous étions propres, elle recommençait.
Toutes les nuits Nouzha me retrouvait dans mon lit et quand cinq jours avant ma sortie, Jennifer est venue nous rejoindre ni la grosse ni moi, nous avons essayé de la séduire bien qu’elle soit fort jolie.
Au moment où la cellule s’est ouverte, Léonide vient dans mes bras et m’embrasse sur les deux joues.
Nouzha me serre dans ses bras elle aussi.
Comment va se passer la suite, je suis dans l’impossibilité de le savoir et sur un certain côté je m’en fiche, j’ai besoin d’air libre ?
Comment oublier que je suis là simplement pour une histoire de 1 € ?
Quand je sors, je sens que je suis différente, la fureur qui était en moi, semble m’avoir abandonné.
J’ai le temps de comprendre ce que j’ai fait surtout qu’au début de mon incarcération j’ai eu le droit de joindre, maman et ma tante à qui j’ai menti.
Je leur ai fait croire que j’avais décroché un contrat et que je partais sur une île du Finistère tourner un téléfilm.
Les deux femmes m’ont cru et à ce jour, elles semblent avoir compris que j’avais horreur d’être dérangée.
Ma tante m’embrasse quand j’arrive chez elle, elle est contente que j’aie réussi à décrocher un contrat, si elle savait, mais une lettre est arrivée de la préfecture concernant ma voiture.
Il y a deux jours que dans cette lettre, un avis d’enlèvement m’a été adressé, sous peine qu’elle soit emmenée à la fourrièreÀ peine arrivée, à peine repartie, métro et marche à pied, j’arrive à l’emplacement ou mon altercation avec la police a eu lieu.
Elle brille par son absence, soit on l’a volé soit ils l’ont déjà emmené.
J’entends que l’on m’interpelle, je me retourne.
Un serveur d’un café ayant à sa main son plateau me fait signe de venir vers lui.
• Ils l’ont emmené il y a deux heures, une voiture l’a soulevé par l’avant et l’a tiré vers la fourrière, les PV s’accumulaient sur votre pare-brise.
J’étais là quand vous avez démonté les flics, je vous aurais bien aidé, mais je risquais de me faire emmener et perdre ma place.
Venez, je vous offre un café.
Le garçon 25 à 30 ans gilet de serveur de terrasse de bar sur une chemise blanche entre dans le café son plateau posé sur ses doigts.
C’est drôle on m’aurait dit qu’il y en avait un, j’aurais juré mes grands dieux que non.
C’est marrant dans ma colère et mon souvenir, comment ai-je dit tout ça ?
• Tenez, buvez, ils ont été cool avec vous.
• Parlez pour vous, j’ai pris un max, même de la prison pendant deux semaines.
Ça, j’ai digéré, mais pour l’amande, même en empruntant je crois que ma vie est fichue.
7 000 € envers les flics et 100 000 à l’état, lorsque je compare avec ce que je touche comme intermittente, impossible de rembourser cette dette.
• J’aurais bien une solution, j’ai un ami qui est client et qui pourrait te dépanner en te trouvant du travail.
Regarde voici sa carte.
Il m’en a laissé quelques-unes, tu es assez bien foutu pour travailler pour lui.
Je sais que son agence est sérieuse.
Il vient de me placer mon café devant moi, je vois qu’il me tutoie, il sort une carte d’une veste sur son porte-manteau et me la donne.
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