COLLECTION PUTE. Pute pour 1€ (4/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2398 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 000 708 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 3 486 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION PUTE. Pute pour 1€ (4/4)
« En attendant de savoir si ce que je viens de te dire est la vérité, prends ma queue dans ta main. »
C’est en mettant sa verge dans ma main que j’intègre le corps des femmes de petite vertu, même si lorsque j’ai accepté que Tonton Jean me dépucelle, j’avais déjà mis un pied dans la luxure.
• C’est bien, masturbe-moi doucement, j’aime la douceur, regarde tu me fais de l’effet.
Salope, tu étais une pute et tu l’ignorais, maintenant que je bande, fais-moi une fellation.
Tu as une bouche faite pour sucer des bites.
Certaines de tes futures copines ont une bouche trop petite.
C’est bon, toi tu m’engames jusqu’à mes couilles.
Putain de chienne lubrique continue sans me faire décharger, je veux que tu viennes t’enfiler sur moi.
Vas-y maintenant saute à cheval sur mon vit, ça va être divin.
Excuse d’être aussi cru toi qui débutes, mais j’ai besoin que ces mots me stimulent comme ma régulière savait si bien le faire.
Monte, descends, remonte, redescend, tu as le bon rythme du moins pour moi. Quand tu reviendras, c’est comme ça que je veux qu’on baise.
Ah ! ah ! ah ! prend tout, il y a longtemps que la fête avait été si belle.
Ce vieux con, il a joui, mais trop vite je suis resté au bord du chemin.
• Viens dans mon bras Jennifer, je sais ce que tu penses, c’est un égoïsme, il a joui sans moi.
Tu es jeune, tu veux profiter de la vie et jouir.
Je suis ton client, tu es là pour me satisfaire si au passage tu prends du plaisir en plus de l’argent que tu auras ramassé tant mieux.
Sinon si je suis satisfait ce qui est le cas, tu te contentes d’encaisser leur argent.
• J’ai compris, mais dite vous m’avez dit la vérité toute à l’heure sur Carmaux et votre grand-père !
• Non, j’aime à croire, que je viens de ce milieu, ma femme était issue de ces gens du petit peuple, j’ai dû lui apprendre les bonnes manières.
• D’où veniez-vous alors.
• D’où je venais !
Mon père était banquier, mon grand-père était banquier et mon fils est banquier.
• J’ai compris ta leçon, j’ignorerais toujours ou est la vérité, un client me racontera ce qu’il veut, je devrais feindre de le croire, ça lui fera plaisir.
En fin de compte, demain j’appelle le numéro sur la carte et je vais continuer à gagner de l’argent avec ma chatte.
Je viens de te prouver que je savais faire.
• Tu vois Jennifer, là tu viens de me dire le fond de ta pensée, tu me vouvoyais et tu viens de dire tu.
• Je vais faire mieux avant de rentrer chez ma tante, tiens, je t’embrasse.
Mais dit moi encore qui étais cette Véronique que tu sembles avoir connue.
• C’est la jeune femme qui m’a dépucelé, elle doit avoir disparu de cette terre.J’avais 20 ans elle plus de 50, elle serait presque centenaire, mais j’aime à croire, qu’elle est toujours vivante et en forme dans un coin de France.
Merci tu es une bonne petite, je te donne mon numéro si tu as le moindre problème joint moi, le jour comme la nuit.
Je serais toujours là pour t’apporter la solution à un problème qui te tracasse.
Je me lève, il me dit d’aller dans le tiroir d’où il avait sorti son argent.
Il veut que je lui donne un stylo et le carnet et me mets le numéro de sa ligne fixe.
C’est un vieux sans portable.
• Prends 200 € dans la liasse, tu as mérité un petit pourboire pour le bon travail que tu as fait.
Je me rhabille dans la salle de bains que je rejoins, quand j’ai quitté sa chambre, il dort déjà, sa queue hors des draps étant de nouveau au repos.
Je sors ma voiture du garage.
La nuit est belle et étoilée, je les vois à un feu rouge lorsque je lève la tête par le gros accro qui a dû être fait par un connard avant que la fourrière l’enlève.
Le long des quais, une place autorisée, inutile de me mettre en infraction, je me gare et décide de descendre sur ce coin de quai de Seine.
Je marche un peu admirant l’eau le long des péniches dont certaines sont éclairées.
Je le vois par les hublots.
Vivre au bord de l’eau, ça aurait été possible si j’avais réussi dans le cinéma, mais cette maudite dette, fiche tout rêve impossible.
En d’autres temps, si ce geste du destin me faisant rencontrer Willyam, l’eau m’aurait peut-être attiré pour régler mes problèmes liés à cette histoire de 1 € !
Je marche où les pas m’emportent sans but réel, au fond de moi je sais que cette nuit quand je serais rentrée, le sommeil me fuira alors autant marcher.
Cette nuit, je dois prendre une décision qui va engager ma vie.
06 00… Agence d’escorte girl.
Si demain, j’appelle au nom de Christophe, ce garçon de café qui m’a donné cette carte, je rentrerai dans le monde des prostituées.
Pardon, des escortes girls qui se vendent au plus offrant afin d’amasser de l’argent me permettant de rembourser ma dette.
Je sais cette après-midi, j’ai vendu mon corps à Willyam, les six billets dans ma poche l’attestent, mais c’était pour sauver la titine de grand-mère.
Ma décision à moitié prise, je prends le premier escalier remontant sur le haut des quais et rejoins ma voiture retournant chez ma tante.
Comme prévu, nuit blanche, ma tante m’a préparé un petit déjeuner.
• Véronique, fais attention à toi, tu te surmènes, tu as les yeux au milieu de la figure.
Ta mère a appelé hier, je lui ai dit que tu semblais soucieuse depuis ton retour de ton téléfilm.
Tu me diras quand il sera diffusé, que je le regarde tu dois être parfaite, tu jouais quel rôle.
Question aussi con que celle que je dois prendre pour dire que j’accepte les rendez-vous d’hommes friqués.
• Ma tante, mon rôle était symbolique, il se peut qu’au montage les scènes ou j’apparais soit coupé si le film est trop long.
Ce film doit sortir dans les pays de l’Est avec des doublages, j’ignore où et quand il sortira en France.
J’ignore pourquoi je lui parle des pays de l’Est, le principal, c’est qu’elle oublie de me reposer des questions sur un film que j’ai tournée dans une cellule de 5 mètres sur 6.
• Le principal, c’est que tu aies été payé.
• J’ai déjà touché 1 200 €, quand ils ont déduit différents frais, le budget est très serré.
Par chance, la tantine en reste là, je rejoins ma chambre, la boule à l’estomac est là, manger, il est impossible de l’envisager.
Quand je sors quelques minutes après, c’est décidé, je soupire un grand coup, vidant ces poumons que des mains vont caresser un peu contre mon gré.
Je vais appeler l’agence de l’extérieur, même si elle est un peu sourde, inutile que ma tante se doute que je vais vendre mon corps.
Je suis sur le palier quand l’appel se déclenche dans ma main.
Je décroche.
• À votre bureau, bien maître, j’étais sûr que vous m’appelleriez pour vos tarifs.
Le peu que vous avez fait, ça se rétribue.
Comment, c’est pour autre chose, vous allez être payé par l’État français ?
J’arrive.
J’ai rejoint le cabinet de maître Lionel qui me reçoit.
Quelques semaines plus tard.
• Monsieur Lionel, voulez-vous prendre pour épouse madame Véronique ici présente.
• Oui.
Eh oui, j’épouse ce petit con d’avocat devant les pleurs de maman et de tantine.
Quand je suis arrivée à son cabinet, le jour où j’avais décidé de franchir le pas et de me prostituer, il m’a annoncé qu’il avait réussi à casser le jugement pour vice de forme.
Inutile de rentrer dans cet imbroglio juridique, seul un brillant, futur grand avocat est capable d’un tel exploit.
C’est normal, que je sois fan, je l’épouse.
Après cette bonne nouvelle, j’ai profité sans lui dire bien sûr, comment j’ai pu lui offrir une table dans le quartier du marais où sont ses bureaux.
Pour anecdote, je me suis embrouillée avec le serveur, mais Lionel m’a calmé.
Dans le restaurant puis dans son lit où je me suis donnée sans aucune retenue.
Il faut dire que sans en avoir une grosse, il sait très bien s’en servir.
Dès la première fois, le septième ciel comme la nuit étoilée des bords de seine, je l’ai atteint.
À ce mariage, outre maman et tante Odile, j’avais deux témoins.
Nouzha sortie de tôle et Willyam mon premier et seul client.
Maman a commencé à faire les yeux doux à mon protecteur.
Protecteur, ça fait un peu mac du temps des belles cocotes.
Mon pygmalion, même si l’un est proche de l’autre.
Elle est mal tombée, je vois peu probable qu’il aille s’enterrer à Lamotte-Beuvron et quand j’ai récupéré Nouzha à la sortie de la prison, sa peine ayant été réduite, c’est chez lui que je l’ai demandé de s’installer.
On se dit tout avec la petite, elle aime les femmes, mais aussi les hommes et depuis son installation, elle a supprimé de son portefeuille comme je l’ai fait moi-même la carte avec les numéros d’escorte.
L’escorte, c’est elle, mais présente tous les jours, comme moi avec Lionel.
Régulièrement quand je sors de chez nous, je vois Jeanine avec son bibi ridicule.
Chaque fois qu’elle me voit, j’ignore pourquoi, mais elle s’empresse de changer de trottoir.
C’est un peu con, ma titine est dans le garage sous l’immeuble où nous cachons notre amour avec Lionel, grâce au prêt remboursable sur 20 ans de 1 000 000 € que Willyam a réussi à nous avoir.
Et dire que je partais me prostituer pour 100 000 €.
Dernière chose, je viens de m’inscrire à la Sorbonne, pour devenir avocate.
Je veux défendre les opprimés, surtout ceux qui se retrouvent dans la merde pour 1 €.
C’est en mettant sa verge dans ma main que j’intègre le corps des femmes de petite vertu, même si lorsque j’ai accepté que Tonton Jean me dépucelle, j’avais déjà mis un pied dans la luxure.
• C’est bien, masturbe-moi doucement, j’aime la douceur, regarde tu me fais de l’effet.
Salope, tu étais une pute et tu l’ignorais, maintenant que je bande, fais-moi une fellation.
Tu as une bouche faite pour sucer des bites.
Certaines de tes futures copines ont une bouche trop petite.
C’est bon, toi tu m’engames jusqu’à mes couilles.
Putain de chienne lubrique continue sans me faire décharger, je veux que tu viennes t’enfiler sur moi.
Vas-y maintenant saute à cheval sur mon vit, ça va être divin.
Excuse d’être aussi cru toi qui débutes, mais j’ai besoin que ces mots me stimulent comme ma régulière savait si bien le faire.
Monte, descends, remonte, redescend, tu as le bon rythme du moins pour moi. Quand tu reviendras, c’est comme ça que je veux qu’on baise.
Ah ! ah ! ah ! prend tout, il y a longtemps que la fête avait été si belle.
Ce vieux con, il a joui, mais trop vite je suis resté au bord du chemin.
• Viens dans mon bras Jennifer, je sais ce que tu penses, c’est un égoïsme, il a joui sans moi.
Tu es jeune, tu veux profiter de la vie et jouir.
Je suis ton client, tu es là pour me satisfaire si au passage tu prends du plaisir en plus de l’argent que tu auras ramassé tant mieux.
Sinon si je suis satisfait ce qui est le cas, tu te contentes d’encaisser leur argent.
• J’ai compris, mais dite vous m’avez dit la vérité toute à l’heure sur Carmaux et votre grand-père !
• Non, j’aime à croire, que je viens de ce milieu, ma femme était issue de ces gens du petit peuple, j’ai dû lui apprendre les bonnes manières.
• D’où veniez-vous alors.
• D’où je venais !
Mon père était banquier, mon grand-père était banquier et mon fils est banquier.
• J’ai compris ta leçon, j’ignorerais toujours ou est la vérité, un client me racontera ce qu’il veut, je devrais feindre de le croire, ça lui fera plaisir.
En fin de compte, demain j’appelle le numéro sur la carte et je vais continuer à gagner de l’argent avec ma chatte.
Je viens de te prouver que je savais faire.
• Tu vois Jennifer, là tu viens de me dire le fond de ta pensée, tu me vouvoyais et tu viens de dire tu.
• Je vais faire mieux avant de rentrer chez ma tante, tiens, je t’embrasse.
Mais dit moi encore qui étais cette Véronique que tu sembles avoir connue.
• C’est la jeune femme qui m’a dépucelé, elle doit avoir disparu de cette terre.J’avais 20 ans elle plus de 50, elle serait presque centenaire, mais j’aime à croire, qu’elle est toujours vivante et en forme dans un coin de France.
Merci tu es une bonne petite, je te donne mon numéro si tu as le moindre problème joint moi, le jour comme la nuit.
Je serais toujours là pour t’apporter la solution à un problème qui te tracasse.
Je me lève, il me dit d’aller dans le tiroir d’où il avait sorti son argent.
Il veut que je lui donne un stylo et le carnet et me mets le numéro de sa ligne fixe.
C’est un vieux sans portable.
• Prends 200 € dans la liasse, tu as mérité un petit pourboire pour le bon travail que tu as fait.
Je me rhabille dans la salle de bains que je rejoins, quand j’ai quitté sa chambre, il dort déjà, sa queue hors des draps étant de nouveau au repos.
Je sors ma voiture du garage.
La nuit est belle et étoilée, je les vois à un feu rouge lorsque je lève la tête par le gros accro qui a dû être fait par un connard avant que la fourrière l’enlève.
Le long des quais, une place autorisée, inutile de me mettre en infraction, je me gare et décide de descendre sur ce coin de quai de Seine.
Je marche un peu admirant l’eau le long des péniches dont certaines sont éclairées.
Je le vois par les hublots.
Vivre au bord de l’eau, ça aurait été possible si j’avais réussi dans le cinéma, mais cette maudite dette, fiche tout rêve impossible.
En d’autres temps, si ce geste du destin me faisant rencontrer Willyam, l’eau m’aurait peut-être attiré pour régler mes problèmes liés à cette histoire de 1 € !
Je marche où les pas m’emportent sans but réel, au fond de moi je sais que cette nuit quand je serais rentrée, le sommeil me fuira alors autant marcher.
Cette nuit, je dois prendre une décision qui va engager ma vie.
06 00… Agence d’escorte girl.
Si demain, j’appelle au nom de Christophe, ce garçon de café qui m’a donné cette carte, je rentrerai dans le monde des prostituées.
Pardon, des escortes girls qui se vendent au plus offrant afin d’amasser de l’argent me permettant de rembourser ma dette.
Je sais cette après-midi, j’ai vendu mon corps à Willyam, les six billets dans ma poche l’attestent, mais c’était pour sauver la titine de grand-mère.
Ma décision à moitié prise, je prends le premier escalier remontant sur le haut des quais et rejoins ma voiture retournant chez ma tante.
Comme prévu, nuit blanche, ma tante m’a préparé un petit déjeuner.
• Véronique, fais attention à toi, tu te surmènes, tu as les yeux au milieu de la figure.
Ta mère a appelé hier, je lui ai dit que tu semblais soucieuse depuis ton retour de ton téléfilm.
Tu me diras quand il sera diffusé, que je le regarde tu dois être parfaite, tu jouais quel rôle.
Question aussi con que celle que je dois prendre pour dire que j’accepte les rendez-vous d’hommes friqués.
• Ma tante, mon rôle était symbolique, il se peut qu’au montage les scènes ou j’apparais soit coupé si le film est trop long.
Ce film doit sortir dans les pays de l’Est avec des doublages, j’ignore où et quand il sortira en France.
J’ignore pourquoi je lui parle des pays de l’Est, le principal, c’est qu’elle oublie de me reposer des questions sur un film que j’ai tournée dans une cellule de 5 mètres sur 6.
• Le principal, c’est que tu aies été payé.
• J’ai déjà touché 1 200 €, quand ils ont déduit différents frais, le budget est très serré.
Par chance, la tantine en reste là, je rejoins ma chambre, la boule à l’estomac est là, manger, il est impossible de l’envisager.
Quand je sors quelques minutes après, c’est décidé, je soupire un grand coup, vidant ces poumons que des mains vont caresser un peu contre mon gré.
Je vais appeler l’agence de l’extérieur, même si elle est un peu sourde, inutile que ma tante se doute que je vais vendre mon corps.
Je suis sur le palier quand l’appel se déclenche dans ma main.
Je décroche.
• À votre bureau, bien maître, j’étais sûr que vous m’appelleriez pour vos tarifs.
Le peu que vous avez fait, ça se rétribue.
Comment, c’est pour autre chose, vous allez être payé par l’État français ?
J’arrive.
J’ai rejoint le cabinet de maître Lionel qui me reçoit.
Quelques semaines plus tard.
• Monsieur Lionel, voulez-vous prendre pour épouse madame Véronique ici présente.
• Oui.
Eh oui, j’épouse ce petit con d’avocat devant les pleurs de maman et de tantine.
Quand je suis arrivée à son cabinet, le jour où j’avais décidé de franchir le pas et de me prostituer, il m’a annoncé qu’il avait réussi à casser le jugement pour vice de forme.
Inutile de rentrer dans cet imbroglio juridique, seul un brillant, futur grand avocat est capable d’un tel exploit.
C’est normal, que je sois fan, je l’épouse.
Après cette bonne nouvelle, j’ai profité sans lui dire bien sûr, comment j’ai pu lui offrir une table dans le quartier du marais où sont ses bureaux.
Pour anecdote, je me suis embrouillée avec le serveur, mais Lionel m’a calmé.
Dans le restaurant puis dans son lit où je me suis donnée sans aucune retenue.
Il faut dire que sans en avoir une grosse, il sait très bien s’en servir.
Dès la première fois, le septième ciel comme la nuit étoilée des bords de seine, je l’ai atteint.
À ce mariage, outre maman et tante Odile, j’avais deux témoins.
Nouzha sortie de tôle et Willyam mon premier et seul client.
Maman a commencé à faire les yeux doux à mon protecteur.
Protecteur, ça fait un peu mac du temps des belles cocotes.
Mon pygmalion, même si l’un est proche de l’autre.
Elle est mal tombée, je vois peu probable qu’il aille s’enterrer à Lamotte-Beuvron et quand j’ai récupéré Nouzha à la sortie de la prison, sa peine ayant été réduite, c’est chez lui que je l’ai demandé de s’installer.
On se dit tout avec la petite, elle aime les femmes, mais aussi les hommes et depuis son installation, elle a supprimé de son portefeuille comme je l’ai fait moi-même la carte avec les numéros d’escorte.
L’escorte, c’est elle, mais présente tous les jours, comme moi avec Lionel.
Régulièrement quand je sors de chez nous, je vois Jeanine avec son bibi ridicule.
Chaque fois qu’elle me voit, j’ignore pourquoi, mais elle s’empresse de changer de trottoir.
C’est un peu con, ma titine est dans le garage sous l’immeuble où nous cachons notre amour avec Lionel, grâce au prêt remboursable sur 20 ans de 1 000 000 € que Willyam a réussi à nous avoir.
Et dire que je partais me prostituer pour 100 000 €.
Dernière chose, je viens de m’inscrire à la Sorbonne, pour devenir avocate.
Je veux défendre les opprimés, surtout ceux qui se retrouvent dans la merde pour 1 €.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...