COLLECTION PUTE. Service rendu (3/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-08-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION PUTE. Service rendu (3/6)
Voilà à quoi ça mène de vouloir rendre service.
Tu crois que tu entres dans le milieu de la prostitution pour une soirée et tu te retrouves à devoir assurer une deuxième prestation pour confirmer ton premier mensonge.
Par contre, il y a de l’amélioration dans ce service rendu, la première fois j’ai dû traverser Paris habillé façon pute dans les transports en commun.
Aujourd’hui, c’est madame et son chauffeur qui le font.
Tenue plus BCBG, limousine noire avec chauffeur vous ouvrant la portière arrière.
Vitre de séparation entre lui et moi comme si dans le monde de Charles, car je sais que mon client, c’est Charles, il faut éviter de mélanger torchons et serviettes.
Portier d’hôtel qui vous ouvre pour descendre et maître de séance vous guidant jusqu’au restaurant ou votre client vous attend.
Un seul point noir, cinquante, voire plus et dix-huit pour moi, ça semble être son âge.
Presque le triple comme si j’étais vouée à toujours me retrouver entre les mains d’homme d’âge mûr.
L’avantage en ce début de soirée, c’est que tonton est un peu bourrin, alors que Charles semble être un homme du monde.
Installé là encore aidé par un homme à mon service qui me rapproche ma chaise afin que je sois bien installée pour faire un repas de haut prestige, le chef étant triplement étoilé.
Chaise et cul, je repense à la sodomie que j’ai dû subir devant les yeux de ce monsieur, il y a peu.
L’autre fois, il est resté impassible à sa place pendant que je subissais ma première sodomie.
Bon, il faut savoir pardonner, la carte m’étant présentée semblant composé de mets appétissant, surtout que je suis à Paris.
À l’appartement, pâtes et saucisses, acheté au kilo étant notre ordinaire à cause de nos moyens.
• Gladys, choisissez ce que vous voulez, si je peux vous apporter des explications, demandées moi, j’essayerais de vous renseigner.
• Oui, j’en ai une, pourquoi sur cette carte ou d’ordinaire il y a le prix des plats, la colonne est vide, j’ai l’habitude de commander en rapport du prix.
• Gladys, c’est votre fraicheur qui m’a fait vous rappeler aujourd’hui.
Certes, j’ai regretté d’être le seul à me passer de votre amie et de vous, voulant rester fidèle à ma femme.
Mais j’ai regretté de vous voir partir alors que vous mériter mieux que d’appartenir à ces hommes irrespectueux de votre beauté et de votre candeur.
Vous êtes la seule femme qui avez su m’écouter depuis le malheur qui m’a frappé il y a trois ans.
Ces cartes sont sans les prix pour vous, moi je les ai et surtout prenez ce que vous voulez, j’ai largement les moyens d’assurer la facture qui me sera présentée lorsque je rentrerais en Bourgogne demain après-midi.
• Alors, coquille Saint Jacques dans sa sauce de mer.
Après carrer d’agneau et ses légumes de saison.
Pour le dessert, on verra, suivant si c’est copieux ou pas.
Je le vois sourire, j’ai dû dire une connerie, mais sans pour autant l’avoir vexé.
À moins que les prix qu’il a devant les yeux soient les plus énormes de la carte.
Au super-marcher de Créteil soleil, j’ai vu des coquilles à 45 € le kilo, préparer de façon divine comme elles le sont, elles ont dû tripler de prix même si j’ai seulement deux corail.
Le triple, un peu comme l’âge de celui que j’ai accepté qu’il soit de nouveau mon client en rapport du mien.
Je manque d’éclater de rire, mais j’ai un peu de savoir-vivre et je me retiens.
J’évite de passer pour une cruche devant tout ce restaurant rempli de gens semblant venir d’un autre monde, celui du fric.
Il me suffit de regarder autour de moi avec ces femmes, outre leurs fringues sorties des plus grands couturiers, sans compter le prix des breloques qu’elles ont autour du cou.
Une de ces pierres, certainement du pur diamant, nous permettrait de vivre une année avec maman.
Un monde que je découvre, avec ses codes et ses façons d’être.
Prenez ma chaise, j’avais commencé à la faire glisser sous mes fesses, lorsque j’ai senti le serveur derrière moi me l’avancer.
Une femme élégante, bardée de bijoux dont je viens de parler, elle connaît tous ces codes, le mouvement que j’ai fait, avais fait remonter la jupe de mon tailleur.
Avant que mes jambes soient sous la table, le serveur a dû voir ma petite culotte rose et se rincer l’œil.
Cette dame suit le mouvement et s’installe sans qu’elle ait ce problème.
Il faut dire que sa jupe est le double de la mienne, en longueur et aussi au niveau des fesses.
Bon, ce jeune homme a son travail dans notre secteur, l’une de ses taches est de passer un petit appareil pour ramasser les miettes de pain.
Notre nappe blanche est nickel tout au long de notre repas.
Mais que je suis bête, mes jambes et ma petite culotte sont sous la table, mais ma poitrine dans mon soutien gorge pigeonnant doit lui montrer une grande partie de mes globes mammaires.
La dame devra se contenter de seulement deux passages vers elles, il faut dire que dans ses vêtements élégants, outre son âge, son chemisier remontant jusqu’en haut de son cou, cache bien trop les choses.
En plus de la gentillesse de monsieur Charles, qui semble plus détendue que la première fois au milieu de ses amis, je découvre des choses étonnantes.
Prenez le pain, j’en coupe un bout, je le mets dans ma bouche, cinq minutes et ce jeune homme vient enlever le reste et me le remplace par un morceau plus frais, mais chaud.
À la table non loin de nous, la dame bien habillée mange sans pain, un morceau lui a été présenté sur un plateau, elle là refusé et le serveur oublie de revenir.
à la maison ou à l’appartement, nous prenons le pain avec nos doigts dans la corbeille.
Ici, sur le plateau que le serveur me présente il s’y trouve au moins dix variétés, moi à part la baguette blanche, les autres me sont inconnus.
• Gladys, si vous êtes là près de moi ce soir, c’est que je m’en suis voulu de vous avoir délaissé lors de notre dernière rencontre.
• Vos amis vous ont moqué lors de votre retour en Bourgogne, d’avoir laissé passer votre chance auprès d’une jeune fille comme moi, disponible pour la soirée !
Charles prend sa serviette et pouf à l’intérieur.
• Excusez ce rire nerveux, chère Gladys, mais ces trois hommes à ma table ce soir-là, je venais de les rencontrer.
Ce sont des amis viticulteur comme moi en Bourgogne, qui m’ont offert cette soirée dans un manoir pour que d’après eux je reprenne goût à la vie après avoir perdu ma famille très proche.
Étant seul, j’ai été placé à cette table sans savoir que deux belles jeunes filles viendraient pour nous divertir.
Vous étiez à notre table lorsque j’ai réalisé que ces filles presque nues étaient des escortes que nous pouvions, excuser ce terme, consommés.
Vous vous êtes donné aux autres comme devait certainement vous l’imposer votre contrat, mais avec moi, vous avez été d’une patience d’ange.
D’autres se seraient désintéressés de mes problèmes, vous avez eu une oreille attentive.
J’ai demandé à Olivier, l’un des amis qui m’avait offert cette soirée, comment ils avaient eu cette place !
J’ai pu avoir les renseignements qui m’ont été bien utile pour que vous passiez cette soirée avec moi.
Il a sa main posée sur la table, psy je suis ou du moins je tends à le devenir, psy je prends sa main et je dépose mes lèvres sur ses doigts.
• Gladys, on arrive à la fin de ce repas qui a été merveilleux, je vous demanderais bien de venir dans ma chambre, pour mieux faire connaissance !
J’ai peur de notre grande différence d’âge !
Est-elle un frein à m’aider à retrouver l’aplomb que j’avais avec les femmes, même si depuis ma rencontre avec Huguette, je lui suis resté fidèle ?
• Montrez-moi votre chambre, qu’importe l’âge, c’est le cœur qui doit entendre raison, certes, je suis venue comme une pute.
Mais je veux vous montrer que vous êtes encore et pour longtemps un homme séduisant pouvant trouver une femme qui vous apportera ce qu’Huguette vous apportait.
Excusez-moi de raviver son souvenir.
J’avais là une occasion de prendre congé de mon client, mais d’un coup je prends conscience que cet homme m’attire.
À part mon cul qui a eu mal, certes, quelques jours seulement, j’aimerais refaire l’amour avec un homme.
Charles est à ma disposition et m’a même déjà fait payer pour ça.
• Faite-moi découvrir, cette chambre Charles, si elle est aussi belle que cette salle de restaurant, nous allons passer un moment agréable.
Voilà comment on assume une nouvelle fois de faire la pute.
Ce mot, « pute » sonne bien à mon oreille.
Pour bon nombre de femmes, certainement celle du genre que je longe pour quitter la salle, avec ses bijoux et son col ras du cou, nous sommes des salopes.
Mais je divague certainement un peu saoul du Haute côte de Beaune blanc et Nuits-Saint-Georges rouge premier cru.
Un verre seulement, des bouteilles ayant été conseillé à Charles par le sommelier.
Dans notre conversation, lors du repas, je ris des conseils de ce sommelier.
Charles m’expliquant qu’il était viticulteur habitant non loin de Beaune et que ces vins, ils les connaissaient produits par des concurrents à lui.
• Nous prendrons la bouteille de champagne dans ma chambre, j’ai vu un frigo où il y en avait.
C’est une carte permettant d’ouvrir sa porte qu’il me prend dans ses bras et que nos bouches se trouvent dès que nous l’avons franchi.
On dirait qu’il se jette à l’eau certainement pour éviter de reculer.
J’entre et je le repousse, il a l’air étonné.
• Pardon, je savais que les...
• Dit le, Charles, les putes ou filles de joie refusent de se laisser embrasser, réservant leur bouche à leur mac.
J’ai vu un reportage sur la prostitution sur la Côte d’Azur, les filles avaient des macs, c’est loin d’être le cas de Gladys.
En prononçant le nom de ma co-locataire à qui je rends service, une première fois alors qu’elle allait à un rancard avec un autre homme dont elle avait le béguin sans que ce soit un de ses clients.
Cette différence, c’est le lendemain qu’elle m’a avoué vouloir garder sa clientèle, m’entrainant dans ce milieu alors qu’elle se faisait conter fleurette.
• Gladys, ta co-locataire s’appelle Gladys comme toi, pourtant c’est un nom peu banal !
J’ai réussi à donner le change pour monter dans le car et aussi de me prostituer, mais là devant cet homme, un instant je suis désarçonnée, mais je me reprends rapidement lui passant ma main derrière son dos.
• Arrête de te poser toutes ces questions, si je t’ai repoussé, c’est que je sentais que tu t’excitais trop vite.
Je veux que cette soirée soit en tout point parfaite pour toi, comme l’a été le repas que tu m’as offert.
Je viens de m’apercevoir que j’ai tutoyé Charles sans qu’il semble s’en étonner...
Tu crois que tu entres dans le milieu de la prostitution pour une soirée et tu te retrouves à devoir assurer une deuxième prestation pour confirmer ton premier mensonge.
Par contre, il y a de l’amélioration dans ce service rendu, la première fois j’ai dû traverser Paris habillé façon pute dans les transports en commun.
Aujourd’hui, c’est madame et son chauffeur qui le font.
Tenue plus BCBG, limousine noire avec chauffeur vous ouvrant la portière arrière.
Vitre de séparation entre lui et moi comme si dans le monde de Charles, car je sais que mon client, c’est Charles, il faut éviter de mélanger torchons et serviettes.
Portier d’hôtel qui vous ouvre pour descendre et maître de séance vous guidant jusqu’au restaurant ou votre client vous attend.
Un seul point noir, cinquante, voire plus et dix-huit pour moi, ça semble être son âge.
Presque le triple comme si j’étais vouée à toujours me retrouver entre les mains d’homme d’âge mûr.
L’avantage en ce début de soirée, c’est que tonton est un peu bourrin, alors que Charles semble être un homme du monde.
Installé là encore aidé par un homme à mon service qui me rapproche ma chaise afin que je sois bien installée pour faire un repas de haut prestige, le chef étant triplement étoilé.
Chaise et cul, je repense à la sodomie que j’ai dû subir devant les yeux de ce monsieur, il y a peu.
L’autre fois, il est resté impassible à sa place pendant que je subissais ma première sodomie.
Bon, il faut savoir pardonner, la carte m’étant présentée semblant composé de mets appétissant, surtout que je suis à Paris.
À l’appartement, pâtes et saucisses, acheté au kilo étant notre ordinaire à cause de nos moyens.
• Gladys, choisissez ce que vous voulez, si je peux vous apporter des explications, demandées moi, j’essayerais de vous renseigner.
• Oui, j’en ai une, pourquoi sur cette carte ou d’ordinaire il y a le prix des plats, la colonne est vide, j’ai l’habitude de commander en rapport du prix.
• Gladys, c’est votre fraicheur qui m’a fait vous rappeler aujourd’hui.
Certes, j’ai regretté d’être le seul à me passer de votre amie et de vous, voulant rester fidèle à ma femme.
Mais j’ai regretté de vous voir partir alors que vous mériter mieux que d’appartenir à ces hommes irrespectueux de votre beauté et de votre candeur.
Vous êtes la seule femme qui avez su m’écouter depuis le malheur qui m’a frappé il y a trois ans.
Ces cartes sont sans les prix pour vous, moi je les ai et surtout prenez ce que vous voulez, j’ai largement les moyens d’assurer la facture qui me sera présentée lorsque je rentrerais en Bourgogne demain après-midi.
• Alors, coquille Saint Jacques dans sa sauce de mer.
Après carrer d’agneau et ses légumes de saison.
Pour le dessert, on verra, suivant si c’est copieux ou pas.
Je le vois sourire, j’ai dû dire une connerie, mais sans pour autant l’avoir vexé.
À moins que les prix qu’il a devant les yeux soient les plus énormes de la carte.
Au super-marcher de Créteil soleil, j’ai vu des coquilles à 45 € le kilo, préparer de façon divine comme elles le sont, elles ont dû tripler de prix même si j’ai seulement deux corail.
Le triple, un peu comme l’âge de celui que j’ai accepté qu’il soit de nouveau mon client en rapport du mien.
Je manque d’éclater de rire, mais j’ai un peu de savoir-vivre et je me retiens.
J’évite de passer pour une cruche devant tout ce restaurant rempli de gens semblant venir d’un autre monde, celui du fric.
Il me suffit de regarder autour de moi avec ces femmes, outre leurs fringues sorties des plus grands couturiers, sans compter le prix des breloques qu’elles ont autour du cou.
Une de ces pierres, certainement du pur diamant, nous permettrait de vivre une année avec maman.
Un monde que je découvre, avec ses codes et ses façons d’être.
Prenez ma chaise, j’avais commencé à la faire glisser sous mes fesses, lorsque j’ai senti le serveur derrière moi me l’avancer.
Une femme élégante, bardée de bijoux dont je viens de parler, elle connaît tous ces codes, le mouvement que j’ai fait, avais fait remonter la jupe de mon tailleur.
Avant que mes jambes soient sous la table, le serveur a dû voir ma petite culotte rose et se rincer l’œil.
Cette dame suit le mouvement et s’installe sans qu’elle ait ce problème.
Il faut dire que sa jupe est le double de la mienne, en longueur et aussi au niveau des fesses.
Bon, ce jeune homme a son travail dans notre secteur, l’une de ses taches est de passer un petit appareil pour ramasser les miettes de pain.
Notre nappe blanche est nickel tout au long de notre repas.
Mais que je suis bête, mes jambes et ma petite culotte sont sous la table, mais ma poitrine dans mon soutien gorge pigeonnant doit lui montrer une grande partie de mes globes mammaires.
La dame devra se contenter de seulement deux passages vers elles, il faut dire que dans ses vêtements élégants, outre son âge, son chemisier remontant jusqu’en haut de son cou, cache bien trop les choses.
En plus de la gentillesse de monsieur Charles, qui semble plus détendue que la première fois au milieu de ses amis, je découvre des choses étonnantes.
Prenez le pain, j’en coupe un bout, je le mets dans ma bouche, cinq minutes et ce jeune homme vient enlever le reste et me le remplace par un morceau plus frais, mais chaud.
À la table non loin de nous, la dame bien habillée mange sans pain, un morceau lui a été présenté sur un plateau, elle là refusé et le serveur oublie de revenir.
à la maison ou à l’appartement, nous prenons le pain avec nos doigts dans la corbeille.
Ici, sur le plateau que le serveur me présente il s’y trouve au moins dix variétés, moi à part la baguette blanche, les autres me sont inconnus.
• Gladys, si vous êtes là près de moi ce soir, c’est que je m’en suis voulu de vous avoir délaissé lors de notre dernière rencontre.
• Vos amis vous ont moqué lors de votre retour en Bourgogne, d’avoir laissé passer votre chance auprès d’une jeune fille comme moi, disponible pour la soirée !
Charles prend sa serviette et pouf à l’intérieur.
• Excusez ce rire nerveux, chère Gladys, mais ces trois hommes à ma table ce soir-là, je venais de les rencontrer.
Ce sont des amis viticulteur comme moi en Bourgogne, qui m’ont offert cette soirée dans un manoir pour que d’après eux je reprenne goût à la vie après avoir perdu ma famille très proche.
Étant seul, j’ai été placé à cette table sans savoir que deux belles jeunes filles viendraient pour nous divertir.
Vous étiez à notre table lorsque j’ai réalisé que ces filles presque nues étaient des escortes que nous pouvions, excuser ce terme, consommés.
Vous vous êtes donné aux autres comme devait certainement vous l’imposer votre contrat, mais avec moi, vous avez été d’une patience d’ange.
D’autres se seraient désintéressés de mes problèmes, vous avez eu une oreille attentive.
J’ai demandé à Olivier, l’un des amis qui m’avait offert cette soirée, comment ils avaient eu cette place !
J’ai pu avoir les renseignements qui m’ont été bien utile pour que vous passiez cette soirée avec moi.
Il a sa main posée sur la table, psy je suis ou du moins je tends à le devenir, psy je prends sa main et je dépose mes lèvres sur ses doigts.
• Gladys, on arrive à la fin de ce repas qui a été merveilleux, je vous demanderais bien de venir dans ma chambre, pour mieux faire connaissance !
J’ai peur de notre grande différence d’âge !
Est-elle un frein à m’aider à retrouver l’aplomb que j’avais avec les femmes, même si depuis ma rencontre avec Huguette, je lui suis resté fidèle ?
• Montrez-moi votre chambre, qu’importe l’âge, c’est le cœur qui doit entendre raison, certes, je suis venue comme une pute.
Mais je veux vous montrer que vous êtes encore et pour longtemps un homme séduisant pouvant trouver une femme qui vous apportera ce qu’Huguette vous apportait.
Excusez-moi de raviver son souvenir.
J’avais là une occasion de prendre congé de mon client, mais d’un coup je prends conscience que cet homme m’attire.
À part mon cul qui a eu mal, certes, quelques jours seulement, j’aimerais refaire l’amour avec un homme.
Charles est à ma disposition et m’a même déjà fait payer pour ça.
• Faite-moi découvrir, cette chambre Charles, si elle est aussi belle que cette salle de restaurant, nous allons passer un moment agréable.
Voilà comment on assume une nouvelle fois de faire la pute.
Ce mot, « pute » sonne bien à mon oreille.
Pour bon nombre de femmes, certainement celle du genre que je longe pour quitter la salle, avec ses bijoux et son col ras du cou, nous sommes des salopes.
Mais je divague certainement un peu saoul du Haute côte de Beaune blanc et Nuits-Saint-Georges rouge premier cru.
Un verre seulement, des bouteilles ayant été conseillé à Charles par le sommelier.
Dans notre conversation, lors du repas, je ris des conseils de ce sommelier.
Charles m’expliquant qu’il était viticulteur habitant non loin de Beaune et que ces vins, ils les connaissaient produits par des concurrents à lui.
• Nous prendrons la bouteille de champagne dans ma chambre, j’ai vu un frigo où il y en avait.
C’est une carte permettant d’ouvrir sa porte qu’il me prend dans ses bras et que nos bouches se trouvent dès que nous l’avons franchi.
On dirait qu’il se jette à l’eau certainement pour éviter de reculer.
J’entre et je le repousse, il a l’air étonné.
• Pardon, je savais que les...
• Dit le, Charles, les putes ou filles de joie refusent de se laisser embrasser, réservant leur bouche à leur mac.
J’ai vu un reportage sur la prostitution sur la Côte d’Azur, les filles avaient des macs, c’est loin d’être le cas de Gladys.
En prononçant le nom de ma co-locataire à qui je rends service, une première fois alors qu’elle allait à un rancard avec un autre homme dont elle avait le béguin sans que ce soit un de ses clients.
Cette différence, c’est le lendemain qu’elle m’a avoué vouloir garder sa clientèle, m’entrainant dans ce milieu alors qu’elle se faisait conter fleurette.
• Gladys, ta co-locataire s’appelle Gladys comme toi, pourtant c’est un nom peu banal !
J’ai réussi à donner le change pour monter dans le car et aussi de me prostituer, mais là devant cet homme, un instant je suis désarçonnée, mais je me reprends rapidement lui passant ma main derrière son dos.
• Arrête de te poser toutes ces questions, si je t’ai repoussé, c’est que je sentais que tu t’excitais trop vite.
Je veux que cette soirée soit en tout point parfaite pour toi, comme l’a été le repas que tu m’as offert.
Je viens de m’apercevoir que j’ai tutoyé Charles sans qu’il semble s’en étonner...
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