COLLECTION PUTE. Service rendu (6/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-08-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION PUTE. Service rendu (6/6)
Quelle heure est-il lorsque je sens que l’on me caresse les seins.
• Alors Corinne, t’es-tu bien éclatée ?
Cette voix, je la connais, mais comment peut-elle être dans mon lit, du moins, sa propriétaire ?
• Blanche, toi ici, en plus dans mon lit, qui plus est nue.
• Comme toi Gladys, à moins que tu préfères que je t’appelle Corinne !
• Comment es-tu ici et dans mon lit ?
• Je t’ai dit lors de notre soirée passée ensemble avec nos clients, que Gladys était une copine de travail, j’ignorais son adresse.
Lorsque je t’ai raccompagné après la partouze, tu m’as dit vivre dans cette immeuble, je suis revenue voir les noms sur les boîtes aux lettres.
Gladys et Corinne, c’étaient facile, il me suffisait de sonner et de voir qui me répondrait.
Hier au soir, je sortais d’un rendez-vous avec un monsieur tout près d’ici et comme il avait été rapide, j’ai décidé de venir vous voir.
C’est Gladys, la vraie qui m’a ouvert, nous avons dîné, enfin manger sur son lit entre deux moments où nos chattes se sont enflammées.
J’avais déjà eu des moments lesbiens avec elle lors d’une soirée comme celle où nous sommes rencontrées.
Ça a été facile de me retrouver dans son lit, jusqu’à ce matin où elle s’est levée ayant un cours de radio quelque chose.
Elle m’a proposé de rester pour dormir et qu’elle t’avait entendu rentrer.
Alors me voilà, heureuse de te retrouver.
À partir de là, carré blanc de ma jeunesse ou interdit aux moins de dix-huit ans.
Pour la première fois, je dévore une chatte noire, alors qu’avec sa langue rose, elle me lèche me pénétrant et finissant par me faire jouir.
Par Gladys, je suis tombée dans le monde des amours tarifés, par Blanche dans l’univers des amours féminins.
Quelle évolution, en si peu de temps et lorsque j’aurais maman au téléphone sera-t-il possible qu’une nouvelle fois je lui mente ?
Sera-t-elle choquée que sa fille adorée entre dans le monde des brouteuses de chattes, comme je suis rentrée dans celui de la prostitution.
Découvrir le sexe de façon intensive et le monde des adultes, est une évolution, ce prêtant mal à la femme franche dont j’aspirais être jusqu’à ce que le frère de maman m’enlève mon pucelage.
• Un café ou un thé ?
• Un café bien noire doudou dit donc !
Blanche me dit ça avec une mimique avec sa bouche et une voix chantante.
J’éclate de rire, je connais la pub, dans la superette de maman, il y avait une petite télé mise là par la marque qui toute la journée disait cette phrase lorsque quelqu’un s’approchait.
Un matin où j’aidais maman à mettre en rayon, malencontreusement mon coude a tapé dedans malencontreusement, quoi que !
« Dit donc », « dit donc », « dit donc » sans fin.
Maman passante avec des boîtes de conserve de salsifis, l’a éteinte et quelques jours plus tard, le « doudou dit donc » avait disparu.
• Comment s’est passée ta soirée avec ton client ?
Gladys m’a expliqué que l’homme qui a refusé de baiser avec nous lors de notre orgie, t’avais contacté et payé pour une passe avec toi.
Tu m’avais dit, rendre service à Gladys, attention c’est ainsi que l’on devient accro aux billets versés sur notre compte.
Lorsque je suis arrivée de Guadeloupe, j’avais dit une fois seulement pour payer un loyer de retard, ça fait cinq ans que je me suis inscrite pour être mannequin intime avec des hommes, occasionnellement des femmes.
• Blanche, je t’aime bien, je pense que je te l’ai démontré en faisant l’amour avec toi, mais j’ai seulement rendu un service à ma co-locataire.
Blanche me sourit, nous avons bu un café que Gladys avait préparé avant de partir.
La laisser faire la bouffe, c’était une catastrophe, le café, elle s’en sort bien.
• Si tu veux savoir pour Charles, tout c’est merveilleusement passé.
• Tu l’appelles déjà Charles, tu es sur une mauvaise pente mon amie.
Dis-moi, que lui as-tu fait pour le satisfaire et que vous ayez autant d’intimité entre vous ?
Je lui parle de sa verge que j’ai coincée entre mes seins qui l’ont aidé à rebander.
• Je t’avais vu faire lors de notre soirée que tu qualifies de partouze.
• Bien, tu lui as fait « une cravate de notaire » ou encore appelée « branlette espagnole », je comprends qu’il ait rebandé, ils rebandent toujours quand je les mets entre mes seins.
Suce ma petite salope.
Je suis à son côté, elle me tend son sein droit et lui aussi noir, que je m’empresse de mettre dans ma bouche.
Dommage, j’aurais bien gouté à du lait maternel, mais sa grosse fraise bande alors qu’il est sec.
Sa main rejoint ma chatte, qui dégouline d’envie de recommencer à recevoir sa grosse langue, du moins comparé à la mienne.
C’est mon réveil qui me rappelle à la réalité, j’ai cours à 14 heures et je tiens à y assister.
Blanche m’a quitté et a quitté l’appartement.
Je me lève et je vais dans la cuisine, Blanche aura été un agréable moment, j’ignorais que j’étais capable de faire l’amour avec une autre de mes congénères.
Dans la cuisine, je prends le bloc où j’inscris les courses à faire avec le crayon dont je me sers, posé dessus.
« Corinne, merci pour les bons moments passés ensemble, portable 07... »
Je la fais cours, je rentre son numéro dans mon portable.
Trois jours plus tard, j’ai de nouveau un cours, je passe à la boîte aux lettres.
« Corinne Lefèvre, 22... »
Inutile de mettre ma véritable adresse, si vous cherchez une pute, adressez-vous aux agences de mannequins, elles font des heures supplémentaires, du moins c’est comme cela que Gladys et Blanche ont rejoint ce milieu.
Une tache de vin sur l’enveloppe me donne une idée de qui m’a écrit, ai-je bien vu lorsque le chauffeur de Charles a noté mon adresse comme Blanche l’a fait.
J’attends dans l’amphithéâtre que j’ai rejoint pour l’ouvrir et découvrir une invitation en appelant un autre 06 si je l’accepte.
• Blanche, prépare une dégustation pour des amis japonais qui sont en France pour acheter leur vin pour l’année.
Corinne Lefèvre a épousé Charles de Beauford, propriétaire du domaine du même nom.
C’est le maire de Meursault où nous possédons un chaix flambant neuf qui m’a marié avec Charles, faisant de moi, la femme la plus riche de notre village.
Un jour, nous avons invité Blanche et pour me faire plaisir, Charles a concédé qu’elle devienne ma femme de compagnie, elle nous a avoué vouloir quitter le milieu de la prostitution comme moi je l’ai fait en épousant Charles complètement au fait des chemins de travers que j’avais suivis.
Lors de ma visite suite à son invitation, nous nous sommes promenés dans quelques-unes de ses vignes.
C’est Carl son chauffeur qui nous avait déposés à Pulligny et après Chassagne-Montrachet où nous avons des parcelles.
S’en est suivi Pommard, ça doit parler à ceux qui aiment les vins cette région de Bourgogne.
C’est sur un carré d’herbe tendre entre deux parcelles qu’il m’a allongé et fait l’amour dans cette magnifique nature.
J’allais repartir lorsqu’il a mis un genou au sol et m’a offert la bague de sa grand-mère, son grand-père ayant créé ce domaine qu’il avait développé suivi de son père, hélas, tous disparu.
Je suis sur la terrasse de notre manoir attenant au nouveau chaix.
Mon ventre c’est largement arrondi depuis que j’ai mis cette bague à mon annulaire gauche.
Hier, Blanche m’a conduit à l’hôpital de Beaune passé une écographie sans la présence de Charles, voulant surtout attendre avant de savoir le sexe de notre bébé.
Il a perdu un fils avec sa première femme, sans vous dire garçon ou fils, je peux vous dévoiler qu’il va être aux anges pour la succession de notre exploitation.
Pour la naissance, maman sera là comme elle l’était à mon mariage.
Elle est venue à notre demande accompagnée de Giselle, son amie qui semble être l’homme de leur couple.
C’est vrai que ce n’est qu’une impression, avec Charles nous couchons dans une aile du manoir et les deux femmes dans l’aile opposée.
Ce que je sais du peu qu’elles nous ont dit, maman m’avait caché que la fermeture de la superette, s’était faite difficilement sur le plan financier.
Elle se retrouvait à vivre dans sa voiture pour éviter de se retrouver sous les ponts de la Loire.
Gisèle sa voisine était venue la chercher pour l’installer avec elle.
Si les deux femmes ont les mêmes rapports que j’ai avec Blanche, Charles le sachant, comme je l’ai dit, j’aime par-dessus tout la franchise, grand bien leur fasse, maman ayant droit au bonheur.
Alors que ma vie a pris un tournant inespéré pour la pute que j’ai été pour rendre service, que devient celle à qui j’ai rendu ce service.
La situation pour elle est celle que je craignais pour moi lorsque je me suis prostituée.
Ayant eu son diplôme en radiologie, elle a rejoint un hôpital en Vendée.
Je l’ai de temps en temps au téléphone, elle a rencontré un médecin radiologiste dont elle est l’une de ses employés.
Il l’a séduite et elle a essayé de lui dire sans à ce jour avoir réussi.
Je lui ai promis d’être toujours auprès d’elle si elle en avait besoin, moi qui ai eu la chance, malgré notre grande différence d’âge, d’épouser mon principal client.
• Alors Corinne, t’es-tu bien éclatée ?
Cette voix, je la connais, mais comment peut-elle être dans mon lit, du moins, sa propriétaire ?
• Blanche, toi ici, en plus dans mon lit, qui plus est nue.
• Comme toi Gladys, à moins que tu préfères que je t’appelle Corinne !
• Comment es-tu ici et dans mon lit ?
• Je t’ai dit lors de notre soirée passée ensemble avec nos clients, que Gladys était une copine de travail, j’ignorais son adresse.
Lorsque je t’ai raccompagné après la partouze, tu m’as dit vivre dans cette immeuble, je suis revenue voir les noms sur les boîtes aux lettres.
Gladys et Corinne, c’étaient facile, il me suffisait de sonner et de voir qui me répondrait.
Hier au soir, je sortais d’un rendez-vous avec un monsieur tout près d’ici et comme il avait été rapide, j’ai décidé de venir vous voir.
C’est Gladys, la vraie qui m’a ouvert, nous avons dîné, enfin manger sur son lit entre deux moments où nos chattes se sont enflammées.
J’avais déjà eu des moments lesbiens avec elle lors d’une soirée comme celle où nous sommes rencontrées.
Ça a été facile de me retrouver dans son lit, jusqu’à ce matin où elle s’est levée ayant un cours de radio quelque chose.
Elle m’a proposé de rester pour dormir et qu’elle t’avait entendu rentrer.
Alors me voilà, heureuse de te retrouver.
À partir de là, carré blanc de ma jeunesse ou interdit aux moins de dix-huit ans.
Pour la première fois, je dévore une chatte noire, alors qu’avec sa langue rose, elle me lèche me pénétrant et finissant par me faire jouir.
Par Gladys, je suis tombée dans le monde des amours tarifés, par Blanche dans l’univers des amours féminins.
Quelle évolution, en si peu de temps et lorsque j’aurais maman au téléphone sera-t-il possible qu’une nouvelle fois je lui mente ?
Sera-t-elle choquée que sa fille adorée entre dans le monde des brouteuses de chattes, comme je suis rentrée dans celui de la prostitution.
Découvrir le sexe de façon intensive et le monde des adultes, est une évolution, ce prêtant mal à la femme franche dont j’aspirais être jusqu’à ce que le frère de maman m’enlève mon pucelage.
• Un café ou un thé ?
• Un café bien noire doudou dit donc !
Blanche me dit ça avec une mimique avec sa bouche et une voix chantante.
J’éclate de rire, je connais la pub, dans la superette de maman, il y avait une petite télé mise là par la marque qui toute la journée disait cette phrase lorsque quelqu’un s’approchait.
Un matin où j’aidais maman à mettre en rayon, malencontreusement mon coude a tapé dedans malencontreusement, quoi que !
« Dit donc », « dit donc », « dit donc » sans fin.
Maman passante avec des boîtes de conserve de salsifis, l’a éteinte et quelques jours plus tard, le « doudou dit donc » avait disparu.
• Comment s’est passée ta soirée avec ton client ?
Gladys m’a expliqué que l’homme qui a refusé de baiser avec nous lors de notre orgie, t’avais contacté et payé pour une passe avec toi.
Tu m’avais dit, rendre service à Gladys, attention c’est ainsi que l’on devient accro aux billets versés sur notre compte.
Lorsque je suis arrivée de Guadeloupe, j’avais dit une fois seulement pour payer un loyer de retard, ça fait cinq ans que je me suis inscrite pour être mannequin intime avec des hommes, occasionnellement des femmes.
• Blanche, je t’aime bien, je pense que je te l’ai démontré en faisant l’amour avec toi, mais j’ai seulement rendu un service à ma co-locataire.
Blanche me sourit, nous avons bu un café que Gladys avait préparé avant de partir.
La laisser faire la bouffe, c’était une catastrophe, le café, elle s’en sort bien.
• Si tu veux savoir pour Charles, tout c’est merveilleusement passé.
• Tu l’appelles déjà Charles, tu es sur une mauvaise pente mon amie.
Dis-moi, que lui as-tu fait pour le satisfaire et que vous ayez autant d’intimité entre vous ?
Je lui parle de sa verge que j’ai coincée entre mes seins qui l’ont aidé à rebander.
• Je t’avais vu faire lors de notre soirée que tu qualifies de partouze.
• Bien, tu lui as fait « une cravate de notaire » ou encore appelée « branlette espagnole », je comprends qu’il ait rebandé, ils rebandent toujours quand je les mets entre mes seins.
Suce ma petite salope.
Je suis à son côté, elle me tend son sein droit et lui aussi noir, que je m’empresse de mettre dans ma bouche.
Dommage, j’aurais bien gouté à du lait maternel, mais sa grosse fraise bande alors qu’il est sec.
Sa main rejoint ma chatte, qui dégouline d’envie de recommencer à recevoir sa grosse langue, du moins comparé à la mienne.
C’est mon réveil qui me rappelle à la réalité, j’ai cours à 14 heures et je tiens à y assister.
Blanche m’a quitté et a quitté l’appartement.
Je me lève et je vais dans la cuisine, Blanche aura été un agréable moment, j’ignorais que j’étais capable de faire l’amour avec une autre de mes congénères.
Dans la cuisine, je prends le bloc où j’inscris les courses à faire avec le crayon dont je me sers, posé dessus.
« Corinne, merci pour les bons moments passés ensemble, portable 07... »
Je la fais cours, je rentre son numéro dans mon portable.
Trois jours plus tard, j’ai de nouveau un cours, je passe à la boîte aux lettres.
« Corinne Lefèvre, 22... »
Inutile de mettre ma véritable adresse, si vous cherchez une pute, adressez-vous aux agences de mannequins, elles font des heures supplémentaires, du moins c’est comme cela que Gladys et Blanche ont rejoint ce milieu.
Une tache de vin sur l’enveloppe me donne une idée de qui m’a écrit, ai-je bien vu lorsque le chauffeur de Charles a noté mon adresse comme Blanche l’a fait.
J’attends dans l’amphithéâtre que j’ai rejoint pour l’ouvrir et découvrir une invitation en appelant un autre 06 si je l’accepte.
• Blanche, prépare une dégustation pour des amis japonais qui sont en France pour acheter leur vin pour l’année.
Corinne Lefèvre a épousé Charles de Beauford, propriétaire du domaine du même nom.
C’est le maire de Meursault où nous possédons un chaix flambant neuf qui m’a marié avec Charles, faisant de moi, la femme la plus riche de notre village.
Un jour, nous avons invité Blanche et pour me faire plaisir, Charles a concédé qu’elle devienne ma femme de compagnie, elle nous a avoué vouloir quitter le milieu de la prostitution comme moi je l’ai fait en épousant Charles complètement au fait des chemins de travers que j’avais suivis.
Lors de ma visite suite à son invitation, nous nous sommes promenés dans quelques-unes de ses vignes.
C’est Carl son chauffeur qui nous avait déposés à Pulligny et après Chassagne-Montrachet où nous avons des parcelles.
S’en est suivi Pommard, ça doit parler à ceux qui aiment les vins cette région de Bourgogne.
C’est sur un carré d’herbe tendre entre deux parcelles qu’il m’a allongé et fait l’amour dans cette magnifique nature.
J’allais repartir lorsqu’il a mis un genou au sol et m’a offert la bague de sa grand-mère, son grand-père ayant créé ce domaine qu’il avait développé suivi de son père, hélas, tous disparu.
Je suis sur la terrasse de notre manoir attenant au nouveau chaix.
Mon ventre c’est largement arrondi depuis que j’ai mis cette bague à mon annulaire gauche.
Hier, Blanche m’a conduit à l’hôpital de Beaune passé une écographie sans la présence de Charles, voulant surtout attendre avant de savoir le sexe de notre bébé.
Il a perdu un fils avec sa première femme, sans vous dire garçon ou fils, je peux vous dévoiler qu’il va être aux anges pour la succession de notre exploitation.
Pour la naissance, maman sera là comme elle l’était à mon mariage.
Elle est venue à notre demande accompagnée de Giselle, son amie qui semble être l’homme de leur couple.
C’est vrai que ce n’est qu’une impression, avec Charles nous couchons dans une aile du manoir et les deux femmes dans l’aile opposée.
Ce que je sais du peu qu’elles nous ont dit, maman m’avait caché que la fermeture de la superette, s’était faite difficilement sur le plan financier.
Elle se retrouvait à vivre dans sa voiture pour éviter de se retrouver sous les ponts de la Loire.
Gisèle sa voisine était venue la chercher pour l’installer avec elle.
Si les deux femmes ont les mêmes rapports que j’ai avec Blanche, Charles le sachant, comme je l’ai dit, j’aime par-dessus tout la franchise, grand bien leur fasse, maman ayant droit au bonheur.
Alors que ma vie a pris un tournant inespéré pour la pute que j’ai été pour rendre service, que devient celle à qui j’ai rendu ce service.
La situation pour elle est celle que je craignais pour moi lorsque je me suis prostituée.
Ayant eu son diplôme en radiologie, elle a rejoint un hôpital en Vendée.
Je l’ai de temps en temps au téléphone, elle a rencontré un médecin radiologiste dont elle est l’une de ses employés.
Il l’a séduite et elle a essayé de lui dire sans à ce jour avoir réussi.
Je lui ai promis d’être toujours auprès d’elle si elle en avait besoin, moi qui ai eu la chance, malgré notre grande différence d’âge, d’épouser mon principal client.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour cette saga mon cher Chris...
Toujours autant de rebondissement...
Je suis toujours autant fan de tes écrits...
Cyrille
Toujours autant de rebondissement...
Je suis toujours autant fan de tes écrits...
Cyrille