COLLECTION PUTE. Yoo-Shin, la pute la plus chère de la planète. (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION PUTE. Yoo-Shin, la pute la plus chère de la planète.  (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION PUTE. Yoo-Shin, la pute la plus chère de la planète. (2/2)
À 12 ans, un monsieur, Lu-Wang, la trentaine, a pris pitié de moi.
Je vivais de rapine et de mendicités dans le quartier des putes japonaises de Kabukicho, quartier louche de Tokyo.
Je tirais ma misère malgré qu’au fond de moi, je savais vouloir être une grande dame de mon pays comme l’est notre impératrice.

M’ayant ramené à Paris, il fait de moi la célèbre Yoo-Shin, pute de luxe, la plus courue de la planète et surement celle que les hommes payent le plus cher.
À force de voyage et de baise dans des hôtels ou résidences particulières, j’aspire à une vie plus calme et tranquille.
Je devais penser à ce qu’aurait été ma vie, si j’étais resté la souillon de mon quartier japonais quand je suis percuté par une Mobylette conduite par un livreur de pizza.
Il m’assoit sur le bord du trottoir, je suis frustré quand son bras arrête de toucher mon sein.
Ouf, plus de peur que de mal, certainement un bleu à la jambe, mais j’ai quelques jours avant mon prochain contrat.
Les clients payent ma perfection de corps et d’esprit.

• Venez, il y a une brasserie, je vois des places libres à la terrasse, je vous offre un verre pour me faire pardonner de vous avoir fait mal.

Il m’aide à me relever, j’en rajoute pour sentir de nouveau la sensation sur mon sein et sur mon ventre quand il m’aide à me relever.
L’atmosphère se défend, jamais d’alcool sauf du champagne lorsque j’exerce ma profession de pute.
Je dois toujours conserver mes facultés de discernement, afin que mes prestations restent dans la limite que Lu-Wang a monnayée avec mes clients.
J’apprends qu’il est livreur de pizza pour payer ses études en fac à la Sorbonne pour devenir avocat.
Il passe ses examens et aura son diplôme au terme de sa dernière année d’études.
Je veux payer sachant la masse de pognon que je représente, mais il a dû savoir vivre et il tient à régler nos deux Perriers citron.

• À une condition, demain midi, je peux me libérer et je t’invite au restaurant.
Je connais un petit bouchon au Quartier latin, rendez-vous devant le Panthéon.

En taxi, j’ai vu des petites rues où il y a des enseignes de restaurant.
Je prends un taxi et je lui demande de me montrer ce qui se fait de mieux et de discret près de mon lieu de rendez-vous.
Il me dépose devant l’un d’eux et en faisant attention en traversant, je le rejoins.
Il a séché les cours à quelques mètres de là.
Il m’apprend qu’il a remplacé au pied levé un de ses copains dans l’après-midi, d’hier.
Je vois un signe du destin, moi rêvant de changer de vie.
Après manger, j’accepte de venir dans sa chambre de bonne à deux pas de là.
Quand il me prend par la taille, je vois qu’il est grand.
Je sais déjà qu’il est beau et que nous avons sensiblement le même âge.
Je m’invente une vie, masquant la pute qu’en réalité je suis.
J’ai l’impression de revenir la petite fille aux grosses lunettes, crasseuse qui ramassait les pièces dans le caniveau pour manger des bols de riz, mais qui rêvait de devenir l’impératrice du Japon.
Sans en arriver jusque-là, j’aurais pu devenir une grande dame de mon pays.
J’ai été faire une prestation, il y a peu là-bas et l’un des plus célèbres propriétaires de bandit manchot dont raffolent mes concitoyens, voulait me mettre dans mes meubles.
Je me doutais qu’il fricotait avec le monde des Yakuzas bien pire que Lu-Yang mon souteneur.
Chambre minable, mais amant exceptionnel bien que nous ayons baisé de façon très traditionnelle.
De retour dans mon palace, retrouvant ce que je commençais à vouloir repousser, Lu-Wang m’annonce un nouveau voyage pour lui.

• Je pars au Japon quelques jours, je saurais tout ce que tu fais, contente-toi de rester belle, à mon retour, je te dirais qui serai ton prochain client et ou ?

Ce fut mon jour de chance, notre jour de chance à Christian et à moi.
J’étais dans notre chambre, au palace quand un chasseur est venu me porter le courrier.
Au retour de mon mac, j’ai vu son courroux quand il a vu les quelques lettres, moins deux que j’avais soustraites, sur le guéridon où je les avais posés.
Les deux à mon nom venaient d’une grande banque dont une agence se trouve à deux pas de notre petit logis de plus de 100 mètres carrés.
Quand je compare avec la chambre mansardée de Christian ou dès que je le peux, je vais m’offrir même pas pour cent balles, je souris, mais que je l’aime.
Je repense à la chance de l’avoir rencontré et la vie qu’il pourrait m’apporter.
L’une des lettres est le renouvellement d’une carte bancaire, ma carte bancaire, dont j’ignorais son existence et dont la date de sécurité arrivait à échéance.
L’autre mon relevé de compte, je possède près de 12 millions d’euros.

Je cache tous ça pour voir la réaction de mon maquereau à son retour.
Calme plat, il semble qu’il regarde peu ce compte sachant simplement ce qu’il y a dessus.
Nous sommes au joli mois de juin, je fais encore quatre prestations qui ont dû augmenter ma cagnotte.
Je m’absente, sans le dire à Christian mon amour qui doit à jamais ignorer que je suis la pute la plus courue de la planète.
La veille du jour où nous avons décidé de quitter Paris, je vais à l’agence bancaire, mon mac étant reparti dépenser mon argent à Monte-Carlo au casino.
Du moins c’est ce qu’il me dit.
Par mes signatures, il s’est bien mis comme ayant droit sur mon compte.
Je lui supprime légalement cette autorisation grâce à mon passeport tamponné dans tous les pays où il m’a vendu.
De retour au palace, je peux compter le nombre de coups de bite que j’ai ramassée à travers le monde sachant que j’en ai rempli plusieurs comme ce dernier qui m’a été remis.
Si je divise la somme sur mon compte, je suis loin des 200 à 300 000 € qu’il disait que je coutais à mes clients.

Bien sûr, j’abandonne mon look de prostitué quand Christian vient me chercher pour me présenter à côté de Bordeaux à ses parents.
Les deux professeurs des écoles et qui représente le bonheur que j’espère trouver avec celui qui a demandé ma main.
En septembre, nous nous apprêtons à partir pour Lyon ou avec l’aide de ses parents celui qui a mis un genou au sol m’a demandé ma main.
J’ai accepté me passant un petit diamant valant trois sous comparés à tous le pont d’or que m’ont fait les hommes pour m’avoir à eux seuls un petit moment.

Son père lit le journal, un article m’interpelle.
« Un proxénète mondialement connu, souteneur d’une certaine prostituée mondialement connu Yoo-Shin mystérieusement disparu, a été arrêté par Interpol.
Il venait d’offrir une jeune japonaise mineure à l’un de ses clients.
Arrêté dans le palace où il séjournait, il aurait déclaré qu’une dette de jeu l’avait contraint de contacter ce client pour lui offrir cette fille qu’il formait comme il avait formé Yoo-Shin. »
Côté Lu-Yang, j’étais tranquille.
Ce que je savais c’est qu’en enlevant sa procuration de mon compte, j’avais accéléré les choses pour le mettre dans la merde.
Mais le seul papier que je possède est mon passeport au nom de Yoo-Shin.
Plusieurs fois, j’ai participé à des partouzes dans une grande villa en Corse.
J’étais la reine des putes qu’il offrait à ses copains.
J’ai compris qu’il faisait partie des milieux louches.
Lors de ma dernière visite pour le Nouvel An, ou dix mecs était là alors que nous étions trois filles dont l’une débutait dans le milieu de la prostitution, au moment de mon départ, m’a donné un numéro de téléphone.
Si j’avais besoin de quoi que ce soit, il me suffisait de l’appeler, de lui expliquer mon ou mes problèmes et il ferait le nécessaire pour me satisfaire.
J’ai tout de suite compris, que si je voulais me débarrasser de Lu-Yang, il finirait les pieds avec des chaussures de béton dans le port de Bonifacio.
Je savais que je quittais un souteneur pour en retrouver un autre sans l’assurance que ma vie serait plus protégée.
La maffia corse, bref.
Je l’appelle, il comprend ce que je souhaite, sans me poser la moindre question.
Que sait-il de l’arrestation de mon souteneur, je prends le risque ?

Les gens simples sont facile à berner.
Pourquoi se poserait-il des questions lorsqu’il ignore la fille courue de la planète que j’étais ?
Un avion à Lyon Saint-Exupéry, une limousine à Ajaccio et un yacht qui prend la mer.
La mer Méditerranée est d’un calme plat.
Je l’appèlerais, Monsieur.
Il m’attend sur son pont personnel en tenue plus que décontract.
Je sais Christian a fait chavirer mon cœur me permettant de redevenir Tamako nom que j’avais avant de devenir la pute célèbre.
Carte d’identité, permis de conduire, carte vitale.
Tout ça à ses côtés sur une table ou deux coupes de champagne ainsi qu’une bouteille bien au frais attend mon bon vouloir.
Ces papiers, faux officiels vont me permettre de vivre la vie que j’aspire avec Christian.

• Suce.

Combien de fois dans mes années de prostitution l’aise entendue me plaçant entre les jambes du client me donnant cet ordre.
Ma chatte suivra le parcours habituel et je sais pour l’avoir fait chaque fois avec Monsieur qu’il finira par me sodomiser.
Ce qu’il y a de bien avec un monsieur de cet âge, c’est qu’il remette rarement le couvert.
Ma douche prise dans l’une des cabines, dernières fois dans un tel luxe, je quitte Monsieur.
Quand l’avion se pose à Lyon, c’est une femme entièrement neuve qui tombe dans les bras de son Chis-Chris d’amour.
Je suis dans le petit appartement qui va nous servir de nid d’amours.
Il me déshabille.

• Suce.

Ouf, il ajoute.

• Mon amour, mon petit cœur, mon oiseau des îles.

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