COLLECTION RÊVE ET RÉALITÉ. L’île déserte (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION RÊVE ET RÉALITÉ. L’île déserte (1/2)
• Les enfants, regarder, c’est l’avion qui va nous emmener vers une île paradisiaque pour quinze jours en contact avec la nature.
• Bonjours monsieur, madame et vous les enfants, je suis Romuald, votre pilote qui va piloter ce monomoteur.
Monsieur si vous voulez monter à mes côtés, madame sera derrière avec vos deux enfants.
• Papa, j’ai peur, je veux que ce soit toi qui montes derrière, avec nous !
• Sabine a raison, Luc, en plus je vais pouvoir me prendre pour le pilote, j’ai toujours rêvé de passer mon brevet.
Nous en avons les moyens, mais la venue des enfants m’en a empêché.
Je sais surtout que Luc a peur de monter dans cet avion même s’il est flambant neuf, il sort de la chaîne de montage.
C’est Susy la secrétaire de cette société de location d’avions qui me l’a dit.
C’est une amie et c’est elle qui m’a proposé ces vacances paradisiaques sur une île isolée au sein d’un petit archipel.
Ile isolée, mais dans un bungalow tout équipé donnant directement sur la plage de sable blanc.
Entre la grande île où un avion de ligne vient de nous déposer et cette petite île, il y a presque une heure de vol, je vais pouvoir m’éclater.
Les formalités effectuées et le décollage, le temps me dur sauf pour Luc qui même dans le gros avion faisait de l’huile.
Enfin, nous roulons, je regarde Romuald s’occuper des instruments et faire rouler notre coucou vers la petite piste de décollage.
J’ai oublié de dire à Luc qu’en comparaison, celle qui va nous servir pour décoller est deux fois plus grande que celle ou nous allons atterrir.
Mon dieu, pourquoi c’est idée, vient me traverser le cerveau lorsque je regarde Romuald, est-ce sa peau noire, ses muscles saillant sous sa chemise blanche maculer avec sur sa poitrine le nom de sa société « pélican ».
Dix ans de mariage, trente ans, deux enfants, un mari Luc que j’adore et comme une midinette, je me surprends à matter ce bel homme, certainement plus jeune que moi de cinq ou six ans.
Ça fait presque quinze minutes que nous volons, c’est magnifique, l’océan est bleu à perte de vue, à non, sur ma droite, un îlot certainement plus petit que celui où nous allons.
Une piste d’atterrissage même minuscule serait dans l’impossibilité d’y être installée.
Pourtant, quelqu’un y habite, sur la plage, un petit bateau certainement de pêche et des cocotiers, la fumée d’un feu s’élève.
• Regardez, Ludivine cet îlot sur votre droite, le pêcheur qui y habite c’est mon cousin, il a quarante ans et ça fait dix ans qu’il vit seul mangeant des noix de coco et les poissons qu’il pêche.
J’y suis allé une fois avec mon père, mais nous sommes vite repartis à vivre seul, il est devenu un peu zinzin.
La mer d’un bleu si intense avec cette lumière vive, heureusement que nous avons tous nos lunettes de soleil, même Sabine et Hugo mes enfants.
Un instant, les pensées qui me traversent sont loin de celle qu’une mère de famille doit avoir surtout en présence de ses progénitures.
Qui plus est alors qu’à chaque fois que je me retourne je vois celui à qui j’ai réservé mon cœur sans un instant de doute depuis notre rencontre et notre mariage.
Soyons franche et réaliste, je serais seule avec Romuald sur ce genre d’île déserte, il me faudrait peu de temps pour succomber tellement je sens ma chatte mouiller.
Être broyée dans ces bras puissants sans oublier la grosse bosse que je peux voir sous son short est pour moi une source de découverte que je me dois de repousser.
Je suis une femme fidèle et je tiens à le rester.
J’ai une amie Sonia qui trompe son mari autant qu’il est possible de le tromper.
Il m’est arrivé par deux fois d’être obligée de mentir à Joseph son mari pour la couvrir et lui éviter des ennuis.
Situation bien embarrassante, même au téléphone, j’avais l’impression que mon nez s’allongeait.
Quelques minutes et d’un coup le moteur se met à tousser.
• Mayday, mayday, nous sommes en panne de moteur, mayday !
L’avion plane un moment devant mes yeux, l’hélice vient de s’arrêter.
Inexorablement, nous plongeons vers la mer.
Romuald essaye désespérément de remettre le contact, mais sans grand succès.
Luc serre nos enfants dans chacun de ses bras.
J’aimais la vie, j’aimais Luc, mon mari, encore plus Sabine et Hugo mes enfants, mais lorsqu’un grand choque ce produit, je quitte cette terre avec regret.
• Madame Ludivine, enfin vous revenez sur terre, j’ai cru que vous aussi je vous avais perdu.
• Où sommes-nous et pourquoi j’ai si mal à la tête ?
• Souvenez-vous, l’avion que je pilotais est tombé en panne de moteur.
Certainement une fuite due à une durite mal fixée, avant de toucher la mer, j’ai senti une odeur de kérosène.
J’ai dirigé l’avion vers un îlot où nous nous sommes crachés à une centaine de mètres de la plage où nous sommes en ce moment.
Vous aviez frappé le pare-brise et aviez perdu connaissance.
J’ai réussi à vous tirer hors de la carlingue et de vous tirer sur la plage.
• Luc et mes enfants ?
• J’y suis retourné, mais j’étais un peu épuisé et j’ai mis du temps pour rejoindre l’avion qui commençait à s’enfoncer.
• J’ai le regret de vous dire qu’ils ont coulé avec lui pour mon plus grand malheur.
Dans la situation où je me trouve, j’éclate en sanglots, malgré mon mal de tête, je réalise que j’ai tout perdu.
Je suis couchée sur des feuilles comme des fougères, Romuald semble avoir construit un semblant de cabane qui nous isole du soleil avec des palmes.
• Mais je suis nue, ou son mes affaires et les vôtres !
• Ça fait trois jours que nous sommes des naufragés.
J’ai toujours sur moi ce couteau à multilame, j’ai pu couper ces palmes et ces fougères.
Nous étions trempés, je vous ai dénudé pour faire sécher nos affaires, vous étiez mal en point.
Vous risquiez la mort si je vous les avais laissés.
• Ou sont-elles ?
C’est dans des sanglots que j’arrive à lui poser ces questions, malgré la situation, à hauteur de mes yeux, la verge que je me souviens avoir remarquée sous le short, avait bien de grandes proportions.
• Je les avais mis à sécher à l’extérieur, mais la nuit dernière il y a eu un orage tropical très soudain.
Je vous serrais dans mes bras essayant de vous recouvrir pour éviter que la pluie qui s’abattait sur vous, vous achève.
Lorsque j’ai pu sortir, tout avait été balayé et en attendant les secours nous serons dans l’obligation de rester nus.
• J’ai soif !
• Avant cet orage, j’ai visité cette île, nous sommes isolés, elle fait une centaine de mètres de long sur une trentaine de mètres de large.
J’ai trouvé quelques baies, elles sont là sur cette feuille, j’en ai goûté une, il y a trois jours elles semblent comestibles.
Mais c’est tout ce que nous avons avec des noix de coco.
Tenez, buvez, j’ai réussi ç en ouvrir une avec mon couteau.
J’ai envoyé un SOS de l’avion avant que nous touchions la mer, les secours vont arriver.
J’ai tracé des SOS dans le sable, mangez deux baies et reposez-vous.
Lorsque vous avez pris conscience, j’allais retourner les tracer, je pense que l’orage a dû les effacer !
Je me retrouve seule face à mon destin, j’ai perdu, à jamais, ceux que j’aimais, combien de temps pourra-t-on rester sans eau ?
Les noix de coco vont nous nourrir et leur jus nous désaltérer, mais pour les ouvrir avec le petit couteau de Romuald, c’est du travail.
Nue sur cette plage, je me rends compte que j’ai pris des coups de soleil.
Chaque année, nous avions l’habitude d’aller dans des pays du soleil, une grande partie de l’année, les traces de blancheur de mon maillot me posaient problème lorsque je me voyais dans ma glace.
Si les secours arrivent et nous sauvent à quoi cela va-t-il servir, mon mari étant porté disparu.
À ce genre de pensée, je fonds en larmes, surtout lorsque mes yeux se portent vers l’endroit où Romuald m’a dit que son avion avait coulé emmenant ma vie avec lui.
La vie, je la retrouve sans que je pense à mal dans ces nuits sur notre couche.
Dans la clarté de la nuit, la jeunesse de mon compagnon fond que je vois sa queue bander.
Trois nuits que je résiste, je suis, moi aussi une femme qui aimait le sexe avant tous ces évènements même si la présence des enfants ralentissait nos ardeurs.
Avant leur venue dans notre couple, nous aimions des jeux érotiques.
Depuis qu’ils sont nés ou sont nos jeux intimes là où nous trouvions dans chaque partie de notre appartement.
Les classiques pour couple qui s’aime,.
La table de la cuisine, la chaise de cette même cuisine ou alors qu’il était assis, je venais m’empaler avec délice entrainant grognements et cris de plaisir lorsque des orgasmes venaient ponctuer nos jeux.
Si je me souviens bien, le temps passant, la salle de bains était l’un de nos endroits privilégiés débats dans la baignoire.
Souvent c’était le prolongement d’une première partie de jambes en l’air dans notre lit.
Comme nous voulions rapidement avoir des enfants aboutissement de notre amour à ce que nous pensions, j’avais ôté toute protection.
Lorsque nous nous sommes connus, j’ai rapidement cédé à ses ardeurs et les capotes dont nous nous servions évitaient le sperme de me mettre enceinte.
Dès que nous les avons ôtés, il m’était insupportable de senti cette matière visqueuse couler entre mes jambes.
C’est là qu’allant prendre notre bain nous remions le couvert.
Une fois propre et bien essuyée, je pouvais retourner dormir.
De rare fois, hélas, trop peu fréquente lorsqu’il m’essuyait, il nous est arrivé de refaire l’amour une troisième fois sur le tapis de bain, moi en levrette et Luc derrière moi.
J’ai une vague idée à la façon dont j’ai senti son sperme taper mon utérus, que c’est ainsi que nous avons conçu Sabine.
Au matin de cette nuit-là, un rayon de soleil filtrant à travers les palmes de notre abri, lorsque je me réveille ma main enserre son sexe intégralement bandé.
• Bonjours monsieur, madame et vous les enfants, je suis Romuald, votre pilote qui va piloter ce monomoteur.
Monsieur si vous voulez monter à mes côtés, madame sera derrière avec vos deux enfants.
• Papa, j’ai peur, je veux que ce soit toi qui montes derrière, avec nous !
• Sabine a raison, Luc, en plus je vais pouvoir me prendre pour le pilote, j’ai toujours rêvé de passer mon brevet.
Nous en avons les moyens, mais la venue des enfants m’en a empêché.
Je sais surtout que Luc a peur de monter dans cet avion même s’il est flambant neuf, il sort de la chaîne de montage.
C’est Susy la secrétaire de cette société de location d’avions qui me l’a dit.
C’est une amie et c’est elle qui m’a proposé ces vacances paradisiaques sur une île isolée au sein d’un petit archipel.
Ile isolée, mais dans un bungalow tout équipé donnant directement sur la plage de sable blanc.
Entre la grande île où un avion de ligne vient de nous déposer et cette petite île, il y a presque une heure de vol, je vais pouvoir m’éclater.
Les formalités effectuées et le décollage, le temps me dur sauf pour Luc qui même dans le gros avion faisait de l’huile.
Enfin, nous roulons, je regarde Romuald s’occuper des instruments et faire rouler notre coucou vers la petite piste de décollage.
J’ai oublié de dire à Luc qu’en comparaison, celle qui va nous servir pour décoller est deux fois plus grande que celle ou nous allons atterrir.
Mon dieu, pourquoi c’est idée, vient me traverser le cerveau lorsque je regarde Romuald, est-ce sa peau noire, ses muscles saillant sous sa chemise blanche maculer avec sur sa poitrine le nom de sa société « pélican ».
Dix ans de mariage, trente ans, deux enfants, un mari Luc que j’adore et comme une midinette, je me surprends à matter ce bel homme, certainement plus jeune que moi de cinq ou six ans.
Ça fait presque quinze minutes que nous volons, c’est magnifique, l’océan est bleu à perte de vue, à non, sur ma droite, un îlot certainement plus petit que celui où nous allons.
Une piste d’atterrissage même minuscule serait dans l’impossibilité d’y être installée.
Pourtant, quelqu’un y habite, sur la plage, un petit bateau certainement de pêche et des cocotiers, la fumée d’un feu s’élève.
• Regardez, Ludivine cet îlot sur votre droite, le pêcheur qui y habite c’est mon cousin, il a quarante ans et ça fait dix ans qu’il vit seul mangeant des noix de coco et les poissons qu’il pêche.
J’y suis allé une fois avec mon père, mais nous sommes vite repartis à vivre seul, il est devenu un peu zinzin.
La mer d’un bleu si intense avec cette lumière vive, heureusement que nous avons tous nos lunettes de soleil, même Sabine et Hugo mes enfants.
Un instant, les pensées qui me traversent sont loin de celle qu’une mère de famille doit avoir surtout en présence de ses progénitures.
Qui plus est alors qu’à chaque fois que je me retourne je vois celui à qui j’ai réservé mon cœur sans un instant de doute depuis notre rencontre et notre mariage.
Soyons franche et réaliste, je serais seule avec Romuald sur ce genre d’île déserte, il me faudrait peu de temps pour succomber tellement je sens ma chatte mouiller.
Être broyée dans ces bras puissants sans oublier la grosse bosse que je peux voir sous son short est pour moi une source de découverte que je me dois de repousser.
Je suis une femme fidèle et je tiens à le rester.
J’ai une amie Sonia qui trompe son mari autant qu’il est possible de le tromper.
Il m’est arrivé par deux fois d’être obligée de mentir à Joseph son mari pour la couvrir et lui éviter des ennuis.
Situation bien embarrassante, même au téléphone, j’avais l’impression que mon nez s’allongeait.
Quelques minutes et d’un coup le moteur se met à tousser.
• Mayday, mayday, nous sommes en panne de moteur, mayday !
L’avion plane un moment devant mes yeux, l’hélice vient de s’arrêter.
Inexorablement, nous plongeons vers la mer.
Romuald essaye désespérément de remettre le contact, mais sans grand succès.
Luc serre nos enfants dans chacun de ses bras.
J’aimais la vie, j’aimais Luc, mon mari, encore plus Sabine et Hugo mes enfants, mais lorsqu’un grand choque ce produit, je quitte cette terre avec regret.
• Madame Ludivine, enfin vous revenez sur terre, j’ai cru que vous aussi je vous avais perdu.
• Où sommes-nous et pourquoi j’ai si mal à la tête ?
• Souvenez-vous, l’avion que je pilotais est tombé en panne de moteur.
Certainement une fuite due à une durite mal fixée, avant de toucher la mer, j’ai senti une odeur de kérosène.
J’ai dirigé l’avion vers un îlot où nous nous sommes crachés à une centaine de mètres de la plage où nous sommes en ce moment.
Vous aviez frappé le pare-brise et aviez perdu connaissance.
J’ai réussi à vous tirer hors de la carlingue et de vous tirer sur la plage.
• Luc et mes enfants ?
• J’y suis retourné, mais j’étais un peu épuisé et j’ai mis du temps pour rejoindre l’avion qui commençait à s’enfoncer.
• J’ai le regret de vous dire qu’ils ont coulé avec lui pour mon plus grand malheur.
Dans la situation où je me trouve, j’éclate en sanglots, malgré mon mal de tête, je réalise que j’ai tout perdu.
Je suis couchée sur des feuilles comme des fougères, Romuald semble avoir construit un semblant de cabane qui nous isole du soleil avec des palmes.
• Mais je suis nue, ou son mes affaires et les vôtres !
• Ça fait trois jours que nous sommes des naufragés.
J’ai toujours sur moi ce couteau à multilame, j’ai pu couper ces palmes et ces fougères.
Nous étions trempés, je vous ai dénudé pour faire sécher nos affaires, vous étiez mal en point.
Vous risquiez la mort si je vous les avais laissés.
• Ou sont-elles ?
C’est dans des sanglots que j’arrive à lui poser ces questions, malgré la situation, à hauteur de mes yeux, la verge que je me souviens avoir remarquée sous le short, avait bien de grandes proportions.
• Je les avais mis à sécher à l’extérieur, mais la nuit dernière il y a eu un orage tropical très soudain.
Je vous serrais dans mes bras essayant de vous recouvrir pour éviter que la pluie qui s’abattait sur vous, vous achève.
Lorsque j’ai pu sortir, tout avait été balayé et en attendant les secours nous serons dans l’obligation de rester nus.
• J’ai soif !
• Avant cet orage, j’ai visité cette île, nous sommes isolés, elle fait une centaine de mètres de long sur une trentaine de mètres de large.
J’ai trouvé quelques baies, elles sont là sur cette feuille, j’en ai goûté une, il y a trois jours elles semblent comestibles.
Mais c’est tout ce que nous avons avec des noix de coco.
Tenez, buvez, j’ai réussi ç en ouvrir une avec mon couteau.
J’ai envoyé un SOS de l’avion avant que nous touchions la mer, les secours vont arriver.
J’ai tracé des SOS dans le sable, mangez deux baies et reposez-vous.
Lorsque vous avez pris conscience, j’allais retourner les tracer, je pense que l’orage a dû les effacer !
Je me retrouve seule face à mon destin, j’ai perdu, à jamais, ceux que j’aimais, combien de temps pourra-t-on rester sans eau ?
Les noix de coco vont nous nourrir et leur jus nous désaltérer, mais pour les ouvrir avec le petit couteau de Romuald, c’est du travail.
Nue sur cette plage, je me rends compte que j’ai pris des coups de soleil.
Chaque année, nous avions l’habitude d’aller dans des pays du soleil, une grande partie de l’année, les traces de blancheur de mon maillot me posaient problème lorsque je me voyais dans ma glace.
Si les secours arrivent et nous sauvent à quoi cela va-t-il servir, mon mari étant porté disparu.
À ce genre de pensée, je fonds en larmes, surtout lorsque mes yeux se portent vers l’endroit où Romuald m’a dit que son avion avait coulé emmenant ma vie avec lui.
La vie, je la retrouve sans que je pense à mal dans ces nuits sur notre couche.
Dans la clarté de la nuit, la jeunesse de mon compagnon fond que je vois sa queue bander.
Trois nuits que je résiste, je suis, moi aussi une femme qui aimait le sexe avant tous ces évènements même si la présence des enfants ralentissait nos ardeurs.
Avant leur venue dans notre couple, nous aimions des jeux érotiques.
Depuis qu’ils sont nés ou sont nos jeux intimes là où nous trouvions dans chaque partie de notre appartement.
Les classiques pour couple qui s’aime,.
La table de la cuisine, la chaise de cette même cuisine ou alors qu’il était assis, je venais m’empaler avec délice entrainant grognements et cris de plaisir lorsque des orgasmes venaient ponctuer nos jeux.
Si je me souviens bien, le temps passant, la salle de bains était l’un de nos endroits privilégiés débats dans la baignoire.
Souvent c’était le prolongement d’une première partie de jambes en l’air dans notre lit.
Comme nous voulions rapidement avoir des enfants aboutissement de notre amour à ce que nous pensions, j’avais ôté toute protection.
Lorsque nous nous sommes connus, j’ai rapidement cédé à ses ardeurs et les capotes dont nous nous servions évitaient le sperme de me mettre enceinte.
Dès que nous les avons ôtés, il m’était insupportable de senti cette matière visqueuse couler entre mes jambes.
C’est là qu’allant prendre notre bain nous remions le couvert.
Une fois propre et bien essuyée, je pouvais retourner dormir.
De rare fois, hélas, trop peu fréquente lorsqu’il m’essuyait, il nous est arrivé de refaire l’amour une troisième fois sur le tapis de bain, moi en levrette et Luc derrière moi.
J’ai une vague idée à la façon dont j’ai senti son sperme taper mon utérus, que c’est ainsi que nous avons conçu Sabine.
Au matin de cette nuit-là, un rayon de soleil filtrant à travers les palmes de notre abri, lorsque je me réveille ma main enserre son sexe intégralement bandé.
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