COLLECTION RÊVE ET RÉALITÉ. Que la chair est faible (3/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-12-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION RÊVE ET RÉALITÉ. Que la chair est faible (3/5)
Où ce rêve que j’ai fait concernant ce jeune prêtre tous juste sortie du séminaire ayant peur de sa première messe va-t-il l’emmener.
Outre que père Mathieu son prédécesseur qui a eu cinq enfants avec sa gouvernante laissant croire à tout leur village qu’elle était une salope se faisant baiser par tout et par tous.
Il se retrouve dans la même situation avec leur dernier enfant.
Marie jeune blonde aux yeux bleue de vingt ans lui fait prendre le même chemin.
Il aurait bien aimé que ce soit pour ses propres beaux yeux qu’elle se donne à lui mais à ce qu’elle lui dit, c’est sa maman qui l’a préparé à prendre sa relève dès que le nouveau curé aurait emménagé.
Le nouveau curé, c’est moi, père Joseph qui reçoit cette magnifique beauté que je dépucelle sans le savoir dès le premier soir où elle se glisse dans mon lit.
Bon, je dois dire que mon charme naturel me permet de faire chavirer son cœur et depuis quelques jours je sens que l’amour a éclos entre nous.
Ce matin j’ai une rombière du village, vraie langue de vipère, qui me rapporte que Marie se ferait baiser par Georges la brute du village.
Je l’écoute mais j’arrive devant l’autel à se dévoiler elle-même sur ses turpitudes.
- Parlez sans crainte ma fille ici seul le seigneur sur sa croix qui vous entend, je suis tenu par le secret de la confession.
- Comment vous dire mon père, les femmes c’est tromper son mari ?
- Pourquoi cette question, dite m’en plus, vous m’intriguez, pourquoi les femmes ?
- Depuis que je suis petite, les femmes m'ont toujours attirée.
J’ai vite compris que si je laissais parler mes envies dans ce village où tous se connaissent, on m’aurait brûlé en place publique.
J’ai donc accepté d’épouser Jean le droguiste ayant dix ans de plus que moi.
Nous avons eu deux enfants, qui sont mariés contre l’avis de leur père.
Ça l’a tué.
- Le mariage de ses enfants a tué votre mari, ma fille ?
- Oui, Arsène est marié avec Sylvain et Adeline notre fille avec Lucie.
- Vous avez transmis vos gènes à vos enfants et votre mari est mort de chagrin.
- C’est un peu ça.
- Il y a autre chose que vous avez à confesser ?
- Oui, Agnès.
- Dimanche à la messe, j’ai rencontré une Agnès, l’ancienne institutrice.
C’est elle ?
- Oui.
- Et alors ?
Je suis suspendu à ces lèvres que j’aperçois derrière la grille du confessionnal nous séparant l’un de l’autre.
- Je lui suçais la minette.
J’ai failli parler de ses élèves de plus de 18 ans qu’elle dépucelait au dire de Louis mon enfant de choeur.
- Vous vous gouiniez, vous vous suciez la chatte.
Excusez ma fille de ces mots un peu cru.
- J’ignore si ce que nous faisions c’était le mot que vous avez dit.
Ici, surtout les filles on va jusqu’au certificat d’études et dès qu’on est en âge on nous marie.
J’ai suivi ce chemin avec Joseph jusqu’au jour où Agnès m'a convoqué à cause d’Adeline qui aurait frappé celle qui est devenue sa femme, Lucie.
Agnès voulait seulement m’informer que ma fille avait été violente sans savoir vraiment le motif de cette dispute.
- Et c’est là !
- Indirectement, elle m’a invité le samedi à venir prendre des petits fours.
C’est vrai mon père, je fais le péché de gourmandise et elle a compris mon point faible.
- Et c’est là !
- Oui.
Dit d’une voix timide.
Je la sens au bord des larmes.
- Je vais vous aider ma fille, vous vous êtes embrassées !
- Oui.
- Caressé !
- Plus, mon père.
- Dites-moi que vous vous êtes mis nues et que vous vous êtes !
- Oui, je l’ai léché et elle m’a léché.
J’ai envie d’éclater de rire, derrière sa grille cette femme de plus de 60 ans se trouve prise en faute comme une jeune pucelle.
Plus elle m’en dira et plus je pourrais protéger mes amours avec Marie et plus l’évêque Juda sera content de moi.
- Elle m’a fait connaître mon petit bouton qui était caché et dont j’ignorais l’existence.
- J’ai tout compris ma fille, vous m’avez posé une question oui la fornication est un péché mais que je vais pouvoir vous absoudre.
Je pense que c’est terminé.
- Non, je la vois cette après-midi.
- D’accord je ferme les yeux, vous êtes veuve, elle est femme seule à ce que je sache.
Assumez vos amours et votre homosexualité comme le font votre fille et votre fils.
Là j’outrepasse mais je veux éviter que chaque semaine elle vienne se confesser qu’elle se gouine avec la copine.
Je veux aussi sortir mon village car je le considère déjà comme mon village de son temps médiéval même si dans la vieille ville il y a une tour du XIe siècle.
- Ma fille, je vous absous de vos péchés.
Avez-vous un chapelet ?
- Oui mon père, celui de ma communion.
- Pour votre péché de gourmandise, un chapelet par jour.
Pour celui de fornication, si vous vous assumez vous direz un Pater et deux Avé.
- Pour colporter des ragots car pour Marie je suis sûr que ce sont des ragots, j’ai de multiples sources me prouvant que cette jeune fille mérite d’être la rosière à l’une des prochaines fêtes des moissons.
Dix chapelets supplémentaires.
- Dix plus un, mon père je vais y passer ma journée.
- Non, vos journées car c’est moi qui vous dirais d’arrêter si vous suivez les conseils de celui qui est ici pour le salut de votre âme !
- Merci mon père.
Je suis sûr qu’au fond d’elle quand derrière mon rideau je la vois s’agenouiller et dire sa pénitence rapide à faire elle me maudit.
Je la vois remontée l’allée centrale, je suis content de moi, je pense que celle-là je l’ai calmé.
Le lundi je profite d’une de mes ouailles qui va vendre ses légumes au marché de la ville.
Je dors tout le long du chemin, la petite Marie à qui j’ai caché les ragots m’a épuisé.
C’est d’elle que je viens m’entretenir avec Juda mon évêque.
Il me reçoit bien à l’heure.
- Mon fils je reçois que vous rêvez qu’une petite Marie venant vous voir tous les soirs dans votre lit.
Vous savez père Joseph, nous avons tous notre petite Marie qui vient vous voir chaque nuit.
Ça s’appelle l’envie, c’est Satan qui nous tente espérant nous faire craquer dans notre célibat.
Marie m’a poursuivi pendant des années, vous verrez qu’avec l’âge elle s’estompera.
Lisez régulièrement votre bréviaire, c’est la seule pénitence que je vous impose.
Il me met la main sur ma tête avant de me faire baiser son anneau.
- Allez en paix mon fils.
Je suis bien avancé, je récupère mon paysan nous prenons l’apéro au café du marché.
- Ça va mon père, vous avez vu votre évêque.
- Oui, j’ai la réponse.
J’oublie de lui dire « démerde-toi ».
Le soir Marie est là.
Comme chaque fois elle me fait une très bonne fellation.
Je la prends en levrette lui mettant un max de sperme dans son vagin.
Il est vingt-trois heures quand elle me quitte mes couilles bien vides.
Je prends mon bréviaire.
Une demi-page et je dors.
Comme conseiller, j’ai lu le livre de ma foi.
Dans la semaine, je mets en place avec l’autorisation de la mairie une section « marche » malgré la fatigue de mes nuits de débauche avec ma petite maîtresse.
Le temps passe, Agathe brille par son absence sauf à la messe.
À si, Agnès s’assoit à ses côtés, sans plus bien sûr.
Je vois qu’elle a son chapelet en main et que les ragots ont cessé.
Ça fait quelques semaines que je vis maritalement avec ma gouvernante comme le père Mathieu le faisait avec la mère de ses enfants.
Une interrogation se fait jour.
Marie devait simplement me sucer quand elle avait ses règles.
- Marie, dit moi, as-tu bien tes règles ?
- Non, mais pas d’inquiétude je gère, demain je vais en ville passer une échographie…
Outre que père Mathieu son prédécesseur qui a eu cinq enfants avec sa gouvernante laissant croire à tout leur village qu’elle était une salope se faisant baiser par tout et par tous.
Il se retrouve dans la même situation avec leur dernier enfant.
Marie jeune blonde aux yeux bleue de vingt ans lui fait prendre le même chemin.
Il aurait bien aimé que ce soit pour ses propres beaux yeux qu’elle se donne à lui mais à ce qu’elle lui dit, c’est sa maman qui l’a préparé à prendre sa relève dès que le nouveau curé aurait emménagé.
Le nouveau curé, c’est moi, père Joseph qui reçoit cette magnifique beauté que je dépucelle sans le savoir dès le premier soir où elle se glisse dans mon lit.
Bon, je dois dire que mon charme naturel me permet de faire chavirer son cœur et depuis quelques jours je sens que l’amour a éclos entre nous.
Ce matin j’ai une rombière du village, vraie langue de vipère, qui me rapporte que Marie se ferait baiser par Georges la brute du village.
Je l’écoute mais j’arrive devant l’autel à se dévoiler elle-même sur ses turpitudes.
- Parlez sans crainte ma fille ici seul le seigneur sur sa croix qui vous entend, je suis tenu par le secret de la confession.
- Comment vous dire mon père, les femmes c’est tromper son mari ?
- Pourquoi cette question, dite m’en plus, vous m’intriguez, pourquoi les femmes ?
- Depuis que je suis petite, les femmes m'ont toujours attirée.
J’ai vite compris que si je laissais parler mes envies dans ce village où tous se connaissent, on m’aurait brûlé en place publique.
J’ai donc accepté d’épouser Jean le droguiste ayant dix ans de plus que moi.
Nous avons eu deux enfants, qui sont mariés contre l’avis de leur père.
Ça l’a tué.
- Le mariage de ses enfants a tué votre mari, ma fille ?
- Oui, Arsène est marié avec Sylvain et Adeline notre fille avec Lucie.
- Vous avez transmis vos gènes à vos enfants et votre mari est mort de chagrin.
- C’est un peu ça.
- Il y a autre chose que vous avez à confesser ?
- Oui, Agnès.
- Dimanche à la messe, j’ai rencontré une Agnès, l’ancienne institutrice.
C’est elle ?
- Oui.
- Et alors ?
Je suis suspendu à ces lèvres que j’aperçois derrière la grille du confessionnal nous séparant l’un de l’autre.
- Je lui suçais la minette.
J’ai failli parler de ses élèves de plus de 18 ans qu’elle dépucelait au dire de Louis mon enfant de choeur.
- Vous vous gouiniez, vous vous suciez la chatte.
Excusez ma fille de ces mots un peu cru.
- J’ignore si ce que nous faisions c’était le mot que vous avez dit.
Ici, surtout les filles on va jusqu’au certificat d’études et dès qu’on est en âge on nous marie.
J’ai suivi ce chemin avec Joseph jusqu’au jour où Agnès m'a convoqué à cause d’Adeline qui aurait frappé celle qui est devenue sa femme, Lucie.
Agnès voulait seulement m’informer que ma fille avait été violente sans savoir vraiment le motif de cette dispute.
- Et c’est là !
- Indirectement, elle m’a invité le samedi à venir prendre des petits fours.
C’est vrai mon père, je fais le péché de gourmandise et elle a compris mon point faible.
- Et c’est là !
- Oui.
Dit d’une voix timide.
Je la sens au bord des larmes.
- Je vais vous aider ma fille, vous vous êtes embrassées !
- Oui.
- Caressé !
- Plus, mon père.
- Dites-moi que vous vous êtes mis nues et que vous vous êtes !
- Oui, je l’ai léché et elle m’a léché.
J’ai envie d’éclater de rire, derrière sa grille cette femme de plus de 60 ans se trouve prise en faute comme une jeune pucelle.
Plus elle m’en dira et plus je pourrais protéger mes amours avec Marie et plus l’évêque Juda sera content de moi.
- Elle m’a fait connaître mon petit bouton qui était caché et dont j’ignorais l’existence.
- J’ai tout compris ma fille, vous m’avez posé une question oui la fornication est un péché mais que je vais pouvoir vous absoudre.
Je pense que c’est terminé.
- Non, je la vois cette après-midi.
- D’accord je ferme les yeux, vous êtes veuve, elle est femme seule à ce que je sache.
Assumez vos amours et votre homosexualité comme le font votre fille et votre fils.
Là j’outrepasse mais je veux éviter que chaque semaine elle vienne se confesser qu’elle se gouine avec la copine.
Je veux aussi sortir mon village car je le considère déjà comme mon village de son temps médiéval même si dans la vieille ville il y a une tour du XIe siècle.
- Ma fille, je vous absous de vos péchés.
Avez-vous un chapelet ?
- Oui mon père, celui de ma communion.
- Pour votre péché de gourmandise, un chapelet par jour.
Pour celui de fornication, si vous vous assumez vous direz un Pater et deux Avé.
- Pour colporter des ragots car pour Marie je suis sûr que ce sont des ragots, j’ai de multiples sources me prouvant que cette jeune fille mérite d’être la rosière à l’une des prochaines fêtes des moissons.
Dix chapelets supplémentaires.
- Dix plus un, mon père je vais y passer ma journée.
- Non, vos journées car c’est moi qui vous dirais d’arrêter si vous suivez les conseils de celui qui est ici pour le salut de votre âme !
- Merci mon père.
Je suis sûr qu’au fond d’elle quand derrière mon rideau je la vois s’agenouiller et dire sa pénitence rapide à faire elle me maudit.
Je la vois remontée l’allée centrale, je suis content de moi, je pense que celle-là je l’ai calmé.
Le lundi je profite d’une de mes ouailles qui va vendre ses légumes au marché de la ville.
Je dors tout le long du chemin, la petite Marie à qui j’ai caché les ragots m’a épuisé.
C’est d’elle que je viens m’entretenir avec Juda mon évêque.
Il me reçoit bien à l’heure.
- Mon fils je reçois que vous rêvez qu’une petite Marie venant vous voir tous les soirs dans votre lit.
Vous savez père Joseph, nous avons tous notre petite Marie qui vient vous voir chaque nuit.
Ça s’appelle l’envie, c’est Satan qui nous tente espérant nous faire craquer dans notre célibat.
Marie m’a poursuivi pendant des années, vous verrez qu’avec l’âge elle s’estompera.
Lisez régulièrement votre bréviaire, c’est la seule pénitence que je vous impose.
Il me met la main sur ma tête avant de me faire baiser son anneau.
- Allez en paix mon fils.
Je suis bien avancé, je récupère mon paysan nous prenons l’apéro au café du marché.
- Ça va mon père, vous avez vu votre évêque.
- Oui, j’ai la réponse.
J’oublie de lui dire « démerde-toi ».
Le soir Marie est là.
Comme chaque fois elle me fait une très bonne fellation.
Je la prends en levrette lui mettant un max de sperme dans son vagin.
Il est vingt-trois heures quand elle me quitte mes couilles bien vides.
Je prends mon bréviaire.
Une demi-page et je dors.
Comme conseiller, j’ai lu le livre de ma foi.
Dans la semaine, je mets en place avec l’autorisation de la mairie une section « marche » malgré la fatigue de mes nuits de débauche avec ma petite maîtresse.
Le temps passe, Agathe brille par son absence sauf à la messe.
À si, Agnès s’assoit à ses côtés, sans plus bien sûr.
Je vois qu’elle a son chapelet en main et que les ragots ont cessé.
Ça fait quelques semaines que je vis maritalement avec ma gouvernante comme le père Mathieu le faisait avec la mère de ses enfants.
Une interrogation se fait jour.
Marie devait simplement me sucer quand elle avait ses règles.
- Marie, dit moi, as-tu bien tes règles ?
- Non, mais pas d’inquiétude je gère, demain je vais en ville passer une échographie…
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