COLLECTION RÊVE ET RÉALITÉ. Que la chair est faible (4/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION RÊVE ET RÉALITÉ. Que la chair est faible (4/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION RÊVE ET RÉALITÉ. Que la chair est faible (4/5)
Où ce rêve que j’ai fait concernant ce jeune prêtre Joseph tous juste sortie du séminaire ayant peur de sa première messe va-t-il l’emmener.
Pour l’instant c’est d’échographie qu’il est question.
Marie sa maîtresse a des retards de règle.

- Marie, je serais de tout cœur avec toi, comment vas-tu à la ville ?
- Un taxi ambulance vient me chercher à 9 heures.
- Bien on se voit après quand tu seras rentrée.
- Même si je suis enceinte, fais-moi l’amour.

Comment refuser cette demande à celle qui vous regarde avec ses grands yeux bleus ?
Surtout qu’une nouvelle fois elle me lèche les couilles me faisant bander comme Arthur le taureau de Georges et de Louis.
La différence c’est que mon enfant de chœur est absent et que c'est moi qui fais entrer ma verge dans ce vagin si accueillant.

- Attention au bébé !
Je rigole, à trois mois c’est un peu plus qu’un de tes petits poids que je t’ai cuisiné hier.
Boure moi, j’adore.

Elle me bloque avec ses jambes.
La petite prend de l’assurance en levrette et aussi en venant s’empaler sur mon cierge parfaitement tendu.
C’est même elle qui en redemande.
Sans être devenues une chienne lubrique plus nous pratiquons les jeux du sexe plus elle en veut.
Sa grossesse si grossesse il y a, elle le saura demain, nous le saurons demain.

Dans la nuit alors qu’elle vient de me quitter m’ayant épuisé, je devrais lire mon bréviaire mais le cœur me manque.
Je pense et c’est d’un coup qu’une idée me vient.
Tenue de joggeur avec mon sac à dos où je place ce qui me sera nécessaire dans la matinée et après avoir ouvert l’église plus tôt que d’habitude, je m’élance.

Depuis que je cours ou que je marche, les chemins me sont familiers et j’ai presque une demi-heure à attendre.
Je sors de mon sac une chemise et mon jean m’ôtant tous signes religieux.
Je manque de m’endormir, mettant mon plan en l’air.
Mon plan a failli foirer car j’attendais une ambulance et c’est une voiture banalisée qui arrive.
Par chance mon regard se porte sur la portière et je vois en une fraction de seconde le sigle de la société d’ambulance.
J’étais assis sur un rocher et je saute sur la route.
La voiture fait un écart et continue sa route.
C’est foutu.
Non, ses feux arrière s’allument et la voiture recule.

- Joseph que fais-tu là ?
- Je viens avec toi, je veux voir la première échographie de notre bébé si bébé il y a.
- Chéri, merci, tu me prouves ton amour.
- Alors on y va ?

C’est la dame qui conduit le taxi ambulance qui nous interpelle.
Nous montons à l’arrière, elle redémarre.

- Je vois, à l’adresse où je vous conduis, j’ai compris.
Soit, vous êtes un couple illégitime, soit vous êtes une jeune demoiselle qui a fauté et qui veut cacher son état et celui qui vous a mis dans cet état sans que vos parents le sache.
De mon côté, j’aime les amoureux et je serais une tombe.

Marie vient dans mes bras et nos souffles viennent se mélanger.

- C’est beau l’amour.

Tout le reste des kilomètres, Blanche la conductrice de l’ambulance nous raconte sa vie bien fade comparée aux confessions de mes vieilles paroissiennes.
Blanche car sur son tableau de bord une carte d’identité est placée dans un porte-carte.

- Je viens vous récupérer dans une heure.
Allez admirer votre bébé.
Je suis contente, Marie, vous avez gerbé avant de démarrer, c’est un signe et on a fait le trajet nous arrêtant seulement pour prendre ce beau gosse.

Marie a gerbé, comme le fond souvent les femmes enceintes au début de leur grossesse.

- Il est en pleine forme, regardez, environ trois mois départ de votre aménorrhée.
Voulez-vous savoir le sexe de votre bébé ?
- Marie qu’en penses-tu ?
- Si toi tu le veux je suis d’accord Joseph.
- Incroyable, vous vous appelez Marie et vous Joseph jeune homme.
Je pense que vous savez que vous avez conçu ce bébé en faisant l’amour et sans une opération du Saint-Esprit.
À bien calculer, votre enfant va naître très près du jour de Noël voir même ce jour.
Alors ce sexe ?
- Oui.
- Joseph, voulez-vous découvrir le sexe de votre enfant ?
- Comment ?
- Prenez ce lecteur, promenez-le sur le ventre de votre femme, je suis sûr que vous allez trouver.

Ma femme si au village on savait !
Elle me donne le lecteur met du gel, je cherche.

- Vous pouvez appuyer, vous verrez mieux.
À voilà bébé.
J'ai vu et vous.

Je tâtonne.

- Ce truc, c’est un garçon !
- Ce truc comme vous dites, c’est une verge, du moins un bout de verge.
Restez sans bouger, parfait.
Je fais une photo.

Nous retrouvons le taxi.
Je suis fière je vais avoir un mâle comme disent les paysans de chez nous mais avec de l’anxiété car il est possible que nous soyons découverts.
Nous rejoignons notre montagne quand Blanche arrête le taxi.

- Je pense que c’est là que vous descendez, encore félicitations.
Voilà ma carte, vous m’inviterez au baptême.

J’embrasse Marie qui continue son chemin emportant ma progéniture.
Je remets ma tenue de joggeur.
À l’aller ça descendait vers la vallée là sa monte.
Heureusement que j’ai repris mon entraînement depuis que je suis arrivé dans ces montagnes sinon on m’aurait retrouvé mort au pied d’un arbre.
J’arrive sur la place près du café de Jules.

- Et curé, viens boire un coup, il faut être fou pour courir par ces temps.
Regarde, nous à cette époque, on décroche à 16 heures et nous nous retrouvons chez Jules jusqu’à 19 heures où nous rentrons à la maison bobonne ayant préparé le fricot.

Je suis plié en deux, quand je me sens apostrophé, je fais celui qui s’étire pour éviter de faire voir aux quatre abrutis attablés à l’ombre à la terrasse du café que j’ai failli crever dans cette montée.

- Jules un blanc pour le curé, il lui faut du remontant.
- Non, Jules un Perrier.
- Tu rigoles, curé, ici à cette heure c’est l’apéro.
Dans le Sud, c’est le petit jaune et dans notre village c’est le blanc des montagnes.

Un verre est posé devant moi quand je fais le cinquième pour jouer au tarot.
Ras les bords, comme le disait Juda je me vois déjà en cure de désintoxe avec cette bande d’ivrognes.

- Où tu es allé courir, curé, je t’ai vu partir ce matin et revenir maintenant.
Tu as vu la petite pute dans son ambulance, elle est rentrée il y a une heure.
- Non, je suis passé derrière la montagne.
- Tu es allé au lac !
Patron remet nous ça.
- Pas pour moi, un verre me suffit.
- Tu vas me vexer, Joseph, refuser un verre ici c’est comme prêter sa femme à un autre, c’est mal vu.
- Ici il y en a qui prête leur femme à d'autres.
- Curé, tu te fous de nous, à confesse puisque tu les as repris, les cancans ça doit aller bon train.
- Georges tu sais qu’un curé ça ferme sa gueule.
C’est comme si tu disais que la petite Marie est aller à la ville passer une visite car elle est enceinte du curé.
Si tu descends en ville, crois-tu que le docteur Garde te dira qu’ils sont venus consulter.
Avec tout le respect que je te dois, curé, c'est une simple supposition.
- Vous dite ça car vous avez vu la Blanche avec son ambulance ramener Marie.
Tu oubli qu’elle est infirmière et elle a dû aller se rapprovisionner en divers produits pour son travail.
- Georges le bruit court que lorsque ta femme était à l’hosto, tu l’as reçu et que tu l’as niqué sur la table de ta cuisine dès que ton fils a eu le dos tourné.
- Patron une tournée.
- Et alors vous êtes jaloux et bien oui, Marie c’est ma maîtresse chaque fois qu’on le peut je la baise comme je baisais sa mère.
- C’est toi qui lui as fait ses gosses donc tu baises ta fille.
- Et les gars, vous allez trop loin, Marie est une jeune fille sage, arrêter de rapporter des ragots sur cette jeune fille.
Aller c’est m'a tourné.
Jules tu me la marque, je vous laisse, je vais prendre ma douche.

Je les quitte, une fois de plus j’étais en terrain glissant, il faut dire que je suis un peu beurré.

- Joseph, j’ai tout vu de ma chambre, derrière ma fenêtre, je suis accouru quand je t’ai vu te lever.
Viens, nous allons prendre une douche, je vais te remettre sur pied.
Prendre une cuite le jour où on apprend qu’on va être papa…

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