COLLECTION RÉVEILLON de LA SAINT SYLVESTRE. Panne inopinée (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION RÉVEILLON de LA SAINT SYLVESTRE. Panne inopinée (2/2)
C’est entièrement de la faute de Charles, mon mari si pour le réveillon du jour de l’An, je me trouve dans une situation insolite.
Négligeant un voyant de sécurité moteur de notre voiture, il décide tout de même de rejoindre sa sœur et ses parents non loin d’Albertville où ils habitent pour réveillonner.
Nous partons de Grenoble là où nous résidons et où nous avons un cabinet d’avocats.
C’est à la suite de nombreux incidents, accidents sur l’autoroute et éboulement sur la route nationale, qu’au lieu de rebrousser chemin, il insiste jusque dans un virage ou la voiture refuse de continuer.
La tempête de neige qui fait rage, est un facteur supplémentaire de stress mêlé à une zone blanche en téléphonie qui fait de nous, des naufragés de la route.
Par change, la lumière d’un chalet au-dessus de nous, nous permet d’espérer passer la nuit au chaud.
Nous franchissons les trois cents mètres jusqu’à la porte d’entrée où Charles frappe.
C’est une jeune femme en peignoir qui vient nous ouvrir.
Nous pensons qu’elle s’est spécialement levée pour nous, malgré la musique qui semble battre son plein à l’intérieur.
Mais nous nous trompons, car ce sont quatre couples libertins qui font la fête lors de ces dernières heures de l’année.
Je suis face à la cheminée ou de belles bûches crépitent m’apportant une grande chaleur.
Élodie qui nous a fait entrer avec son mari Gilles, vient s’asseoir sur l’accoudoir du fauteuil où je me suis installée.
Ce qui est bizarre pour moi qui suis habillée, c’est de voir les seins et l’intimité d’Élodie à quelques centimètres de mes yeux, même si ayant enlevé son peignoir, elle porte un paréo.
Élodie récupère ma coupe et me prends la main, est-ce cette boisson fraîche, il m’en faut peu pour être pompette, je me lève et me coule dans ses bras.
Je voudrais bien mieux analyser ce qu’il m’arrive surtout si près de mon mari qui a chaque tour de ce slow je le vois dans mon champ de vision, il parle avec Sacha et Robin, Sacha, blonde et rondouillette.
Au début du slow, Élodie me tient par la main classiquement avec entre nous de l’espace.
Le morceau avançant, la jeune femme est de plus en plus mollement dans mes bras au point que nos seins et nos bas-ventres se retrouvent à être collés.
Je suis obligée de constater que mon vagin s’échauffe.
Je constatais ce genre de phénomène avec Charles dans mes premières années de mariage.
Force est de constater que depuis plusieurs mois, cette sensation de planer à disparu.
Sa main passe derrière ma nuque, mais avant de céder, je vois Sacha, s’appuyer sur le bras de Charles et qui éclate de rire.
Charles faisant éclater de rire, Sacha, ça m’interpelle, homme de dossiers, il est plutôt du genre réservé et taciturne, qu’a-t-il pu lui dire.
C’est le moment où Élodie me saisissant par la nuque m’empêche d’avoir un moment de recul lorsque sa bouche prend la mienne.
Ai-je vraiment l’envie de reculer et d’échapper à sa langue ?
Combien de tour de plus en plus lent fait-on avant que je reprenne pied dans la pièce où tout s’accélère.
Je devrais être jalouse autant que Charles pourrait l’être, mais Sacha a descendu le pantalon de costume de mon mari et se baissant me montrant son cul très rebondi lui fait une fellation.
Je suis obligée de constater, qu’à une heure de la fin de l’année 2021, nous venons de rentrer dans le monde de l’échangisme.
Charles me regarde, pensant que je vais me mettre en colère, mais comment le faire quand on apprécie, de finir le slow tombant dans le fauteuil alors que ma cavalière s’agenouille devant moi.
J’ai chaud, mais de bien autre chose que les buches qui continuent à crépiter.
Certainement experte des délices lesbiennes, Élodie soulève ma robe en même temps que mon compas s’ouvre.
Je porte un string, mais la langue se contrefiche de ce morceau de tissu, le léchant à le rendre translucide.
Je suis brune presque noire et rapidement la touffe que je me fais dans mon bain apparaît.
La main de mon amante remonte sous ma robe pour trouver mon sein droit.
Si j’aime la touffe sur ma chatte, lorsque Charles savait s’en servir, mes seins en forme de poire finissent par une belle fraise.
Ils sont au paroxysme de la douleur lorsque Sacha les malaxe.
« Non, Sacha continue »...
C’est ce que je pense, lorsqu’elle arrête, mais pour mieux ôter mes vêtements, me dénudant pour la première fois de ma vie.
Au plus loin que je me souvienne, chez mes parents et depuis mon mariage, j’ai toujours été ausculté par des médecins femmes.
Me prenant par la main, Élodie s’approche des buches me couchant sur une peau de bête, certainement un loup.
Je sais que des femmes se donnent du plaisir simultanément, mais le faire moi-même qui aurais pu le croire en début de cette soirée ?
Je voyais les poils auburn de ma nouvelle amie au travers de son paréo, mais là elle l’a quitté et se plaçant en 69, vient dans ma fourche alors que la sienne descend sur mes lèvres.
Si je connais la position dite en 69, c’est grâce au jour ou à la télé lors d’un jeu, que les gens se sont mis à rire, sans que je sache ce que représentait la position 69.
Je m’en suis ouverte à Charles qui lui aussi, pour une fois, s'est moqué de mon air con.
Après son explication, j’aurais dit tête-bêche, mais il est vrai que ces deux chiffres représentent bien ce que nous faisons avec Élodie.
Contrairement à moi qui ai un vagin sans grandes lèvres, il faut qu’avec mes doigts j’écarte celle de mon amie.
Il m’arrive souvent de me caresser le clito surtout dans ces derniers temps de disette familiale, mais ma petite boule est riquiqui comparée à la petite bite d’Élodie.
J’insiste et j’ai le plaisir de la sentir gémir sur moi.
Je la fais basculer et nous nous retrouvons côte à côte, mais plutôt tête à cul.
Au fil de la chaleur nous envahissant, aussi bien à cause du feu et de nos langues, nous passons tantôt dessus tantôt dessous jusqu’à ce qu’un orgasme simultané nous frappe.
Près de nous, Lorenzo, nous ayant été présenté avec Amélia sa femme, d’origine portugaise tous les deux, assis dans l’un des fauteuils se masturbe en nous regardant.
Je mets du temps à réagir étant montée à dix mille, mais Élodie insatiable se rapproche et commence à lui faire une fellation.
C’est à quatre pattes que je les rejoins ma salope de copine me laissant une place pour que ma langue vienne participer à la fête.
Mon champ de vision très limité ma tête à hauteur de la tête d’Élodie et de la verge tendue, j’ai le temps de voir Charles bourrer la chatte d’Amélia.
Amélia femme de Lorenzo couple portugais, donc, son propriétaire d’une agence immobilière, eux aussi à Paris dans le marais.
La belle salope est à quatre pattes sur une vieille malle en bois, mais c’est tout ce que je vois, car le mouvement de la verge dans ma bouche me cache le restant de la fornication.
• Allez, il est près, je lui ai mis sa capote, empale-toi ma chérie.
Je vois mieux Charles tenant les hanches d’Amélia lorsque je me redresse et que j’enfourche cette verge que j’avais du mal à faire entrer dans ma bouche.
Disons que mon mari est normalement membré alors que celle de Lorenzo est plutôt de taille XXL.
Quand Élodie écarte ma chatte pour qu’il entre en moi, je me demande si c’est moi ou Amélia qui est gagnante.
Au volume qui finit intégralement en moi lorsque je sens mon cul toucher les couilles de mon premier amant, j’ai l’impression que c’est moi.
Mais les cris de plaisir nous submergeant elle et moi me montre une égalité parfaite.
C’est à ce moment que la chaîne s’énerve.
Sébastien Patrick de son prénom vient nous annoncer qu’il est bientôt minuit.
Mon dieu, qu’une heure, c’est cour lorsque l’on fornique entre amis.
Inutile de nous poser la question d’une éventuelle fatigue, tous se retrouvent au milieu de la salle à tressauter comme des malades.
« Ha! Qu'est-ce qu'on est serré, au fond de cette boîte !
Chantent les sardines, chantent les sardines ! »
Cinq paires de seins, non quatre, ceux de Carla femme de Nicolas tenant une maison de la presse à Courbevoie, là encore nous ayant été présentées à notre arrivée, sont du genre limande, mais fort jolis pour autant.
Cinq paire de seins, cinq bites, qui viennent se coller à moi chaque fois qu’un de nos ventres se rapproche en sautant.
J’ai le droit à celle maritale, avec en prime une caresse sur ma joue.
Je suis aux anges, le regard d’amour que me lance Charles me montre que la flamme est revenue entre nous.
« Cinq, quatre, trois, deux, un, zéro, bonne année 2022, qu’elle soit pleine et prospère pour tous. »
Nous finissons dans les bras les uns des autres et les premiers seins qui se collent au mien sont ceux d’Élodie tenant à être la première à me souhaiter cette nouvelle année.
L’an dernier chez mes beaux-parents, ce sont nos joues qui recevaient nos baisés, dans ce chalet, c’est nos bouches qui se mélangent les unes les autres.
Mais je m’interromps quelques instants, Chris71 à quelque chose à vous dire.
Oui, chères lectrices et chers lecteurs ainsi que les administrateurs de HDS, bonne année 2022 à tous.
Mais retournons à l’histoire contée par Natacha, la dernière de 2021 et la première de cette nouvelle année.
Merci Chris71 pour vos bons vœux, merci de nous écrire des histoires et de raconter à tous comment d’épouse presque modèle, on peut devenir une belle salope suite à une panne inopinée de notre voiture.
Les bouchons de champagne sautent et nous aspergent lorsque Gilles et Charles qui les ont pris dans la coupe ou les bouteilles étaient dans la glace et c’est sans retenue que je bois à même le goulot ce divin breuvage de fête.
Quelle heure est-il lorsque Élodie et Sacha m’aide à monter l’escalier menant vers les chambres ?
Je l’ignore, ce que je sais c’est que je me réveille la tête de Sacha léchant mon sexe.
J’ai la gueule de bois, trop de champagne tue ce que je me souviens avoir appelé ce divin breuvage.
Mais c’est avec délice que de nouveau ma chatte et surtout mon clito s’enflamme sous les coups de langue de ma nouvelle amante.
Une bonne odeur de café envahit la chambre quand Élodie entre avec un plateau avec tasses et croissants, elle est nue avec un tablier de soubrette.
• Où est Charles, les filles ?
• Il est temps de te poser la question après la nuit que tu as passée, j’ai rarement vu un tel déchainement sur les bites de nos hommes.
Mais soit rassurée, nous allons toutes biens et nous avons eu largement notre part.
C’est vrai, j’ai le vague souvenir d’avoir sucé, léché, avalé des bites dans ma bouche et dans d’autres endroits, entrecoupé de grandes gorgées de champagne.
• Charles et nos hommes ont déjeuné il y a presque une heure, ils ont prêté des affaires à ton mari et ils ont pris les skis pour descendre au village.
Je pense qu’à cette heure, ils ont téléphoné au service du dépannage et qu’ils vont venir voir ce que votre voiture a.
La neige a fini de tomber, nous venons de voir le chasse-neige passer.
Avant de partir au village j’ai vu nos hommes dégager le chemin avec des pelles et certainement votre voiture.
Café et croissants ingurgités, mon début de migraine disparaît.
Là, je sais pourquoi contrairement aux fois où à la maison je me plains pour éviter mon devoir conjugal.
Mon devoir conjugal, je le fais bien volontiers après quelques jours passés avec nos amis.
Le contrat de dépannage prévoyait un retour à domicile avec un véhicule que le garagiste venu charger notre voiture nous laisse au bas du chemin.
Nous retournons chez nous quelques jours après, comme Charles, les filles me trouvent fuseau et pull.
C’est au village que dès le lendemain avec là encore une nuit un peu agitée que nous montons au sommet de la montagne pour skier toute l’après-midi.
Le soir fondue au fromage, nous permettant grâce à des gages de baisers les unes avec les autres.
Voilà mon aventure pourrait s’arrêter là, mais de retour à l’étude les fêtes étant terminées, dès que nous rentrons, je vais voir ma gynéco pour pouvoir procréer en parfaite osmose entre nous.
Quelques semaines plus tard, j’ai le plaisir de parler au téléphone avec nos amis pour la venue d’un petit Valentin qui sera, Vierge ou Balance.
Une dernière chose, mes beaux-parents garderont notre fils pour le Nouvel An prochain, nous avons rendez-vous avec tous nos amis au chalet.
Fort de notre expérience de l’an passé, c’est en taxi que nous rejoindrons la bande.
Un dernier point, Georgette ma belle-sœur est venue avec Gratien son fiancé, la quarantaine, cheveux poivre et sel en juillet alors qu’Élodie et Serge étaient chez nous.
Ma belle-sœur nous avait caché qu’elle aimait plutôt le sexe, elle nous avoue avoir rencontré Gratien dans un club échangiste.
Bien sûr, au 1er de l'an prochain nul doute que l’invitation portée par les amis échangistes parisiens verra de jolies parties de cul dans notre chalet où nous participons aux frais d’entretien.
Voilà, cette histoire est terminée, la première de 2022.
Encore bonne année à tous, de mon côté je ferai le maximum pour vous rendre heureux, pardon, heureuses avec mes petites histoires.
Celui qui espère être votre ami. Chris.
Mais, vous, messieurs, faite attention à vos femmes, j’ai fermement l’intention de faire d’elles de fieffées salopes.
Négligeant un voyant de sécurité moteur de notre voiture, il décide tout de même de rejoindre sa sœur et ses parents non loin d’Albertville où ils habitent pour réveillonner.
Nous partons de Grenoble là où nous résidons et où nous avons un cabinet d’avocats.
C’est à la suite de nombreux incidents, accidents sur l’autoroute et éboulement sur la route nationale, qu’au lieu de rebrousser chemin, il insiste jusque dans un virage ou la voiture refuse de continuer.
La tempête de neige qui fait rage, est un facteur supplémentaire de stress mêlé à une zone blanche en téléphonie qui fait de nous, des naufragés de la route.
Par change, la lumière d’un chalet au-dessus de nous, nous permet d’espérer passer la nuit au chaud.
Nous franchissons les trois cents mètres jusqu’à la porte d’entrée où Charles frappe.
C’est une jeune femme en peignoir qui vient nous ouvrir.
Nous pensons qu’elle s’est spécialement levée pour nous, malgré la musique qui semble battre son plein à l’intérieur.
Mais nous nous trompons, car ce sont quatre couples libertins qui font la fête lors de ces dernières heures de l’année.
Je suis face à la cheminée ou de belles bûches crépitent m’apportant une grande chaleur.
Élodie qui nous a fait entrer avec son mari Gilles, vient s’asseoir sur l’accoudoir du fauteuil où je me suis installée.
Ce qui est bizarre pour moi qui suis habillée, c’est de voir les seins et l’intimité d’Élodie à quelques centimètres de mes yeux, même si ayant enlevé son peignoir, elle porte un paréo.
Élodie récupère ma coupe et me prends la main, est-ce cette boisson fraîche, il m’en faut peu pour être pompette, je me lève et me coule dans ses bras.
Je voudrais bien mieux analyser ce qu’il m’arrive surtout si près de mon mari qui a chaque tour de ce slow je le vois dans mon champ de vision, il parle avec Sacha et Robin, Sacha, blonde et rondouillette.
Au début du slow, Élodie me tient par la main classiquement avec entre nous de l’espace.
Le morceau avançant, la jeune femme est de plus en plus mollement dans mes bras au point que nos seins et nos bas-ventres se retrouvent à être collés.
Je suis obligée de constater que mon vagin s’échauffe.
Je constatais ce genre de phénomène avec Charles dans mes premières années de mariage.
Force est de constater que depuis plusieurs mois, cette sensation de planer à disparu.
Sa main passe derrière ma nuque, mais avant de céder, je vois Sacha, s’appuyer sur le bras de Charles et qui éclate de rire.
Charles faisant éclater de rire, Sacha, ça m’interpelle, homme de dossiers, il est plutôt du genre réservé et taciturne, qu’a-t-il pu lui dire.
C’est le moment où Élodie me saisissant par la nuque m’empêche d’avoir un moment de recul lorsque sa bouche prend la mienne.
Ai-je vraiment l’envie de reculer et d’échapper à sa langue ?
Combien de tour de plus en plus lent fait-on avant que je reprenne pied dans la pièce où tout s’accélère.
Je devrais être jalouse autant que Charles pourrait l’être, mais Sacha a descendu le pantalon de costume de mon mari et se baissant me montrant son cul très rebondi lui fait une fellation.
Je suis obligée de constater, qu’à une heure de la fin de l’année 2021, nous venons de rentrer dans le monde de l’échangisme.
Charles me regarde, pensant que je vais me mettre en colère, mais comment le faire quand on apprécie, de finir le slow tombant dans le fauteuil alors que ma cavalière s’agenouille devant moi.
J’ai chaud, mais de bien autre chose que les buches qui continuent à crépiter.
Certainement experte des délices lesbiennes, Élodie soulève ma robe en même temps que mon compas s’ouvre.
Je porte un string, mais la langue se contrefiche de ce morceau de tissu, le léchant à le rendre translucide.
Je suis brune presque noire et rapidement la touffe que je me fais dans mon bain apparaît.
La main de mon amante remonte sous ma robe pour trouver mon sein droit.
Si j’aime la touffe sur ma chatte, lorsque Charles savait s’en servir, mes seins en forme de poire finissent par une belle fraise.
Ils sont au paroxysme de la douleur lorsque Sacha les malaxe.
« Non, Sacha continue »...
C’est ce que je pense, lorsqu’elle arrête, mais pour mieux ôter mes vêtements, me dénudant pour la première fois de ma vie.
Au plus loin que je me souvienne, chez mes parents et depuis mon mariage, j’ai toujours été ausculté par des médecins femmes.
Me prenant par la main, Élodie s’approche des buches me couchant sur une peau de bête, certainement un loup.
Je sais que des femmes se donnent du plaisir simultanément, mais le faire moi-même qui aurais pu le croire en début de cette soirée ?
Je voyais les poils auburn de ma nouvelle amie au travers de son paréo, mais là elle l’a quitté et se plaçant en 69, vient dans ma fourche alors que la sienne descend sur mes lèvres.
Si je connais la position dite en 69, c’est grâce au jour ou à la télé lors d’un jeu, que les gens se sont mis à rire, sans que je sache ce que représentait la position 69.
Je m’en suis ouverte à Charles qui lui aussi, pour une fois, s'est moqué de mon air con.
Après son explication, j’aurais dit tête-bêche, mais il est vrai que ces deux chiffres représentent bien ce que nous faisons avec Élodie.
Contrairement à moi qui ai un vagin sans grandes lèvres, il faut qu’avec mes doigts j’écarte celle de mon amie.
Il m’arrive souvent de me caresser le clito surtout dans ces derniers temps de disette familiale, mais ma petite boule est riquiqui comparée à la petite bite d’Élodie.
J’insiste et j’ai le plaisir de la sentir gémir sur moi.
Je la fais basculer et nous nous retrouvons côte à côte, mais plutôt tête à cul.
Au fil de la chaleur nous envahissant, aussi bien à cause du feu et de nos langues, nous passons tantôt dessus tantôt dessous jusqu’à ce qu’un orgasme simultané nous frappe.
Près de nous, Lorenzo, nous ayant été présenté avec Amélia sa femme, d’origine portugaise tous les deux, assis dans l’un des fauteuils se masturbe en nous regardant.
Je mets du temps à réagir étant montée à dix mille, mais Élodie insatiable se rapproche et commence à lui faire une fellation.
C’est à quatre pattes que je les rejoins ma salope de copine me laissant une place pour que ma langue vienne participer à la fête.
Mon champ de vision très limité ma tête à hauteur de la tête d’Élodie et de la verge tendue, j’ai le temps de voir Charles bourrer la chatte d’Amélia.
Amélia femme de Lorenzo couple portugais, donc, son propriétaire d’une agence immobilière, eux aussi à Paris dans le marais.
La belle salope est à quatre pattes sur une vieille malle en bois, mais c’est tout ce que je vois, car le mouvement de la verge dans ma bouche me cache le restant de la fornication.
• Allez, il est près, je lui ai mis sa capote, empale-toi ma chérie.
Je vois mieux Charles tenant les hanches d’Amélia lorsque je me redresse et que j’enfourche cette verge que j’avais du mal à faire entrer dans ma bouche.
Disons que mon mari est normalement membré alors que celle de Lorenzo est plutôt de taille XXL.
Quand Élodie écarte ma chatte pour qu’il entre en moi, je me demande si c’est moi ou Amélia qui est gagnante.
Au volume qui finit intégralement en moi lorsque je sens mon cul toucher les couilles de mon premier amant, j’ai l’impression que c’est moi.
Mais les cris de plaisir nous submergeant elle et moi me montre une égalité parfaite.
C’est à ce moment que la chaîne s’énerve.
Sébastien Patrick de son prénom vient nous annoncer qu’il est bientôt minuit.
Mon dieu, qu’une heure, c’est cour lorsque l’on fornique entre amis.
Inutile de nous poser la question d’une éventuelle fatigue, tous se retrouvent au milieu de la salle à tressauter comme des malades.
« Ha! Qu'est-ce qu'on est serré, au fond de cette boîte !
Chantent les sardines, chantent les sardines ! »
Cinq paires de seins, non quatre, ceux de Carla femme de Nicolas tenant une maison de la presse à Courbevoie, là encore nous ayant été présentées à notre arrivée, sont du genre limande, mais fort jolis pour autant.
Cinq paire de seins, cinq bites, qui viennent se coller à moi chaque fois qu’un de nos ventres se rapproche en sautant.
J’ai le droit à celle maritale, avec en prime une caresse sur ma joue.
Je suis aux anges, le regard d’amour que me lance Charles me montre que la flamme est revenue entre nous.
« Cinq, quatre, trois, deux, un, zéro, bonne année 2022, qu’elle soit pleine et prospère pour tous. »
Nous finissons dans les bras les uns des autres et les premiers seins qui se collent au mien sont ceux d’Élodie tenant à être la première à me souhaiter cette nouvelle année.
L’an dernier chez mes beaux-parents, ce sont nos joues qui recevaient nos baisés, dans ce chalet, c’est nos bouches qui se mélangent les unes les autres.
Mais je m’interromps quelques instants, Chris71 à quelque chose à vous dire.
Oui, chères lectrices et chers lecteurs ainsi que les administrateurs de HDS, bonne année 2022 à tous.
Mais retournons à l’histoire contée par Natacha, la dernière de 2021 et la première de cette nouvelle année.
Merci Chris71 pour vos bons vœux, merci de nous écrire des histoires et de raconter à tous comment d’épouse presque modèle, on peut devenir une belle salope suite à une panne inopinée de notre voiture.
Les bouchons de champagne sautent et nous aspergent lorsque Gilles et Charles qui les ont pris dans la coupe ou les bouteilles étaient dans la glace et c’est sans retenue que je bois à même le goulot ce divin breuvage de fête.
Quelle heure est-il lorsque Élodie et Sacha m’aide à monter l’escalier menant vers les chambres ?
Je l’ignore, ce que je sais c’est que je me réveille la tête de Sacha léchant mon sexe.
J’ai la gueule de bois, trop de champagne tue ce que je me souviens avoir appelé ce divin breuvage.
Mais c’est avec délice que de nouveau ma chatte et surtout mon clito s’enflamme sous les coups de langue de ma nouvelle amante.
Une bonne odeur de café envahit la chambre quand Élodie entre avec un plateau avec tasses et croissants, elle est nue avec un tablier de soubrette.
• Où est Charles, les filles ?
• Il est temps de te poser la question après la nuit que tu as passée, j’ai rarement vu un tel déchainement sur les bites de nos hommes.
Mais soit rassurée, nous allons toutes biens et nous avons eu largement notre part.
C’est vrai, j’ai le vague souvenir d’avoir sucé, léché, avalé des bites dans ma bouche et dans d’autres endroits, entrecoupé de grandes gorgées de champagne.
• Charles et nos hommes ont déjeuné il y a presque une heure, ils ont prêté des affaires à ton mari et ils ont pris les skis pour descendre au village.
Je pense qu’à cette heure, ils ont téléphoné au service du dépannage et qu’ils vont venir voir ce que votre voiture a.
La neige a fini de tomber, nous venons de voir le chasse-neige passer.
Avant de partir au village j’ai vu nos hommes dégager le chemin avec des pelles et certainement votre voiture.
Café et croissants ingurgités, mon début de migraine disparaît.
Là, je sais pourquoi contrairement aux fois où à la maison je me plains pour éviter mon devoir conjugal.
Mon devoir conjugal, je le fais bien volontiers après quelques jours passés avec nos amis.
Le contrat de dépannage prévoyait un retour à domicile avec un véhicule que le garagiste venu charger notre voiture nous laisse au bas du chemin.
Nous retournons chez nous quelques jours après, comme Charles, les filles me trouvent fuseau et pull.
C’est au village que dès le lendemain avec là encore une nuit un peu agitée que nous montons au sommet de la montagne pour skier toute l’après-midi.
Le soir fondue au fromage, nous permettant grâce à des gages de baisers les unes avec les autres.
Voilà mon aventure pourrait s’arrêter là, mais de retour à l’étude les fêtes étant terminées, dès que nous rentrons, je vais voir ma gynéco pour pouvoir procréer en parfaite osmose entre nous.
Quelques semaines plus tard, j’ai le plaisir de parler au téléphone avec nos amis pour la venue d’un petit Valentin qui sera, Vierge ou Balance.
Une dernière chose, mes beaux-parents garderont notre fils pour le Nouvel An prochain, nous avons rendez-vous avec tous nos amis au chalet.
Fort de notre expérience de l’an passé, c’est en taxi que nous rejoindrons la bande.
Un dernier point, Georgette ma belle-sœur est venue avec Gratien son fiancé, la quarantaine, cheveux poivre et sel en juillet alors qu’Élodie et Serge étaient chez nous.
Ma belle-sœur nous avait caché qu’elle aimait plutôt le sexe, elle nous avoue avoir rencontré Gratien dans un club échangiste.
Bien sûr, au 1er de l'an prochain nul doute que l’invitation portée par les amis échangistes parisiens verra de jolies parties de cul dans notre chalet où nous participons aux frais d’entretien.
Voilà, cette histoire est terminée, la première de 2022.
Encore bonne année à tous, de mon côté je ferai le maximum pour vous rendre heureux, pardon, heureuses avec mes petites histoires.
Celui qui espère être votre ami. Chris.
Mais, vous, messieurs, faite attention à vos femmes, j’ai fermement l’intention de faire d’elles de fieffées salopes.
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