COLLECTION SALOPE. La bourge et les poivrots (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION SALOPE. La bourge et les poivrots (2/2)
Comment cela est-il possible, une Jaguar neuve dans les années 80 achetées 2 jours plus tôt, plus précisément commandé 15 jours plus tôt et récupéré le lundi tombant en panne, ça fait désordre.
Si cela s’était passé sur le parking du club de tennis de Castel, la ville où nous habitons avec Gondrin mon mari directeur de la plus grande banque de cette ville, les conséquences auraient été moindres.
J’aurais appelé Stevin, le gérant et professeur de tennis qui aurait appelé le concessionnaire, le directeur est un joueur du club et tout aurait été réglé en quelques minutes.
Pour une voiture de ce prix, tomber en panne au bout de deux jours, ça aurait été un tel crime qu’en plus de leurs excuses, le directeur aurait été capable comme au temps des samouraïs de se faire hara-kiri.
La malchance a voulu que l’impossible avec une telle voiture se produise le jour où j’allais rejoindre le baron de la Motte, mon amant fétichiste à ses heures.
C’est une femme BCBG, presque entièrement nue, porte-jarretelle, bas résille et talons hauts, le tout recouvert de son vison doré qui se trouve contrainte d’entrer dans ce bistrot de campagne.
Ils sont quatre, quatre paysans avec Lucien, le patron buvant ce qu’ils ont appelé du gros rouge qui tache.
Avec Gondrin, sur notre table, que des grands crus de Bordeaux, rarement des grands bourgognes, sauf des vins de Pommard, de Gevrey-Chambertin et surtout les meilleurs millésimes du clos Vougeot.
Ces cinq personnages dignes des héros de grands auteurs riches, en images, se rendent compte de ma nudité et commencent à m’entreprendre.
Quatre bites de tout genre devant moi, non cinq, Lucien vient de sortir la sienne noueuse à souhait et me la met dans la main.
Sans être forcée, je m’agenouille mon manteau traînant au sol montrant à tous, cette chatte épilée qui semble tant les fasciner.
J’avance ma bouche, que la fête commence !
Je commence à peine à sucer le patron du bistrot lorsqu’une verge vient me forcer la main.
Je masturbe, je suce, je deviens chienne.
Au départ, quand j’ai compris que j’allais y passer, j’étais un tantinet anxieuse, cinq hommes tous des brutes épaisses espérant me baiser, cinq bites pour moi toute seule.
Je devrais prendre peur, mais la rudesse de ces hommes me ravis, depuis que je trompe Gondrin, lui qui baise la grosse pute du champ de foire.
C’est grâce à Chantal mon amie, que je lui fais pousser des cornes rien qu’avec du beau linge, colonel, notaire ou autre professeur de tennis.
Ici, dans ce trou du cul du monde, c’est une baise d’un autre temps que je commence à subir.
Subir étant un grand mot, car c’est moi qui devance les volontés de ces cul-terreux. Avec les amies de ma classe sociale, lorsque nous prenons des petits fours au salon de thé de la place du marché, nous aimons les rabaisser autant que faire se peut.
C’est le cas avec un dénommé Albert, qui vient de s'asseoir sur une chaise et qui m’attirant à lui m’aide à ôter mon vison qui tombe au sol.
Je l’enfourche enfonçant sa grosse bite dans mon vagin.
Je deviens presque hystérique pour la première fois de ma vie.
Mes jambes comme si elles étaient montées sur ressort me montent pour mieux me faire redescendent, m’enfonçant jusqu’à mon utérus me faisant hurler à réveiller les morts.
• Fais-lui fermer sa gueule Constantin, elle barrie plus fort que ta Georgina quand je la sexe, ici derrière mon bar.
• Attends Lucien, madame, sucez-moi la bite.
Aussitôt dit aussitôt fait, j’ai près des yeux un gros bâton que je m’empresse de faire entrer dans ma bouche.
• Putain la salope, j’en ai jamais vu de pareil, Sylvana ma femme est chaude, vous le savez bien les copains, mais celle-là, elle la bat de trois longueurs.
Je m’allonge, portez là sur ma queue.
Madame, il faut vous demander si vous êtes d’accord, comme Lucien vient de nous le dire, j’aimerais qu’Albert ou le patron vous encule.
Sentant que l’on apostrophe, je tourne la tête.
Je suis tellement partie vers ce que je croyais le sommet du plaisir, qu’il m’est impossible de dire qui me réclame, couché sur mon vison lui servant de lit.
Je suis à bout de souffle après le pied que je viens de prendre à la suite de cette chevauchée fantastique.
Mais lorsque ma bouche se vide, que ma chatte est libérée, je crois être arrivée au bout de ce parcours sexuel.
Je suis soulevée puis carrément jetée sur une verge qui entre encore plus profondément en moi.
C’est le quatrième mousquetaire qui me transperce de sa rapière.
Dans le château de monsieur le baron de la Motte, il devait me faire voir sa collection d'armures et d'armes de guerre.
Ici dans ce bistrot, j’ai cinq de ces armes à ma disposition pour refaire la guerre de Cent Ans.
• Oui, enculez-moi, vous serez le premier.
En disant cela, ma bouche se pose sur la bouche de Guillaume, le plus jeune de la bande.
C’est lui qui a pris mon manteau hors de prix pour en faire une couche pour mieux me donner du plaisir Sa bouche est tout aussi nauséabonde, il lui manque deux dents.
Une incisive et une canine, certainement perdu dans une bagarre entre jeunes cons du village.
Ce mâle qui me transperce, c’est Guillaume qui vient de parler de Sylvana, une des salopes de ce village de France.
Je sais, j’avais dit que je refusais d’embrasser !
Je l’embrasse, car lorsqu’un tisonnier entre dans mon anus d’une seule poussée, c’est le seul moyen que j’ai d’éviter d’ameuter tout le quartier.
Prise en double pénétration la douleur s’estompe et je savoure ces deux bites que je sens à travers mon périnée se frotter entre elles.
Je savais que la double pénétration existait par Chantal, une nouvelle fois, m’a parlé de cette débauche sexuelle qu'elle pratique dès qu’elle le peut.
Depuis qu’elle m’a entraînée dans ses jeux, elle m’a toujours incité à la pratiquer si l’occasion se présentait.
Encore faut-il être avec deux types dont l’un pratique la sodomie.
La panne de ma Jaguar et ces cinq hommes en rut m’en donnent l’occasion.
Savoir qu’ils sont les premiers, je sens celui qui a eu l’honneur de me déflorer l’anus m'arroser rapidement, vite remplacé par un autre qui rentre comme dans du beurre.
Les giclées de spermes du premier lubrifient le passage pour le deuxième, qui, lorsque je tourne la tête lui-même remplacé par le patron qui attendait son tour.
Guillaume qui tient le choc dans ma chatte et les quatre autres se relayant m’inondant chaque fois, quand les deux ensemble crachent la purée, giclant en moi.
Ils m’inondent de bonnes doses de sperme,ho, je dois tourner de l’œil quand l’orgasme des orgasmes embrase tout mon corps.
• Laissez-la respirer, les gars, vous l’avez tellement bien défoncée qu’elle en a carrément tourné de l’œil.
• Les copains, j’ai roulé une pelle à une bourge de Castel, vous l’avez vue !
J’avais dit refusé d’embrasser ces hommes et dans ma décharge d’adrénaline, je me suis laissée prendre au jeu.
Veulent-ils me faire pleinement reprendre connaissance ou veulent-ils profiter de la situation, je suis ballotée de l’un vers l’autre et chacun leur tour ils m’emballent.
Guillaume, Lucien, Constantin, Sylvain et surtout Albert le plus déluré de tous.
Albert qui était derrière moi lorsque j’ai accepté de me faire enculer.
A-t-il eu l’honneur d’être le premier ?
• Guillaume, tu l’as embrassé comme on vient chacun de le faire, mais dis-toi qu’à jamais Geneviève saura que c’est l’Albert qui lui a pris le petit.
Toi, le petit, à part au tarot, t’a fait bernique.
J’ai ma réponse, c’est bien Albert qui m’a enculée pour la première fois de ma vie à quarante ans.
• Geneviève, bois un coup de picrate, c’est le meilleur remède pour te remettre sur pied, allez les gars, c’est ma tournée.
• Non, la mienne, je te dis que c’est la mienne.
Nous sommes debout le long du bar.
Ils ont su se partager mon corps, Guillaume me caresse les seins pendant qu’Albert me met le goulot dans la bouche et que je savoure ce « picrate » comme ils disent.
En plus de me caresser les seins, ce qui fait chauffer le fourneau de ma chatte, je sens sa verge coller à mes fesses dégoulinant de sperme.
• Viens, ma belle sur la chaise, je veux t’enculer, moi aussi.
Quelle force de la nature, il a tenu la distance dans ma chatte, a déchargé en fin de parcours.
Comme il est plus gros que la moyenne de ses copains, lorsqu’il pénètre mon trou de balle, j’ai l’impression d’être dépucelée pour la deuxième fois en peu de temps.
La première fois j'étais face à mon pourfendeur, là je suis de dos, mais rapidement, je sens mes muscles travailler comme s’ils étaient indépendants de moi, mais a pour résultat de jouir par le trou du cul.
Une nouvelle fois je suis emplie de sperme, fière d’avoir réussi à satisfaire cinq mâles en rut, cinq poivrots quand ils remettent une tournée.
• Guillaume, toi qui voulais reprendre le garage du vieux François qui veut prendre sa retraite.
Va voir pourquoi la voiture de Geneviève est tombée en carafe devant le bar.
Tu es le plus doué de nous cinq avec les moteurs, le baron semblant être aux abonnés absents.
Geneviève donne lui tes clefs.
Je récupère mon manteau que je remets sur mon dos, je vois que mes bas dans les assauts que j’ai subis consentante et je récupère les clefs que je lui donne.
• Guillaume, si tu réussis à la réparer, je vais t’aider, je sais comment, à l’aide d’une petite gâterie auprès de Gondrin.
Maintenant, je suce aussi bien que cette pute de Léontine, dont vous avez parlé ensemble tout à l’heure.
Inutile de leur dire, que c’est grâce à elle si je me suis donnée à eux ce soir, Gondrin étant, lui aussi client.
Guillaume ouvre la porte s’étant rendu présentable, le jour commençant à pointer.
Cinq minutes et dans le calme de cette fin de nuit, j’entends mon moteur démarrer.
Il revient vers nous très fier.
• C’était un fil du Delco qui s’était détaché, ça arrive sur les voitures neuves.
Une voiture neuve peut être, mais une Jaguar, c’est hors de question que je laisse passer cela, dès que je serai de retour à Castel, le concessionnaire va m’entendre.
Après que je sois rentrée pour récupérer, il va de soi.
• Je vous remercie, je vais rentrer, merci pour la merveilleuse soirée que j’ai passée avec vous !
Je récupère mes clefs, je suis suivi par cinq paires d’yeux quand je me mets au volant de ma voiture.
Je fais deux kilomètres quand je me rends compte que j’ai été légère avec Guillaume concernant ma promesse à Guillaume.
Je fais demi-tour et j’ouvre la porte du bar.
Ils sont toujours au bar, un verre en main.
• Geneviève, tu as envie d’une petite tournée, tu pourrais en laisser aux femmes de tes copains, lorsqu’ils rentreront chez eux.
• Merci Lucien, j’ai, moi aussi ma dose, mais je veux demander les besoins de Guillaume.
Après ce que vous m’avez fait subir, mais je vous rassure de manière tout à fait consentante, je te dois bien ça, je veux t’aider Guillaume.
Que voulais-tu acheter avec le crédit qui t’a été refusé par les adjoints de Gondrin ?
• Le garage, François me le cède pour le franc symbolique, juste les frais notariaux.
Il me fallait changer le pont et la machine à contrôler l’équilibrage des roues, avec un petit pécule pour démarrer sans risque.
• Je vais demander à Gondrin, il a ton dossier, je t’assure qu’il sera favorable.
Mercredi prochain, vous serez là tous les cinq.
• Oui, chaque mercredi, nous nous réunissons.
• Guillaume prépare-moi des catalogues des machines que tu souhaites acheter, je vais te les offrir sur ma fortune personnelle.
Les visites de ma Jag, ce sera toi qui les feras Guillaume, je te le promets.
Pour vos dossiers concernant la vente de la ferme du vieux Léon.
Lucien, toi semblant maîtriser cette bande de poivrots que j’ai appris à aimer en une seule nuit.
Occupe-toi du partage des terres entre Albert et Constantin.
J’ai de gros appuie dans les ministères grâce à ma famille.
Mon nom de jeune fille c’est la Tour du Pain, nous avons une grosse influence dans le pays et dans notre région !
L’autoroute va passer hors des terres que Gondrin vous a spoliées.
Elles vont finir par lui couter du fric, il va se dépêcher de vous les brader.
Mercredi prochain, je vais revenir, cinq, vous m’avez tuée, j’ai une copine Chantal de Carnac, une particule elle aussi.
Je suis sûr qu’elle sera enchantée de m’accompagner, vous pourrez nous satisfaire.
Lucien, met nous une tournée, la dernière pour moi, je conduis, j’adore votre gros rouge qui tache.
Je sais, je vais reprendre le volant plus que pompette !
Si je suis contrôlée, moi la bourge, je sais qui de droit me fait sauter mon PV et mon retrait de permis.
À quoi cela sert autrement de s’appeler la Tour du Pain.
Un dernier point, c’est Chris qui ajoute que les pointues de l’orthographe se calme.
Dans ces deux chapitres les dialogues que je transcris après les renseignements que m’a donnés Geneviève de la Tour du Pain.
Je les ai écrits dans le langage de ces poivrots de comptoirs surtout après quelques verres d’Algériens.
Merci à tous mes lecteurs.
Si cela s’était passé sur le parking du club de tennis de Castel, la ville où nous habitons avec Gondrin mon mari directeur de la plus grande banque de cette ville, les conséquences auraient été moindres.
J’aurais appelé Stevin, le gérant et professeur de tennis qui aurait appelé le concessionnaire, le directeur est un joueur du club et tout aurait été réglé en quelques minutes.
Pour une voiture de ce prix, tomber en panne au bout de deux jours, ça aurait été un tel crime qu’en plus de leurs excuses, le directeur aurait été capable comme au temps des samouraïs de se faire hara-kiri.
La malchance a voulu que l’impossible avec une telle voiture se produise le jour où j’allais rejoindre le baron de la Motte, mon amant fétichiste à ses heures.
C’est une femme BCBG, presque entièrement nue, porte-jarretelle, bas résille et talons hauts, le tout recouvert de son vison doré qui se trouve contrainte d’entrer dans ce bistrot de campagne.
Ils sont quatre, quatre paysans avec Lucien, le patron buvant ce qu’ils ont appelé du gros rouge qui tache.
Avec Gondrin, sur notre table, que des grands crus de Bordeaux, rarement des grands bourgognes, sauf des vins de Pommard, de Gevrey-Chambertin et surtout les meilleurs millésimes du clos Vougeot.
Ces cinq personnages dignes des héros de grands auteurs riches, en images, se rendent compte de ma nudité et commencent à m’entreprendre.
Quatre bites de tout genre devant moi, non cinq, Lucien vient de sortir la sienne noueuse à souhait et me la met dans la main.
Sans être forcée, je m’agenouille mon manteau traînant au sol montrant à tous, cette chatte épilée qui semble tant les fasciner.
J’avance ma bouche, que la fête commence !
Je commence à peine à sucer le patron du bistrot lorsqu’une verge vient me forcer la main.
Je masturbe, je suce, je deviens chienne.
Au départ, quand j’ai compris que j’allais y passer, j’étais un tantinet anxieuse, cinq hommes tous des brutes épaisses espérant me baiser, cinq bites pour moi toute seule.
Je devrais prendre peur, mais la rudesse de ces hommes me ravis, depuis que je trompe Gondrin, lui qui baise la grosse pute du champ de foire.
C’est grâce à Chantal mon amie, que je lui fais pousser des cornes rien qu’avec du beau linge, colonel, notaire ou autre professeur de tennis.
Ici, dans ce trou du cul du monde, c’est une baise d’un autre temps que je commence à subir.
Subir étant un grand mot, car c’est moi qui devance les volontés de ces cul-terreux. Avec les amies de ma classe sociale, lorsque nous prenons des petits fours au salon de thé de la place du marché, nous aimons les rabaisser autant que faire se peut.
C’est le cas avec un dénommé Albert, qui vient de s'asseoir sur une chaise et qui m’attirant à lui m’aide à ôter mon vison qui tombe au sol.
Je l’enfourche enfonçant sa grosse bite dans mon vagin.
Je deviens presque hystérique pour la première fois de ma vie.
Mes jambes comme si elles étaient montées sur ressort me montent pour mieux me faire redescendent, m’enfonçant jusqu’à mon utérus me faisant hurler à réveiller les morts.
• Fais-lui fermer sa gueule Constantin, elle barrie plus fort que ta Georgina quand je la sexe, ici derrière mon bar.
• Attends Lucien, madame, sucez-moi la bite.
Aussitôt dit aussitôt fait, j’ai près des yeux un gros bâton que je m’empresse de faire entrer dans ma bouche.
• Putain la salope, j’en ai jamais vu de pareil, Sylvana ma femme est chaude, vous le savez bien les copains, mais celle-là, elle la bat de trois longueurs.
Je m’allonge, portez là sur ma queue.
Madame, il faut vous demander si vous êtes d’accord, comme Lucien vient de nous le dire, j’aimerais qu’Albert ou le patron vous encule.
Sentant que l’on apostrophe, je tourne la tête.
Je suis tellement partie vers ce que je croyais le sommet du plaisir, qu’il m’est impossible de dire qui me réclame, couché sur mon vison lui servant de lit.
Je suis à bout de souffle après le pied que je viens de prendre à la suite de cette chevauchée fantastique.
Mais lorsque ma bouche se vide, que ma chatte est libérée, je crois être arrivée au bout de ce parcours sexuel.
Je suis soulevée puis carrément jetée sur une verge qui entre encore plus profondément en moi.
C’est le quatrième mousquetaire qui me transperce de sa rapière.
Dans le château de monsieur le baron de la Motte, il devait me faire voir sa collection d'armures et d'armes de guerre.
Ici dans ce bistrot, j’ai cinq de ces armes à ma disposition pour refaire la guerre de Cent Ans.
• Oui, enculez-moi, vous serez le premier.
En disant cela, ma bouche se pose sur la bouche de Guillaume, le plus jeune de la bande.
C’est lui qui a pris mon manteau hors de prix pour en faire une couche pour mieux me donner du plaisir Sa bouche est tout aussi nauséabonde, il lui manque deux dents.
Une incisive et une canine, certainement perdu dans une bagarre entre jeunes cons du village.
Ce mâle qui me transperce, c’est Guillaume qui vient de parler de Sylvana, une des salopes de ce village de France.
Je sais, j’avais dit que je refusais d’embrasser !
Je l’embrasse, car lorsqu’un tisonnier entre dans mon anus d’une seule poussée, c’est le seul moyen que j’ai d’éviter d’ameuter tout le quartier.
Prise en double pénétration la douleur s’estompe et je savoure ces deux bites que je sens à travers mon périnée se frotter entre elles.
Je savais que la double pénétration existait par Chantal, une nouvelle fois, m’a parlé de cette débauche sexuelle qu'elle pratique dès qu’elle le peut.
Depuis qu’elle m’a entraînée dans ses jeux, elle m’a toujours incité à la pratiquer si l’occasion se présentait.
Encore faut-il être avec deux types dont l’un pratique la sodomie.
La panne de ma Jaguar et ces cinq hommes en rut m’en donnent l’occasion.
Savoir qu’ils sont les premiers, je sens celui qui a eu l’honneur de me déflorer l’anus m'arroser rapidement, vite remplacé par un autre qui rentre comme dans du beurre.
Les giclées de spermes du premier lubrifient le passage pour le deuxième, qui, lorsque je tourne la tête lui-même remplacé par le patron qui attendait son tour.
Guillaume qui tient le choc dans ma chatte et les quatre autres se relayant m’inondant chaque fois, quand les deux ensemble crachent la purée, giclant en moi.
Ils m’inondent de bonnes doses de sperme,ho, je dois tourner de l’œil quand l’orgasme des orgasmes embrase tout mon corps.
• Laissez-la respirer, les gars, vous l’avez tellement bien défoncée qu’elle en a carrément tourné de l’œil.
• Les copains, j’ai roulé une pelle à une bourge de Castel, vous l’avez vue !
J’avais dit refusé d’embrasser ces hommes et dans ma décharge d’adrénaline, je me suis laissée prendre au jeu.
Veulent-ils me faire pleinement reprendre connaissance ou veulent-ils profiter de la situation, je suis ballotée de l’un vers l’autre et chacun leur tour ils m’emballent.
Guillaume, Lucien, Constantin, Sylvain et surtout Albert le plus déluré de tous.
Albert qui était derrière moi lorsque j’ai accepté de me faire enculer.
A-t-il eu l’honneur d’être le premier ?
• Guillaume, tu l’as embrassé comme on vient chacun de le faire, mais dis-toi qu’à jamais Geneviève saura que c’est l’Albert qui lui a pris le petit.
Toi, le petit, à part au tarot, t’a fait bernique.
J’ai ma réponse, c’est bien Albert qui m’a enculée pour la première fois de ma vie à quarante ans.
• Geneviève, bois un coup de picrate, c’est le meilleur remède pour te remettre sur pied, allez les gars, c’est ma tournée.
• Non, la mienne, je te dis que c’est la mienne.
Nous sommes debout le long du bar.
Ils ont su se partager mon corps, Guillaume me caresse les seins pendant qu’Albert me met le goulot dans la bouche et que je savoure ce « picrate » comme ils disent.
En plus de me caresser les seins, ce qui fait chauffer le fourneau de ma chatte, je sens sa verge coller à mes fesses dégoulinant de sperme.
• Viens, ma belle sur la chaise, je veux t’enculer, moi aussi.
Quelle force de la nature, il a tenu la distance dans ma chatte, a déchargé en fin de parcours.
Comme il est plus gros que la moyenne de ses copains, lorsqu’il pénètre mon trou de balle, j’ai l’impression d’être dépucelée pour la deuxième fois en peu de temps.
La première fois j'étais face à mon pourfendeur, là je suis de dos, mais rapidement, je sens mes muscles travailler comme s’ils étaient indépendants de moi, mais a pour résultat de jouir par le trou du cul.
Une nouvelle fois je suis emplie de sperme, fière d’avoir réussi à satisfaire cinq mâles en rut, cinq poivrots quand ils remettent une tournée.
• Guillaume, toi qui voulais reprendre le garage du vieux François qui veut prendre sa retraite.
Va voir pourquoi la voiture de Geneviève est tombée en carafe devant le bar.
Tu es le plus doué de nous cinq avec les moteurs, le baron semblant être aux abonnés absents.
Geneviève donne lui tes clefs.
Je récupère mon manteau que je remets sur mon dos, je vois que mes bas dans les assauts que j’ai subis consentante et je récupère les clefs que je lui donne.
• Guillaume, si tu réussis à la réparer, je vais t’aider, je sais comment, à l’aide d’une petite gâterie auprès de Gondrin.
Maintenant, je suce aussi bien que cette pute de Léontine, dont vous avez parlé ensemble tout à l’heure.
Inutile de leur dire, que c’est grâce à elle si je me suis donnée à eux ce soir, Gondrin étant, lui aussi client.
Guillaume ouvre la porte s’étant rendu présentable, le jour commençant à pointer.
Cinq minutes et dans le calme de cette fin de nuit, j’entends mon moteur démarrer.
Il revient vers nous très fier.
• C’était un fil du Delco qui s’était détaché, ça arrive sur les voitures neuves.
Une voiture neuve peut être, mais une Jaguar, c’est hors de question que je laisse passer cela, dès que je serai de retour à Castel, le concessionnaire va m’entendre.
Après que je sois rentrée pour récupérer, il va de soi.
• Je vous remercie, je vais rentrer, merci pour la merveilleuse soirée que j’ai passée avec vous !
Je récupère mes clefs, je suis suivi par cinq paires d’yeux quand je me mets au volant de ma voiture.
Je fais deux kilomètres quand je me rends compte que j’ai été légère avec Guillaume concernant ma promesse à Guillaume.
Je fais demi-tour et j’ouvre la porte du bar.
Ils sont toujours au bar, un verre en main.
• Geneviève, tu as envie d’une petite tournée, tu pourrais en laisser aux femmes de tes copains, lorsqu’ils rentreront chez eux.
• Merci Lucien, j’ai, moi aussi ma dose, mais je veux demander les besoins de Guillaume.
Après ce que vous m’avez fait subir, mais je vous rassure de manière tout à fait consentante, je te dois bien ça, je veux t’aider Guillaume.
Que voulais-tu acheter avec le crédit qui t’a été refusé par les adjoints de Gondrin ?
• Le garage, François me le cède pour le franc symbolique, juste les frais notariaux.
Il me fallait changer le pont et la machine à contrôler l’équilibrage des roues, avec un petit pécule pour démarrer sans risque.
• Je vais demander à Gondrin, il a ton dossier, je t’assure qu’il sera favorable.
Mercredi prochain, vous serez là tous les cinq.
• Oui, chaque mercredi, nous nous réunissons.
• Guillaume prépare-moi des catalogues des machines que tu souhaites acheter, je vais te les offrir sur ma fortune personnelle.
Les visites de ma Jag, ce sera toi qui les feras Guillaume, je te le promets.
Pour vos dossiers concernant la vente de la ferme du vieux Léon.
Lucien, toi semblant maîtriser cette bande de poivrots que j’ai appris à aimer en une seule nuit.
Occupe-toi du partage des terres entre Albert et Constantin.
J’ai de gros appuie dans les ministères grâce à ma famille.
Mon nom de jeune fille c’est la Tour du Pain, nous avons une grosse influence dans le pays et dans notre région !
L’autoroute va passer hors des terres que Gondrin vous a spoliées.
Elles vont finir par lui couter du fric, il va se dépêcher de vous les brader.
Mercredi prochain, je vais revenir, cinq, vous m’avez tuée, j’ai une copine Chantal de Carnac, une particule elle aussi.
Je suis sûr qu’elle sera enchantée de m’accompagner, vous pourrez nous satisfaire.
Lucien, met nous une tournée, la dernière pour moi, je conduis, j’adore votre gros rouge qui tache.
Je sais, je vais reprendre le volant plus que pompette !
Si je suis contrôlée, moi la bourge, je sais qui de droit me fait sauter mon PV et mon retrait de permis.
À quoi cela sert autrement de s’appeler la Tour du Pain.
Un dernier point, c’est Chris qui ajoute que les pointues de l’orthographe se calme.
Dans ces deux chapitres les dialogues que je transcris après les renseignements que m’a donnés Geneviève de la Tour du Pain.
Je les ai écrits dans le langage de ces poivrots de comptoirs surtout après quelques verres d’Algériens.
Merci à tous mes lecteurs.
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