COLLECTION SALOPE. Que m’ait-il passé par la tête. Début de la saison II (4/7)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION SALOPE. Que m’ait-il passé par la tête. Début de la saison II (4/7)
Je viens d’entrer dans un autre monde surtout lorsque William a un geste vers moi.
C’est ce que je me dis lorsque William mon patron dont je suis sa secrétaire me pose sa main sur ma cuisse.
Nous sommes dans un taxi maître qui vient le chercher tous les jours et qui le reconduit le soir.
Le temps où nous avons pris les grandes lignes du contrat que je vais devoir rédiger, contrôlé par les avocats des deux parties, a filé et c’est à 22 heures qu’il me dépose au pied de chez moi.
Tout au long du parcours, sa main est restée sagement posée non loin de ma chatte, je m’attendais à plus d’audace facilitée par la nuit étant tombé.
• Blanche, êtes-vous contente de m’accompagner à cette chasse ?
• Oui, même si j’ai une grande crainte de tenir un fusil, surtout si je suis dans l’obligation de tirer un coup !
Je me rends compte de l’énormité que je viens de prononcer devant mon patron lorsque les mots « tirer un coup » sortent de ma bouche.
• Blanche, soyez rassurée, des coups vous en tirerez avec le fusil que je vous choisirai.
Anatole en possède de très beaux, spécifiques pour les femmes, sans recul.
Vous allez voir, les canards pullulent sur les mares du domaine de notre client.
Blanche, nous arrivons, je vous propose de venir vous prendre à 7 heures demain matin, bien sûr, je prends en charge les kilomètres supplémentaires.
Je sais que les factures de Serge, le taxi sont payées par son entreprise en frais généraux.
À part Claudette la DRH ayant encore une dent contre moi, car je l’ai empêchée de faire embaucher sa gouine de copine, j’ai de nombreuses amies dont Sophie, la comptable.
Le midi nous mangeons souvent notre plat à la salle de repos et l’autre midi, elle venait de finir une réunion à l’autre bout de l’usine et elle avait posé ses dossiers.
Sur le devant la facture de Serge Taxi était là et je l’ai vue.
• Bonsoir, mon chéri, Jules dort déjà je pense !
Merci d’avoir assumé.
Que dire de la réception surtout lorsque j’ajoute ?
• Le week-end prochain, je travaille, mon patron a besoin de moi, comme il est prévu dans le contrat que je t’ai montré.
Tu connais toutes mes réserves émises lorsque tu m’as parlé de retravailler.
Le ton monte entre nous.
• Toi aussi tu connais mes réserves émises avant d’accepter de nous marier et d’avoir Jules.
Bientôt, tu vas m’imposer le voile comme certains de tes copains le fait envers leurs femmes dès qu’elles sortent à l'extérieur !
• Rabaisse d’un ton, tu vas réveiller Jules.
Elles sont musulmanes et sont libres de le porter.
Si je suis amené à prendre des décisions entre nous, tu seras la seule responsable.
• Maman, pourquoi tu cries après papa, ça m’a réveillé.
• Tu vois tu as gagné, même ton fils dit que tu hurles.
• Jules file au lit, papa se sert de toi pour m’imposer son style de vie.
• Pauvre folle, tu mériterais que je te fasse enfermer.
Je reconduis mon fils dans sa chambre et je me couche à ses côtés, c’est ainsi que Radia vient nous réveiller, j’ai passé ma nuit habillée près de lui.
Il est 6 heures trente, William passe me prendre dans une demi-heure.
Radia semble étonnée, quoique, mais je me prépare même ma douche sans petite culotte bien sûr et à trois minutes près, je suis à la hauteur du taxi qui m’attend.
• Excusez mon petit retard, j’ai eu un souci de dernière minute avec mon fils.
Inutile de lui dire que ce soir, je risque de me retrouver seul avec mon fils, si Hamed met ses menaces à exécution.
Va-t-il nous abandonner ?
Je me calme, si c’est le cas, j’ai un travail et un salaire, j’assumerai.
Serge nous dépose devant notre café où nous déjeunons.
Je passe ma journée où j’ai un problème avec William.
Sa main sur ma cuisse, comme hier, il la posait sans aller plus loin !
• Blanche, vous faite-vous des cafés salés ?
Je suis surprise de la question, William m’a demandé un café après qu’il m’ait caressée sous ma jupe en même temps qu’il signait les six lettres que j’avais préparées.
Je finis par penser que par ce geste il se donne du courage pour signer certains de ces documents engageant des centaines voire des milliers de gens.
• Pourquoi William ?
• Celui que vous m’avez servi hier était salé.
• Je vais enquêter William !
Je connais la salope qui m’a fait cette crasse pour une nouvelle fois se venger de mon embauche.
Lorsque j’ai préparé les tasses pour mon café et celui de William, Claudette buvait le sien.
Je les prépare chaque fois de la même façon, mais là j’ai été appelé par Sophie pour lui donner un chiffre en ma possession dans un dossier.
À bien y réfléchir, pour une fois c’est moi qui ai pris les tasses différemment de mon habitude.
Ce café était pour moi.
La patience, Maman me l’a apprise afin d’éviter de réagir sous l’emprise de la colère.
Un jour je sais que mon heure viendra.
C’est dans la voiture que je donne un début de solution à mon enquête !
• Ce doit être moi, William, j’ai été dérangée et lorsque je suis revenue, j’ai dû prendre la salière à la place du sucrier.
C’est la seule fois ou sa main déjà sur le haut de ma cuisse la serre un peu fortement.
• Je vous pardonne Blanche, une erreur reconnue est une erreur pardonnée.
Le soir Hamed est là, Radia brille par son absence, la soirée est glaciale et ni l’un ni l’autre ne voulons relancer nos engueulades.
Me connaissant, il sait que si je décide, il est inutile de me faire du chantage pour me faire changer d’avis.
• Je te rappelle que demain matin je pars jusqu’à dimanche soir pour la Sologne.
• Tu peux, je vais assumer !
Dit sur un ton froid, la menace est là, mais je veux mettre en pratique ce que je lui ai dit avant notre mariage et qu’il a accepté.
Le soir, si nous avions une deuxième chambre, je m’y réfugierais, mais je suis bien obligé de partager ma couche avec celui qui en peu de temps un fossé gigantesque s’est creusé.
Si un géomètre était venu mesurer l’espace entre nous toute la nuit, vu le lit en 140 que nous avons, il nous aurait proposé de loger toute une autre famille.
Lorsque mon portable sonne, je vais dans notre salle de bains où j’y ai mis mes affaires pour une sortie à la campagne.
Pantacourt en jeans, baskets blanches avec socquettes blanches, elles aussi.
Pour le haut, chemise à carreaux dans les bleus gris et blanc sur un débardeur sans protection pour mes seins.
Le tout avec un petit sac à main pour y ranger poudrier et carte d’identité des fois que je me perde avec sur mes épaules un astrakan en cas de fraicheur ce matin.
Je suis prête, je vais embrasser Jules qui dans son sommeil fronce son petit nez fripon.
Si j’ai un regret, c’est de me séparer de lui de si bonne heure ce matin et jusqu’à demain soir.
• Vous êtes éblouissante Blanche, je serai très fière d’être à vos côtés ces deux journées.
Là encore, c’est en taxi que nous rejoignons l’Eure et Loire ou nous arrivons vers huit heures.
Pour sa part, William toujours aussi droit et select est en tenue saharienne, pantalon et veste, un vrai major anglais.
Il lui manque la moustache recourbée et la badine sous le bras.
• Bonjour Blanche, bonjour William, vous avez fait bonne route !
Je vous présente ma femme Geneviève.
Cette jeune femme va vous conduire vers vos appartements pour la nuit prochaine, vos tenues de chasse et vos fusils, vous attend.
• Blanche, permettez-moi de vous appeler Blanche, ici pas de chichi nous sommes entre amies, appelez-moi Geneviève.
Votre tenue à votre taille ainsi qu’une petite surprise sont dans la chambre que je vous ai réservée.
Bon séjour, nous attendons encore un couple fermant la marche, mais ils nous ont envoyé un SMS qu’ils seraient là à 8 heures 15.
Collation à neuf heures et départ à postes de chasse vers 10 heures.
Nous chasserons jusqu’à 12 heures avant d’y retourner à 15 heures jusqu’à épuisement des chasseurs ou des canards.
• Merci Geneviève.
Je suis émerveillée, de telles choses existe en France et semble réservée à quelques privilégiés.
La soubrette nous fait entrer dans le manoir, nous sommes parties à la nuit, maintenant il fait plein jour.
Elle me fait entrer dans une chambre où mon sac, avec mon nécessaire pour la nuit, est déjà sur le reposoir à valises.
William est entré dans la chambre voisine.
Sur le lit, une tenue de chasse classique avec une casquette orange, sûrement pour se faire voir des autres chasseurs.
En plus, sur le lit, se trouve une robe longue de princesse blanche avec des chaussures à talons hauts.
Posé dessus, un bristol avec une écriture à la main.
« Blanche, voici votre tenue de chasse et surtout la robe du soir que vous porterez ce soir au banquet que nous donnons à tous nos invités.
En espérant que sa couleur vous plaira, passez une agréable journée.
Geneviève.
Pour cette robe, si le moindre problème se pose, venez me le dire dès que vous descendrez, je ferai le nécessaire pour vous satisfaire, je suis votre obligée. »
Mon dieu, mon fils me manque, mais je sens que cette journée sera très agréable.
La serveuse m’a montré la salle de bains spéciale pour moi toute seule.
C’est dans une eau à très bonne température et avec des sels de bain très adorant que je me prélasse, 9 heures, j’ai encore du temps.
Quelque part dans ma tête trotte, la signature du contrat.
Il faut se souvenir que c’est pour cela que nous sommes ici.
Mais, quand je mets ma tête sous l’eau, que la fête commence...
C’est ce que je me dis lorsque William mon patron dont je suis sa secrétaire me pose sa main sur ma cuisse.
Nous sommes dans un taxi maître qui vient le chercher tous les jours et qui le reconduit le soir.
Le temps où nous avons pris les grandes lignes du contrat que je vais devoir rédiger, contrôlé par les avocats des deux parties, a filé et c’est à 22 heures qu’il me dépose au pied de chez moi.
Tout au long du parcours, sa main est restée sagement posée non loin de ma chatte, je m’attendais à plus d’audace facilitée par la nuit étant tombé.
• Blanche, êtes-vous contente de m’accompagner à cette chasse ?
• Oui, même si j’ai une grande crainte de tenir un fusil, surtout si je suis dans l’obligation de tirer un coup !
Je me rends compte de l’énormité que je viens de prononcer devant mon patron lorsque les mots « tirer un coup » sortent de ma bouche.
• Blanche, soyez rassurée, des coups vous en tirerez avec le fusil que je vous choisirai.
Anatole en possède de très beaux, spécifiques pour les femmes, sans recul.
Vous allez voir, les canards pullulent sur les mares du domaine de notre client.
Blanche, nous arrivons, je vous propose de venir vous prendre à 7 heures demain matin, bien sûr, je prends en charge les kilomètres supplémentaires.
Je sais que les factures de Serge, le taxi sont payées par son entreprise en frais généraux.
À part Claudette la DRH ayant encore une dent contre moi, car je l’ai empêchée de faire embaucher sa gouine de copine, j’ai de nombreuses amies dont Sophie, la comptable.
Le midi nous mangeons souvent notre plat à la salle de repos et l’autre midi, elle venait de finir une réunion à l’autre bout de l’usine et elle avait posé ses dossiers.
Sur le devant la facture de Serge Taxi était là et je l’ai vue.
• Bonsoir, mon chéri, Jules dort déjà je pense !
Merci d’avoir assumé.
Que dire de la réception surtout lorsque j’ajoute ?
• Le week-end prochain, je travaille, mon patron a besoin de moi, comme il est prévu dans le contrat que je t’ai montré.
Tu connais toutes mes réserves émises lorsque tu m’as parlé de retravailler.
Le ton monte entre nous.
• Toi aussi tu connais mes réserves émises avant d’accepter de nous marier et d’avoir Jules.
Bientôt, tu vas m’imposer le voile comme certains de tes copains le fait envers leurs femmes dès qu’elles sortent à l'extérieur !
• Rabaisse d’un ton, tu vas réveiller Jules.
Elles sont musulmanes et sont libres de le porter.
Si je suis amené à prendre des décisions entre nous, tu seras la seule responsable.
• Maman, pourquoi tu cries après papa, ça m’a réveillé.
• Tu vois tu as gagné, même ton fils dit que tu hurles.
• Jules file au lit, papa se sert de toi pour m’imposer son style de vie.
• Pauvre folle, tu mériterais que je te fasse enfermer.
Je reconduis mon fils dans sa chambre et je me couche à ses côtés, c’est ainsi que Radia vient nous réveiller, j’ai passé ma nuit habillée près de lui.
Il est 6 heures trente, William passe me prendre dans une demi-heure.
Radia semble étonnée, quoique, mais je me prépare même ma douche sans petite culotte bien sûr et à trois minutes près, je suis à la hauteur du taxi qui m’attend.
• Excusez mon petit retard, j’ai eu un souci de dernière minute avec mon fils.
Inutile de lui dire que ce soir, je risque de me retrouver seul avec mon fils, si Hamed met ses menaces à exécution.
Va-t-il nous abandonner ?
Je me calme, si c’est le cas, j’ai un travail et un salaire, j’assumerai.
Serge nous dépose devant notre café où nous déjeunons.
Je passe ma journée où j’ai un problème avec William.
Sa main sur ma cuisse, comme hier, il la posait sans aller plus loin !
• Blanche, vous faite-vous des cafés salés ?
Je suis surprise de la question, William m’a demandé un café après qu’il m’ait caressée sous ma jupe en même temps qu’il signait les six lettres que j’avais préparées.
Je finis par penser que par ce geste il se donne du courage pour signer certains de ces documents engageant des centaines voire des milliers de gens.
• Pourquoi William ?
• Celui que vous m’avez servi hier était salé.
• Je vais enquêter William !
Je connais la salope qui m’a fait cette crasse pour une nouvelle fois se venger de mon embauche.
Lorsque j’ai préparé les tasses pour mon café et celui de William, Claudette buvait le sien.
Je les prépare chaque fois de la même façon, mais là j’ai été appelé par Sophie pour lui donner un chiffre en ma possession dans un dossier.
À bien y réfléchir, pour une fois c’est moi qui ai pris les tasses différemment de mon habitude.
Ce café était pour moi.
La patience, Maman me l’a apprise afin d’éviter de réagir sous l’emprise de la colère.
Un jour je sais que mon heure viendra.
C’est dans la voiture que je donne un début de solution à mon enquête !
• Ce doit être moi, William, j’ai été dérangée et lorsque je suis revenue, j’ai dû prendre la salière à la place du sucrier.
C’est la seule fois ou sa main déjà sur le haut de ma cuisse la serre un peu fortement.
• Je vous pardonne Blanche, une erreur reconnue est une erreur pardonnée.
Le soir Hamed est là, Radia brille par son absence, la soirée est glaciale et ni l’un ni l’autre ne voulons relancer nos engueulades.
Me connaissant, il sait que si je décide, il est inutile de me faire du chantage pour me faire changer d’avis.
• Je te rappelle que demain matin je pars jusqu’à dimanche soir pour la Sologne.
• Tu peux, je vais assumer !
Dit sur un ton froid, la menace est là, mais je veux mettre en pratique ce que je lui ai dit avant notre mariage et qu’il a accepté.
Le soir, si nous avions une deuxième chambre, je m’y réfugierais, mais je suis bien obligé de partager ma couche avec celui qui en peu de temps un fossé gigantesque s’est creusé.
Si un géomètre était venu mesurer l’espace entre nous toute la nuit, vu le lit en 140 que nous avons, il nous aurait proposé de loger toute une autre famille.
Lorsque mon portable sonne, je vais dans notre salle de bains où j’y ai mis mes affaires pour une sortie à la campagne.
Pantacourt en jeans, baskets blanches avec socquettes blanches, elles aussi.
Pour le haut, chemise à carreaux dans les bleus gris et blanc sur un débardeur sans protection pour mes seins.
Le tout avec un petit sac à main pour y ranger poudrier et carte d’identité des fois que je me perde avec sur mes épaules un astrakan en cas de fraicheur ce matin.
Je suis prête, je vais embrasser Jules qui dans son sommeil fronce son petit nez fripon.
Si j’ai un regret, c’est de me séparer de lui de si bonne heure ce matin et jusqu’à demain soir.
• Vous êtes éblouissante Blanche, je serai très fière d’être à vos côtés ces deux journées.
Là encore, c’est en taxi que nous rejoignons l’Eure et Loire ou nous arrivons vers huit heures.
Pour sa part, William toujours aussi droit et select est en tenue saharienne, pantalon et veste, un vrai major anglais.
Il lui manque la moustache recourbée et la badine sous le bras.
• Bonjour Blanche, bonjour William, vous avez fait bonne route !
Je vous présente ma femme Geneviève.
Cette jeune femme va vous conduire vers vos appartements pour la nuit prochaine, vos tenues de chasse et vos fusils, vous attend.
• Blanche, permettez-moi de vous appeler Blanche, ici pas de chichi nous sommes entre amies, appelez-moi Geneviève.
Votre tenue à votre taille ainsi qu’une petite surprise sont dans la chambre que je vous ai réservée.
Bon séjour, nous attendons encore un couple fermant la marche, mais ils nous ont envoyé un SMS qu’ils seraient là à 8 heures 15.
Collation à neuf heures et départ à postes de chasse vers 10 heures.
Nous chasserons jusqu’à 12 heures avant d’y retourner à 15 heures jusqu’à épuisement des chasseurs ou des canards.
• Merci Geneviève.
Je suis émerveillée, de telles choses existe en France et semble réservée à quelques privilégiés.
La soubrette nous fait entrer dans le manoir, nous sommes parties à la nuit, maintenant il fait plein jour.
Elle me fait entrer dans une chambre où mon sac, avec mon nécessaire pour la nuit, est déjà sur le reposoir à valises.
William est entré dans la chambre voisine.
Sur le lit, une tenue de chasse classique avec une casquette orange, sûrement pour se faire voir des autres chasseurs.
En plus, sur le lit, se trouve une robe longue de princesse blanche avec des chaussures à talons hauts.
Posé dessus, un bristol avec une écriture à la main.
« Blanche, voici votre tenue de chasse et surtout la robe du soir que vous porterez ce soir au banquet que nous donnons à tous nos invités.
En espérant que sa couleur vous plaira, passez une agréable journée.
Geneviève.
Pour cette robe, si le moindre problème se pose, venez me le dire dès que vous descendrez, je ferai le nécessaire pour vous satisfaire, je suis votre obligée. »
Mon dieu, mon fils me manque, mais je sens que cette journée sera très agréable.
La serveuse m’a montré la salle de bains spéciale pour moi toute seule.
C’est dans une eau à très bonne température et avec des sels de bain très adorant que je me prélasse, 9 heures, j’ai encore du temps.
Quelque part dans ma tête trotte, la signature du contrat.
Il faut se souvenir que c’est pour cela que nous sommes ici.
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