COLLECTION SALOPE. Que m’ait-il passé par la tête. Saison II (6/7)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION SALOPE. Que m’ait-il passé par la tête. Saison II (6/7)
Ces coups tirés, sous ma jupe, si William me passe sa main comme j’aime qu’il le fasse dans son bureau, il verrait que je mouille.
C’est les mots qui m’arrivent au cerveau quand je ris de cette répétition du fait des mots « tirer un coup. »J’ai l’esprit badin aujourd’hui.
C’est à ça que je pense de nouveau dans un bain bouillonnant que je prends dans la salle de bains mise à ma disposition.
Je dois me dépêcher, comme me l’a suggérée Geneviève au retour de la chasse, je me suis allongée sur mon lit en regardant la longue robe blanche que je vais porter ce soir.
Blanche comme mon nom, blanche comme ma robe de mariée qui me semble bien loin dans ma mémoire.
J’ai mis la télé où je peux capter Canal.
Bébelle nous a quittés et je regarde « le magnifique », il est magnifique, mais mes yeux ont dû se fermer quand le téléphone à côté de mon lit sonne.
• Madame Blanche, madame Geneviève vous prévient que le repas sera servi à l’heure prévue, je m’excuse de vous avoir dérangé.
Notre hôtesse doit avoir l’expérience de ces parties de chasse et doit savoir que lorsque nous nous allongeons, comme je l’ai fait l’heure, nous échappe.
Comme pour la tenue de chasse, je fais une vidéo dans ma robe longue.
Dans mes affaires, j’ai mis une petite culotte contraire à ce que souhaitait William.
Dans la glace, je vois comme le nez au milieu de ma figure, la marque de l’élastique.
Par sa forme, impossible de mettre un soutien-gorge de ce côté, c'est réglé.
William va être content, je suis nue sous cette magnifique robe.
Une pensée me vient, a-t-il choisi ce modèle avec Geneviève pour ce qu’il a d’indécent.
Une dernière fois, je veux embrasser mon fils, lui dire que tout va bien et que je l’aime.
Aucune réponse, je tombe sur le répondeur d’Hamed.
• Blanche, vous êtes encore plus magnifique que tout le reste de notre journée.
Vous allez être le phare de cette soirée, vous me voyez le plus heureux des hommes d’avoir accepté d’être ma cavalière.
Nous rejoignons la salle, où tout est prêt pour cette soirée, nous sommes toutes en robe du soir et les hommes en smoking.
William est l’un des plus beaux, il est fait pour le smoking, par sa droiture, j’évite de dire son balai dans le cul.
Repas principalement composé de canards, pâté, magret en plat principal.
Des musiciens sont en place et jouent pendant le repas.
Il attaque une valse, Anatole se lève s’approche de moi, je suis gênée et sa femme que va-t-elle penser si elle a l’impression que je lui pique son mari !
• Dansez-vous Blanche.
• Allez, mon amie, Anatole sait qu’il m’est impossible de valser, si William le permet, ouvrez le bal avec mon mari.
Par chance, je sais très bien danser et Anatole malgré son embonpoint est un parfait cavalier.
Un par un, les couples se forment et la piste est rapidement comble.
Je vois William se lever, quand nous passons près de lui, il s’impose à mon cavalier et c’est avec plaisir que je me coule dans ses bras.
Toute la soirée, je passe de bras en bras.
Tous les hommes veulent m’avoir dans leurs bras.
Certains me font sentir leur virilité forte intéressante pour certains, mais celui avec qui je danse tous les slows se conduit en vrai gentleman.
• Je vous raccompagne à votre chambre Blanche, la soirée se termine.
Lorsque nous montons vers les étages et les chambres, j’ai une boule au ventre, s’il veut entrer dans ma chambre, que dois-je faire.
Le rembarrer, le faire entrer !
J’ai déjà eu sa main sur ma chatte et lorsque dans la soirée j’ai été aux toilettes avec mon portable qui est posé sur la table, j’ai appelé Paris, de nouveau aucune réponse, aucun SMS ou MMS.
Il m’ouvre la porte, il me fait un baisemain et se dirige vers sa chambre, ça règle mon interrogation.
Je retourne me faire couler un bain, j’appelle de nouveau, rien à l’horizon.
Ça frappe à ma porte quand je viens de finir de m’essuyer, le service de Geneviève est bien fait, un peignoir est à ma disposition, je l’enfile et je vais à la porte.
• J’ai trouvé une bouteille de champagne et deux coupes, avez-vous soif Blanche.
Lui-même est en peignoir, je le laisse entrer.
Il pose le seau à champagne avec de la glace permettant de le garder au frais et des verres sur la table.
Je suis devant lui, mon peignoir s’ouvre quand je m’agenouille et que je détache la ceinture de son peignoir.
Oh, mon dieu.
C’est ce que je me dis quand je vois la queue de William.
Longue, si j’avais un centimètre je pense qu’un vingt serait trop insuffisant, un double ça serait voir trop grand.
Coupons la poire en deux, trente centimètres me semblent la bonne longueur.
Il faut se souvenir que mon mari a toujours refusé de se faire faire une fellation.
Une main sur le manche, la tête du nœud dans ma bouche, je la laisse glisser.
Je dois reculer, quand la tête touche ma glotte.
William me prend derrière les oreilles et dirige notre jeu.
Ma chatte ruisselle, c’est bizarre ce qu’il me passe par le cerveau.
Quand William dans son bureau ou dans la voiture, me posait sa main sur ma cuisse, si j’avais attrapé sa bite, j’aurais appris plutôt la droiture et la longueur de sa verge.
Elle est à l’image de son dos, droite comme un manche à balai.
Il règle notre jeu, il me redresse et me couche mes seins sur le lit.
J’ai enlevé ma robe longue qui est sur le lit à mon côté, quand il se positionne pour me pénétrer, de ma main, je l’agrippe.
Comme pour ma bouche et de ma profondeur de gorge, ma main laisse de la place libre.
Me tenant par les reins, le coup qu’il me donne lui permet de comprimer mon utérus, je suis prise comme jamais.
• Ah ! pourquoi seulement maintenant, je mouille pour vous depuis le premier jour.
• Vous m’impressionniez par votre assurance, Blanche, surtout depuis que je vous ai vu vos cuisses écartées dans le train.
J’ai eu des femmes dans ma vie, vous êtes la première qui m'a donné envie, mais j’avais du mal à franchir le pas.
William, me tenant par les hanches, il manœuvre jusqu’à ce qu’un orgasme me traverse et qu’il décharge en moi.
• Il est temps de boire une coupe.
Je suis sur ses genoux, je l’entoure de mes bras et nos langues se mélangent.
C’est lui qui me fait boire, il s’empare d’un glaçon et le promène sur mes seins.
S’ils gèlent rapidement, sa bite se réchauffe.
Je remets mes pieds au sol, je l’enfourche, il est de nouveau en moi, encore plus profondément, je sens ses couilles toucher mon intimité.
Ayant déchargé une première fois, il est performant et j’arrive à avoir un orgasme continu.
Je sens que je pars...
• William, où es-tu, dans la salle de bains ?
Je me rends compte que regardant mon portable, il est 14 heures.
Je me lève, je prends une douche, William m’ayant baisé a-t-il appelé son taxi et m’a-t-il abandonnée ?
Mon pantacourt, mon débardeur, ma chemise et je quitte ma chambre.
• Bonjour Blanche, William est dans le bureau d’Antoine, il parle affaires, je pense que ta nuit a été épuisante à voir ta tête.
Je vais te faire une confidence, tu es la première avec qui il vient ici, chaque fois il est seul, viens prendre un café.
Je suis une tasse à la main, quand les deux hommes sortent du bureau, William à son attachée caisse dans sa main.
• Pardon, monsieur, vous auriez pu venir me réveiller pour votre rendez-vous.
• Blanche, votre dossier et les contrats étaient si bien préparés que ça nous a pris moins de cinq minutes.
Allez chercher votre sac, le taxi sera là dans cinq minutes.
• Blanche, ce petit paquet, ce sont quelques petits bocaux de pâtés de canard qui ont été préparés avec la chasse d’hier.
J’ai mis notre numéro de téléphone, appelle nous si tu veux passer un week-end, tu seras toujours la bienvenue.
C’est dans les bras de William, sa main sur mon sein que je fais le voyage du retour.
Dans le rétroviseur, Serge me fait un clin d’œil.
Il doit me prendre pour une salope surtout lorsqu’il me dépose devant mon appartement.
William m’a embrassée au bout de ma rue et je descends devant chez moi.
La voiture repart lorsque je suis rentrée en sécurité, je prends l’ascenseur et j’ouvre la porte de l’appartement, pas un bruit.
Hamed et son fils doivent dormir.
Je fais le tour, c’est dans la cuisine que je trouve une lettre sur la table.
« Blanche, quand tu liras cette lettre, tous fils, Radia et moi nous serons au Maroc.
Tu es dans l’impossibilité d’élever mon fils dans l’esprit qui est le mien.
Avec ses sœurs Loubna et Nouzha, Radia sont les seules qui sauront lui apprendre les valeurs dans lesquelles je veux qu’il soit élevé.
Demain matin, mon avocat viendra te voir, il te dira ce que je souhaite pour mon avenir et celle de ton fils. »
Je fonce dans la chambre de Jules, l’armoire est à moitié vide et son doudou est absent.
Sauf, le doudou, dans notre chambre, les affaires d’été d’Hamed sont parties, seules celles d’hiver sont là.
Aucun doute, mon fils est au Maroc, j’avais entendu à la télé des mères rapporter leurs histoires après leur mariage avec un homme issu du Maghreb.
Je prends mon portable, j’appelle William.
• Oui, que vous arrive-t-il, Blanche, j’entends vos sanglots ma chérie ?
En sanglots, je réussis à lui expliquer ce qu’il m’arrive.
• Attendez, je vous rejoins...
C’est les mots qui m’arrivent au cerveau quand je ris de cette répétition du fait des mots « tirer un coup. »J’ai l’esprit badin aujourd’hui.
C’est à ça que je pense de nouveau dans un bain bouillonnant que je prends dans la salle de bains mise à ma disposition.
Je dois me dépêcher, comme me l’a suggérée Geneviève au retour de la chasse, je me suis allongée sur mon lit en regardant la longue robe blanche que je vais porter ce soir.
Blanche comme mon nom, blanche comme ma robe de mariée qui me semble bien loin dans ma mémoire.
J’ai mis la télé où je peux capter Canal.
Bébelle nous a quittés et je regarde « le magnifique », il est magnifique, mais mes yeux ont dû se fermer quand le téléphone à côté de mon lit sonne.
• Madame Blanche, madame Geneviève vous prévient que le repas sera servi à l’heure prévue, je m’excuse de vous avoir dérangé.
Notre hôtesse doit avoir l’expérience de ces parties de chasse et doit savoir que lorsque nous nous allongeons, comme je l’ai fait l’heure, nous échappe.
Comme pour la tenue de chasse, je fais une vidéo dans ma robe longue.
Dans mes affaires, j’ai mis une petite culotte contraire à ce que souhaitait William.
Dans la glace, je vois comme le nez au milieu de ma figure, la marque de l’élastique.
Par sa forme, impossible de mettre un soutien-gorge de ce côté, c'est réglé.
William va être content, je suis nue sous cette magnifique robe.
Une pensée me vient, a-t-il choisi ce modèle avec Geneviève pour ce qu’il a d’indécent.
Une dernière fois, je veux embrasser mon fils, lui dire que tout va bien et que je l’aime.
Aucune réponse, je tombe sur le répondeur d’Hamed.
• Blanche, vous êtes encore plus magnifique que tout le reste de notre journée.
Vous allez être le phare de cette soirée, vous me voyez le plus heureux des hommes d’avoir accepté d’être ma cavalière.
Nous rejoignons la salle, où tout est prêt pour cette soirée, nous sommes toutes en robe du soir et les hommes en smoking.
William est l’un des plus beaux, il est fait pour le smoking, par sa droiture, j’évite de dire son balai dans le cul.
Repas principalement composé de canards, pâté, magret en plat principal.
Des musiciens sont en place et jouent pendant le repas.
Il attaque une valse, Anatole se lève s’approche de moi, je suis gênée et sa femme que va-t-elle penser si elle a l’impression que je lui pique son mari !
• Dansez-vous Blanche.
• Allez, mon amie, Anatole sait qu’il m’est impossible de valser, si William le permet, ouvrez le bal avec mon mari.
Par chance, je sais très bien danser et Anatole malgré son embonpoint est un parfait cavalier.
Un par un, les couples se forment et la piste est rapidement comble.
Je vois William se lever, quand nous passons près de lui, il s’impose à mon cavalier et c’est avec plaisir que je me coule dans ses bras.
Toute la soirée, je passe de bras en bras.
Tous les hommes veulent m’avoir dans leurs bras.
Certains me font sentir leur virilité forte intéressante pour certains, mais celui avec qui je danse tous les slows se conduit en vrai gentleman.
• Je vous raccompagne à votre chambre Blanche, la soirée se termine.
Lorsque nous montons vers les étages et les chambres, j’ai une boule au ventre, s’il veut entrer dans ma chambre, que dois-je faire.
Le rembarrer, le faire entrer !
J’ai déjà eu sa main sur ma chatte et lorsque dans la soirée j’ai été aux toilettes avec mon portable qui est posé sur la table, j’ai appelé Paris, de nouveau aucune réponse, aucun SMS ou MMS.
Il m’ouvre la porte, il me fait un baisemain et se dirige vers sa chambre, ça règle mon interrogation.
Je retourne me faire couler un bain, j’appelle de nouveau, rien à l’horizon.
Ça frappe à ma porte quand je viens de finir de m’essuyer, le service de Geneviève est bien fait, un peignoir est à ma disposition, je l’enfile et je vais à la porte.
• J’ai trouvé une bouteille de champagne et deux coupes, avez-vous soif Blanche.
Lui-même est en peignoir, je le laisse entrer.
Il pose le seau à champagne avec de la glace permettant de le garder au frais et des verres sur la table.
Je suis devant lui, mon peignoir s’ouvre quand je m’agenouille et que je détache la ceinture de son peignoir.
Oh, mon dieu.
C’est ce que je me dis quand je vois la queue de William.
Longue, si j’avais un centimètre je pense qu’un vingt serait trop insuffisant, un double ça serait voir trop grand.
Coupons la poire en deux, trente centimètres me semblent la bonne longueur.
Il faut se souvenir que mon mari a toujours refusé de se faire faire une fellation.
Une main sur le manche, la tête du nœud dans ma bouche, je la laisse glisser.
Je dois reculer, quand la tête touche ma glotte.
William me prend derrière les oreilles et dirige notre jeu.
Ma chatte ruisselle, c’est bizarre ce qu’il me passe par le cerveau.
Quand William dans son bureau ou dans la voiture, me posait sa main sur ma cuisse, si j’avais attrapé sa bite, j’aurais appris plutôt la droiture et la longueur de sa verge.
Elle est à l’image de son dos, droite comme un manche à balai.
Il règle notre jeu, il me redresse et me couche mes seins sur le lit.
J’ai enlevé ma robe longue qui est sur le lit à mon côté, quand il se positionne pour me pénétrer, de ma main, je l’agrippe.
Comme pour ma bouche et de ma profondeur de gorge, ma main laisse de la place libre.
Me tenant par les reins, le coup qu’il me donne lui permet de comprimer mon utérus, je suis prise comme jamais.
• Ah ! pourquoi seulement maintenant, je mouille pour vous depuis le premier jour.
• Vous m’impressionniez par votre assurance, Blanche, surtout depuis que je vous ai vu vos cuisses écartées dans le train.
J’ai eu des femmes dans ma vie, vous êtes la première qui m'a donné envie, mais j’avais du mal à franchir le pas.
William, me tenant par les hanches, il manœuvre jusqu’à ce qu’un orgasme me traverse et qu’il décharge en moi.
• Il est temps de boire une coupe.
Je suis sur ses genoux, je l’entoure de mes bras et nos langues se mélangent.
C’est lui qui me fait boire, il s’empare d’un glaçon et le promène sur mes seins.
S’ils gèlent rapidement, sa bite se réchauffe.
Je remets mes pieds au sol, je l’enfourche, il est de nouveau en moi, encore plus profondément, je sens ses couilles toucher mon intimité.
Ayant déchargé une première fois, il est performant et j’arrive à avoir un orgasme continu.
Je sens que je pars...
• William, où es-tu, dans la salle de bains ?
Je me rends compte que regardant mon portable, il est 14 heures.
Je me lève, je prends une douche, William m’ayant baisé a-t-il appelé son taxi et m’a-t-il abandonnée ?
Mon pantacourt, mon débardeur, ma chemise et je quitte ma chambre.
• Bonjour Blanche, William est dans le bureau d’Antoine, il parle affaires, je pense que ta nuit a été épuisante à voir ta tête.
Je vais te faire une confidence, tu es la première avec qui il vient ici, chaque fois il est seul, viens prendre un café.
Je suis une tasse à la main, quand les deux hommes sortent du bureau, William à son attachée caisse dans sa main.
• Pardon, monsieur, vous auriez pu venir me réveiller pour votre rendez-vous.
• Blanche, votre dossier et les contrats étaient si bien préparés que ça nous a pris moins de cinq minutes.
Allez chercher votre sac, le taxi sera là dans cinq minutes.
• Blanche, ce petit paquet, ce sont quelques petits bocaux de pâtés de canard qui ont été préparés avec la chasse d’hier.
J’ai mis notre numéro de téléphone, appelle nous si tu veux passer un week-end, tu seras toujours la bienvenue.
C’est dans les bras de William, sa main sur mon sein que je fais le voyage du retour.
Dans le rétroviseur, Serge me fait un clin d’œil.
Il doit me prendre pour une salope surtout lorsqu’il me dépose devant mon appartement.
William m’a embrassée au bout de ma rue et je descends devant chez moi.
La voiture repart lorsque je suis rentrée en sécurité, je prends l’ascenseur et j’ouvre la porte de l’appartement, pas un bruit.
Hamed et son fils doivent dormir.
Je fais le tour, c’est dans la cuisine que je trouve une lettre sur la table.
« Blanche, quand tu liras cette lettre, tous fils, Radia et moi nous serons au Maroc.
Tu es dans l’impossibilité d’élever mon fils dans l’esprit qui est le mien.
Avec ses sœurs Loubna et Nouzha, Radia sont les seules qui sauront lui apprendre les valeurs dans lesquelles je veux qu’il soit élevé.
Demain matin, mon avocat viendra te voir, il te dira ce que je souhaite pour mon avenir et celle de ton fils. »
Je fonce dans la chambre de Jules, l’armoire est à moitié vide et son doudou est absent.
Sauf, le doudou, dans notre chambre, les affaires d’été d’Hamed sont parties, seules celles d’hiver sont là.
Aucun doute, mon fils est au Maroc, j’avais entendu à la télé des mères rapporter leurs histoires après leur mariage avec un homme issu du Maghreb.
Je prends mon portable, j’appelle William.
• Oui, que vous arrive-t-il, Blanche, j’entends vos sanglots ma chérie ?
En sanglots, je réussis à lui expliquer ce qu’il m’arrive.
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