COLLECTION SALOPE. Que m’est-il passé par la tête. Fin de la saison I (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION SALOPE. Que m’est-il passé par la tête. Fin de la saison I (3/3)
C’est à ce moment que je sens sa main glisser le long de ma jambe et venir constaté que j’ai suivi son conseil dans son courriel.
Lorsque ses doigts caressent ma chatte, comme une salope, je mouille.
C’est dans cette situation que je me trouve lorsque mon patron surnommé balai dans le cul, surnom que j’ai toujours dans ma tête que je me retrouve dans cette situation.
Moi qui pensais que ce patron était grivois à l’extérieur et strict à l’intérieur de l’entreprise, mais en réalité il a les deux facettes.
Grivois de chaque côté.
Va-t-il relever ma jupe, sortir sa verge et me prendre sur son bureau ?
Je pourrais le rabrouer au risque de me faire virer et de retourner à la case départ de mon mari trop heureux de me récupérer.
• Blanche, aller me chercher un café s’il vous plait !
Sa main me quitte, j’en ai presque mal et je vais à la salle de repos du personnel administratif faire mon travail de secrétaire d’un directeur.
Pour tous ces machos se faire servir leur café étant dans leurs prérogatives, je fais de même.
Le soir, je vais pour partir, un courriel arrive.
« Blanche, merci pour avoir exécuté ma demande, mais je voudrais que vous preniez une initiative, demain surprenez-moi ! »
Une nouvelle fois je reprends mon train sage comme une image.
Il est dix-huit heures lorsque je passe devant une boutique.
« Surprenez-moi ! »J’entre et j’en ressors, j’ai dans mon sac la surprise demandée par William.
De retour à notre appartement, Radia est là avec Jules sans Hamed.
• Votre mari est revenu et est reparti, il avait oublié quelque chose, il m’a dit de l’attendre avant de rentrer chez moi.
Il avait oublié le liquide pour me payer.
Quelques minutes et il arrive tout guillerait, il m’embrasse.
• Voici vos gages Radia et en plus cette rose.
Tient chérie, il y en a une pour toi aussi, c’est l’anniversaire de Radia aujourd’hui, la fleuriste était encore ouverte, j’en ai profité.
Radia, tu vas rester manger avec nous, j’avais prévu une boîte de raviolis avec du gruyère, nous en ouvrirons deux boîtes.
On peut comprendre qu’après une soirée gâchée par mon mari, ce soit moi qui, lorsque nous nous couchons, j’aie la classique migraine.
C’est la première fois qu’elle me frappe depuis le début de notre mariage.
Au matin, comme la veille, je vais prendre mon train laissant Jules, Hamed et Radia tous les trois.
Ce matin sous mon tailleur, je porte une paire de bas qui passe inaperçu.
C’est l’été indien et j’aime avoir encore les jambes nues en temps normal.
Je suis seule pour mon café.
• Blanche, apportez-moi le courrier à signer.
Je prends le classeur spécial courrier, ce matin il y a neuf intercalaires à tourner.
• Blanche, excusez pour ce matin, j’avais un rendez-vous avant de venir ici, je viens d’arriver.
Je comprends d’un regard tournant vers sa droite que je dois venir à son côté.
Depuis mes débuts, j’étais en face de lui pour tourner les pages.
Là, je suis à la merci de sa main, elle remonte le long de ma jambe et trouve les jarretelles qui les maintiennent, pas un mot entre nous.
Il tourne page par page, restant un long moment à lire avant de signer.
Je sens sa main atteindre ma chatte, je suis à sa merci, s’il veut me coucher sur son bureau, je suis à lui, mais à part quelques caresses, il me demande d’aller lui chercher un café.
Ça fait quelques semaines que je suis en poste, quelques semaines que William tous les matins me caresse sans en faire plus.
On dirait que ce petit jeu suffise à sa libido.
Ce matin je reste devant son bureau, aucune demande.
Il doit avoir fini de jouer.
Ce midi, je suis allée manger la salade que j’ai commandée en début de semaine par le système de plat préparé livré tous les jours à notre entreprise.
Je vais sur Internet et je regarde la comptabilité de notre couple.
À la maison, je le faisais fréquemment quand nous risquions d’être à découvert.
Là, j’ai renvoyé une commande et je veux vérifier s’ils m’ont remboursé.
C’est le cas, 152 € en positif, mais la somme négative suivante pour les services de l’État de 103 € m’interpelle.
Un PV, impossible Hamed et moi sommes sans voiture.
Ce soir, je lui demanderai ce qu’il a à voir avec l’état !
C’est ce soir-là avant de quitter mon bureau que je reçois un courriel.
« Blanche, j’ai été surpris de votre attitude chaque jour, mais j’ai compris qu’une femme à des obligeances imposées par la nature.
Lundi je pense que nous pourrons retrouver notre connivence. »
De retour chez nous, nous nous couchons et Hamed me fait l’amour, j’oublie tout dans ces moments-là même de poser des questions.
• Blanche, pouvez-vous venir ?
• J’arrive monsieur William.
J’entre dans le bureau, je m’apprête à me faire palper la chatte.
• Blanche, ce soir, pouvez-vous rester un peu plus tard, j’ai un client qui vient, j’aurais des papiers à nous fournir.
• J’ai bien lu mon contrat, je dois assumer ce genre de demande, même un week-end de temps en temps.
• Vous avez bien lu, en regardant votre dossier, j’ai vu que vous résidez non loin de chez moi.
Je demanderai à Serge de faire un détour et nous vous déposerons.
• Bien monsieur William, je joins mon époux pour le prévenir, je suis à votre disposition.
Lorsque je quitte son bureau, je pense au mot employer « disposition », j’ai l’impression de me vendre à cet homme.
L’heure du rendez-vous arrive.
L’homme qui se présente, a une allure connue par moi.
L’ai-je vu à la télé, mais que ferait-il dans une usine comme la nôtre.
• Monsieur Anatole, j’ai rendez-vous avec monsieur William.
• Il vous attend, je vous annonce.
Monsieur William, votre rendez-vous est arrivé !
• Blanche, faites-le entrer et venez avec votre carnet.
J’ai coupé l’Interphone, lorsque je tombe du ciel.
• Blanche, non, blonde oui !
Excusez mon impertinence Blanche.
• Oh ! monsieur Anatole, je vous reconnais, il y a quelques semaines dans le train, j’ignore ce qu’il m’est passé par la tête, un instant d’égarement.
Je vous en supplie si vous pouviez garder pour vous la vision que vous avez eu de mon intimité, je risque d’être renvoyée, je vous serais redevable.
• Le tableau était tellement idyllique, digne d’une œuvre de Rubens, que je garderai pour moi le très beau tableau que vous m’avez présentée ce matin-là.
Ouf, j’ai côtoyé l’accident de parcours, nous entrons dans le bureau.
Je passe les tractations pour une commande que notre entreprise livrera à celle de monsieur Anatole.
Je prends des notes comme je l’ai fait dix fois avec nos clients venant dans le bureau de William jusqu’à ce que mon sang se glace.
• William, tu sais que je suis venu il y a quelques semaines non loin d’ici.
J’étais en train comme je le fais souvent quand je me déplace en banlieue.
Le vent du boulet passe au-dessus de ma tête.
Anatole va révéler à mon patron que je dois être exhibitionniste et comme je l’ai fait pour lui je lui ai montré ma chatte qu’il a bien vue, car il m’a dit que j’étais blonde.
• Le temps était trop court pour passer ici, je savais que nous avions rendez-vous ce soir !
Je voulais t’inviter à ma première chasse, mais je savais que le week-end prochain, j’en organise une deuxième ou je t’invite.
Blanche aura eu le temps de préparer le contrat que nous signerons dans mon castel en Sologne.
• Blanche, Anatole, comment sais-tu le nom de ma nouvelle secrétaire ?
Une nouvelle fois, le vent du boulet passe sur ma tête, je vais être virée, Anatole m’avait pourtant promis.
• William, j’ai beau avoir la cinquantaine, mais je lis sans lunettes, Blanche a une plaque à son nom sur son bureau, je l’ai lue en arrivant.
Ouf, une nouvelle fois sauvée.
• Blanche, avez-vous déjà chassé le canard, comme l’ancienne secrétaire de William, vous êtes mon invité.
• Mais il faut avoir un permis pour chasser.
• C’est une chasse privée et le garde-chasse du secteur fait partie de mes invités, pourquoi contrôlerait-il les permis ?
Fusils et tenues vous seront fournis dans votre chambre, vous m’enverrez vos tailles à cet E-mail, inscris sur ma carte.
Il me la tend, j’hésite à la prendre, mais je sais ce que je dois à cet homme et je la prends.
• Blanche, merci de m’accompagner, même si c’est dans votre contrat.
Je raccompagne monsieur Anatole et comme promis, William me fait monter dans le taxi conduit par Serge.
Je viens d’entrer dans un autre monde surtout lorsque William me pose sa main sur ma cuisse...
Lorsque ses doigts caressent ma chatte, comme une salope, je mouille.
C’est dans cette situation que je me trouve lorsque mon patron surnommé balai dans le cul, surnom que j’ai toujours dans ma tête que je me retrouve dans cette situation.
Moi qui pensais que ce patron était grivois à l’extérieur et strict à l’intérieur de l’entreprise, mais en réalité il a les deux facettes.
Grivois de chaque côté.
Va-t-il relever ma jupe, sortir sa verge et me prendre sur son bureau ?
Je pourrais le rabrouer au risque de me faire virer et de retourner à la case départ de mon mari trop heureux de me récupérer.
• Blanche, aller me chercher un café s’il vous plait !
Sa main me quitte, j’en ai presque mal et je vais à la salle de repos du personnel administratif faire mon travail de secrétaire d’un directeur.
Pour tous ces machos se faire servir leur café étant dans leurs prérogatives, je fais de même.
Le soir, je vais pour partir, un courriel arrive.
« Blanche, merci pour avoir exécuté ma demande, mais je voudrais que vous preniez une initiative, demain surprenez-moi ! »
Une nouvelle fois je reprends mon train sage comme une image.
Il est dix-huit heures lorsque je passe devant une boutique.
« Surprenez-moi ! »J’entre et j’en ressors, j’ai dans mon sac la surprise demandée par William.
De retour à notre appartement, Radia est là avec Jules sans Hamed.
• Votre mari est revenu et est reparti, il avait oublié quelque chose, il m’a dit de l’attendre avant de rentrer chez moi.
Il avait oublié le liquide pour me payer.
Quelques minutes et il arrive tout guillerait, il m’embrasse.
• Voici vos gages Radia et en plus cette rose.
Tient chérie, il y en a une pour toi aussi, c’est l’anniversaire de Radia aujourd’hui, la fleuriste était encore ouverte, j’en ai profité.
Radia, tu vas rester manger avec nous, j’avais prévu une boîte de raviolis avec du gruyère, nous en ouvrirons deux boîtes.
On peut comprendre qu’après une soirée gâchée par mon mari, ce soit moi qui, lorsque nous nous couchons, j’aie la classique migraine.
C’est la première fois qu’elle me frappe depuis le début de notre mariage.
Au matin, comme la veille, je vais prendre mon train laissant Jules, Hamed et Radia tous les trois.
Ce matin sous mon tailleur, je porte une paire de bas qui passe inaperçu.
C’est l’été indien et j’aime avoir encore les jambes nues en temps normal.
Je suis seule pour mon café.
• Blanche, apportez-moi le courrier à signer.
Je prends le classeur spécial courrier, ce matin il y a neuf intercalaires à tourner.
• Blanche, excusez pour ce matin, j’avais un rendez-vous avant de venir ici, je viens d’arriver.
Je comprends d’un regard tournant vers sa droite que je dois venir à son côté.
Depuis mes débuts, j’étais en face de lui pour tourner les pages.
Là, je suis à la merci de sa main, elle remonte le long de ma jambe et trouve les jarretelles qui les maintiennent, pas un mot entre nous.
Il tourne page par page, restant un long moment à lire avant de signer.
Je sens sa main atteindre ma chatte, je suis à sa merci, s’il veut me coucher sur son bureau, je suis à lui, mais à part quelques caresses, il me demande d’aller lui chercher un café.
Ça fait quelques semaines que je suis en poste, quelques semaines que William tous les matins me caresse sans en faire plus.
On dirait que ce petit jeu suffise à sa libido.
Ce matin je reste devant son bureau, aucune demande.
Il doit avoir fini de jouer.
Ce midi, je suis allée manger la salade que j’ai commandée en début de semaine par le système de plat préparé livré tous les jours à notre entreprise.
Je vais sur Internet et je regarde la comptabilité de notre couple.
À la maison, je le faisais fréquemment quand nous risquions d’être à découvert.
Là, j’ai renvoyé une commande et je veux vérifier s’ils m’ont remboursé.
C’est le cas, 152 € en positif, mais la somme négative suivante pour les services de l’État de 103 € m’interpelle.
Un PV, impossible Hamed et moi sommes sans voiture.
Ce soir, je lui demanderai ce qu’il a à voir avec l’état !
C’est ce soir-là avant de quitter mon bureau que je reçois un courriel.
« Blanche, j’ai été surpris de votre attitude chaque jour, mais j’ai compris qu’une femme à des obligeances imposées par la nature.
Lundi je pense que nous pourrons retrouver notre connivence. »
De retour chez nous, nous nous couchons et Hamed me fait l’amour, j’oublie tout dans ces moments-là même de poser des questions.
• Blanche, pouvez-vous venir ?
• J’arrive monsieur William.
J’entre dans le bureau, je m’apprête à me faire palper la chatte.
• Blanche, ce soir, pouvez-vous rester un peu plus tard, j’ai un client qui vient, j’aurais des papiers à nous fournir.
• J’ai bien lu mon contrat, je dois assumer ce genre de demande, même un week-end de temps en temps.
• Vous avez bien lu, en regardant votre dossier, j’ai vu que vous résidez non loin de chez moi.
Je demanderai à Serge de faire un détour et nous vous déposerons.
• Bien monsieur William, je joins mon époux pour le prévenir, je suis à votre disposition.
Lorsque je quitte son bureau, je pense au mot employer « disposition », j’ai l’impression de me vendre à cet homme.
L’heure du rendez-vous arrive.
L’homme qui se présente, a une allure connue par moi.
L’ai-je vu à la télé, mais que ferait-il dans une usine comme la nôtre.
• Monsieur Anatole, j’ai rendez-vous avec monsieur William.
• Il vous attend, je vous annonce.
Monsieur William, votre rendez-vous est arrivé !
• Blanche, faites-le entrer et venez avec votre carnet.
J’ai coupé l’Interphone, lorsque je tombe du ciel.
• Blanche, non, blonde oui !
Excusez mon impertinence Blanche.
• Oh ! monsieur Anatole, je vous reconnais, il y a quelques semaines dans le train, j’ignore ce qu’il m’est passé par la tête, un instant d’égarement.
Je vous en supplie si vous pouviez garder pour vous la vision que vous avez eu de mon intimité, je risque d’être renvoyée, je vous serais redevable.
• Le tableau était tellement idyllique, digne d’une œuvre de Rubens, que je garderai pour moi le très beau tableau que vous m’avez présentée ce matin-là.
Ouf, j’ai côtoyé l’accident de parcours, nous entrons dans le bureau.
Je passe les tractations pour une commande que notre entreprise livrera à celle de monsieur Anatole.
Je prends des notes comme je l’ai fait dix fois avec nos clients venant dans le bureau de William jusqu’à ce que mon sang se glace.
• William, tu sais que je suis venu il y a quelques semaines non loin d’ici.
J’étais en train comme je le fais souvent quand je me déplace en banlieue.
Le vent du boulet passe au-dessus de ma tête.
Anatole va révéler à mon patron que je dois être exhibitionniste et comme je l’ai fait pour lui je lui ai montré ma chatte qu’il a bien vue, car il m’a dit que j’étais blonde.
• Le temps était trop court pour passer ici, je savais que nous avions rendez-vous ce soir !
Je voulais t’inviter à ma première chasse, mais je savais que le week-end prochain, j’en organise une deuxième ou je t’invite.
Blanche aura eu le temps de préparer le contrat que nous signerons dans mon castel en Sologne.
• Blanche, Anatole, comment sais-tu le nom de ma nouvelle secrétaire ?
Une nouvelle fois, le vent du boulet passe sur ma tête, je vais être virée, Anatole m’avait pourtant promis.
• William, j’ai beau avoir la cinquantaine, mais je lis sans lunettes, Blanche a une plaque à son nom sur son bureau, je l’ai lue en arrivant.
Ouf, une nouvelle fois sauvée.
• Blanche, avez-vous déjà chassé le canard, comme l’ancienne secrétaire de William, vous êtes mon invité.
• Mais il faut avoir un permis pour chasser.
• C’est une chasse privée et le garde-chasse du secteur fait partie de mes invités, pourquoi contrôlerait-il les permis ?
Fusils et tenues vous seront fournis dans votre chambre, vous m’enverrez vos tailles à cet E-mail, inscris sur ma carte.
Il me la tend, j’hésite à la prendre, mais je sais ce que je dois à cet homme et je la prends.
• Blanche, merci de m’accompagner, même si c’est dans votre contrat.
Je raccompagne monsieur Anatole et comme promis, William me fait monter dans le taxi conduit par Serge.
Je viens d’entrer dans un autre monde surtout lorsque William me pose sa main sur ma cuisse...
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