COLLECTION SALOPE. Que m’est-il passé par la tête. Saison I (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION SALOPE. Que m’est-il passé par la tête. Saison I (2/3)
• Permettez que je m’installe à votre table Blanche.
Arsène servez-moi mon café avec mon croissant, apportez-en un pour Blanche !
Voulez-vous un aussi un autre café ?
Incroyable, l’homme avec lequel je suis installée à table de ce café non loin de l’entreprise qu’hier je viens d’intégrer, c’est mon nouveau patron.
Monsieur balai dans le cul comme je l’ai surnommé avec moi-même.
Celui que pour le faire réagir, j’ai écarté mes cuisses lui montrant, ma culotte rose mise hier en venant me présenter.
Découvrant que c’est mon patron, qui a semblé influencer madame Claudette, la DRH, vieille vipère revêche qui a failli me faire retourner dans les pattes de mon mari.
J’aime mon mari avec qui il y a trois ans, j’ai eu Jules.
Hamed, de confession musulmane, marocain d’origine, mais né en France aurait tendance comme bon nombre des hommes de ces pays à mettre la femme sous cloche.
• Blanche, savez-vous pourquoi j’ai imposé votre embauche à ma DRH ?
• Car pour me moquer de votre air guindé, je vous ai montré ma petite culotte dans le train nous amenant ici !
• C’est un peu vrai, j’ai aimé votre audace, j’ai bien compris que ma façon de me tenir y avait contribué.
J’ai reçu une éducation très stricte par ma mère, hélas, avec mon père, ils ont disparu et lorsque je suis entré dans une école privée, mes congénères, m’appelait « William, balai dans le cul. »
Reconnaissez que par ce geste, vous avez voulu voir si monsieur balai dans le cul réagirait.
• Oh ! monsieur le directeur maintenant que je sais qui vous êtes, loin de moi une telle pensée.
• Votre petite culotte rose hier et bleu ce matin y a donc contribué, mais Blanche je vais vous faire une confidence.
Lorsque madame Claudette a quitté l’entreprise avant-hier, comme je le fais souvent je suis allé voir ses dossiers, j’avais ouï dire d’une supercherie de sa part.
• Une supercherie ?
• Oui, cette femme est une lesbienne et parmi les quatre postulantes, il y avait son amie.
Je suis loin d’être contre les couples de gouines, mais me faire imposer ma secrétaire très peu pour moi.
Parmi les quatre dossiers, outre Arlette, la copine de madame Claudette, les deux autres candidates avaient bien plus d’expérience que vous.
Quand je suis monté dans mon train hier et que vous m’avez fait votre petit numéro, j’avais vu votre photo, très charmante d’ailleurs.
Mais restons professionnel, j’ai donc changé mon choix et je vous ai imposé.
• Merci monsieur, j’en avais besoin pour mon épanouissement personnel, je ferai tout pour vous êtes agréable.
• Allez, allons rejoindre la fourmilière qui compose mon entreprise.
Toute la journée, je fais mon travail.
Je vais une fois dans son bureau lui faire signer le courrier.
Il me convoque à 14 heures pour me dicter une lettre.
• Vous trouverez une lettre-type dans les fichiers de mon ancienne secrétaire partie à la retraite.
Je quitte son bureau, rien à signaler, je comprends qu’il y a deux personnages en lui, celui du travail et celui du train ou du café du matin.
C’est le soir que je reçois un courriel de William.
« Demain matin, aucune culotte ! »
Je suis dubitative, le jeu va un peu loin, j’aime Hamed et surtout j’adore mon fils.
J’ai une soirée pour prendre ma décision, hier Hamed m’a un peu excédé par son comportement.
Je vois bien qu’il pensait que je me rangerais derrière lui et que je deviendrais une petite femme aimante et recluse à sa botte.
De nouveau le train, cela va être mon lot quotidien puisque je veux travailler.
On pourrait penser qu’avec l’apport de mon salaire, nous pourrions envisager que j’achète une voiture, même petite.
Mais les rues de la capitale sont impossibles pour se garer et louer une place de parking est encore moins envisageable.
Lorsque j’ouvre les portes de notre appartement, le peu de bruit m’interpelle.
D’habitude la télé marche et Jules est planté devant, gardé par son père.
Ou sont-ils ?
Je passe un appel sur son portable, mais aucune réponse, j’ai le répondeur
Je vais prendre ma douche et j’enfile ma chemise de nuit tout juste bonne à cacher ma chatte blonde.
Mon peignoir, je m’inquiète.
Je suis à deux doigts d’appeler les urgences des hôpitaux voisins quand j’entends la porte palière.
• Maman, on a mangé chez Radia et j’ai regardé la télé, elle a un écran bien plus grand que le nôtre.
Bourriquet était deux fois plus grand.
Jules vient me sauter dans les bras.
• Jules, à la douche et les dents, demain il y a école, il est plus de neuf heures, je te rejoins pour te laver les oreilles.
• Radia me les a lavés hier maman.
• Les oreilles, c’est comme les dents, c’est tous les jours.
Jules file vers la salle de bain.
• Comme ça, tu manges chez Radia avec ton fils !
• Quand je suis arrivé, elle m’avait laissé un mot qu’elle était avec Jules chez elle, que je vienne le chercher.
Elle avait cuisiné un tajine qui embaumait l’appartement.
Elle m’a dit qu’elle le faisait comme au pays et m’a proposé d’en manger.
Tu sais mon goût pour les plats marocains que tu as tant de mal à me cuisiner !
Nous sommes restés.
• Et ton portable était éteint, j’ai laissé des messages.
• J’avais oublié de le mettre en charge, ma batterie est à plat.
• Bon, je vais donner sa douche à Jules et manger seule puisque vous c’est fait.
Le temps de tous faire, Hamed est couché et dors, je vois son portable sur sa table de nuit sans qu’il l’ait mis en charge.
Je prends son fil et je le branche, demain il pourra partir sans râler.
L’écran s’allume, il m’arrive d’oublier, moi aussi le mien, mais je dois refaire le code après recharge.
72 %, pourquoi m’a-t-il menti, je me couche ayant ma réponse à ma question.
J’évite de trop en dire lorsque nous petit-déjeunons.
Radia arrive, elle fait la bise à Jules et pour la première fois je la vois en faire une à Hamed.
Je suis là encore étonné, mais pourquoi faire une scène devant notre fils, je prends une biscotte avec du beurre et je vais prendre mon train.
Je suis un petit peu en retard, je me dépêche, la fraicheur est nouvelle sur ma chatte.
Lorsque je monte dans notre wagon, William brille par son absence.
Je suis déçu, à la place de mon balai... pardon de mon patron, un vieil homme plus âgé est à sa place.
Quelques minutes avant de descendre, j’écarte mes cuisses, je suis à deux doigts de me demander s’il va me faire une apoplexie.
Descendu du train, William me prend de vitesse, là c’est moi qui prends de l’avance.
J’arrive au café, je m’installe à ma table.
William est là qui me sourit, je m’assieds faisant bien attention que ma jupe me permette d’être convenable.
• Arsène, s’il vous plait, la même chose qu'hier, deux cafés avec deux croissants.
Blanche vous m’excuserez de vous avoir abandonné dans notre train.
En temps normal, un taxi vient me chercher tous les matins et me ramène chez moi le soir.
Serge était en congé ignorant quand il reprendrait son travail, il était au chevet de sa maman près de Louhans en Saône et Loire.
Il m’a appelé hier au soir, il reprenait ce matin et j’ai repris mes habitudes.
À aucun moment dans les quelques minutes que nous passons, une allusion est faite à comment je suis sous ma jupe.
Je suis presque déçue, le petit jeu commençait à m’amuser, espérais-je qu’il se prolonge au-delà de simple exposition de mon intimité.
Je me suis toujours demandé comment une femme pouvait passer de femme fidèle à femme adultère, j’ai ma réponse.
J’ai ma réponse, même si à ce jour, je suis fidèle à mon mari.
Justement un mari qui vous délaisse et vous fait des cachoteries et un homme qui sait souffler le chaud et le froid dans sa façon de se comporter.
Il a vu la fiche que j’avais remplie à ma demande d’embauche où je dis que je suis mariée avec un enfant.
Nous rejoignons l’entreprise et nos bureaux.
• Blanche, pouvez-vous venir me voir.
• Oui, monsieur William j’arrive.
Le vouvoiement même s’il m’appelle par mon prénom montre la distance qu’il fait entre travail et gaudriole pour cet homme à l’éducation stricte.
J’entre dans son bureau avec mon carnet et mon crayon.
• Venez là Blanche à mon côté que je vous montre quelque chose.
C’est la première fois qu’il me demande de passer de son côté.
• Que lisez-vous là, Blanche ?
• « Le vert que nous employons... »
Oh ! pardon, c’est une faute de ma part, c’est le « verre » que nous employons, je ferais plus attention.
C’est à ce moment que je sens sa main glisser le long de ma jambe et venir constaté que j’ai suivi son conseil dans son courriel.
Lorsque ses doigts caressent ma chatte, comme une salope, je mouille...
Arsène servez-moi mon café avec mon croissant, apportez-en un pour Blanche !
Voulez-vous un aussi un autre café ?
Incroyable, l’homme avec lequel je suis installée à table de ce café non loin de l’entreprise qu’hier je viens d’intégrer, c’est mon nouveau patron.
Monsieur balai dans le cul comme je l’ai surnommé avec moi-même.
Celui que pour le faire réagir, j’ai écarté mes cuisses lui montrant, ma culotte rose mise hier en venant me présenter.
Découvrant que c’est mon patron, qui a semblé influencer madame Claudette, la DRH, vieille vipère revêche qui a failli me faire retourner dans les pattes de mon mari.
J’aime mon mari avec qui il y a trois ans, j’ai eu Jules.
Hamed, de confession musulmane, marocain d’origine, mais né en France aurait tendance comme bon nombre des hommes de ces pays à mettre la femme sous cloche.
• Blanche, savez-vous pourquoi j’ai imposé votre embauche à ma DRH ?
• Car pour me moquer de votre air guindé, je vous ai montré ma petite culotte dans le train nous amenant ici !
• C’est un peu vrai, j’ai aimé votre audace, j’ai bien compris que ma façon de me tenir y avait contribué.
J’ai reçu une éducation très stricte par ma mère, hélas, avec mon père, ils ont disparu et lorsque je suis entré dans une école privée, mes congénères, m’appelait « William, balai dans le cul. »
Reconnaissez que par ce geste, vous avez voulu voir si monsieur balai dans le cul réagirait.
• Oh ! monsieur le directeur maintenant que je sais qui vous êtes, loin de moi une telle pensée.
• Votre petite culotte rose hier et bleu ce matin y a donc contribué, mais Blanche je vais vous faire une confidence.
Lorsque madame Claudette a quitté l’entreprise avant-hier, comme je le fais souvent je suis allé voir ses dossiers, j’avais ouï dire d’une supercherie de sa part.
• Une supercherie ?
• Oui, cette femme est une lesbienne et parmi les quatre postulantes, il y avait son amie.
Je suis loin d’être contre les couples de gouines, mais me faire imposer ma secrétaire très peu pour moi.
Parmi les quatre dossiers, outre Arlette, la copine de madame Claudette, les deux autres candidates avaient bien plus d’expérience que vous.
Quand je suis monté dans mon train hier et que vous m’avez fait votre petit numéro, j’avais vu votre photo, très charmante d’ailleurs.
Mais restons professionnel, j’ai donc changé mon choix et je vous ai imposé.
• Merci monsieur, j’en avais besoin pour mon épanouissement personnel, je ferai tout pour vous êtes agréable.
• Allez, allons rejoindre la fourmilière qui compose mon entreprise.
Toute la journée, je fais mon travail.
Je vais une fois dans son bureau lui faire signer le courrier.
Il me convoque à 14 heures pour me dicter une lettre.
• Vous trouverez une lettre-type dans les fichiers de mon ancienne secrétaire partie à la retraite.
Je quitte son bureau, rien à signaler, je comprends qu’il y a deux personnages en lui, celui du travail et celui du train ou du café du matin.
C’est le soir que je reçois un courriel de William.
« Demain matin, aucune culotte ! »
Je suis dubitative, le jeu va un peu loin, j’aime Hamed et surtout j’adore mon fils.
J’ai une soirée pour prendre ma décision, hier Hamed m’a un peu excédé par son comportement.
Je vois bien qu’il pensait que je me rangerais derrière lui et que je deviendrais une petite femme aimante et recluse à sa botte.
De nouveau le train, cela va être mon lot quotidien puisque je veux travailler.
On pourrait penser qu’avec l’apport de mon salaire, nous pourrions envisager que j’achète une voiture, même petite.
Mais les rues de la capitale sont impossibles pour se garer et louer une place de parking est encore moins envisageable.
Lorsque j’ouvre les portes de notre appartement, le peu de bruit m’interpelle.
D’habitude la télé marche et Jules est planté devant, gardé par son père.
Ou sont-ils ?
Je passe un appel sur son portable, mais aucune réponse, j’ai le répondeur
Je vais prendre ma douche et j’enfile ma chemise de nuit tout juste bonne à cacher ma chatte blonde.
Mon peignoir, je m’inquiète.
Je suis à deux doigts d’appeler les urgences des hôpitaux voisins quand j’entends la porte palière.
• Maman, on a mangé chez Radia et j’ai regardé la télé, elle a un écran bien plus grand que le nôtre.
Bourriquet était deux fois plus grand.
Jules vient me sauter dans les bras.
• Jules, à la douche et les dents, demain il y a école, il est plus de neuf heures, je te rejoins pour te laver les oreilles.
• Radia me les a lavés hier maman.
• Les oreilles, c’est comme les dents, c’est tous les jours.
Jules file vers la salle de bain.
• Comme ça, tu manges chez Radia avec ton fils !
• Quand je suis arrivé, elle m’avait laissé un mot qu’elle était avec Jules chez elle, que je vienne le chercher.
Elle avait cuisiné un tajine qui embaumait l’appartement.
Elle m’a dit qu’elle le faisait comme au pays et m’a proposé d’en manger.
Tu sais mon goût pour les plats marocains que tu as tant de mal à me cuisiner !
Nous sommes restés.
• Et ton portable était éteint, j’ai laissé des messages.
• J’avais oublié de le mettre en charge, ma batterie est à plat.
• Bon, je vais donner sa douche à Jules et manger seule puisque vous c’est fait.
Le temps de tous faire, Hamed est couché et dors, je vois son portable sur sa table de nuit sans qu’il l’ait mis en charge.
Je prends son fil et je le branche, demain il pourra partir sans râler.
L’écran s’allume, il m’arrive d’oublier, moi aussi le mien, mais je dois refaire le code après recharge.
72 %, pourquoi m’a-t-il menti, je me couche ayant ma réponse à ma question.
J’évite de trop en dire lorsque nous petit-déjeunons.
Radia arrive, elle fait la bise à Jules et pour la première fois je la vois en faire une à Hamed.
Je suis là encore étonné, mais pourquoi faire une scène devant notre fils, je prends une biscotte avec du beurre et je vais prendre mon train.
Je suis un petit peu en retard, je me dépêche, la fraicheur est nouvelle sur ma chatte.
Lorsque je monte dans notre wagon, William brille par son absence.
Je suis déçu, à la place de mon balai... pardon de mon patron, un vieil homme plus âgé est à sa place.
Quelques minutes avant de descendre, j’écarte mes cuisses, je suis à deux doigts de me demander s’il va me faire une apoplexie.
Descendu du train, William me prend de vitesse, là c’est moi qui prends de l’avance.
J’arrive au café, je m’installe à ma table.
William est là qui me sourit, je m’assieds faisant bien attention que ma jupe me permette d’être convenable.
• Arsène, s’il vous plait, la même chose qu'hier, deux cafés avec deux croissants.
Blanche vous m’excuserez de vous avoir abandonné dans notre train.
En temps normal, un taxi vient me chercher tous les matins et me ramène chez moi le soir.
Serge était en congé ignorant quand il reprendrait son travail, il était au chevet de sa maman près de Louhans en Saône et Loire.
Il m’a appelé hier au soir, il reprenait ce matin et j’ai repris mes habitudes.
À aucun moment dans les quelques minutes que nous passons, une allusion est faite à comment je suis sous ma jupe.
Je suis presque déçue, le petit jeu commençait à m’amuser, espérais-je qu’il se prolonge au-delà de simple exposition de mon intimité.
Je me suis toujours demandé comment une femme pouvait passer de femme fidèle à femme adultère, j’ai ma réponse.
J’ai ma réponse, même si à ce jour, je suis fidèle à mon mari.
Justement un mari qui vous délaisse et vous fait des cachoteries et un homme qui sait souffler le chaud et le froid dans sa façon de se comporter.
Il a vu la fiche que j’avais remplie à ma demande d’embauche où je dis que je suis mariée avec un enfant.
Nous rejoignons l’entreprise et nos bureaux.
• Blanche, pouvez-vous venir me voir.
• Oui, monsieur William j’arrive.
Le vouvoiement même s’il m’appelle par mon prénom montre la distance qu’il fait entre travail et gaudriole pour cet homme à l’éducation stricte.
J’entre dans son bureau avec mon carnet et mon crayon.
• Venez là Blanche à mon côté que je vous montre quelque chose.
C’est la première fois qu’il me demande de passer de son côté.
• Que lisez-vous là, Blanche ?
• « Le vert que nous employons... »
Oh ! pardon, c’est une faute de ma part, c’est le « verre » que nous employons, je ferais plus attention.
C’est à ce moment que je sens sa main glisser le long de ma jambe et venir constaté que j’ai suivi son conseil dans son courriel.
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