COLLECTION SALOPE. Sombre méprise (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SALOPE. Sombre méprise (1/2)
Récupérer la robe que j’ai achetée pour la Saint-Valentin, c’est mon but lorsque j’arrive devant le parking souterrain de la place de la mairie.
Tous les ans, j’achète une nouvelle robe, je sais que Cyprien va m’emmener au restaurant retenu presque d’une année sur l’autre.
Chaque année, je laisse ma voiture au parking où je rejoins la rue piétonne ou chaque année, je vais chez Jannine dans sa boutique où je sais trouver ce qu’il me faut pour plaire à mon mari.
Je suis venue mercredi dernier et j’ai choisi un modèle mettant mes formes en valeur.
Cyprien adore que je mette mes formes en valeur.
Je le soupçonne d’aimer que je fasse bander les autres hommes.
J’avais bien fait de m’y prendre assez tôt, car il a fallu que sa couturière me fasse quelques retouches pour qu’elle tombe impeccablement sur moi, d’où ma présence devant le parking.
« Fermé pour rupture de canalisations. »
C’est le panneau mis sur une chaîne empêchant toute descente.
Je sais la galère pour trouver de la place et le parking payant le plus proche étant à presque trois kilomètres.
J’aime marcher, mais pour essayer ma robe et voir si tout est parfait, j’ai mis mes chaussures à talons hauts au lieu de les mettre dans mon sac.
Je fais un tour, par chance, une voiture quitte une place payante devant le Saint-Hubert, hôtel-restaurant quatre-étoiles.
C’est le plus bel hôtel de notre ville, je me suis jurée, un jour qu’avec Cyprien nous réserverions une chambre pour péter dans le luxe.
Cyprien a les moyens de me payer ce genre d’hôtel, il dirige une société qui fabrique des chapeaux en tout genre.
Nous avons des contrats en France et dans une grande partie du monde, mais c’est toujours ce dont on a de plus prêt que nous oublions d’en profiter.
Je paye le parcmètre, pour une heure et je vais récupérer ma robe, 150 mètres à faire.
Tout est parfait, Jannine me fait un paquet, c’est loin d’être donné, mais lorsque l’on aime on évite de compter.
J’arrive à ma voiture, je vais pour démarrer lorsque je vois Isabelle sortir de l’hôtel en regardant sa montre, elle semble en retard.
Mon portable sonne, c’est cyprien, je décroche.
• Ma chérie, c’est moi.
• Je sais lire chéri, je l’ai vu sur mon portable.
Isabelle a tourné dans la première rue à droite, c’est à cet instant que je vois Cyprien sortir de l’hôtel, son portable à l’oreille dans une main et son attachée caisse de l’autre.
• J’arrive, j’avais un rendez-vous avec un client, ça m’a pris plus de temps que prévu.
Nous serons à l’heure pour aller manger chez Isabelle et Christian ma chérie.
Il passe sur le trottoir d’en face, sans me voir, il court à moitié partant à l’opposé d'où est partie celle que je croyais être mon amie.
Ce saligaud est en retard, car pour quel autre motif que d’avoir sauté ma salope de copine dans une de ces chambres que je rêvais de découvrir avec lui.
En roulant, je me demande comment je vais pouvoir passer une soirée avec ces deux faux culs baisant dans mon dos.
Je rentre, je pense que pour la première fois depuis notre mariage, je vais lui faire la scène de sa vie, mais je m’oblige à me calmer et au contraire je décide de voir venir.
Un homme est un homme, s’il a craqué après nos années de mariage, c'est peut-être un peu de ma faute, je le néglige un peu comparé à nos premières années communes.
Si quelqu’un est responsable, je pense qu’Isabelle ayant écarté ses cuisses pour se faire baiser est la première.
Arrivé chez celle que je croyais être mon amie, celle avec qui j’ai passé les premiers émois de l’adolescence et que je pensais être amoureuse de Christian m’ayant dragué au début mais que je lui ai cédé car trop entreprenant.
Les deux hommes pendant l’apéro parlent du match qu’ils vont voir ensemble PSG contre le club du réal Madrid.
• Isabelle, apprête-toi à nous servir, nous voulons être dans nos fauteuils dès le début du match.
• Joséphine, vient avec moi préparer l’entrée, pendant que ces messieurs défendent leurs joueurs favoris.
Je la suis dans la cuisine, je vois l’ouverture ayant quelques minutes et j’attaque.
• Isabelle, tu es une belle salope de tromper Christian dans son dos.
• Tout doux ma belle, pourquoi me fais-tu une scène de jalousie ?
Lorsqu’une femme délaisse son mari, elle doit s’en prendre à elle-même s’il va voir ailleurs si les prairies sont plus vertes.
Oui, j’ai trompé Christian, lui aussi a tendance à être moins intentionné, pourtant j’ai fait tout ce qu’il faut pour qu’il soit un homme heureux sexuellement.
Toi fais-tu tout ce qu’il faut de ton côté ?
• On papote et le temps passe les filles, on vient vous aider.
C’est ainsi que se termine la conversation entre nous et je décide de rentrer prétextant un mal de tête carabiné après le repas alors que les hommes s’installent pour voir le match.
Je rentre à pied, peu de chemin, je me douche, j’ai pris un bain avant d’aller chez cette pute qui s’est permis de me faire la leçon sur mon manque d’entrain au lit avec Cyprien depuis quelque temps.
Lorsqu’il rentre, je sens qu’il fait tout ce qu’il faut pour éviter de me réveiller.
Le matin, je suis cul tourné, je l’entends se lever, aller faire le café avant de prendre une douche et de partir au travail.
Depuis que je suis entrée, j’ai une petite idée qui trotte dans ma tête.
Elle vient, elle repart, elle vient, elle repart, il est 10 heures lorsque je me lève, le café est froid.
Je sais ou je vais aller afin de peaufiner ma vengeance pas plus tard que ce jour de la Saint Valentin.
Je mets ma robe qu’il devait découvrir ce soir et je me présente devant le parking, il est 14 heures et il est réouvert.
Dans la descente, la rampe est encore mouillée, certainement les litres d’eau qui ont dû dévaler.
Hôtel Saint-Hubert, je rentre, à droite la réception à gauche je découvre le bar ou de petites tables avec quelques fauteuils bas sont disposés.
À une de ces tables, un homme, avec une magnifique moustache à la Dali, travaille sur son ordinateur.
Je suis au bar, je suis à deux doigts de renoncer, mais on va voir si j’ai du mal à baiser, je me suis promis que je baiserais avec le premier homme rencontré dans cet hôtel.
• Que voulez-vous boire madame ?
• Un whisky comme ce monsieur, mademoiselle, mais servez-le-moi à sa table.
J’arrive face à cet homme, le premier, ce sera lui, certainement un anglais à son allure.
Je m’installe, étonné, l’homme lève sa tête.
• Sorry, que puis-je faire pour vous ?
C’est au pied du mur que l’on voit le maçon disait mon père, j’y suis, mais c’est l’homme qui est plus prompt.
À son accent, c’est bien un anglais.
• Je vois, vous êtes une pro, passez votre chemin, je suis capable de trouver à faire l’amour sans payer.
Il me prend pour une pute, je suis à deux doigts d’éclater de rire.
• Vous vous méprenez, je suis une femme mariée trompée par son mari avec sa meilleure amie, j’ai décidé de me venger en faisant l’amour avec le premier homme que je rencontrerais.
C’est homme, c’est vous, si vous le voulez, je passe à la réception et je paye la chambre !
• Inutile, venez, j’en ai une au second.
Je bois mon verre cul sec et comme en état second, je suis cet homme ayant récupéré son ordinateur.
Deux étages dans un ascenseur avec un homme, s’il m’avait touché j’aurais hurlé, mais il reste stoïque et je me retrouve dans sa chambre.
Il ôte sa veste, la pose sur le dossier d’une chaise et s’approche.
Il voit que j’hésite, il me prend la main et me la plonge dans son pantalon, rapidement je sens son sexe, intéressant.
Je dois me reprendre, Isabelle, comment a-t-elle fait avec Cyprien.
J’ai vu deux films de cul à la télé et la fille déboutonnait le pantalon du garçon pour en sortir sa verge.
C’est ce que je fais et avec un peu de dégoût, je fais voir à mon anglais que je suis là pour être une parfaite salope.
Je la mets dans ma bouche, je me souviens du mot que l’actrice a dit à son partenaire, fellation, j’entreprends de lui faire une fellation.
Je la mets en disposition de me prendre, ce que j’avais senti est bien là, il est plus gros que la bite de mon mari.
Bite, ce mot résonne dans ma tête, j’ai rarement pensé aux attributs masculins en pensant au mot bite.
Il me redresse, me dénude et commande nos jeux.
• Mettez-vous à quatre pattes, je vais te prendre en levrette, je crois que c’est comme cela que ça se dit en Français, excusez, je le parle mal.
Levrette, il aurait simplement dit ce mot, j’aurais été incapable de comprendre ce qu’il voulait, nous avons toujours fait l’amour de façon classique, moi sous lui et sa verge cherchant mon vagin.
Oh, merde, il entre en moi, d’une seule poussée, me faisant crier de plaisir dès qu’il est au fond de moi.
Dans la position où je suis, je suis satisfaite, lorsque le premier orgasme me dévaste.
Je suis l’égale de la salope de celle qui m’a fait cocu avec mon mari, car je pense que les fellations et la levrette elle doit bien connaître.
Toute l’après-midi je me venge, je suis épuisée, mon Rimmel à couler, lorsque repu de sexe et d’orgasme je rentre chez moi, en l’état, voulant montrer à Cyprien que moi aussi je sais baiser avec d’autres...
Tous les ans, j’achète une nouvelle robe, je sais que Cyprien va m’emmener au restaurant retenu presque d’une année sur l’autre.
Chaque année, je laisse ma voiture au parking où je rejoins la rue piétonne ou chaque année, je vais chez Jannine dans sa boutique où je sais trouver ce qu’il me faut pour plaire à mon mari.
Je suis venue mercredi dernier et j’ai choisi un modèle mettant mes formes en valeur.
Cyprien adore que je mette mes formes en valeur.
Je le soupçonne d’aimer que je fasse bander les autres hommes.
J’avais bien fait de m’y prendre assez tôt, car il a fallu que sa couturière me fasse quelques retouches pour qu’elle tombe impeccablement sur moi, d’où ma présence devant le parking.
« Fermé pour rupture de canalisations. »
C’est le panneau mis sur une chaîne empêchant toute descente.
Je sais la galère pour trouver de la place et le parking payant le plus proche étant à presque trois kilomètres.
J’aime marcher, mais pour essayer ma robe et voir si tout est parfait, j’ai mis mes chaussures à talons hauts au lieu de les mettre dans mon sac.
Je fais un tour, par chance, une voiture quitte une place payante devant le Saint-Hubert, hôtel-restaurant quatre-étoiles.
C’est le plus bel hôtel de notre ville, je me suis jurée, un jour qu’avec Cyprien nous réserverions une chambre pour péter dans le luxe.
Cyprien a les moyens de me payer ce genre d’hôtel, il dirige une société qui fabrique des chapeaux en tout genre.
Nous avons des contrats en France et dans une grande partie du monde, mais c’est toujours ce dont on a de plus prêt que nous oublions d’en profiter.
Je paye le parcmètre, pour une heure et je vais récupérer ma robe, 150 mètres à faire.
Tout est parfait, Jannine me fait un paquet, c’est loin d’être donné, mais lorsque l’on aime on évite de compter.
J’arrive à ma voiture, je vais pour démarrer lorsque je vois Isabelle sortir de l’hôtel en regardant sa montre, elle semble en retard.
Mon portable sonne, c’est cyprien, je décroche.
• Ma chérie, c’est moi.
• Je sais lire chéri, je l’ai vu sur mon portable.
Isabelle a tourné dans la première rue à droite, c’est à cet instant que je vois Cyprien sortir de l’hôtel, son portable à l’oreille dans une main et son attachée caisse de l’autre.
• J’arrive, j’avais un rendez-vous avec un client, ça m’a pris plus de temps que prévu.
Nous serons à l’heure pour aller manger chez Isabelle et Christian ma chérie.
Il passe sur le trottoir d’en face, sans me voir, il court à moitié partant à l’opposé d'où est partie celle que je croyais être mon amie.
Ce saligaud est en retard, car pour quel autre motif que d’avoir sauté ma salope de copine dans une de ces chambres que je rêvais de découvrir avec lui.
En roulant, je me demande comment je vais pouvoir passer une soirée avec ces deux faux culs baisant dans mon dos.
Je rentre, je pense que pour la première fois depuis notre mariage, je vais lui faire la scène de sa vie, mais je m’oblige à me calmer et au contraire je décide de voir venir.
Un homme est un homme, s’il a craqué après nos années de mariage, c'est peut-être un peu de ma faute, je le néglige un peu comparé à nos premières années communes.
Si quelqu’un est responsable, je pense qu’Isabelle ayant écarté ses cuisses pour se faire baiser est la première.
Arrivé chez celle que je croyais être mon amie, celle avec qui j’ai passé les premiers émois de l’adolescence et que je pensais être amoureuse de Christian m’ayant dragué au début mais que je lui ai cédé car trop entreprenant.
Les deux hommes pendant l’apéro parlent du match qu’ils vont voir ensemble PSG contre le club du réal Madrid.
• Isabelle, apprête-toi à nous servir, nous voulons être dans nos fauteuils dès le début du match.
• Joséphine, vient avec moi préparer l’entrée, pendant que ces messieurs défendent leurs joueurs favoris.
Je la suis dans la cuisine, je vois l’ouverture ayant quelques minutes et j’attaque.
• Isabelle, tu es une belle salope de tromper Christian dans son dos.
• Tout doux ma belle, pourquoi me fais-tu une scène de jalousie ?
Lorsqu’une femme délaisse son mari, elle doit s’en prendre à elle-même s’il va voir ailleurs si les prairies sont plus vertes.
Oui, j’ai trompé Christian, lui aussi a tendance à être moins intentionné, pourtant j’ai fait tout ce qu’il faut pour qu’il soit un homme heureux sexuellement.
Toi fais-tu tout ce qu’il faut de ton côté ?
• On papote et le temps passe les filles, on vient vous aider.
C’est ainsi que se termine la conversation entre nous et je décide de rentrer prétextant un mal de tête carabiné après le repas alors que les hommes s’installent pour voir le match.
Je rentre à pied, peu de chemin, je me douche, j’ai pris un bain avant d’aller chez cette pute qui s’est permis de me faire la leçon sur mon manque d’entrain au lit avec Cyprien depuis quelque temps.
Lorsqu’il rentre, je sens qu’il fait tout ce qu’il faut pour éviter de me réveiller.
Le matin, je suis cul tourné, je l’entends se lever, aller faire le café avant de prendre une douche et de partir au travail.
Depuis que je suis entrée, j’ai une petite idée qui trotte dans ma tête.
Elle vient, elle repart, elle vient, elle repart, il est 10 heures lorsque je me lève, le café est froid.
Je sais ou je vais aller afin de peaufiner ma vengeance pas plus tard que ce jour de la Saint Valentin.
Je mets ma robe qu’il devait découvrir ce soir et je me présente devant le parking, il est 14 heures et il est réouvert.
Dans la descente, la rampe est encore mouillée, certainement les litres d’eau qui ont dû dévaler.
Hôtel Saint-Hubert, je rentre, à droite la réception à gauche je découvre le bar ou de petites tables avec quelques fauteuils bas sont disposés.
À une de ces tables, un homme, avec une magnifique moustache à la Dali, travaille sur son ordinateur.
Je suis au bar, je suis à deux doigts de renoncer, mais on va voir si j’ai du mal à baiser, je me suis promis que je baiserais avec le premier homme rencontré dans cet hôtel.
• Que voulez-vous boire madame ?
• Un whisky comme ce monsieur, mademoiselle, mais servez-le-moi à sa table.
J’arrive face à cet homme, le premier, ce sera lui, certainement un anglais à son allure.
Je m’installe, étonné, l’homme lève sa tête.
• Sorry, que puis-je faire pour vous ?
C’est au pied du mur que l’on voit le maçon disait mon père, j’y suis, mais c’est l’homme qui est plus prompt.
À son accent, c’est bien un anglais.
• Je vois, vous êtes une pro, passez votre chemin, je suis capable de trouver à faire l’amour sans payer.
Il me prend pour une pute, je suis à deux doigts d’éclater de rire.
• Vous vous méprenez, je suis une femme mariée trompée par son mari avec sa meilleure amie, j’ai décidé de me venger en faisant l’amour avec le premier homme que je rencontrerais.
C’est homme, c’est vous, si vous le voulez, je passe à la réception et je paye la chambre !
• Inutile, venez, j’en ai une au second.
Je bois mon verre cul sec et comme en état second, je suis cet homme ayant récupéré son ordinateur.
Deux étages dans un ascenseur avec un homme, s’il m’avait touché j’aurais hurlé, mais il reste stoïque et je me retrouve dans sa chambre.
Il ôte sa veste, la pose sur le dossier d’une chaise et s’approche.
Il voit que j’hésite, il me prend la main et me la plonge dans son pantalon, rapidement je sens son sexe, intéressant.
Je dois me reprendre, Isabelle, comment a-t-elle fait avec Cyprien.
J’ai vu deux films de cul à la télé et la fille déboutonnait le pantalon du garçon pour en sortir sa verge.
C’est ce que je fais et avec un peu de dégoût, je fais voir à mon anglais que je suis là pour être une parfaite salope.
Je la mets dans ma bouche, je me souviens du mot que l’actrice a dit à son partenaire, fellation, j’entreprends de lui faire une fellation.
Je la mets en disposition de me prendre, ce que j’avais senti est bien là, il est plus gros que la bite de mon mari.
Bite, ce mot résonne dans ma tête, j’ai rarement pensé aux attributs masculins en pensant au mot bite.
Il me redresse, me dénude et commande nos jeux.
• Mettez-vous à quatre pattes, je vais te prendre en levrette, je crois que c’est comme cela que ça se dit en Français, excusez, je le parle mal.
Levrette, il aurait simplement dit ce mot, j’aurais été incapable de comprendre ce qu’il voulait, nous avons toujours fait l’amour de façon classique, moi sous lui et sa verge cherchant mon vagin.
Oh, merde, il entre en moi, d’une seule poussée, me faisant crier de plaisir dès qu’il est au fond de moi.
Dans la position où je suis, je suis satisfaite, lorsque le premier orgasme me dévaste.
Je suis l’égale de la salope de celle qui m’a fait cocu avec mon mari, car je pense que les fellations et la levrette elle doit bien connaître.
Toute l’après-midi je me venge, je suis épuisée, mon Rimmel à couler, lorsque repu de sexe et d’orgasme je rentre chez moi, en l’état, voulant montrer à Cyprien que moi aussi je sais baiser avec d’autres...
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