COLLECTION SALOPE. Sombre méprise (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2397 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 996 801 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 5 722 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION SALOPE. Sombre méprise (2/2)
J’ai vu Isabelle, que je croyais mon amie, sortir de l’hôtel Saint-Hubert suivi en peu de temps par Cyprien, mon mari.
J’ai eu confirmation que je suis cocu, le soir même car les insinuations que je suis la fautive de cette tromperie se passant dans la cuisine d’Isabelle et Christian où nous étions invités à dîner.
Les propos explicites qu’elle me tient sans aucune ambiguïté avant le retour des garçons me font sentir qu’elle est une salope et que c’est pour cela que contrairement à moi mon mari la baise.
Je décide de rendre coup pour coup et dès le lendemain, jour de la Saint-Valentin, je décide de me faire le premier homme rencontré dans le même hôtel où ces salopards, se sont envoyés en l’air.
Mon dévolu se fait sur un anglais qui par chance est client et à une chambre au second.
Guidé comme un anglais avec de grandes moustaches, il me baise comme la salope qui sommeillait en moi.
Surtout qu’avec Cyprien, je suis plutôt du genre classique.
À un moment de nos échanges, placé derrière moi qui suis en levrette, il me bouffe la chatte ses moustaches me caressant l’intérieur de mes cuisses manquant de me faire pouffer de rire.
Avec sa langue, il me caresse la rosette qui frissonne, peut-on jouir par là, car elle semble très sensible.
Je veux faire voir à mon mari que moi aussi je peux être une salope, comme Isabelle l’a été aussi je rentre sans refaire mon maquillage mon Rimmel ayant coulé.
J’avais mis ma robe achetée spécialement pour la Saint-Valentin traditionnellement, Cyprien m’emmenant au restaurant.
Ce soir, lorsque je rentre une table, des bougies et un repas en amoureux dans notre salle à manger.
• Ma chérie, où étais-tu, j’ai essayé de te joindre, ton portable était coupé.
Je suis rentré tôt pour te faire une surprise, je nous ai fait livrer un repas de Saint Valentin, pour changer de notre resto, je te voulais pour moi tout seul cette année !
Mais que t’arrive-t-il, quelqu’un t’a-t-il manqué de respect ?
• S’il y en a un qui ma manquer de respect, c’est toi hier en baisant Isabelle à l’hôtel Saint-Hubert, je l’ai vue et je t’ai vu sortir de l’hôtel après elle.
J’étais venue chercher cette robe pour montrer mes attributs que tu te contentais d’exposer les autres années.
J’étais dans ma voiture en face de l’hôtel, tu as eu le toupet de me téléphoner pour te justifier de ton retard.
• Tu es folle ma chérie, j’étais bien au Saint Hubert, mais au bar avec un client anglais, nous avons discuté une grande partie de l’après-midi sur une commande de casques en peau d’ours naturel à ce jour.
Notre société étant spécialiste en peau animale synthétique en tout genre, les Coldstream Guards devant les palais anglais auront nos casques en peau synthétique sur leur tête, écologie animale oblige.
Je dois revoir Lord Alfred demain pour finaliser le contrat, ce sera celui du siècle pour nous.
Pendant que je travaillais avec Lord Alfred, la reine l’ayant anobli, j’ai vu Isabelle entrer avec un homme, la quarantaine et aller vers la réception.
Je les ai vus prendre la direction des étages, j’ai su moi aussi qu’Isabelle trompais Christian, mais j’ai considéré que c’était leur affaire.
• J’ai fait une sombre méprise mon chéri, j’ai accosté un monsieur avec une paire de moustaches et je l’ai suivi dans sa chambre.
• Un monsieur avec moustache, peux-tu m’en dire plus, comment se présentait-il à part ses moustaches ?
• Le parfait Anglais avec un costume trois-pièces gris, mais j’ai honte de te dire tout cela.
Si tu le permets, je vais aller me doucher et aller faire ma valise, je vais aller passer la nuit à l’hôtel, je suis indigne de rester ta femme après la méprise que j’ai faite.
Cyprien se tait, s’il avait fait un geste, j’aurais plaidé ma cause, réussissant peut-être à me faire pardonner.
Hélas, il me regarde sans réagir.
Je passe près de lui, il aurait pu m’attraper, mais c’est un piquet que je contourne.
J’entre dans notre salle d’eau, je me dénude et je rentre dans la douche.
Je tire le rideau pour éviter de tout éclabousser, même si je quitte mon chez-moi, je veux éviter du travail à notre femme de ménage demain matin.
Je me passe de l’eau sur le visage, essayant d’effacer la pute que j’ai été caractérisée par le Rimmel ayant coulé.
Un froissement de tissu et je me retrouve plaquée sur la paroi de la douche, le carrelage sur mes seins me faisant frissonner.
Bien sûr, qui autre que Cyprien peut me plaquer ainsi et surtout me faire sentir, la verge qui m’a toujours rendu heureuse depuis que nous nous connaissons et que nous nous sommes mariés.
Pourtant, il y a une grosse différence, nous sommes debout, lui contre moi alors que classiquement je viens le rejoindre dans notre lit la lumière éteinte.
Une ou deux fois nous avons fait l’amour en nous voyant nous étant couché tard sans avoir tiré le store de la chambre.
J’ai senti Cyprien gêné, il a reçu une éducation stricte par sa mère et moi j’aurais pu le décoincer, mais moi aussi j’ai reçu le même genre d’éducation.
Debout sous l’eau, mais aussi sa main qui vient s’insinuer dans ma fourche m’obligeant à écarter mes cuisses.
• Arrête, que fais-tu, je suis sale, il faut que je me lave profondément.
• J’espère que vous vous êtes protégé !
• Oui, Alfred avait mis une capote, mais ça me gêne de te dire ce qui était arrivé.
• Je me sens un peu responsable de la situation qui est arrivée.
Je voulais que celui qui est Lord et s’appelle Alfred vienne dans nos bureaux, mais il a insisté pour que ce soit moi qui vienne dans cet hôtel.
• Il m’a pris tellement bestialement que la capote s’est déchirée, son sperme a giclé partout, je l’ai senti au plus profond de moi.
Sa main se saisit de sa verge et il me plante me faisant hurler, mais de plaisir instantané.
• Je vais te mettre une bonne giclée, si tu es enceinte, impossible de savoir si c’est lui ou moi qui t’ai engrossé ?
À moins que notre fils naisse avec des moustaches, là il y aura problème.
Je rêvais depuis des années de te baiser comme je le fais maintenant, inutile de faire ta valise, j’aime la salope que grâce à Isabelle tu es devenue.
• Ah ! continue, Alfred m’a pris comme une chienne, toi tu me prends comme mon mâle de toujours !
Je saurai te satisfaire, merci de garder ta confiance malgré ma sombre méprise.
Il m’a pilonné, une nouvelle fois me tirant un orgasme.
Je suis épuisée de toutes ces bites même si elles sont deux, m’ayant perforé depuis que j’ai lâché les chiens.
Nous nous séchons et nous allons dans notre lit, Cyprien va fermer le store.
• Laisse mon chéri, demain je pense que ton rendez-vous avec Lord Alfred est assez tard pour que nous nous éclations à la lumière du jour.
Dès aujourd’hui je veux te voir me baiser.
• Le rendez-vous, je vais l’annuler, je me vois mal parler de peau de bête synthétique avec l’homme qui t’a baisée, je regarderai toujours là où se trouve ce sexe qui t’a fait jouir et peut-être engrossé.
J’ai du mal à répondre, je sais que ma faute est immense, j’ai du mal à dormir, mais j’y arrive un peu jusqu’au matin.
Le jour est là, je veux faire voir à l’homme que j’ai trahi que je mérite une deuxième chance.
Lorsque hier il est venu me rejoindre, je veux croire que c’est son épouse qu’il est venu retrouvé, mais pas une salope parmi d’autres comme semble l’être Isabelle.
Si je l’ai trompé, c’est parce que je me croyais trompée, sinon je serais resté fidèle.
Ma main vient rencontrer sa limace, posée sur son ventre.
Je veux une flèche alors pour la première fois, je me glisse sous la couette et malgré la chaleur, c’est ma bouche et ma main qui vient s’atteler à le faire bander.
Je sais qu’il est réveillé, car ses mains viennent sur ma tête et ce sont elles qui rythment la fellation que je pratique sur ma verge, oui c’est la mienne.
Je sors ma tête, car j’aimerais avaler son sperme, mais je veux qu’il soit en moi, alors je viens sur son pieu, certes, un pieu est fait pour ça.
Certes moins imposant que celui de mon Lord, mais suffisant pour satisfaire l’honnête femme que j’étais jusqu’à mon dérapage.
Je le regarde intensément, c’est la première fois que je suis sur lui et que nos regards peuvent se croiser.
J’ai une chance de cocu, quelle bêtise me vient au cerveau, je dois dire simplement que j’ai une chance alors que je monte et que je descends au rythme de la sauterie de nos retrouvailles.
Il m’aime et je l’aime.
C’est dans un unisson que nous prenons notre plaisir avant que je tombe sur sa poitrine sans qu’il se plaigne que je l’écrase.
Nous avons dû nous rendormir, c’est le souffle de mon mari dans mon cou qui me réveille.
• Levons-nous, il faut que j’appelle mon client pour lui signifier notre refus de lui fabriquer ses 150 casques en imitation de peau d’ourse.
• Mon chéri, j’ai fait une connerie, mais j’ai appris beaucoup pendant ce peu de temps.
Je veux rattraper mon erreur et que tu me suives avec Alfred, tu m’excuses, c’est comme cela qu’il s’est présenté.
Avant, va te doucher, je vais te préparer un reconstituant suite à la nuit que nous venons de passer et qui nous a révélé.
Je vais dans ma cuisine, je prends mon portable.
• Isabelle, je tiens à m’excuser de t’avoir accusé d’avoir couché avec mon mari.
Je te donne rendez-vous à 14 heures au bar de l’hôtel Saint-Hubert.
Il est 14 heures, Cyprien a garé notre voiture à deux pas de l’hôtel, j’ai remis ma robe de Saint-Valentin.
Lorsque nous entrons, Isabelle est au bar parlant avec la Barmaid.
Alfred est là, Cyprien dans la voiture m’a dit qu’il préférait l’ambiance d’un bar que celle de son bureau, c’est pour cela qu’il est avec son portable comme il était hier.
Je vais vers Isabelle, elle m’embrasse étonné de voir Cyprien avec moi.
• Viens, suis-moi.
Je m’approche d’Alfred.
• Tu es étonné que je sois là avec Cyprien, c’est mon mari, range ton portable, ma copine Isabelle et moi voulons te montrer les salopes que nous sommes.
Allons dans ta chambre.
Plusieurs choses dans cette chambre, je me fais baiser par mon amant pendant que Cyprien baise Isabelle, nous sommes toutes les deux en levrette.
Pour une nouvelle première fois, la bouche de mon amie a rejoint la mienne.
Je veux être maîtresse de nos jeux et du résultat de ceux-ci.
Je fais coucher Alfred sur le dos et je m’empale comme je l’ai fait ce matin.
Comme je l’ai dit, j’ai regardé deux pornos.
• Chéri vient me prendre la rosette, je sais pour l’avoir vu sur un film que les hommes adorent nous prendre en double pénétration.
Je veux, moi aussi ce plaisir.
Isabelle avance ta chatte, ma bouche est libre.
Qui dit mieux, sur le temps que j’ai mis à devenir la reine des salopes ?
À la fin de nos ébats, Lord Alfred signe un contrat pour cinq ans de 200 casques en peau d’ourse synthétique, mais avec un entretien de 5 ans avec renouvellement si nécessaire.
Une clause de revoyure annuelle est aussi signée, j’ai promis à notre anglais que nous serions là chaque année.
Je sais qu'il y a Christian qui doit se morfondre, mais je pense à lui.
• Bonsoir, mes amis, cette année pour la fin d’année, avec Isabelle, nous avons décidé de faire la fête des amoureux entre couples.
Christian et si nous commencions par danser ce slow langoureux tous les deux avant de prendre l’apéritif !
Mince, la boucle de robe longue blanche achetée pour la circonstance chez Jannine se détache et tombe au sol, la nuit va être excitante, Christian bande déjà le long de ma chatte dénudée.
En fin de compte, j’ai bien fait de me méprendre.
Un dernier point, j’ai déjà 15 jours de retard, mon fils ou ma fille auront-ils une moustache !
J’ai eu confirmation que je suis cocu, le soir même car les insinuations que je suis la fautive de cette tromperie se passant dans la cuisine d’Isabelle et Christian où nous étions invités à dîner.
Les propos explicites qu’elle me tient sans aucune ambiguïté avant le retour des garçons me font sentir qu’elle est une salope et que c’est pour cela que contrairement à moi mon mari la baise.
Je décide de rendre coup pour coup et dès le lendemain, jour de la Saint-Valentin, je décide de me faire le premier homme rencontré dans le même hôtel où ces salopards, se sont envoyés en l’air.
Mon dévolu se fait sur un anglais qui par chance est client et à une chambre au second.
Guidé comme un anglais avec de grandes moustaches, il me baise comme la salope qui sommeillait en moi.
Surtout qu’avec Cyprien, je suis plutôt du genre classique.
À un moment de nos échanges, placé derrière moi qui suis en levrette, il me bouffe la chatte ses moustaches me caressant l’intérieur de mes cuisses manquant de me faire pouffer de rire.
Avec sa langue, il me caresse la rosette qui frissonne, peut-on jouir par là, car elle semble très sensible.
Je veux faire voir à mon mari que moi aussi je peux être une salope, comme Isabelle l’a été aussi je rentre sans refaire mon maquillage mon Rimmel ayant coulé.
J’avais mis ma robe achetée spécialement pour la Saint-Valentin traditionnellement, Cyprien m’emmenant au restaurant.
Ce soir, lorsque je rentre une table, des bougies et un repas en amoureux dans notre salle à manger.
• Ma chérie, où étais-tu, j’ai essayé de te joindre, ton portable était coupé.
Je suis rentré tôt pour te faire une surprise, je nous ai fait livrer un repas de Saint Valentin, pour changer de notre resto, je te voulais pour moi tout seul cette année !
Mais que t’arrive-t-il, quelqu’un t’a-t-il manqué de respect ?
• S’il y en a un qui ma manquer de respect, c’est toi hier en baisant Isabelle à l’hôtel Saint-Hubert, je l’ai vue et je t’ai vu sortir de l’hôtel après elle.
J’étais venue chercher cette robe pour montrer mes attributs que tu te contentais d’exposer les autres années.
J’étais dans ma voiture en face de l’hôtel, tu as eu le toupet de me téléphoner pour te justifier de ton retard.
• Tu es folle ma chérie, j’étais bien au Saint Hubert, mais au bar avec un client anglais, nous avons discuté une grande partie de l’après-midi sur une commande de casques en peau d’ours naturel à ce jour.
Notre société étant spécialiste en peau animale synthétique en tout genre, les Coldstream Guards devant les palais anglais auront nos casques en peau synthétique sur leur tête, écologie animale oblige.
Je dois revoir Lord Alfred demain pour finaliser le contrat, ce sera celui du siècle pour nous.
Pendant que je travaillais avec Lord Alfred, la reine l’ayant anobli, j’ai vu Isabelle entrer avec un homme, la quarantaine et aller vers la réception.
Je les ai vus prendre la direction des étages, j’ai su moi aussi qu’Isabelle trompais Christian, mais j’ai considéré que c’était leur affaire.
• J’ai fait une sombre méprise mon chéri, j’ai accosté un monsieur avec une paire de moustaches et je l’ai suivi dans sa chambre.
• Un monsieur avec moustache, peux-tu m’en dire plus, comment se présentait-il à part ses moustaches ?
• Le parfait Anglais avec un costume trois-pièces gris, mais j’ai honte de te dire tout cela.
Si tu le permets, je vais aller me doucher et aller faire ma valise, je vais aller passer la nuit à l’hôtel, je suis indigne de rester ta femme après la méprise que j’ai faite.
Cyprien se tait, s’il avait fait un geste, j’aurais plaidé ma cause, réussissant peut-être à me faire pardonner.
Hélas, il me regarde sans réagir.
Je passe près de lui, il aurait pu m’attraper, mais c’est un piquet que je contourne.
J’entre dans notre salle d’eau, je me dénude et je rentre dans la douche.
Je tire le rideau pour éviter de tout éclabousser, même si je quitte mon chez-moi, je veux éviter du travail à notre femme de ménage demain matin.
Je me passe de l’eau sur le visage, essayant d’effacer la pute que j’ai été caractérisée par le Rimmel ayant coulé.
Un froissement de tissu et je me retrouve plaquée sur la paroi de la douche, le carrelage sur mes seins me faisant frissonner.
Bien sûr, qui autre que Cyprien peut me plaquer ainsi et surtout me faire sentir, la verge qui m’a toujours rendu heureuse depuis que nous nous connaissons et que nous nous sommes mariés.
Pourtant, il y a une grosse différence, nous sommes debout, lui contre moi alors que classiquement je viens le rejoindre dans notre lit la lumière éteinte.
Une ou deux fois nous avons fait l’amour en nous voyant nous étant couché tard sans avoir tiré le store de la chambre.
J’ai senti Cyprien gêné, il a reçu une éducation stricte par sa mère et moi j’aurais pu le décoincer, mais moi aussi j’ai reçu le même genre d’éducation.
Debout sous l’eau, mais aussi sa main qui vient s’insinuer dans ma fourche m’obligeant à écarter mes cuisses.
• Arrête, que fais-tu, je suis sale, il faut que je me lave profondément.
• J’espère que vous vous êtes protégé !
• Oui, Alfred avait mis une capote, mais ça me gêne de te dire ce qui était arrivé.
• Je me sens un peu responsable de la situation qui est arrivée.
Je voulais que celui qui est Lord et s’appelle Alfred vienne dans nos bureaux, mais il a insisté pour que ce soit moi qui vienne dans cet hôtel.
• Il m’a pris tellement bestialement que la capote s’est déchirée, son sperme a giclé partout, je l’ai senti au plus profond de moi.
Sa main se saisit de sa verge et il me plante me faisant hurler, mais de plaisir instantané.
• Je vais te mettre une bonne giclée, si tu es enceinte, impossible de savoir si c’est lui ou moi qui t’ai engrossé ?
À moins que notre fils naisse avec des moustaches, là il y aura problème.
Je rêvais depuis des années de te baiser comme je le fais maintenant, inutile de faire ta valise, j’aime la salope que grâce à Isabelle tu es devenue.
• Ah ! continue, Alfred m’a pris comme une chienne, toi tu me prends comme mon mâle de toujours !
Je saurai te satisfaire, merci de garder ta confiance malgré ma sombre méprise.
Il m’a pilonné, une nouvelle fois me tirant un orgasme.
Je suis épuisée de toutes ces bites même si elles sont deux, m’ayant perforé depuis que j’ai lâché les chiens.
Nous nous séchons et nous allons dans notre lit, Cyprien va fermer le store.
• Laisse mon chéri, demain je pense que ton rendez-vous avec Lord Alfred est assez tard pour que nous nous éclations à la lumière du jour.
Dès aujourd’hui je veux te voir me baiser.
• Le rendez-vous, je vais l’annuler, je me vois mal parler de peau de bête synthétique avec l’homme qui t’a baisée, je regarderai toujours là où se trouve ce sexe qui t’a fait jouir et peut-être engrossé.
J’ai du mal à répondre, je sais que ma faute est immense, j’ai du mal à dormir, mais j’y arrive un peu jusqu’au matin.
Le jour est là, je veux faire voir à l’homme que j’ai trahi que je mérite une deuxième chance.
Lorsque hier il est venu me rejoindre, je veux croire que c’est son épouse qu’il est venu retrouvé, mais pas une salope parmi d’autres comme semble l’être Isabelle.
Si je l’ai trompé, c’est parce que je me croyais trompée, sinon je serais resté fidèle.
Ma main vient rencontrer sa limace, posée sur son ventre.
Je veux une flèche alors pour la première fois, je me glisse sous la couette et malgré la chaleur, c’est ma bouche et ma main qui vient s’atteler à le faire bander.
Je sais qu’il est réveillé, car ses mains viennent sur ma tête et ce sont elles qui rythment la fellation que je pratique sur ma verge, oui c’est la mienne.
Je sors ma tête, car j’aimerais avaler son sperme, mais je veux qu’il soit en moi, alors je viens sur son pieu, certes, un pieu est fait pour ça.
Certes moins imposant que celui de mon Lord, mais suffisant pour satisfaire l’honnête femme que j’étais jusqu’à mon dérapage.
Je le regarde intensément, c’est la première fois que je suis sur lui et que nos regards peuvent se croiser.
J’ai une chance de cocu, quelle bêtise me vient au cerveau, je dois dire simplement que j’ai une chance alors que je monte et que je descends au rythme de la sauterie de nos retrouvailles.
Il m’aime et je l’aime.
C’est dans un unisson que nous prenons notre plaisir avant que je tombe sur sa poitrine sans qu’il se plaigne que je l’écrase.
Nous avons dû nous rendormir, c’est le souffle de mon mari dans mon cou qui me réveille.
• Levons-nous, il faut que j’appelle mon client pour lui signifier notre refus de lui fabriquer ses 150 casques en imitation de peau d’ourse.
• Mon chéri, j’ai fait une connerie, mais j’ai appris beaucoup pendant ce peu de temps.
Je veux rattraper mon erreur et que tu me suives avec Alfred, tu m’excuses, c’est comme cela qu’il s’est présenté.
Avant, va te doucher, je vais te préparer un reconstituant suite à la nuit que nous venons de passer et qui nous a révélé.
Je vais dans ma cuisine, je prends mon portable.
• Isabelle, je tiens à m’excuser de t’avoir accusé d’avoir couché avec mon mari.
Je te donne rendez-vous à 14 heures au bar de l’hôtel Saint-Hubert.
Il est 14 heures, Cyprien a garé notre voiture à deux pas de l’hôtel, j’ai remis ma robe de Saint-Valentin.
Lorsque nous entrons, Isabelle est au bar parlant avec la Barmaid.
Alfred est là, Cyprien dans la voiture m’a dit qu’il préférait l’ambiance d’un bar que celle de son bureau, c’est pour cela qu’il est avec son portable comme il était hier.
Je vais vers Isabelle, elle m’embrasse étonné de voir Cyprien avec moi.
• Viens, suis-moi.
Je m’approche d’Alfred.
• Tu es étonné que je sois là avec Cyprien, c’est mon mari, range ton portable, ma copine Isabelle et moi voulons te montrer les salopes que nous sommes.
Allons dans ta chambre.
Plusieurs choses dans cette chambre, je me fais baiser par mon amant pendant que Cyprien baise Isabelle, nous sommes toutes les deux en levrette.
Pour une nouvelle première fois, la bouche de mon amie a rejoint la mienne.
Je veux être maîtresse de nos jeux et du résultat de ceux-ci.
Je fais coucher Alfred sur le dos et je m’empale comme je l’ai fait ce matin.
Comme je l’ai dit, j’ai regardé deux pornos.
• Chéri vient me prendre la rosette, je sais pour l’avoir vu sur un film que les hommes adorent nous prendre en double pénétration.
Je veux, moi aussi ce plaisir.
Isabelle avance ta chatte, ma bouche est libre.
Qui dit mieux, sur le temps que j’ai mis à devenir la reine des salopes ?
À la fin de nos ébats, Lord Alfred signe un contrat pour cinq ans de 200 casques en peau d’ourse synthétique, mais avec un entretien de 5 ans avec renouvellement si nécessaire.
Une clause de revoyure annuelle est aussi signée, j’ai promis à notre anglais que nous serions là chaque année.
Je sais qu'il y a Christian qui doit se morfondre, mais je pense à lui.
• Bonsoir, mes amis, cette année pour la fin d’année, avec Isabelle, nous avons décidé de faire la fête des amoureux entre couples.
Christian et si nous commencions par danser ce slow langoureux tous les deux avant de prendre l’apéritif !
Mince, la boucle de robe longue blanche achetée pour la circonstance chez Jannine se détache et tombe au sol, la nuit va être excitante, Christian bande déjà le long de ma chatte dénudée.
En fin de compte, j’ai bien fait de me méprendre.
Un dernier point, j’ai déjà 15 jours de retard, mon fils ou ma fille auront-ils une moustache !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...