COLLECTION SALOPES. Deux vieilles salopes (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION SALOPES. Deux vieilles salopes (1/1)
• Entrés messieurs, nous sommes contentes de vous recevoir !
• Bonjour mesdames, Steven et moi sommes très heureux d’être parmi vous !
• Leif, je vous ai reconnu, c’est vous que j’ai eu au téléphone, votre photo d’agence est fidèle à la personne que j’ai devant moi.
Blond, normal pour un Suédois et avec une musculature que Simone et moi nous allons beaucoup apprécier.
Leif, je vous avais demandé si vous aviez un compagnon de travail brun même black, Steven correspond exactement à notre demande.
Steven, je peux tâter vos biseps, vos bras sont impressionnants !
Ouah, vous devez soulever pas mal de fonte pour les avoirs aussi durs !
• Bonjour mesdames, pour répondre à votre question, Leif et moi nous pratiquons la salle au moins deux heures par jour suivant nos rendez-vous, il va de soi.
• Beau et musclé comme vous l’êtes, vous devez crouler sous les rendez-vous.
Simone, je crois que je vais passer l’une de mes meilleures soirées de l’année !
• Non, Rolande, la meilleure soirée de notre vie.
• Il faut toujours que tu exagères, depuis que nous faisons appel à des beaux gosses comme ceux-là, nous nous sommes éclatés plusieurs fois.
• Faite-vous souvent appelle à des escortes !
• De temps en temps, depuis que nous sommes veuves et chaque fois que l’une de nous à disons assez de...
• La chatte de l’autre, vous êtes bi-sexuelles et de temps en temps vous avez besoin de queues comme les nôtres.
• Leif, vous êtes direct, ça me plait et je suis sûr que vous plaisez à Rolande, j’ai raison ma chérie.
• Tu as toujours raison, c’est pour cela que nous sommes amies depuis notre cour préparatoire.
La première fois où je t’ai vu, je t’ai sauté à la gorge car tu voulais prendre la place à la table qui était la mienne.
• Non, tu avais tort, c’était la mienne et pour le prouver, c’est cette petite pétasse de Véronique qui l’a eu, nous nous sommes retrouvés au fond de la classe.
• Help mesdames, on est là, si vous voulez faire un combat de catch, Steven et moi nous sommes partants, mais il serait bien venu que nous réglions l’aspect pratique de notre visite.
• C’est vrai, l’une comme l’autre lorsque nous repensons à Véronique, nous nous emportons.
Toujours première en classe, première à se marier.
• A-t-elle trouvé un homme plein de fric et elle vit tranquilles les doigts de pieds en éventail ?
• Non, elle est morte, dix ans après son mariage avec un alcolo qui est en tôle pour meurtre, il lui a défoncé la figure à coups de poing.
• Vous semblez, vous en êtes mieux sorties !
• Vous avez raison, voici vos enveloppes 2 000 chacun en petites coupures.
• Ça vous va, sinon, on peut faire un effort, mesdames !
• Parle pour toi Steven, moi j’ai besoin de ce pognon, pour garder ma condition et être en forme pour le plaisir de ces dames.
• Messieurs du calme, pour l’argent soyez sans crainte, si Véronique a épousé un alcoolique, nous nous sommes trouvés deux hommes qui ont su signer pour chacune de nous une police d'assurance.
• Et ces pauvres hommes sont tous les deux décédés.
• Hé, pas d’ambiguïté, nous étions amies d’enfance, il en était de même pour eux, c’est pour cela que nous nous sommes rencontrés.
Nous devrions être mortes en même temps qu’eux, mais la mise au monde de mon premier fils m’a contrainte de me retrouver en maternité.
Ils sont venus nous rejoindre et un bus scolaire a perdu le contrôle, les bloquants sur le passage à niveau ou le train de 13 heures les a broyés.
Nous avons vu leurs cercueils, car les pompes funèbres et la police nous ont évité de les voir dans l’état où ils étaient.
• Solange a raison, c’est la mère de chacun d’eux qui a été reconnaitre les corps, nous nous sommes contentés d’enquêter de très gros chèques.
Bon assez parlé du passé, entrez dans la salle du pavillon que nous nous sommes achetée au moment de notre retraite.
• Vous savez recevoir, tout sur cette table semble succulant !
• Steven, tu vas pleurer si après tu prends cent grammes, tu nous feras soulever le double de poids à la salle.
• Rolande, ses petits-enfants l’appellent « mamy gâteau. »
• Il faut éviter de croire Solange, j’aime faire des gâteaux, mais je n’ai qu’une fille qui habite à New York, ça fait bientôt dix ans que je ne la vois que par Internet.
• Elle travaille aux États-Unis !
• Oui, comme vous ?
• Comme nous ?
• C’est une escorte, à ce que j’en sais, elle gagne très bien sa vie.
• Vous dite ça d’un ton qui semble vous faire mal, regardé, nous vivons de nos charmes auprès souvent de vieilles dames indignes comme vous.
Nous sommes beaux et ce que nous faisons nous plait énormément.
• Aller dire que de passer la soirée dans les bras de deux vieilles sur le retour comme nous est une partie de plaisir !
Leif s’approche de moi et me prends dans ses bras se collant à moi.
• Regarde comme je bande pour toi, ma pine me fait mal tellement elle veut défoncer ta chatte.
Tu vois que tu es bandante, sort là, 22 sur 8, l’une des plus belles sur la Côte d’Azur, veux-tu la sucer ?
Assez parler de ma fille et de la prostituée devenue à New York.
C’est moi qui sors ce beau morceau, comme elle doit le faire à l’autre bout du monde avec des vieux messieurs sachant lui donner du fric.
• Solange, tu suces aussi, Steven semble bien membrer lui aussi.
• 25 sur 7, plus longue, mais moins volumineuse, aller Solange, bien au fond, oui comme cela, j’adore les salopes qui me font des gorges profondes.
Nous avons baisé comme des folles toutes une partie de la nuit.
Nos garçons nous ont conduits dans notre chambre, nous faisons lit commun en temps normal.
Nous leur avons montré comme deux gouines en temps normal savent se brouter la chatte.
• Toi aussi tu as eu des enfants, je vois tes césariennes !
• Oui, deux fois et deux fois sans savoir ce que c’est que de sentir leur tête passer entre mes cuisses.
C’est pour ça que j’adore de belles bites comme les vôtres, j’aime les sentir entrer alors que les enfants ont les sens sortir.
Dire ces mots, en levrette avec la bite de Leif bien au fond de moi, me fait partir dans un des multiples orgasmes que ces garçons nous apportent dans notre nuit de débauche.
• Oh ! ma chérie, on s’est bien éclaté, vivement la prochaine fois !
• Quel a été le meilleur moment pour toi ?
• Quand nous sommes descendus avec Steven entièrement nu boire un coup.
Il a vu ma laisse avec mon collier de chien, il me l’a mis et m’a promené dans le rez-de-chaussée comme une bonne chienne que je sais être quand tu me le mets.
Il m’a fait remonter à l’étage toujours sur les genoux.
À la mi-hauteur, j’ai senti sa main venir me fister comme tu sais si bien le faire, avant de me saillir comme la belle chienne que je sais être dans ces moments-là.
• Je suis sûr que je vais devoir nettoyer les marches de l’escalier.
Je te connais, tu es une femme fontaine dans ces moments-là, je vais faire attention lorsque je descendrais, on se casse rapidement le col du fémur si l’on glisse sur tes débordements.
• Et toi.
• Hors du moment ou on se broutait et que nos deux étalons nous regardaient semblant impressionné avec ta langue dans ma chatte et la mienne dans la tienne.
• Dit directement dans un très beau 69, moi, c’est lorsqu’ils m’ont pris en double pénétration.
J’ai bien vu qu’ils voulaient t’en faire autant.
Tu avais là l’occasion de te faire enculer et une nouvelle fois tu as reculé.
• En double vaginal, ce n’est pas mal non plus, vraiment une bonne soirée, vivement la prochaine.
Dommage que par principe nous avons dit, deux étalons une seule fois après on passe aux suivants on pourrait s’attacher, je les aurais bien réinvités, de vrais pros.
Nous avons continué à vivre en bonnes gouines et bonnes salopes, les deux fois ou nous avons fait venir des étalons.
Bon, mais moins touchant que Leif et Steven.
Nous sommes à l’aéroport de Nice ou Jennifer la fille de Rolande, arrive.
Nous l’avons eu au téléphone la liaison image était coupée.
Elle revient avec Bjorn, son fiancé Suédois.
Je reconnais Jennifer qui me fait signe de la main, je suis sa marraine.
Elle a de magnifiques yeux bridés.
Rolande l’a eu avec un de ses clients japonais, une erreur de capote.
Vous connaissez ces bus parisiens où les touristes sont sur le toit.
Il visitait Paris et en a profité pour visiter la chatte de mon amie, lui laisser derrière lui presque trois kilos d’une jolie petite fille.
• Bonjour maman, bonjour marraine, je vous présente Bjorn mon fiancé.
Nous nous sommes rencontrés lors d’une soirée de nouvelle ans et nous allons nous marier.
Bjorn nous embrasse sans le moindre moment où nous pourrions l’appelé Leif, car bien sûr une pute a dû rencontrer et tomber amoureuse de l’autre pute.
C’est ça la vie.
• Que pensez-vous faire en France avant que vous héritiez de votre vieille mère ?
• Bjorn dit à maman, qu’elle n’est pas vieille, pour te répondre, nous avons racheté un club échangiste sur la côte.
Solange et moi aurons-nous le courage d’aller dans ce club pour trouver des étalons comme Bjorn, Leif ou Steven ou Benoit, ou, ou, ou.
• Bonjour mesdames, Steven et moi sommes très heureux d’être parmi vous !
• Leif, je vous ai reconnu, c’est vous que j’ai eu au téléphone, votre photo d’agence est fidèle à la personne que j’ai devant moi.
Blond, normal pour un Suédois et avec une musculature que Simone et moi nous allons beaucoup apprécier.
Leif, je vous avais demandé si vous aviez un compagnon de travail brun même black, Steven correspond exactement à notre demande.
Steven, je peux tâter vos biseps, vos bras sont impressionnants !
Ouah, vous devez soulever pas mal de fonte pour les avoirs aussi durs !
• Bonjour mesdames, pour répondre à votre question, Leif et moi nous pratiquons la salle au moins deux heures par jour suivant nos rendez-vous, il va de soi.
• Beau et musclé comme vous l’êtes, vous devez crouler sous les rendez-vous.
Simone, je crois que je vais passer l’une de mes meilleures soirées de l’année !
• Non, Rolande, la meilleure soirée de notre vie.
• Il faut toujours que tu exagères, depuis que nous faisons appel à des beaux gosses comme ceux-là, nous nous sommes éclatés plusieurs fois.
• Faite-vous souvent appelle à des escortes !
• De temps en temps, depuis que nous sommes veuves et chaque fois que l’une de nous à disons assez de...
• La chatte de l’autre, vous êtes bi-sexuelles et de temps en temps vous avez besoin de queues comme les nôtres.
• Leif, vous êtes direct, ça me plait et je suis sûr que vous plaisez à Rolande, j’ai raison ma chérie.
• Tu as toujours raison, c’est pour cela que nous sommes amies depuis notre cour préparatoire.
La première fois où je t’ai vu, je t’ai sauté à la gorge car tu voulais prendre la place à la table qui était la mienne.
• Non, tu avais tort, c’était la mienne et pour le prouver, c’est cette petite pétasse de Véronique qui l’a eu, nous nous sommes retrouvés au fond de la classe.
• Help mesdames, on est là, si vous voulez faire un combat de catch, Steven et moi nous sommes partants, mais il serait bien venu que nous réglions l’aspect pratique de notre visite.
• C’est vrai, l’une comme l’autre lorsque nous repensons à Véronique, nous nous emportons.
Toujours première en classe, première à se marier.
• A-t-elle trouvé un homme plein de fric et elle vit tranquilles les doigts de pieds en éventail ?
• Non, elle est morte, dix ans après son mariage avec un alcolo qui est en tôle pour meurtre, il lui a défoncé la figure à coups de poing.
• Vous semblez, vous en êtes mieux sorties !
• Vous avez raison, voici vos enveloppes 2 000 chacun en petites coupures.
• Ça vous va, sinon, on peut faire un effort, mesdames !
• Parle pour toi Steven, moi j’ai besoin de ce pognon, pour garder ma condition et être en forme pour le plaisir de ces dames.
• Messieurs du calme, pour l’argent soyez sans crainte, si Véronique a épousé un alcoolique, nous nous sommes trouvés deux hommes qui ont su signer pour chacune de nous une police d'assurance.
• Et ces pauvres hommes sont tous les deux décédés.
• Hé, pas d’ambiguïté, nous étions amies d’enfance, il en était de même pour eux, c’est pour cela que nous nous sommes rencontrés.
Nous devrions être mortes en même temps qu’eux, mais la mise au monde de mon premier fils m’a contrainte de me retrouver en maternité.
Ils sont venus nous rejoindre et un bus scolaire a perdu le contrôle, les bloquants sur le passage à niveau ou le train de 13 heures les a broyés.
Nous avons vu leurs cercueils, car les pompes funèbres et la police nous ont évité de les voir dans l’état où ils étaient.
• Solange a raison, c’est la mère de chacun d’eux qui a été reconnaitre les corps, nous nous sommes contentés d’enquêter de très gros chèques.
Bon assez parlé du passé, entrez dans la salle du pavillon que nous nous sommes achetée au moment de notre retraite.
• Vous savez recevoir, tout sur cette table semble succulant !
• Steven, tu vas pleurer si après tu prends cent grammes, tu nous feras soulever le double de poids à la salle.
• Rolande, ses petits-enfants l’appellent « mamy gâteau. »
• Il faut éviter de croire Solange, j’aime faire des gâteaux, mais je n’ai qu’une fille qui habite à New York, ça fait bientôt dix ans que je ne la vois que par Internet.
• Elle travaille aux États-Unis !
• Oui, comme vous ?
• Comme nous ?
• C’est une escorte, à ce que j’en sais, elle gagne très bien sa vie.
• Vous dite ça d’un ton qui semble vous faire mal, regardé, nous vivons de nos charmes auprès souvent de vieilles dames indignes comme vous.
Nous sommes beaux et ce que nous faisons nous plait énormément.
• Aller dire que de passer la soirée dans les bras de deux vieilles sur le retour comme nous est une partie de plaisir !
Leif s’approche de moi et me prends dans ses bras se collant à moi.
• Regarde comme je bande pour toi, ma pine me fait mal tellement elle veut défoncer ta chatte.
Tu vois que tu es bandante, sort là, 22 sur 8, l’une des plus belles sur la Côte d’Azur, veux-tu la sucer ?
Assez parler de ma fille et de la prostituée devenue à New York.
C’est moi qui sors ce beau morceau, comme elle doit le faire à l’autre bout du monde avec des vieux messieurs sachant lui donner du fric.
• Solange, tu suces aussi, Steven semble bien membrer lui aussi.
• 25 sur 7, plus longue, mais moins volumineuse, aller Solange, bien au fond, oui comme cela, j’adore les salopes qui me font des gorges profondes.
Nous avons baisé comme des folles toutes une partie de la nuit.
Nos garçons nous ont conduits dans notre chambre, nous faisons lit commun en temps normal.
Nous leur avons montré comme deux gouines en temps normal savent se brouter la chatte.
• Toi aussi tu as eu des enfants, je vois tes césariennes !
• Oui, deux fois et deux fois sans savoir ce que c’est que de sentir leur tête passer entre mes cuisses.
C’est pour ça que j’adore de belles bites comme les vôtres, j’aime les sentir entrer alors que les enfants ont les sens sortir.
Dire ces mots, en levrette avec la bite de Leif bien au fond de moi, me fait partir dans un des multiples orgasmes que ces garçons nous apportent dans notre nuit de débauche.
• Oh ! ma chérie, on s’est bien éclaté, vivement la prochaine fois !
• Quel a été le meilleur moment pour toi ?
• Quand nous sommes descendus avec Steven entièrement nu boire un coup.
Il a vu ma laisse avec mon collier de chien, il me l’a mis et m’a promené dans le rez-de-chaussée comme une bonne chienne que je sais être quand tu me le mets.
Il m’a fait remonter à l’étage toujours sur les genoux.
À la mi-hauteur, j’ai senti sa main venir me fister comme tu sais si bien le faire, avant de me saillir comme la belle chienne que je sais être dans ces moments-là.
• Je suis sûr que je vais devoir nettoyer les marches de l’escalier.
Je te connais, tu es une femme fontaine dans ces moments-là, je vais faire attention lorsque je descendrais, on se casse rapidement le col du fémur si l’on glisse sur tes débordements.
• Et toi.
• Hors du moment ou on se broutait et que nos deux étalons nous regardaient semblant impressionné avec ta langue dans ma chatte et la mienne dans la tienne.
• Dit directement dans un très beau 69, moi, c’est lorsqu’ils m’ont pris en double pénétration.
J’ai bien vu qu’ils voulaient t’en faire autant.
Tu avais là l’occasion de te faire enculer et une nouvelle fois tu as reculé.
• En double vaginal, ce n’est pas mal non plus, vraiment une bonne soirée, vivement la prochaine.
Dommage que par principe nous avons dit, deux étalons une seule fois après on passe aux suivants on pourrait s’attacher, je les aurais bien réinvités, de vrais pros.
Nous avons continué à vivre en bonnes gouines et bonnes salopes, les deux fois ou nous avons fait venir des étalons.
Bon, mais moins touchant que Leif et Steven.
Nous sommes à l’aéroport de Nice ou Jennifer la fille de Rolande, arrive.
Nous l’avons eu au téléphone la liaison image était coupée.
Elle revient avec Bjorn, son fiancé Suédois.
Je reconnais Jennifer qui me fait signe de la main, je suis sa marraine.
Elle a de magnifiques yeux bridés.
Rolande l’a eu avec un de ses clients japonais, une erreur de capote.
Vous connaissez ces bus parisiens où les touristes sont sur le toit.
Il visitait Paris et en a profité pour visiter la chatte de mon amie, lui laisser derrière lui presque trois kilos d’une jolie petite fille.
• Bonjour maman, bonjour marraine, je vous présente Bjorn mon fiancé.
Nous nous sommes rencontrés lors d’une soirée de nouvelle ans et nous allons nous marier.
Bjorn nous embrasse sans le moindre moment où nous pourrions l’appelé Leif, car bien sûr une pute a dû rencontrer et tomber amoureuse de l’autre pute.
C’est ça la vie.
• Que pensez-vous faire en France avant que vous héritiez de votre vieille mère ?
• Bjorn dit à maman, qu’elle n’est pas vieille, pour te répondre, nous avons racheté un club échangiste sur la côte.
Solange et moi aurons-nous le courage d’aller dans ce club pour trouver des étalons comme Bjorn, Leif ou Steven ou Benoit, ou, ou, ou.
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