COLLECTION SALOPES. Dites-moi que je suis une salope (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SALOPES. Dites-moi que je suis une salope (1/1)
Il y a peu, j’étais mariée, j’avais deux enfants et à trente-cinq ans j’étais une femme, sinon comblée, au moins heureuse.
Jean, mon mari était aux petits soins pour moi, mais j’avais au fond de moi ce mal qu’ont certaines femmes, le manque profond de jouissance.
Chaque fois qu’il le pouvait, il se mettait en quatre pour me satisfaire matériellement sans comprendre ce qui clochait en moi.
Nos rapports sexuels, je dirais qu’ils étaient trop fades à mon goût, mais que pour mes enfants, je m’en contentais.
Je suis conseillère d’éducation dans un lycée du nord de la France, tout proche de la frontière belge.
Je côtoie tous les jours des garçons et des filles de quinze à dix-neuf ans pour les plus attardés dans leurs études et qui refuse une autre orientation que la filière du bac.
Papa a eu le bac, maman a eu son bac avec mention, donc, le rejeton doit aussi avoir ce diplôme pour aller essuyer les bancs de la fac.
Sylvain en fait parti.
Dix-huit ans, beau gosse et il le sait.
C’est la coqueluche des élèves du lycée où j’essaye de faire le maximum pour que chacun trouve un débouché à la hauteur de ses capacités.
La première fois où il s’est assis en face de moi, j’ai trouvé qu’il avait du charme.
De là à penser à plus, il y avait un monde que la déontologie de ma profession, comme celle des profs, m’empêchait de franchir.
Je devais me contenter de l’orientation de nos élèves.
Savoir où ils en étaient dans leur sexualité devait me passer au-dessus de la tête.
Pourtant l’insistance que mettait Sylvain à se passer sa langue sur ses lèvres comme une sorte d’invitation me troublait chaque fois qu’il venait dans mon bureau.
Ce bureau, je trouvais qu’il y venait de plus en plus souvent, mais lorsque je feignais d’ignorer pourquoi il était là, je jouais de plus en plus avec lui.
Ce que j’ignorai, c’est qu’il savait où j’habitais, mon mari étant camionneur international, il part en moyenne pour quinze jours, les week-ends compris.
Ce vendredi soir, je suis seule, Sophie, bientôt dix-huit ans et Carine quatorze sont chez mes beaux-parents pour le week-end.
C’est sur la terrasse que je prends le soleil et comme notre pavillon est sans vis-à-vis, je suis nue sur mon transat sirotant un whisky coca.
D’un coup, j’entends du bruit dans la maison, je prends peur, mais sans en avoir le temps car Sylvain est à mes côtés.
• Que fais-tu là, comment es-tu entré, j’avais vérifié la fermeture de la porte d’entrée ?
• Je vois que les choses entre nous se réchauffent, car déjà tu me tutoies.
Ta porte, mon grand-père était serrurier et il m’a appris la façon de crocheter toutes sortes de serrures !
• Sors immédiatement sinon, j’appelle la police.
• À cette heure, un vendredi soir, le poste de gendarmerie a fermé et ça leur prendrait plus d’une heure pour venir de Lille.
Je me doutais au lycée que tu étais bien gaulée, j’étais en dessous de la vérité, tu es magnifique surtout pour une femme ayant eu deux enfants !
C’est vrai, je peux dire que je me maintiens malgré mon âge, par chance j’ai une nature me permettant de rester svelte.
Sylvain s’agenouille près de moi et met sa main sur mon sein.
Il fait chaud, malgré cela, je frisonne et ma pointe sort de sa torpeur.
Il va même jusqu’à le prendre dans sa bouche, il passe non loin de ma bouche et je sens son haleine fraiche.
Je suis folle, je dois le repousser, mais mon corps réagit sans que je puisse faire quoique ce soi.
Mon sein et mon mont de Vénus, mais cuisses étant serrés ce qui me fait penser que je suis protégée.
Hélas, mon vagin en décide autrement et je sens mes cuisses insidieusement s’écarter.
Ses doigts recourbés sont entrés en moi sans aucune difficulté car je ruisselets d’envies.
• Pourquoi sors-tu ton portable, je refuse que tu fasses des photos.
L’appareil levé à bout de bras, je me suis sentie piégée, lorsque le flash crépité au rythme des photos prises en rafale.
Il s’est relevé, a sorti sa queue et la présenter à ma bouche, il était gros, mais en le léchant, et en le prenant en main, j’ai réussi à ce qu’il bande comme un âne.
Je dis un âne, car dans ma jeunesse j’ai vu un couple de cette espèce s’accoupler et le gros mandrin entrer dans la femelle.
Là encore il a fait des photos, mais le plaisir qui montait en moi surtout quand se glissant vers le bas, il m’a empalé.
Heureusement, que notre jardin était isolé, car les cris de jouissance que j’ai poussés dépassaient en décibels, tous mes cris depuis la perte de mon pucelage.
Il a pris son plaisir après le mien, chose que mon mari oubliait largement de faire depuis notre rencontre et mon dépucelage.
• Branle-moi, fais-moi rebander, j’ai envie de t’en mettre un autre petit coup.
Je me suis exécutée, il m’a fait mettre à quatre pattes, je pensais qu’il voulait me prendre en levrette, mais c’est ma rosette qu’il a défoncée.
C’était la première fois que je me faisais enculer.
J’ai eu mal, mais sa main venant prendre mon clito a tout aplani et j’ai une nouvelle fois joui.
Il a fini par se relever et de s’habiller avant de me tendre son portable.
• Tient, le numéro de ton mari est dans les contacts, il m’a suffi de téléphoner à sa boîte pour le récupérer en leur disant que c’était pour une urgence.
• Pourquoi veux tu que je l’appelle ?
• Pour lui dire qu’il est cocu, il est connu pour son manque de tact et je sais qu’il va te jeter comme une vieille chaussette.
Sinon, demain samedi, 15 heures, ton moteur tournant, nous irons faire une promenade en Belgique.
Il m’a quitté et toute la nuit je me suis demandé quelles étaient ses intentions.
Nuit blanche, mais j’étais à l’heure, il est monté et m’a fait passer la frontière.
Sur le chemin, il m’a fait arrêter sur un parking.
• Va derrière et change-toi, allée grouille, on va être en retard.
• Cette robe, tu me prends pour une pute !
• Tu as tout compris, dépêche.
Je tombais de haut sans avoir le temps de me poser des questions, il m’a fait descendre devant le « coco bar », l’enseigne allumée même de jour était sans équivoque.
Il me conduisait dans un bar à pute.
Il m’a présenté à la patronne et ce premier soir j’ai fait une douzaine de clients.
Deux d’entre eux m’ont fait jouir, trois mon enculer, mais j’ai dû sucer tous les douze.
Au matin, j’étais de retour, me demandant comment j’avais pu être aussi imprudente et tomber sous la coupe de ce jeune maquereau.
Quatre fois, il m’a conduit tapiner dans ce bar, j’avais de plus en plus de succès jusqu’à ce dimanche ou Sophie pour ses dix-huit ans nous a promis une surprise.
Mon mari était là et quelle fut ma surprise de la voir arriver au bras de mon mac.
• Papa, maman, je vous présente Sylvain, mon copain, maman tu as dû le voir dans notre lycée, j’emménage dès ce jour avec lui.
J’ai failli hurler « non », mais ce mot est resté dans ma gorge surtout sous le sourire narquois de mon souteneur.
• Belle maman, je sens l’odeur du gigot, Sophie m’a dit que c’était votre spécialité, permettez que je le découpe, j’ai appris à le faire.
Il vient dans la cuisine avec moi et se colle à mes fesses, mes jambes sont à deux doigts de flageoler.
• Je t’interdis de toucher à ma fille.
• La toucher, ça fait trois mois que je l’ai fait, ce qu’elle ignore c’est qu’elle commence à tapiner dans trois jours, toi ce sont les vendredis et samedis, elle se sera toute la semaine sauf le dimanche.
Soit sans crainte, elle va débuter dans un autre bar à femelle que le tien.
Il a passé sa main sous ma jupe et caressé mon clito à travers mon string.
J’étais à deux doigts de jouir et de faire comprendre à mon mari dans la pièce voisine que je venais de m’envoyer en l’air.
Chaque fois qu’il m’emmenait tapiner, je pensais à ma fille, j’ignorais, comment il l’avait amenée à se prostituer, mais ce genre de mec a plus d’une corde à son arc.
Ce dimanche, ils sont là tous les deux, moi je m’habille en pute sur le chemin chaque fois, Sophie à la façon outrancière où elle s’habille et se maquille me montre qu’il lui a fait franchir le pas.
Comme chaque fois, il vient m’aider pour le gigot.
Je viens de le sortir du four et mon amant me plaque le long du plan de travail.
• Dis-moi, Carine, elle a quel âge ?
Bientôt seize ans, je suis entré dans la salle de bain l’autre matin, elle commence à être bien formée.
J’ai vu son mont de Vénus, sa touffe est bien fournie et elle a des seins aussi beaux que les tient.
À la façon qu’elle a de me regarder, dès ses dix-huit ans, je pense qu’elle va accompagner sa sœur et tapiner dans le même bar.
C’est à ce moment que j’ai vu rouge, j’avais le couteau à découper en main et je lui ai planté dans le cœur.
Touché à Carine, mon bébé, il venait de passer la limite du supportable et est mort sur le coup.
La police est venue, je suis en préventive attendant mon procès.
Les journaux ont titré.
« Elle tue son amant et son mac, après qu’il ait aussi prostitué sa fille aînée.
C’est lorsqu’il lui a dit qu’il allait s’en prendre à sa seconde fille de seize ans, qu’elle a pété les plombs. »
Voilà, je vais payer mes légèretés avec ce jeune garçon.
Au parloir, Sophie est venue me voir, pour deux choses, me faire signer mes papiers de divorce et répondre à ma question.
Comment Sylvain s’y était-il pris pour l’amener à tapiner ?
Incroyable, il lui a montré des photos de moi ou mon partenaire était caché surtout celle ou je me faisais enculer en lui disant que si elle refusait de se vendre, son père les recevrait.
J’en ai pour quelque temps à ronger mon frein avant de sortir, mais c’est fait.
Que faire pour gagner ma vie ayant perdu mon emploi de conseillère ?
Tant que mon cul a de la valeur, je reprends ma place au coco bar.
Mes filles, je dis bien mes filles, elles tapinent ensemble dans le bar ou son mac a conduit Sophie.
Dites-moi que je suis une salope d’avoir cédé aux beaux yeux de ce pourri de Sylvain !
Jean, mon mari était aux petits soins pour moi, mais j’avais au fond de moi ce mal qu’ont certaines femmes, le manque profond de jouissance.
Chaque fois qu’il le pouvait, il se mettait en quatre pour me satisfaire matériellement sans comprendre ce qui clochait en moi.
Nos rapports sexuels, je dirais qu’ils étaient trop fades à mon goût, mais que pour mes enfants, je m’en contentais.
Je suis conseillère d’éducation dans un lycée du nord de la France, tout proche de la frontière belge.
Je côtoie tous les jours des garçons et des filles de quinze à dix-neuf ans pour les plus attardés dans leurs études et qui refuse une autre orientation que la filière du bac.
Papa a eu le bac, maman a eu son bac avec mention, donc, le rejeton doit aussi avoir ce diplôme pour aller essuyer les bancs de la fac.
Sylvain en fait parti.
Dix-huit ans, beau gosse et il le sait.
C’est la coqueluche des élèves du lycée où j’essaye de faire le maximum pour que chacun trouve un débouché à la hauteur de ses capacités.
La première fois où il s’est assis en face de moi, j’ai trouvé qu’il avait du charme.
De là à penser à plus, il y avait un monde que la déontologie de ma profession, comme celle des profs, m’empêchait de franchir.
Je devais me contenter de l’orientation de nos élèves.
Savoir où ils en étaient dans leur sexualité devait me passer au-dessus de la tête.
Pourtant l’insistance que mettait Sylvain à se passer sa langue sur ses lèvres comme une sorte d’invitation me troublait chaque fois qu’il venait dans mon bureau.
Ce bureau, je trouvais qu’il y venait de plus en plus souvent, mais lorsque je feignais d’ignorer pourquoi il était là, je jouais de plus en plus avec lui.
Ce que j’ignorai, c’est qu’il savait où j’habitais, mon mari étant camionneur international, il part en moyenne pour quinze jours, les week-ends compris.
Ce vendredi soir, je suis seule, Sophie, bientôt dix-huit ans et Carine quatorze sont chez mes beaux-parents pour le week-end.
C’est sur la terrasse que je prends le soleil et comme notre pavillon est sans vis-à-vis, je suis nue sur mon transat sirotant un whisky coca.
D’un coup, j’entends du bruit dans la maison, je prends peur, mais sans en avoir le temps car Sylvain est à mes côtés.
• Que fais-tu là, comment es-tu entré, j’avais vérifié la fermeture de la porte d’entrée ?
• Je vois que les choses entre nous se réchauffent, car déjà tu me tutoies.
Ta porte, mon grand-père était serrurier et il m’a appris la façon de crocheter toutes sortes de serrures !
• Sors immédiatement sinon, j’appelle la police.
• À cette heure, un vendredi soir, le poste de gendarmerie a fermé et ça leur prendrait plus d’une heure pour venir de Lille.
Je me doutais au lycée que tu étais bien gaulée, j’étais en dessous de la vérité, tu es magnifique surtout pour une femme ayant eu deux enfants !
C’est vrai, je peux dire que je me maintiens malgré mon âge, par chance j’ai une nature me permettant de rester svelte.
Sylvain s’agenouille près de moi et met sa main sur mon sein.
Il fait chaud, malgré cela, je frisonne et ma pointe sort de sa torpeur.
Il va même jusqu’à le prendre dans sa bouche, il passe non loin de ma bouche et je sens son haleine fraiche.
Je suis folle, je dois le repousser, mais mon corps réagit sans que je puisse faire quoique ce soi.
Mon sein et mon mont de Vénus, mais cuisses étant serrés ce qui me fait penser que je suis protégée.
Hélas, mon vagin en décide autrement et je sens mes cuisses insidieusement s’écarter.
Ses doigts recourbés sont entrés en moi sans aucune difficulté car je ruisselets d’envies.
• Pourquoi sors-tu ton portable, je refuse que tu fasses des photos.
L’appareil levé à bout de bras, je me suis sentie piégée, lorsque le flash crépité au rythme des photos prises en rafale.
Il s’est relevé, a sorti sa queue et la présenter à ma bouche, il était gros, mais en le léchant, et en le prenant en main, j’ai réussi à ce qu’il bande comme un âne.
Je dis un âne, car dans ma jeunesse j’ai vu un couple de cette espèce s’accoupler et le gros mandrin entrer dans la femelle.
Là encore il a fait des photos, mais le plaisir qui montait en moi surtout quand se glissant vers le bas, il m’a empalé.
Heureusement, que notre jardin était isolé, car les cris de jouissance que j’ai poussés dépassaient en décibels, tous mes cris depuis la perte de mon pucelage.
Il a pris son plaisir après le mien, chose que mon mari oubliait largement de faire depuis notre rencontre et mon dépucelage.
• Branle-moi, fais-moi rebander, j’ai envie de t’en mettre un autre petit coup.
Je me suis exécutée, il m’a fait mettre à quatre pattes, je pensais qu’il voulait me prendre en levrette, mais c’est ma rosette qu’il a défoncée.
C’était la première fois que je me faisais enculer.
J’ai eu mal, mais sa main venant prendre mon clito a tout aplani et j’ai une nouvelle fois joui.
Il a fini par se relever et de s’habiller avant de me tendre son portable.
• Tient, le numéro de ton mari est dans les contacts, il m’a suffi de téléphoner à sa boîte pour le récupérer en leur disant que c’était pour une urgence.
• Pourquoi veux tu que je l’appelle ?
• Pour lui dire qu’il est cocu, il est connu pour son manque de tact et je sais qu’il va te jeter comme une vieille chaussette.
Sinon, demain samedi, 15 heures, ton moteur tournant, nous irons faire une promenade en Belgique.
Il m’a quitté et toute la nuit je me suis demandé quelles étaient ses intentions.
Nuit blanche, mais j’étais à l’heure, il est monté et m’a fait passer la frontière.
Sur le chemin, il m’a fait arrêter sur un parking.
• Va derrière et change-toi, allée grouille, on va être en retard.
• Cette robe, tu me prends pour une pute !
• Tu as tout compris, dépêche.
Je tombais de haut sans avoir le temps de me poser des questions, il m’a fait descendre devant le « coco bar », l’enseigne allumée même de jour était sans équivoque.
Il me conduisait dans un bar à pute.
Il m’a présenté à la patronne et ce premier soir j’ai fait une douzaine de clients.
Deux d’entre eux m’ont fait jouir, trois mon enculer, mais j’ai dû sucer tous les douze.
Au matin, j’étais de retour, me demandant comment j’avais pu être aussi imprudente et tomber sous la coupe de ce jeune maquereau.
Quatre fois, il m’a conduit tapiner dans ce bar, j’avais de plus en plus de succès jusqu’à ce dimanche ou Sophie pour ses dix-huit ans nous a promis une surprise.
Mon mari était là et quelle fut ma surprise de la voir arriver au bras de mon mac.
• Papa, maman, je vous présente Sylvain, mon copain, maman tu as dû le voir dans notre lycée, j’emménage dès ce jour avec lui.
J’ai failli hurler « non », mais ce mot est resté dans ma gorge surtout sous le sourire narquois de mon souteneur.
• Belle maman, je sens l’odeur du gigot, Sophie m’a dit que c’était votre spécialité, permettez que je le découpe, j’ai appris à le faire.
Il vient dans la cuisine avec moi et se colle à mes fesses, mes jambes sont à deux doigts de flageoler.
• Je t’interdis de toucher à ma fille.
• La toucher, ça fait trois mois que je l’ai fait, ce qu’elle ignore c’est qu’elle commence à tapiner dans trois jours, toi ce sont les vendredis et samedis, elle se sera toute la semaine sauf le dimanche.
Soit sans crainte, elle va débuter dans un autre bar à femelle que le tien.
Il a passé sa main sous ma jupe et caressé mon clito à travers mon string.
J’étais à deux doigts de jouir et de faire comprendre à mon mari dans la pièce voisine que je venais de m’envoyer en l’air.
Chaque fois qu’il m’emmenait tapiner, je pensais à ma fille, j’ignorais, comment il l’avait amenée à se prostituer, mais ce genre de mec a plus d’une corde à son arc.
Ce dimanche, ils sont là tous les deux, moi je m’habille en pute sur le chemin chaque fois, Sophie à la façon outrancière où elle s’habille et se maquille me montre qu’il lui a fait franchir le pas.
Comme chaque fois, il vient m’aider pour le gigot.
Je viens de le sortir du four et mon amant me plaque le long du plan de travail.
• Dis-moi, Carine, elle a quel âge ?
Bientôt seize ans, je suis entré dans la salle de bain l’autre matin, elle commence à être bien formée.
J’ai vu son mont de Vénus, sa touffe est bien fournie et elle a des seins aussi beaux que les tient.
À la façon qu’elle a de me regarder, dès ses dix-huit ans, je pense qu’elle va accompagner sa sœur et tapiner dans le même bar.
C’est à ce moment que j’ai vu rouge, j’avais le couteau à découper en main et je lui ai planté dans le cœur.
Touché à Carine, mon bébé, il venait de passer la limite du supportable et est mort sur le coup.
La police est venue, je suis en préventive attendant mon procès.
Les journaux ont titré.
« Elle tue son amant et son mac, après qu’il ait aussi prostitué sa fille aînée.
C’est lorsqu’il lui a dit qu’il allait s’en prendre à sa seconde fille de seize ans, qu’elle a pété les plombs. »
Voilà, je vais payer mes légèretés avec ce jeune garçon.
Au parloir, Sophie est venue me voir, pour deux choses, me faire signer mes papiers de divorce et répondre à ma question.
Comment Sylvain s’y était-il pris pour l’amener à tapiner ?
Incroyable, il lui a montré des photos de moi ou mon partenaire était caché surtout celle ou je me faisais enculer en lui disant que si elle refusait de se vendre, son père les recevrait.
J’en ai pour quelque temps à ronger mon frein avant de sortir, mais c’est fait.
Que faire pour gagner ma vie ayant perdu mon emploi de conseillère ?
Tant que mon cul a de la valeur, je reprends ma place au coco bar.
Mes filles, je dis bien mes filles, elles tapinent ensemble dans le bar ou son mac a conduit Sophie.
Dites-moi que je suis une salope d’avoir cédé aux beaux yeux de ce pourri de Sylvain !
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Mon pauvre Christian tu as dû plombs dans l aile et tu tournois lamentablement sur place plus d imagination on se laisse aller à faire la rubrique des chats écrasés. Ce récit est à chier
.mais le à la poubelle et remet toi au boulot.
.mais le à la poubelle et remet toi au boulot.
Pourquoi tu préfères pute à escorte ? Escorte c’est plus style , plus class non ?
La chipie
La chipie
Contrairement à ce que tu pense ma chère Chipie je préfère le mot pute à Escorte
Ce doit être un reste de ma jeunesse que jue raconte dans la Collection "Le marin"
Ce doit être un reste de ma jeunesse que jue raconte dans la Collection "Le marin"
Elle a tué son mac pour proteger sa 2 eme fille, elles auraient du faire autre chose par estime pour elles meme surtout que les gamines qui viennent d'Europe de l'est , d'Afrique n'ont pas eu le choix et crachent leurs races tellement c'est dur.
Quand à la mère plutot que pute, escort ça aurait été plus stylé non mon cher Chris !!!
La chipie
Quand à la mère plutot que pute, escort ça aurait été plus stylé non mon cher Chris !!!
La chipie
Techniquement, elle en est devenue une, mais elle est finalement une victime