COLLECTION SALOPES. La faute à ma voiture (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION SALOPES. La faute à ma voiture (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SALOPES. La faute à ma voiture (1/2)
Je m’aperçois que cette collection manquait dans mon portefeuille d’histoires.
Cette histoire sera la première.

Par un soir de printemps, ou j’ai pu mettre pour la première fois ma robe à fleurs achetées au moment des soldes, je rentre du travail en chantant.
J’ai été embauché depuis peu dans l’hôpital de la grande ville alors que nous avons emménagé dans un village voisin.
Nous étions parisiens avec Arsène et quand la crise du covid19 a éclaté nous avons pris conscience que nous avions une vie de fou.
Quand nous avons décidé de rejoindre la ville où est mon hôpital au début tout nous a paru facile.
J’ai téléphoné au service du personnel qui a été enchanté de récupérer une infirmière avec mon expérience.
Arsène Psy a vu une opportunité d’ouvrir son cabinet surtout après le boom dû aux confinements successifs pour les gens devenant neurasthéniques.
Dans les premiers jours, le problème a été nos jumelles, Carry et Sophie.
16 ans, toutes leurs dents et tout ce qu’il faut dans leur soutien gorges.
Je sais qu’elles sont vierges.
Nous sommes assez complices et nous avons un accord tacite que le jour où l’une ou l’autre penserait à avoir des rapports, ce qui est normal à leur âge et à notre époque, nous leur obtenions une ordonnance pour des plaquettes.
Même si elles sont sages, voulant toutes deux faire médecine, notre nouvelle ville a une fac où elles pourront le devenir.
Elles ont des copains qu’elle refuse de quitter, du moins dans un premier temps.
C’est Arsène qui a trouvé la solution, même si je m’y étais opposé au départ quand il m’en a parlé.
Un Piaggio.
Même si nos moyens nous le permettaient après la vente de notre appartement parisien, les prix ayant flambé depuis notre mariage, je considérais qu’il était plus sûr d’en acheter un pour les deux.
Notre déménagement a été possible avec un pour chacune.
J’avais peur des amusements entre elles sur la route, mais j’ai cédé, voulant trop prendre ce poste ou depuis je m’éclate.
J’ai l’habitude des différentes équipes, matin, aprème et nuit.
Un seul souci pour moi, le sexe, mais cela même à Paris.
Arsène est viril.
Il a une queue dont il sait se servir, mais son travail de jour et moi mes postes surtout de nuit sont source de tension.
J’ai envie et nous sommes à des kilomètres l’un de l’autre.
Il a envie et la fatigue de nos services surchargés faits que lorsqu’il veut, c’est moi qui ai besoin de dormir.
Nous en parlions souvent avec Geneviève à Paris, elle avait les mêmes problèmes.
Bref, Piaggio, travail, cabinet pour Arsène au lieu de travailler pour d’autres comme un vulgaire salarié, nous avons eu la chance de racheter une maison entièrement terminée.
Le divorce d’un couple conjugué à la vente rapide de Paris a fait que je peux profiter de ce jardin dont je révais tant.

La nuit vient de tomber, j’ai fini mon service à 22 heures remplacées par l’équipe de nuit.
15 kilomètres pour rejoindre mon pavillon.
D’un coup mon moteur a des ratés.
Pourtant si mes filles ou des Piaggio, moi j’ai acheté une voiture neuve, électrique.
À Paris, je me déplaçais en transport en commun étant à deux pas de mon hôpital, j’y allais à pied.
De son côté Arsène s’est fait plaisir avec un Crossover rouge permettant à la famille de se déplacer et lui de passer pour un psy ayant pignon sur rue.
C’est drôle comme les gens sont, un psy en petite voiture, ça fait ringard.
Une voiture opulente garée devant son cabinet, ça fait sérieux.
Mon moteur se coupe une fois et repart.
Une deuxième fois plus longuement.
À droite, le parking du supermarché où je viens faire mes courses.
Je me gare quand tout s’arrête, bizarre, il y a du courant, mes phares sont allumés ce qui me rassure.
Je prends mon portable, à cette heure, mes filles et mon mari sont rentrés.
Plus de batterie, là aussi.
Pourtant, je l’ai mis en charge ayant celui de mon service quand je suis à l’hôpital.
Un problème d’onde maléfique.
Non, mes phares me prouvent qu’il s’agit seulement de malchance et de simultanéité.
C’est à ce moment que je vois une ombre passer dans mes phares.
Je sursaute même quand on tape à ma vitre.
Mes portes sont verrouillées, du moins je le crois puisque...
Mince, courant pour les phares, rien pour mon moteur, les sécurités, sont-elles actives ?
Sur mon côté apparaît une verge qui vient se frotter sur ma vitre.

• Ouvre ta fenêtre salope et suce-moi, c’est la première fois que tu viens nous voir.
Tu es seule, les trois quarts sont avec leur mari !

J’entends, mais sourdement, il va de soi qu’il m’est impossible de descendre ma vitre.
Le courant, non, la peur.
Je vais me faire violer.
Pourtant, à part une autre bite sur mon pare-brise, plus grosse que celle que j’ai entrevu une fraction de seconde quand j’ai tourné la tête à l’injonction de celui qui s’exhibait, ils semblent pacifiques.
Intuitivement, je sens que ces hommes souhaitent que ce soi moi qui accède à leur demande.

• Les gars, c’est la première fois qu’elle vient nous voir, procédons calmement.
Faite nous voir tes seins, je suis sûr qu’ils sont magnifiques.
Si tu nous les montres, nous te laisserons repartir.

J’ai un sentiment bizarre, est-ce la peur ou l’envie qui me fait mouiller.
Une lampe torche est allumée qui se fixe sur ma poitrine.
Le jeu commence à m’amuser.
Comment des hommes peuvent-ils offrir leurs femmes à des inconnus et jusqu’à ou ces jeux vont-ils ?
Arsène serait-il capable de venir un soir m’offrir à ces hommes et à leurs bites, même cette simple pensée me fait frissonner.
Comment ma main peut-elle dégrafer le premier bouton de ma robe sans mon accord ?
Mais je le fais, écartant même les pans pour mieux montrer ma poitrine.

• Regardez, elle se caresse la chatte la salope, encore une qui adore s’exhiber.

Il est fou, pourtant c’est vrai, une main sur le haut de ma robe, l’autre sur mon clito.

• Elle porte des pigeonnants, c’est la meilleure salope qui soit venue nous voir depuis la mère casse bite cette grosse pute.

Depuis l’un de mes anniversaires où Arsène m’a offert un soutien-gorge pigeonnant, j’adore en porter sous ma blouse dans les services.
J’aime me pencher, quand de jeunes patients en meilleure condition que lorsqu’ils sont arrivés pour qu’ils voient jusqu’à mes pointes de seins.
C’est le cas en ce moment, mes pointes s’érigeant.

• Ouvre ta fenêtre que je les caresses, ça va te faire jouir.

Je tourne la clef de contact.
Le moteur démarre en même temps que mon portable se met à sonner.
C’est Arsène qui vient aux nouvelles.

• Chérie, ou es-tu, je m’inquiète.
Appel si tu as des soucis.

Je roule déjà en direction de notre demeure.
J’y arrive, je saute dans les bras de l’amour de ma vie.

• Dans quel état es-tu, pourquoi ta robe est ouverte.
• Il fait tellement chaud que j’ai eu peur que la batterie surchauffe.
J’ai coupé clim et radio et j’ai ouvert ma fenêtre puis ma robe.
L’air frais m’a fait du bien.
Les filles sont là !
• Non, elles sont sorties, une copine est passée les chercher, elle aussi sur son Piaggio.
• Je vais prendre un bain.
• Et si je venais le prendre avec toi.

Deux dans un Jacuzzi six places sur notre terrasse.
C’est l’une de nos acquisitions lorsque nous nous sommes installées.
Nous voulions directement une piscine, mais avec les évènements, l’achat et la mise en place les prix flambent et il aurait fallu attendre trop longtemps.
Nous avons passé commande, mais elle nous sera livrée et installée en hiver.
En attendant, nous avons acheté ce spa étant sur la terrasse fermée l’hiver par une véranda.

• Puisque nous sommes seuls, mettons-nous nus, nous en profiterons bien mieux.

Qui disait que nos rapports se distendaient !
Qui disait qu’entre nous, il était difficile de se retrouver ?
J’ôte ma robe et mon pigeonnant.

• Laisse ta culotte, c’est moi qui vais te l’enlever !
• Et si les filles revenaient, tu leur as donné la permission de minuit !
• Tu crois toujours au père Noël Véronique, crois-tu qu’à bientôt 17 ans, tu vas pouvoir leur mettre un fil à la patte.
Fait comme moi, coupe le cordon, je sais, c’est dur pour une maman poule comme tu l’es.
Nous sommes venus ici pour profiter de la vie un peu plus qu’à Paris.
Certes, tu nous fais pousser de magnifiques légumes, mais ma carotte, j’aimerais que tu la bines plus souvent.

Je repense à ce que je viens de vivre.
Quand ma culotte descend jusqu’au bas de mes jambes, il est impossible à Arsène d’ignorer qu’elle est trempée.
Aucune question indiscrète, ouf, il doit penser que c’est lui qui me fait mouiller...

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