COLLECTION SALOPES. Mère et Fille (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2397 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 996 001 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 7 535 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION SALOPES. Mère et Fille (1/2)
• Paul, tu voulais ta piscine pour cet été, elle est là, le crédit aussi et après la guerre en Ukraine, la flambée des prix nous met dans la panade et encore je reste poli.
Je vois une solution, mais je pense que tu vas avoir du mal à l’admettre !
• Si tu parles de prendre un travail, tu sais que je suis contre, mon père m’a toujours dit qu’un homme doit assurer les revenus du foyer.
De toute façon, sans diplôme, ça sera très difficile.
• Non, je pensais au logement que nous avions aménagé pour Martha ta maman et qui est décédée avant d’avoir eu le temps pour emménager.
J’ai pris mes renseignements, ce logement 2 chambres, salle de bains, cuisine, salle à manger et avec la terrasse, dans la région et au mois, nous pourrions en demander 700 €.
Si tu es d’accord, notre crédit étant de 500 € sur 36 mois, ça nous laisserait 200 € de gras.
Voilà comment tout a commencé, il a accepté et j’ai mis une petite annonce à la boucherie et à la boulangerie.
• Sylvie, l’appartement est loué.
• Une de me mes annonces ont fonctionné !
• Non, ce sont deux de mes clients à la banque qui m’ont parlé de problèmes de bruit là où ils habitent et qu’ils cherchaient un logement calme.
Ce sont deux frères jumeaux, qui dessinent des bandes dessinées, qui ont du répondant, ils étaient dans mon bureau pour des placements de leurs revenus.
Ils vont venir visiter demain samedi et si tout leur plait, ils emménageront lundi.
Un seul problème, ces frères jumeaux sont noirs réunionnais.
• Où est le problème, ils seront chez eux et nous chez nous ?
• Une dernière chose, ils m’ont demandée si je connaissais une femme susceptible de faire leur ménage une heure par jour sauf le dimanche.
Ils proposent 300 € supplémentaires par mois.
Toi qui voulais gagner de l’argent, le ménage, c’est dans tes cordes, tu trouveras bien le moyen de dégager une heure de 8 heures 30 à 8 heures 30 chaque matin.
Voilà comment le lendemain j’ai fait visiter l’appartement à Mayron et Jayden, noirs comme de l’ébène, jeunes vingt-cinq ans mais en plus sportif.
Le lundi, je comprends pourquoi ils ont une silhouette impeccable lorsqu’ils installent du matériel de musculation.
Ils nous disent avoir commencé à dix ans et donc quinze ans de levage de plomb.
Je commence mes ménages le lendemain, dans la salle assez grande, il y a deux tables à dessin.
Les garçons ont quitté leur logement et je peux regarder leur travail.
Comme ils nous l’ont dit, l’un écrit les scénarios et l’autre fait les dessins.
C’est le surlendemain que l’un des deux est là, il soulève de la fonte.
Je suis dans la salle et je vois un des deux frères allongés sur un banc et qui soulève une barre.
Me voyant, il se lève et s’approche, les muscles de son ventre sont comme il est dit, des plaquettes de chocolats.
Il s’essuie l’effort l’ayant mis en eau, une vraie gravure de mode.
• Tu regardes mon travail, je parie que tu ignores lequel des deux frères, tu as devant toi !
C’est facile, je suis Mayron, c’est moi qui dessine, Jayden travaille sur la table à manger et cette table à dessin sert lorsque les planches sont finies et qu’un ami vient les mettre en couleur.
• Et que dessinez-vous, vous avez un « héros » !
• Oui, Black and White, ce sont deux frères jumeaux, l’un blanc et l’autre noir, tu vois les aventures qui peuvent en découler.
Nous avons déjà édité douze bandes dessinées qui se vendent dans le monde entier.
Depuis le début Mayron me tutoie, mais j’aime bien, ça laisse jeune malgré mes trente-huit ans et ma fille de presque dix-huit ans.
• Assieds-toi, je vais chercher de la citronnade que Jayden a préparée ce matin avant d’aller chez notre éditeur.
Il a une nouvelle idée de scénario pour un nouveau héros.
Je m’installe sur le canapé que j’ai acheté en vue de la venue de Martha rattrapée par sa fin de vie.
Mayron revient un plateau à la main, comme il le porte, ma vue est attirée par la grosseur à hauteur de sa verge simplement protégée d’un maillot de bain blanc.
Le blanc la met en valeur, même si je suis peu portée sur la vision du sexe des hommes.
Aucune méprise, j’aime faire l’amour avec Paul, chaque fois qu’il me sollicite ce moment d’intimité.
Mais depuis notre mariage, c’est la seule verge que j’ai tenue dans ma main simplement le temps de la faire bander.
Depuis que j’ai compris qu’une verge mâle était faite pour s’emboiter dans une verge femelle et ce avec tout le spectre des espèces sur terre.
J’ai toujours refusé de croire, qu’une bouche féminine avait été conçue pour avaler la bite d’un homme.
Paul a bien essayé dans les premiers jours de notre mariage, mais il a vite compris que cela serait une pratique interdite pour moi.
Mayron lorsqu’il pose son plateau et s’assoit à mon côté, me montre son ventre plat et ce que mon mari appelle ses abdos Kronenbourg.
Les siens sont ciselés et me donnent envie d’y porter la main surtout qu’ils brillent par les légères gouttes de sueur malgré qu’il se soit essuyé avec sa serviette.
• Tu veux voir comme ils sont durs, des heures et des heures à les travailler depuis notre plus jeune âge.
En même temps qu’il parle, il me prend la main et la pose sur ses abdos, de vraies montagnes russes, humides.
Je jure, ce qui arrive est à l’insu de mon plein gré, ma main glisse et se pose sur sa verge.
• Mais tu es une coquine toi, notre proprio a envie de voir la meilleure partie de moi.
Il baisse son maillot, elle m’éclate à ma figure, grosse, grande et épaisse.
Inutile de comparer avec Paul, celle qu’il me montre est monstrueuse.
Enfin pour une femme comme moi manquant énormément d’expérience.
Je parlais de celles qui acceptaient de faire entrer des bites dans leur bouche.
Lorsqu’il arrive à m’appuyer sur la tête sans trop forcé il est vrai, elle s’ouvre pour la faire entrer.
Ma langue devrait rester inactive, mais ma main qui l’a saisi et ma langue qui a un esprit vagabond, se lie contre moi pour que je devienne une salope.
Salope certes, mais lorsqu’il ouvre ma blouse que je porte lorsque je fais le ménage, sa main sur mon sein embrase mon corps.
J’ai toujours été très sensible des seins, par chance Paul l’a découvert et il aime les caresser de longs moments lorsque nous sommes sur le canapé un étage plus bas.
Je relève ma tête, ayant sucé ma première bite.
Il m’embrasse, avec ses grosses lèvres, du moins plus grosses que les seules étant venue sur les miennes depuis ma naissance.
Je dois avouer qu’à cet instant, je mouille et c’est sans grande difficulté que m’agenouillant devant Mayron, lorsqu’il arrache ma petite culotte, je m’empale dans un râle de plaisir sur cet engin monstrueux.
Par chance, Paul est à son travail lorsque telle une louve je me redresse pour hurler le plaisir que mon amant m’apporte.
Lorsque je reviens chez moi, je devrais me sentir sale, j’ai bafoué tout ce à quoi je croyais, mais mon corps a un autre avis, car il est ce que l’on pourrait dire rassasié.
Deux, trois jours, je passe plus de temps à faire l’amour avec Mayron que de faire le ménage.
Certains diront que de se faire baiser en étant payée pour un autre travail, peuvent penser être une pute, mais que moi qui avais de beaux principes, je me fais sauter avec énormément de plaisir.
• Eh bien, frangin, dès que je l’ai vu, j’ai su que Sylvie notre proprio devait aimer le sexe, tu m’as pris de vitesse.
On fait comme on a toujours fait, on partage.
Lorsque j’entends parler dans mon dos, je sais que Dider le jumeau vient de rentrer dans la chambre où je suis empalée sur la bite de mon amant.
Je tourne la tête, aussi monstrueuse que celle qui est en train de me faire partir.
Il monte sur le lit et me prends par les hanches.
Je sens son gland sur mon anus.
• Non, pas ça !
• Je vois que madame a des principes, ok, ce qu’une femme veut !
Il se déplace, c’est ma bouche qui devient sa cible, qu’il atteint ayant pris l’habitude de sucer le premier jumeau.
La première fois où j’ai trompé Paul, c’était début juillet, à la fin du mois je reçois un Texto.
« Viens de suite, la machine à laver est en panne et le linge à l’intérieur va être fichu. »
Je le dis à Paul devant Sofia notre fille.
• Maman, la machine qui est chez nos locataires, je la connais, c’est celle que nous avions avant, reste ici, je vais monter voir ce qu’elle a.
• Inutile, tu es jeune et aller chez deux hommes seul ça pourrait être mal vue.
• Maman, j’ai dix-huit ans fin aout, arrête de le traiter comme un bébé.
C’est presque en courant que je monte chez mes amants.
Connaissant la manière dont ils ont réussi à me faire tomber dans la débauche, je veux éviter à ce qu’ils s’en prennent à elle, pour moi, c’est encore une enfant.
• Te voilà jolie salope, nous avions envie de nous faire sucer et comme nous sommes dimanche, notre petite femme de ménage nous manquait...
Je vois une solution, mais je pense que tu vas avoir du mal à l’admettre !
• Si tu parles de prendre un travail, tu sais que je suis contre, mon père m’a toujours dit qu’un homme doit assurer les revenus du foyer.
De toute façon, sans diplôme, ça sera très difficile.
• Non, je pensais au logement que nous avions aménagé pour Martha ta maman et qui est décédée avant d’avoir eu le temps pour emménager.
J’ai pris mes renseignements, ce logement 2 chambres, salle de bains, cuisine, salle à manger et avec la terrasse, dans la région et au mois, nous pourrions en demander 700 €.
Si tu es d’accord, notre crédit étant de 500 € sur 36 mois, ça nous laisserait 200 € de gras.
Voilà comment tout a commencé, il a accepté et j’ai mis une petite annonce à la boucherie et à la boulangerie.
• Sylvie, l’appartement est loué.
• Une de me mes annonces ont fonctionné !
• Non, ce sont deux de mes clients à la banque qui m’ont parlé de problèmes de bruit là où ils habitent et qu’ils cherchaient un logement calme.
Ce sont deux frères jumeaux, qui dessinent des bandes dessinées, qui ont du répondant, ils étaient dans mon bureau pour des placements de leurs revenus.
Ils vont venir visiter demain samedi et si tout leur plait, ils emménageront lundi.
Un seul problème, ces frères jumeaux sont noirs réunionnais.
• Où est le problème, ils seront chez eux et nous chez nous ?
• Une dernière chose, ils m’ont demandée si je connaissais une femme susceptible de faire leur ménage une heure par jour sauf le dimanche.
Ils proposent 300 € supplémentaires par mois.
Toi qui voulais gagner de l’argent, le ménage, c’est dans tes cordes, tu trouveras bien le moyen de dégager une heure de 8 heures 30 à 8 heures 30 chaque matin.
Voilà comment le lendemain j’ai fait visiter l’appartement à Mayron et Jayden, noirs comme de l’ébène, jeunes vingt-cinq ans mais en plus sportif.
Le lundi, je comprends pourquoi ils ont une silhouette impeccable lorsqu’ils installent du matériel de musculation.
Ils nous disent avoir commencé à dix ans et donc quinze ans de levage de plomb.
Je commence mes ménages le lendemain, dans la salle assez grande, il y a deux tables à dessin.
Les garçons ont quitté leur logement et je peux regarder leur travail.
Comme ils nous l’ont dit, l’un écrit les scénarios et l’autre fait les dessins.
C’est le surlendemain que l’un des deux est là, il soulève de la fonte.
Je suis dans la salle et je vois un des deux frères allongés sur un banc et qui soulève une barre.
Me voyant, il se lève et s’approche, les muscles de son ventre sont comme il est dit, des plaquettes de chocolats.
Il s’essuie l’effort l’ayant mis en eau, une vraie gravure de mode.
• Tu regardes mon travail, je parie que tu ignores lequel des deux frères, tu as devant toi !
C’est facile, je suis Mayron, c’est moi qui dessine, Jayden travaille sur la table à manger et cette table à dessin sert lorsque les planches sont finies et qu’un ami vient les mettre en couleur.
• Et que dessinez-vous, vous avez un « héros » !
• Oui, Black and White, ce sont deux frères jumeaux, l’un blanc et l’autre noir, tu vois les aventures qui peuvent en découler.
Nous avons déjà édité douze bandes dessinées qui se vendent dans le monde entier.
Depuis le début Mayron me tutoie, mais j’aime bien, ça laisse jeune malgré mes trente-huit ans et ma fille de presque dix-huit ans.
• Assieds-toi, je vais chercher de la citronnade que Jayden a préparée ce matin avant d’aller chez notre éditeur.
Il a une nouvelle idée de scénario pour un nouveau héros.
Je m’installe sur le canapé que j’ai acheté en vue de la venue de Martha rattrapée par sa fin de vie.
Mayron revient un plateau à la main, comme il le porte, ma vue est attirée par la grosseur à hauteur de sa verge simplement protégée d’un maillot de bain blanc.
Le blanc la met en valeur, même si je suis peu portée sur la vision du sexe des hommes.
Aucune méprise, j’aime faire l’amour avec Paul, chaque fois qu’il me sollicite ce moment d’intimité.
Mais depuis notre mariage, c’est la seule verge que j’ai tenue dans ma main simplement le temps de la faire bander.
Depuis que j’ai compris qu’une verge mâle était faite pour s’emboiter dans une verge femelle et ce avec tout le spectre des espèces sur terre.
J’ai toujours refusé de croire, qu’une bouche féminine avait été conçue pour avaler la bite d’un homme.
Paul a bien essayé dans les premiers jours de notre mariage, mais il a vite compris que cela serait une pratique interdite pour moi.
Mayron lorsqu’il pose son plateau et s’assoit à mon côté, me montre son ventre plat et ce que mon mari appelle ses abdos Kronenbourg.
Les siens sont ciselés et me donnent envie d’y porter la main surtout qu’ils brillent par les légères gouttes de sueur malgré qu’il se soit essuyé avec sa serviette.
• Tu veux voir comme ils sont durs, des heures et des heures à les travailler depuis notre plus jeune âge.
En même temps qu’il parle, il me prend la main et la pose sur ses abdos, de vraies montagnes russes, humides.
Je jure, ce qui arrive est à l’insu de mon plein gré, ma main glisse et se pose sur sa verge.
• Mais tu es une coquine toi, notre proprio a envie de voir la meilleure partie de moi.
Il baisse son maillot, elle m’éclate à ma figure, grosse, grande et épaisse.
Inutile de comparer avec Paul, celle qu’il me montre est monstrueuse.
Enfin pour une femme comme moi manquant énormément d’expérience.
Je parlais de celles qui acceptaient de faire entrer des bites dans leur bouche.
Lorsqu’il arrive à m’appuyer sur la tête sans trop forcé il est vrai, elle s’ouvre pour la faire entrer.
Ma langue devrait rester inactive, mais ma main qui l’a saisi et ma langue qui a un esprit vagabond, se lie contre moi pour que je devienne une salope.
Salope certes, mais lorsqu’il ouvre ma blouse que je porte lorsque je fais le ménage, sa main sur mon sein embrase mon corps.
J’ai toujours été très sensible des seins, par chance Paul l’a découvert et il aime les caresser de longs moments lorsque nous sommes sur le canapé un étage plus bas.
Je relève ma tête, ayant sucé ma première bite.
Il m’embrasse, avec ses grosses lèvres, du moins plus grosses que les seules étant venue sur les miennes depuis ma naissance.
Je dois avouer qu’à cet instant, je mouille et c’est sans grande difficulté que m’agenouillant devant Mayron, lorsqu’il arrache ma petite culotte, je m’empale dans un râle de plaisir sur cet engin monstrueux.
Par chance, Paul est à son travail lorsque telle une louve je me redresse pour hurler le plaisir que mon amant m’apporte.
Lorsque je reviens chez moi, je devrais me sentir sale, j’ai bafoué tout ce à quoi je croyais, mais mon corps a un autre avis, car il est ce que l’on pourrait dire rassasié.
Deux, trois jours, je passe plus de temps à faire l’amour avec Mayron que de faire le ménage.
Certains diront que de se faire baiser en étant payée pour un autre travail, peuvent penser être une pute, mais que moi qui avais de beaux principes, je me fais sauter avec énormément de plaisir.
• Eh bien, frangin, dès que je l’ai vu, j’ai su que Sylvie notre proprio devait aimer le sexe, tu m’as pris de vitesse.
On fait comme on a toujours fait, on partage.
Lorsque j’entends parler dans mon dos, je sais que Dider le jumeau vient de rentrer dans la chambre où je suis empalée sur la bite de mon amant.
Je tourne la tête, aussi monstrueuse que celle qui est en train de me faire partir.
Il monte sur le lit et me prends par les hanches.
Je sens son gland sur mon anus.
• Non, pas ça !
• Je vois que madame a des principes, ok, ce qu’une femme veut !
Il se déplace, c’est ma bouche qui devient sa cible, qu’il atteint ayant pris l’habitude de sucer le premier jumeau.
La première fois où j’ai trompé Paul, c’était début juillet, à la fin du mois je reçois un Texto.
« Viens de suite, la machine à laver est en panne et le linge à l’intérieur va être fichu. »
Je le dis à Paul devant Sofia notre fille.
• Maman, la machine qui est chez nos locataires, je la connais, c’est celle que nous avions avant, reste ici, je vais monter voir ce qu’elle a.
• Inutile, tu es jeune et aller chez deux hommes seul ça pourrait être mal vue.
• Maman, j’ai dix-huit ans fin aout, arrête de le traiter comme un bébé.
C’est presque en courant que je monte chez mes amants.
Connaissant la manière dont ils ont réussi à me faire tomber dans la débauche, je veux éviter à ce qu’ils s’en prennent à elle, pour moi, c’est encore une enfant.
• Te voilà jolie salope, nous avions envie de nous faire sucer et comme nous sommes dimanche, notre petite femme de ménage nous manquait...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...