COLLECTION SM. Accro au sexe violent (2/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION SM. Accro au sexe violent (2/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-02-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION SM. Accro au sexe violent (2/6)
Lorsque je décide de raconter mon histoire, j’ai vingt-cinq ans, mariés, un fils de deux ans et un mari prof de gym au collège de la ville où nous habitons et où nous sommes nés.
J’ai une vie que certains pourraient dire de rêves, mais la partie sombre de cette dernière fait qu’au lit je suis sérieusement frustrée.
Cette addiction au sexe violent a commencé dans ma dix-huitième année.
À ce point de mon récit, je suis encore une petite fille à sa maman sage, même si j’ai commencé à gouter à certains fruits défendus du moins pour ma mère.
Quel sont ces fruits défendus ?
Parler, avec un inconnu qui plus est plus vieux que moi, manger des sandwichs avec mes doigts pleins de graisse.
Boire du coca et même du whisky en fumant une clope ce dernier point m’ayant fait tousser aux premières bouffées.
C’est ce que je fais après avoir rencontré fortuitement Ludovic, photographe de son état et l’avoir appelé au numéro figurant sur la carte de visite qu’il m’a laissée.
Il me propose de venir dans sa forge de l’enfer, pour des séances photos de vêtements, mon image finissant dans un magazine pour jeunes filles.
Au passage je découvre l’argent facile, 200 € la séance de pose alors que maman a galérée toute sa vie pour gagner trois francs six sous.
Se faire photographier, c’est facile une fois que vous avez compris le coup et ça met du beurre dans les épinards.
Sur la première série que Ludovic me montre, je découvre qu’il a photographié ma chatte nue lorsque ma robe s’est soulevée dans les mouvements qu’il me faisait faire.
C’est drôle, je me suis souvent vue nue devant une glace, est-ce le regard que Ludovic porte sur mon intimité qui à ce moment m’a mise mal à l’aise ?

Ça fait trois fois que je viens, trois fois 200 plus la première fois, 800 € de gain net d’impôts.
Ajouté à cela deux sorties en extérieur près d’un étang ou il me photographie, dans la nature.
Lorsque nous faisons les photos, je vois une vieille caravane de l’autre côté et un homme bedonnant semblant habité là.
Je me rends compte que j’ai oublié de dire qu’à l’intérieur de l’ancienne forge, Ludovic possède une camionnette rangée là et dans laquelle je peux me changer pour échapper à l’œil de cet homme qui semble intéresser mon patron.
L’homme bouge près de sa caravane et Ludovic semble chercher l’angle de vision pour qu'il soit dedans.
De retour, il me tend 250 € pour le déplacement.
Nous regardons notre travail, j’avais raison, on voit régulièrement l’homme dans le champ de vision, mais ça met en valeur la beauté du modèle, c’est-à-dire moi, la belle et la bête
Intérieure extérieure, je suis sans sous-vêtements, maintenant lorsque je regarde le travail qu’il a fait si de temps en temps mon intimité apparaît, ça me fait ni chaud ni froid.
Certaines choses auraient dû m’alerter sur les dérives qui petit à petit se produisaient entre ce que je considérerais comme mon patron et moi.
Il est arrivé que la bonne élève que je suis sèche des cours pour aller faire des photos, peu, mais quand même.
La troisième fois, j’ai téléphoné à maman pour lui dire que le samedi suivant après avoir trouvé un emploi chez Mac Do, je me verrais dans l’obligation de venir moins souvent la voir.
J’ai enrobé ça en lui disant qu’il était inutile qu’elle m’envoie la totalité des 500 € qu’elle se saignait à me donner pour payer mon loyer.
Mais le plus grave ce sont les clopes et les bouteilles de whisky que j’achetais au super-marcher dans la marque la moins chère proposée et que je cachais sous mon matelas.
L’alcool était interdit dans les logements pour étudiant.
Lorsque je travaillais mes cours d’économies, il était fréquent que je me lève afin de glisser ma main sous mon matelas et que je boive une rassade de mon alcool préférée.

• Ludivine, nous avons fini les photos pour le catalogue de vêtement.
Je vois la tête que tu fais, soit sans crainte, j’ai plusieurs projets en gestation et plusieurs modèles, mais tu es celle qui plait le plus à mes commanditaires.
Serais-tu prête à faire des photos de sous-vêtements féminins, certains un peu osés, tu serais payée 100 € de plus la séance, comme pour celles en extérieur ?

Oh ! oui, oh ! oui, 100 €, quelques revenus supplémentaires me permettant de satisfaire mes addictions.
Huit séances, comme Ludovic l’a dit, lorsque je me vois dans la glace, je vois mes seins dépasser du soutien pigeonnant.
Depuis le début, je mets une touche de couleur sur mes joues.
Là c’est lui qui me maquille le bout des seins pour faire ressortir les pointes, ce sont les seules fois où il touche mon corps me faisant frissonner.
Je me surprends à me demander ce que je ferais si Ludovic avait des gestes plus précis envers moi, il faut ce souvenir qu’à cette époque j’étais vierge.

Les séances en sous-vêtements se sont bien passées, toutes dans la forge, j’ai pris l’habitude d’être nue sans que pour autant Ludovic semble s’en apercevoir.
Un soir où je rentre après quelques verres et quelques clopes, je suis un peu éméchée.
Au moment où j’allais me coucher après avoir mis dans ma boîte prévue à cet effet, la porte de la chambre de Sylvain s’est ouverte.

• Ludivine, d’où viens-tu, tu sembles aller mal.

Je lui ai répondu d’une voix pâteuse montrant le degré d’alcoolisation que je tenais après cette séance.

• Tu pues l’alcool et la cigarette, donne-moi tes clefs, je vais t’aider à te coucher.

La porte ouverte, j’étais pendu à son cou, ronde comme une queue de pelle.
J’ai senti mes vêtements me quitter et l’eau de ma douche, couler sur moi, à partir de ce moment, c’est le trou noir.
Je me souviens simplement avoir senti un poids sur moi, mais surtout lorsque je me suis réveillée avec une gueule de bois carabinée, un dos se trouvait à mes côtés.
J’avais une petite douleur à la chatte, un instant j’ai pensé avoir mes règles, mais je les avais eues dix jours plus tôt.
Le dos s’est retourné.

• Ludivine, tu es réveillée, merci !
• Pourquoi me remercies-tu ?
• Souviens-toi, hier après que je t’ai douché, tu t’es agrippé à moi et pour la première fois j’ai mis ma bite dans ta bouche après que tu me l’aies sorti.
Je voyais bien que tu étais dans un état anormal, mais tu t’accrochais à ma verge et tu m’as emmené sur ton lit.
Tu voulais que je te baise, dans ton délire, tu m’appelais Ludovic, j’étais puceau, je reconnais que je t’ai cédé me rendant compte lorsque je suis entrée en toi que tu étais, toi aussi vierge.
Regarde, il y a du sang sur les draps.
Je voulais me retirer, mais tu m’as bloqué avec tes jambes et j’ai réussi à me libérer pour éjaculer sur ton ventre.

Voilà comment s’est passée ma première nuit d’amour, sans être porté sur le sexe, j’avais quelques envies.
Mais je révais, certainement parce que maman, m’y encourageais à me donner à celui qui serait l’homme de ma vie.
J’ai dû emmener mes draps dans la buanderie commune à tous les étudiants où je les ai lavés effaçant les traces de ce que j’avais accepté de faire pendant ce trou noir.

Au vu de mes premiers écrits, indirectement ce fut l’homme de ma vie, parce qu’il m’a épousé et que quinze mois après ma robe blanche, qui a su dans le village l’accro au sexe violent que j’allais devenir.
Je l’ai resucé, il m’a refait l’amour la douleur que j’ai ressentie s’est estompé au bout de quelques secondes et il m’a fait jouir.
J’avais conscience que nous avions baisé sans protection, pour les maladies transmissibles, il était trop tard.
Mais si comme il me l’a dit, nous étions puceaux tous les deux, le risque était infime.
Ayant cours à dix heures, je me suis rendu à la pharmacie pour la pilule du lendemain avec une ordonnance pour quatre mois de contraceptif.
À partir de ce moment, j’étais protégé de toutes grossesses intempestives.

Les photos terminées, j’ai attendu un message de mon mentor, mes réserves s’amenuisaient.
Après un peu de recul, je peux me demander, si cette coupure était calculée pour me faire accepter plus de choses qu’à la base j’aurais accepté surtout après qu’il m’ait rendu accro aux spiritueux.
Enfin, un matin, je suis en cours et mon portable frémi dans ma poche.
Discrètement je quitte le petit amphi où un prof nous fait un récit des étapes des divers changements de textes de lois importantes depuis la révolution et je me rends aux toilettes.

• Ludivine, c’est Ludovic, j’aurais besoin de tes services, Anabelle une autre jeune fille avec laquelle je travaille vient d’avoir une crise d’appendicite, elle est à l’hôpital.
J’allais entamer une série de photos dont je voulais te parler, quand peux-tu passer me voir, si j’abandonne, je vais perdre un paquet de fric et l’entretien de mon lieu de travail me coute cher.
Je suis prêt à faire un effort financier si tu me dépannes.

Là encore, après coup, j’ai conscience que j’étais ferrée, il avait besoin de moi et j’avais besoin de lui, j’étais hors de la salle de cour.
J’ai évité de prendre ma voiture, un plein, deux bouteilles et j’ai rejoint la forge.

• Merci d’être venue, voilà 500 € la séance, as-tu déjà porté des cuirs ?
• À part des ceintures, je me souviens qu’à un moment, maman s’était fait offerte un pantalon en cuir par l’un de ses amants.

C’est vrai, maman et ses amants, abandonnés par papa, elle est restée femme et dans ma jeunesse jusqu’à ce que je parte à la fac, il lui arrivait de faire des soirées entre copines.
Au début, je couchais chez une voisine qui lui rendait service, si elle faisait des turpitudes, j’étais hors jeu jusqu’à ce que j’aie eu quatorze ans.
C’est moi qui lui ai dit que je restais seule depuis la rentrée scolaire et que je préférais dormir dans mon lit avec mes peluches que de dormir chez Jeanne.
Elle devait la payer et comme je l’ai dit, l’argent était rare.
Ces économies ont dû l’intéressé et c’est là qu’un soir, ou elle était partie rejoindre ses amies, c’est une voix grave qui me réveillait.
Ce fut le premier d’une longue série, mais au matin, ils brillaient par leur absence.
Au début, j’ai cru avoir rêvé, mais depuis Sylvain surtout le matin ou j’étais lucide, mes petits cris de plaisir ressemblaient bien à ceux que poussait maman lorsque les voix graves étaient là.
Maman était restée femme bien lui en fasse.

• Détrompe-toi, je parle de cuire que portent les femmes ou les hommes sadomasochistes, sais-tu ce que sais ?

J’allais très vite apprendre, dans ma situation 500 €, je défie quiconque de les refuser...

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