COLLECTION SM. Accro au sexe violent (3/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION SM. Accro au sexe violent (3/6)
Ouf, j’ai pu gagner de l’argent en remplaçant Anabelle jeune femme, inconnue de moi, qui vient d’être frappée par une crise d’appendicite.
C’est presque en courant que je me suis rendu à la forge de l’enfer pour faire des photos et gagner des billets me servant à satisfaire mes addictions.
Moi, la fille sage première de classe, mentionnée lorsque j’ai passé mon bac, je laisse tomber la fac pour retrouver dans le lieu que j’ai appris à connaître.
• Merci Ludivine, sans toi j’aurais dû déposer le bilan, tu m’as dit faire des études économiques et sociales, tu sais comment cela fonctionne alors que si je termine ces photos, je me donne un moment de liberté.
• Que dois-je faire ?
Comme je l’ai dit, à la fin du chapitre précédent, il voulait me photographier en tenue de cuir.
Le plus dur a été d’enfiler les combinaisons moulantes, mais j’étais contente, chaque fois je mettais une cagoule noire me cachant le visage.
Je me demandais quel genre de taré aimait ces tenues dont certaines avaient des fermetures pour dégager mes seins, ma chatte ou mon cul.
Les dernières combinaisons passées, il me restait une jupe en cuir, il va de soi avec des bretelles en même matière.
Souvent Ludovic suivant le type de modèle voulait que je sois nue sous les vêtements, là j’enfile une culotte en cuir souple.
Pour compléter l’ensemble, il y avait des bottes montant jusqu’en haut du molet.
• Ludivine, il y a un problème, pour ce vêtement, il comporte une casquette et une cravache.
Tes cheveux tombant de chaque côté de tes épaules, j’aurais dû faire venir ma coiffeuse qui aurait fait le nécessaire pour qu’ils soient cachés, j’avais oublié ce détail.
• Je peux arranger ça, je peux faire une queue-de-cheval que je tresserais et qui pourra entrer dans cette casquette qui est là.
• Fait moi voir ce que cela donne !
• Avant as-tu un élastique pour empêcher la tresse de se défaire.
• Oui, dans ce tiroir !
Une fois l’élastique autour de mon poignet, j’ai tressé mes cheveux blonds.
J’ai mis la casquette sur ma tête, avec ce vêtement de cuir et ma cravache en main, en me regardant dans la glace posée sur le mur, j’avais l’impression d’être un officier allemand en jupe et en bretelles.
Je me souviens que lorsque j’ai été devant le décor, j’ai tendu le bras, j’ai claqué des talons en poussant un cri comme je l’avais vu faire dans des films de guerre.
Ludovic a rit, sur cette blague de mauvais gouts, du moins c’est ce que j’en avais pensé.
Nous avons fait les photos et comme à son ordinaire, il a pris les pellicules pour aller les développer.
Nous étions accolés à la table à les regarder avec sa loupe.
Plusieurs d’entre elles montraient mes seins les bretelles ayant glissé.
Leurs vues d’un coup ont semblé lui faire de l’effet, car il m’a saisi par mes cheveux en me plaquant sur son bas-ventre et en sortant sa verge.
À quelques centaines de mètres de là, Sylvain ignorait que lorsqu’au matin de mon dépucelage, il m’avait initié à lui faire une fellation, à ce moment précis, il m’avait rendu service.
Comment aurais-je su que ce morceau tendu entrant et sortant à une vitesse folle et se projetant tout au fond de ma gorge s’étais une pratique habituelle chez certains hommes ?
Est-ce à ce moment ou lorsqu’il était à deux doigts de décharger sa semence dans ma bouche que cette façon de me faire l’amour a déclenché cet accès de violence nécessaire dans mes futurs rapports ?
Il était assez fort pour me prendre dans ses bras et venir me jeter sur son lit.
Ma culotte de cuir a dû me quitter sans que je m’en aperçoive, car c’est à quatre pattes qu’il est entré en moi.
• Salope, je suis excité depuis le premier jour où je t’ai vu chez Mac Donald, tiens prend ça.
Ces mots sont marqués au fer rouge dans mon cerveau, car à partir de ce moment alors que ma bouche bavait encore du pilonnage qu’elle avait subi.
Il m’a pris par ma tresse la casquette ayant volé et me tirant la tête en arrière, c’est à cent à l’heure qu’il entrait et sortait de moi.
Au début, mon récent dépucelage s’est fait sentir, mais d’un coup mon corps s’est embrasé jusqu’à exploser dans une gerbe de plaisir.
J’espère avoir bien fait sentir la façon dont Ludovic m’a fait l’amour avec la seule façon que je connaissais à ce jour, après la seule fois où là encore Sylvain m’avait fait l’amour.
Rudesse, tendresse, en peu de temps, la rudesse l’a emportée sur la tendresse, du moins pendant un temps.
J’étais pantelante ayant joui à en perdre la raison et je pensais qu’il en avait fini de moi, c’est sans penser à la cravache qui avait suivi sur le lit.
Il s’en est saisi et c’est une volée de coups qui s’est abattue sur mes fesses, alors qu’il continuait à me pilonner.
Je hurlais de peur et de mal au début quand l’embrasement encore plus fort de mon corps m’a fait encore plus basculer dans les rapports sado-masos.
Il a fini par décharger de long trait de sperme me remplissant pour notre plus grand plaisir alors que j’ai dû tourner de l’œil.
• Tient prend ton fric et tire-toi, j’aime être seul lorsque j’ai sauté une petite pute comme toi.
Billets en main et petite pute, ce fut les seuls mots d’amour qu’il a eu pour moi, mais comment lui en vouloir, c’est bien moi qui lui aie mis mes seins sous le nez.
Une chose que j’ignorais, mais que je sais avec du recul, ce fut la seule fois où Ludovic m’a fait l’amour.
Dans les jours qui ont suivi, je me remettais de l’épreuve subie lorsqu’il m’a invité à des photos en extérieur.
J’avais retrouvé ma bouteille et une chose nouvelle dont il m’avait fait cadeau en plus des 500 € promis, des cigarettes qu’il semblait avoir roulées lui-même.
J’anticipe sur ce qu’elles étaient, car à chaque fois que j’en fumais une, je me retrouvais dans une douce torpeur.
J’en avais quatre et j’en avais fumé deux lorsqu’on a frappé à ma porte.
C’est dans le brouillard que je me suis levé et que j’ai été l’ouvrir.
Sylvain était derrière et a semblé très étonné de l’état dont je me trouvais.
• Ou as-tu eu ces cigarettes, de shit, l’autre jour, tu étais raide défoncée ce soir, tu es complètement droguée ou as-tu acheté ces joints ?
À ces paroles, je venais d’entrer de plain-pied dans les paradis artificiels.
Je lui ai tendu ce qu’il appelait un joint et ensemble nous l’avons terminé.
Une nouvelle fois, il m’a fait l’amour avant d’en rallumer un, le lendemain, il faisait beau, encore du fric à gagner lorsque Ludovic a klaxonné pour que nous allions en extérieur avec la camionnette.
• Dis-moi, ou as-tu eu ces cigarettes, leur sensation était extraordinaire, tu peux m’en procurer ?
Certains diront que j’étais nunuche de me faire embarquer dans le monde des paradis artificiels, mais je découvrais la vie, pensant que c’était là la vraie vie.
• Il y a quelques années, j’ai fait un reportage au Maroc pour un journal pour lequel je travaillais avant de me mettre à mon compte dans la photo.
Il s’agissait des champs de cannabis, la drogue déferlant dans nos provinces.
J’y ai rencontré Radia, une jeune Marocaine qui avait hérité de son père de plusieurs hectares de ces champs.
Elle vivait dans une maison somptueuse, sans se rendre compte des ravages que cette drogue faisait sur les jeunes et moins jeunes d’Europe.
Pour elle, c’était un produit vendu au laboratoire pour en faire des médicaments.
Elle m’a fait goûter sa production et depuis elle m’envois par la poste quelques centaines de grammes de son cannabis que je roule dans des cigarettes.
Si tu en veux je lui ferais un mail qu’elle m’en envoi plus et je t’en donnerais.
Sur le coup ça en est resté là, car nous arrivions près du lieu ou nous devions faire des photos.
J’ai reconnu la caravane de l’homme que Ludovic voulait dans son champ de vision lors de la séance où nous étions de l’autre côté de l’étang.
L’homme massif est sorti de sa caravane en entendant le bruit de notre moteur.
Je suis descendu et je me suis approché.
• T’as remplacé Anabelle, dis-moi Ludovic cette petite poulette semble bien appétissante !
• Salut Ernest, non, elle est en arrêt-maladie pour une appendicite et j’avais déjà embauché Ludivine lorsqu’elle a été hospitalisée, elle va revenir dans quelques jours.
Ernest était assez répugnant sur une table près de la caravane, il y avait une bouteille.
Si moi j’avais pris l’habitude de carburer au whisky, lui c’était au gros rouge qu’il fonctionnait.
• Un coup avant de commencer la séance, ça met du cœur à l’ouvrage.
• Laisse tomber Ernest, cette demoiselle aime les produits plus sophistiquer de toute façon elle a tout ce qu’il faut dans la camionnette.
Ludivine va te préparer, Ernest prépare-toi, remet la tenue avec la casquette, tu vas être une dominatrice qui va t’occuper de ce vieil ivrogne.
Je suis retourné dans la camionnette, je refais ma tresse et je redeviens une dominatrice prête à m’occuper de ce vieux débris.
Sur une étagère, j’ignore si la première fois elle était là, une bouteille me tend les bras, j’en bois trois grandes rasades, il fait un peu frais près de ces étangs, ça me réchauffe.
Seules les bottes ont changé, toujours en cuir montante jusqu’aux genoux, mais avec des talons effilés.
Je redescends avec du mal, c’est la première fois que j’en porte de si haut.
• Ernest met toi à quatre pattes recroquevillées sur toi-même comme si tu te protégeais.
Ludivine met ton pied sur le dos de ta proie et donne-lui des coups de cravache.
J’y avais gouté donné par mon amant dans son lit, j’ai commencé à lui mettre de petits coups.
• Arrête, c’est mauvais, ces photos doivent être réalistes et là c’est de la merde.
Appuis ton pied, on doit voir la pointe de ton talon déformer le dos d’Ernest.
Tu peux y aller franchement ainsi qu’avec tes coups de cravache, il en a vu d’autres.
J’ai fait ce qu’il me demandait de faire, je dois dire que martyriser le gros cul de ce poivrot, j’y ai pris un certain plaisir.
Ce fut moins appétissant lorsque je croyais que l’on avait terminé la séance.
• Je peux me faire sucer comme avec l’autre !
• Tu peux, elle aime ça...
C’est presque en courant que je me suis rendu à la forge de l’enfer pour faire des photos et gagner des billets me servant à satisfaire mes addictions.
Moi, la fille sage première de classe, mentionnée lorsque j’ai passé mon bac, je laisse tomber la fac pour retrouver dans le lieu que j’ai appris à connaître.
• Merci Ludivine, sans toi j’aurais dû déposer le bilan, tu m’as dit faire des études économiques et sociales, tu sais comment cela fonctionne alors que si je termine ces photos, je me donne un moment de liberté.
• Que dois-je faire ?
Comme je l’ai dit, à la fin du chapitre précédent, il voulait me photographier en tenue de cuir.
Le plus dur a été d’enfiler les combinaisons moulantes, mais j’étais contente, chaque fois je mettais une cagoule noire me cachant le visage.
Je me demandais quel genre de taré aimait ces tenues dont certaines avaient des fermetures pour dégager mes seins, ma chatte ou mon cul.
Les dernières combinaisons passées, il me restait une jupe en cuir, il va de soi avec des bretelles en même matière.
Souvent Ludovic suivant le type de modèle voulait que je sois nue sous les vêtements, là j’enfile une culotte en cuir souple.
Pour compléter l’ensemble, il y avait des bottes montant jusqu’en haut du molet.
• Ludivine, il y a un problème, pour ce vêtement, il comporte une casquette et une cravache.
Tes cheveux tombant de chaque côté de tes épaules, j’aurais dû faire venir ma coiffeuse qui aurait fait le nécessaire pour qu’ils soient cachés, j’avais oublié ce détail.
• Je peux arranger ça, je peux faire une queue-de-cheval que je tresserais et qui pourra entrer dans cette casquette qui est là.
• Fait moi voir ce que cela donne !
• Avant as-tu un élastique pour empêcher la tresse de se défaire.
• Oui, dans ce tiroir !
Une fois l’élastique autour de mon poignet, j’ai tressé mes cheveux blonds.
J’ai mis la casquette sur ma tête, avec ce vêtement de cuir et ma cravache en main, en me regardant dans la glace posée sur le mur, j’avais l’impression d’être un officier allemand en jupe et en bretelles.
Je me souviens que lorsque j’ai été devant le décor, j’ai tendu le bras, j’ai claqué des talons en poussant un cri comme je l’avais vu faire dans des films de guerre.
Ludovic a rit, sur cette blague de mauvais gouts, du moins c’est ce que j’en avais pensé.
Nous avons fait les photos et comme à son ordinaire, il a pris les pellicules pour aller les développer.
Nous étions accolés à la table à les regarder avec sa loupe.
Plusieurs d’entre elles montraient mes seins les bretelles ayant glissé.
Leurs vues d’un coup ont semblé lui faire de l’effet, car il m’a saisi par mes cheveux en me plaquant sur son bas-ventre et en sortant sa verge.
À quelques centaines de mètres de là, Sylvain ignorait que lorsqu’au matin de mon dépucelage, il m’avait initié à lui faire une fellation, à ce moment précis, il m’avait rendu service.
Comment aurais-je su que ce morceau tendu entrant et sortant à une vitesse folle et se projetant tout au fond de ma gorge s’étais une pratique habituelle chez certains hommes ?
Est-ce à ce moment ou lorsqu’il était à deux doigts de décharger sa semence dans ma bouche que cette façon de me faire l’amour a déclenché cet accès de violence nécessaire dans mes futurs rapports ?
Il était assez fort pour me prendre dans ses bras et venir me jeter sur son lit.
Ma culotte de cuir a dû me quitter sans que je m’en aperçoive, car c’est à quatre pattes qu’il est entré en moi.
• Salope, je suis excité depuis le premier jour où je t’ai vu chez Mac Donald, tiens prend ça.
Ces mots sont marqués au fer rouge dans mon cerveau, car à partir de ce moment alors que ma bouche bavait encore du pilonnage qu’elle avait subi.
Il m’a pris par ma tresse la casquette ayant volé et me tirant la tête en arrière, c’est à cent à l’heure qu’il entrait et sortait de moi.
Au début, mon récent dépucelage s’est fait sentir, mais d’un coup mon corps s’est embrasé jusqu’à exploser dans une gerbe de plaisir.
J’espère avoir bien fait sentir la façon dont Ludovic m’a fait l’amour avec la seule façon que je connaissais à ce jour, après la seule fois où là encore Sylvain m’avait fait l’amour.
Rudesse, tendresse, en peu de temps, la rudesse l’a emportée sur la tendresse, du moins pendant un temps.
J’étais pantelante ayant joui à en perdre la raison et je pensais qu’il en avait fini de moi, c’est sans penser à la cravache qui avait suivi sur le lit.
Il s’en est saisi et c’est une volée de coups qui s’est abattue sur mes fesses, alors qu’il continuait à me pilonner.
Je hurlais de peur et de mal au début quand l’embrasement encore plus fort de mon corps m’a fait encore plus basculer dans les rapports sado-masos.
Il a fini par décharger de long trait de sperme me remplissant pour notre plus grand plaisir alors que j’ai dû tourner de l’œil.
• Tient prend ton fric et tire-toi, j’aime être seul lorsque j’ai sauté une petite pute comme toi.
Billets en main et petite pute, ce fut les seuls mots d’amour qu’il a eu pour moi, mais comment lui en vouloir, c’est bien moi qui lui aie mis mes seins sous le nez.
Une chose que j’ignorais, mais que je sais avec du recul, ce fut la seule fois où Ludovic m’a fait l’amour.
Dans les jours qui ont suivi, je me remettais de l’épreuve subie lorsqu’il m’a invité à des photos en extérieur.
J’avais retrouvé ma bouteille et une chose nouvelle dont il m’avait fait cadeau en plus des 500 € promis, des cigarettes qu’il semblait avoir roulées lui-même.
J’anticipe sur ce qu’elles étaient, car à chaque fois que j’en fumais une, je me retrouvais dans une douce torpeur.
J’en avais quatre et j’en avais fumé deux lorsqu’on a frappé à ma porte.
C’est dans le brouillard que je me suis levé et que j’ai été l’ouvrir.
Sylvain était derrière et a semblé très étonné de l’état dont je me trouvais.
• Ou as-tu eu ces cigarettes, de shit, l’autre jour, tu étais raide défoncée ce soir, tu es complètement droguée ou as-tu acheté ces joints ?
À ces paroles, je venais d’entrer de plain-pied dans les paradis artificiels.
Je lui ai tendu ce qu’il appelait un joint et ensemble nous l’avons terminé.
Une nouvelle fois, il m’a fait l’amour avant d’en rallumer un, le lendemain, il faisait beau, encore du fric à gagner lorsque Ludovic a klaxonné pour que nous allions en extérieur avec la camionnette.
• Dis-moi, ou as-tu eu ces cigarettes, leur sensation était extraordinaire, tu peux m’en procurer ?
Certains diront que j’étais nunuche de me faire embarquer dans le monde des paradis artificiels, mais je découvrais la vie, pensant que c’était là la vraie vie.
• Il y a quelques années, j’ai fait un reportage au Maroc pour un journal pour lequel je travaillais avant de me mettre à mon compte dans la photo.
Il s’agissait des champs de cannabis, la drogue déferlant dans nos provinces.
J’y ai rencontré Radia, une jeune Marocaine qui avait hérité de son père de plusieurs hectares de ces champs.
Elle vivait dans une maison somptueuse, sans se rendre compte des ravages que cette drogue faisait sur les jeunes et moins jeunes d’Europe.
Pour elle, c’était un produit vendu au laboratoire pour en faire des médicaments.
Elle m’a fait goûter sa production et depuis elle m’envois par la poste quelques centaines de grammes de son cannabis que je roule dans des cigarettes.
Si tu en veux je lui ferais un mail qu’elle m’en envoi plus et je t’en donnerais.
Sur le coup ça en est resté là, car nous arrivions près du lieu ou nous devions faire des photos.
J’ai reconnu la caravane de l’homme que Ludovic voulait dans son champ de vision lors de la séance où nous étions de l’autre côté de l’étang.
L’homme massif est sorti de sa caravane en entendant le bruit de notre moteur.
Je suis descendu et je me suis approché.
• T’as remplacé Anabelle, dis-moi Ludovic cette petite poulette semble bien appétissante !
• Salut Ernest, non, elle est en arrêt-maladie pour une appendicite et j’avais déjà embauché Ludivine lorsqu’elle a été hospitalisée, elle va revenir dans quelques jours.
Ernest était assez répugnant sur une table près de la caravane, il y avait une bouteille.
Si moi j’avais pris l’habitude de carburer au whisky, lui c’était au gros rouge qu’il fonctionnait.
• Un coup avant de commencer la séance, ça met du cœur à l’ouvrage.
• Laisse tomber Ernest, cette demoiselle aime les produits plus sophistiquer de toute façon elle a tout ce qu’il faut dans la camionnette.
Ludivine va te préparer, Ernest prépare-toi, remet la tenue avec la casquette, tu vas être une dominatrice qui va t’occuper de ce vieil ivrogne.
Je suis retourné dans la camionnette, je refais ma tresse et je redeviens une dominatrice prête à m’occuper de ce vieux débris.
Sur une étagère, j’ignore si la première fois elle était là, une bouteille me tend les bras, j’en bois trois grandes rasades, il fait un peu frais près de ces étangs, ça me réchauffe.
Seules les bottes ont changé, toujours en cuir montante jusqu’aux genoux, mais avec des talons effilés.
Je redescends avec du mal, c’est la première fois que j’en porte de si haut.
• Ernest met toi à quatre pattes recroquevillées sur toi-même comme si tu te protégeais.
Ludivine met ton pied sur le dos de ta proie et donne-lui des coups de cravache.
J’y avais gouté donné par mon amant dans son lit, j’ai commencé à lui mettre de petits coups.
• Arrête, c’est mauvais, ces photos doivent être réalistes et là c’est de la merde.
Appuis ton pied, on doit voir la pointe de ton talon déformer le dos d’Ernest.
Tu peux y aller franchement ainsi qu’avec tes coups de cravache, il en a vu d’autres.
J’ai fait ce qu’il me demandait de faire, je dois dire que martyriser le gros cul de ce poivrot, j’y ai pris un certain plaisir.
Ce fut moins appétissant lorsque je croyais que l’on avait terminé la séance.
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