COLLECTION SM. Accro au sexe violent (4/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION SM. Accro au sexe violent (4/6)
Si maman si, maman si tu savais ce que ta fille est en train de faire, tu serais morte de honte après les efforts que tu as fait pour m’élever.
Si maman si, chanson que maman passait en boucle lorsque j’étais jeune étant fan de France Gall, cette chanteuse.
Ces paroles me reviennent en mémoire au moment où pour une nouvelle fois ma bouche s’ouvre pour recevoir une bite et quelle bite.
L’homme à qui elle appartient me domine de sa haute stature et l’objet qu’il vient de m’introduire au fond de ma gorge est immonde.
Sa grosseur en rapport de l’homme de presque deux mètres qui me domine, mais aussi par la puanteur qui s’en dégage.
Elle est à l’image des quelques vêtements qu’il avait sur le dos à mon arrivée pour faire des photos de la dominatrice que je devais censé l’être.
Vu de loin comme la première fois de l’autre côté de l’étang où je le voyais déambuler devant sa caravane, ce véritable homme des bois, est velue comme un mouton noir.
Noir comme ses vêtements qui doivent ignorer la lessive mais très noir, comme les touffes de poils qui sortent des trous qui jalonnent ce vêtement tout juste bon à finir dans une poubelle.
La verge qu’il a sortie de son pantalon est grosse, couverte de veines saillantes et d’un calibre impressionnant pour la jeune fille que j’étais il y a encore quelques semaines.
Vierge, je l’étais jusqu’à ce qu’un soir de débauche Sylvain mon copain de village se croie autorisé à m’enlever mon hymen.
J’aurais dû lui en vouloir me souvenant de rien sauf de la légère douleur ressentie au matin.
Mais comment lui en vouloir dans l’état où je m’étais mise quand me réveillant avec la plus belle gueule de bois de ma jeune vie, nous avons refait l’amour, là en toute conscience ?
Ludovic que je devrais nommer mon débaucheur aurait certainement voulu filmer le moment de mon dépucelage comme il le fait depuis quelques minutes ayant remplacé son appareil photo par une caméra !
Minute où il m’a offert à Ernest l’autorisant à ce que je remplace Annabelle pour les photos sadomaso et dans ma bouche pour une fellation.
Comme je l’ai déjà dit, j’aurais dû me rebeller.
Hélas, en plus d’être accro à l’alcool, aux cigarettes, aux cannabis depuis peu, le sexe des hommes même immonde comme celui d’Ernest est devenu chose classique pour moi.
Il aurait pu en rester là, mais je pense que Ludovic avait tout prévu et avait prémédité, avec Ernest, l’étape qu’il me faisait franchir, la caméra en faisant foi.
Grosse verge ayant du mal à entrer, mais gros bras tatouer « maman » qui m’a saisi, cloué contre la caravane et me faisant retomber sur sa verge que j’avais contribué à développer.
• Ernest bourre là, tu voulais la baiser comme tu le fait avec Annabelle, ce film va plaire.
Ludivine, je vais te donner 1 000 €, je savais que tu étais faite pour faire du porno hard.
Sylvain venait de me faire franchir cette ultime étape ayant compris que j’étais prête à tous pour gagner du fric facile.
Ernest a voulu m’embrasser, j’ai tourné la tête et j’ai vu l’intérieur de la caravane, comment peut-on dormir dans une telle poubelle.
Son marcel était propre comparé aux draps qui avaient dû être blancs au pire écru, il y a bien des années.
• Fais là entrer, je vous suis en filmant.
Il l’a fait, je me suis retrouvée sur ce lit immonde sans qu’il soit sorti de ma chatte.
Comment mon corps a-t-il pu accepter que je jouisse dans de telle circonstance, la nature est ainsi faite que pendant les longues minutes qui ont suivi, je me suis retrouvée en levrette, le nez sur ces draps ?
Je voulais retenir mon souffle tellement sentir les odeurs en rapport de leur couleur étaient insupportables, mais pour vivre ce que j’ignorais encore être ma déchéance, il faut bien respirer.
• C’est parfait Ernest, encore quelques plans lorsque tu vas l’enculer.
Profite de sa position pour l’enculer à sexe, entre d’une seule poussée, je me tais pour enregistrer ses vagissements en son réel, vas-y !
Je me souviens de cet instant où un fer rouge est entré en moi, gros, noueux et long.
Ludovic voulait des vagissements, il a été servi, des mugissements, des cris de douleur et de dépit d’accepter ça pour les billets qu’il allait me donner.
La séance terminée, c’est sur la petite table elle aussi d’un autre âge, qu’il a sortie de la poudre et qu’il en a fait des lignes.
Un par un, nous sommes passés et mis plein le tarin, en quelques minutes toute douleur avait disparu.
• Tient ça c’est ta paye.
Il m’a tendu le rouleau de papier qui nous avait servi pour snifer, je l’ai déroulé, il y avait deux billets de 500, une nouvelle fois il avait été fidèle à ses paroles.
Nous sommes rentrés, j’espérais qu’il allait m’emmener sur son lit dans la forge de l’enfer, mais c’est devant mon logement étudiant qu’il m’a conduit.
Je suis montée rapidement me doucher, voulant ôter l’odeur fétide des draps où j’avais frotté mon visage.
Je venais de finir de me doucher ressentant de nouveau mon anus qui me brulait lorsqu’on a frappé à ma porte.
• Ludivine, je t’ai vu revenir par ma fenêtre, je venais voir, comment tu allais, tu as encore séché les cours ?
La coke faisait encore effet sauf dans mon cul, je lui ai donné ce qu’il était venu chercher, j’ai commencé par lui sucer la verge avant d’écarter mes cuisses pour qu’il me baise.
Un instant de douceur dans ce monde brutal que je découvrais, c’est dans ses bras que j’ai finis cette journée de débauche.
Au moment de m’endormir, j’ai eu un trait de lucidité, comment pouvait-on être aussi bipolaire en aimant la douceur de Sylvain et la rudesse d’Ernest sous les ordres de Ludovic.
La fatigue m’a gagné, je verrais, comment je fonctionne plus tard.
Plus tard, ce fut quelques jours plus tard où Ludovic m’a envoyé un message.
Je m’apprêtais à aller en cours bien délaissé depuis que j’avais découvert ma vie parallèle.
• Ludivine, peux-tu venir, je voudrais te faire rencontrer quelqu’un.
La fac s’était tout droit, la forge s’était à droite sur quelques kilomètres, mes pas m’ont dirigé vers la droite.
• Ludivine, je te présente Annabelle, elle est en état de reprendre du service, j’aimerais filer quelques images de vous deux ensemble, j’ai une cliente qui adore les filles tourner entre filles.
Quand je disais que Ludovic me faisait passer des étapes, la ligne de poudre blanche qu’il m’a offert en même temps qu’une boîte qui en contenait dix grammes, devait être l’appât pour que je tourne avec cette jeune femme.
Là encore, je me souviens avoir pensé qu’il valait mieux que je gagne ma pitance en me gouinant que de me faire enculer par Ernest sur ses draps crasseux.
À leur évocation, l’odeur nauséabonde est remontée du plus profond de moi, me faisant éternuer.
• À tes souhaits ?
Ce furent ses souhaits, je devais apprendre qu’elle métrisait le « bondage », mot bien sûr ignoré de moi petite fille sage il y a peu de temps.
Je retrouvais le fond de la forge de l’enfer, entre femmes je pensais qu’une certaine solidarité se ferait jour.
Je devais vite déchanter lorsque Annabelle me mit des bracelets de cuir à chaque poignet et chaque cheville.
Je certifie que j’avais encore confiance lorsqu’elle m’a attaché au milieu de la pièce les bras levés et écartés en faisant de même avec mes pieds.
Ludovic filmait chaque étape de cette préparation dont j’ignorais la finalité.
Annabelle a pris une fine corde et a commencé à me saucissonner, jusqu’à s’attaquer à mes seins.
Chacun d’eux a été placé dans des boucles qu’elle a serrées.
• Serre un peu plus, je veux que le sang arrête de circuler.
Aussitôt dit aussitôt fait, à partir de la douleur devenait plus intense, j’avais l’impression que les petites cordes allaient sectionner mes seins et les séparer de mon corps.
Lorsque je baissais la tête, les calebasses qu’ils formaient étant rouges, mieux cramoisis.
À partir de ce moment je me suis mis à hurler prenant conscience que cette femme était loin d’être mon amie.
Je l’ai vu prendre une badine dont elle a essayé la souplesse dans ses mains.
Sur la table où elle se servait, il y avait plusieurs de ces baguettes.
Elle en a essayé trois pour reprendre la deuxième et là, elle s’est déchainée.
La badine est tombée sur mes fesses, j’ai hurlé tellement la douleur était intense.
Et que dire lorsqu’elle l’a fait tomber sur mes seins déjà si martyrisés.
Plus je criais et plus elle frappait là où elle sentait que la douleur était plus intense.
Frappant mon cul qui devait être zébré plus que de raison, la badine éclata.
Sans choisir elle en prit une autre sur la table et continua à me flageller.
Ma chatte eut droit à la sollicitude de ma tortionnaire, en moi un étrange phénomène s’est fait jour.
Plus elle punissait la méchante fille que je devais être, plus du fond de mes entrailles montait une boule qui a fini par éclater.
J’ai senti ma chatte expulser des tombereaux de liquide qui avec le temps j’ai appris qu’il s’agissait de cyprine, liquide que mon corps rendait au sol en terre là où mon supplice avait lieu.
Un dernier coup bien placé et j’ai tourné de l’œil sous la décharge d’adrénaline que cette salope venait de me fournir.
Combien de temps suis-je resté dans les vapes, je l’ignore, j’ai commencé à émerger, sentant que l’on m’avait détaché et qu’ils avaient dû me conduire sur le lit où j’avais baisé avec Ludovic.
Des voix parlaient, sans que je bouge et que j’ouvre les yeux.
• Annabelle, on a gagné le gros lot avec cette petite conne, le film que je viens de tourner va se vendre un max dans les milieux sadomasos.
Préviens les jumeaux et Ernest, demain on tourne les dernières scènes avant qu’elle prenne conscience qu’on la manipule.
Va auprès d’elle pour la nuit, il faut qu’elle pense que tu es son amie lorsqu’elle se réveillera...
Si maman si, chanson que maman passait en boucle lorsque j’étais jeune étant fan de France Gall, cette chanteuse.
Ces paroles me reviennent en mémoire au moment où pour une nouvelle fois ma bouche s’ouvre pour recevoir une bite et quelle bite.
L’homme à qui elle appartient me domine de sa haute stature et l’objet qu’il vient de m’introduire au fond de ma gorge est immonde.
Sa grosseur en rapport de l’homme de presque deux mètres qui me domine, mais aussi par la puanteur qui s’en dégage.
Elle est à l’image des quelques vêtements qu’il avait sur le dos à mon arrivée pour faire des photos de la dominatrice que je devais censé l’être.
Vu de loin comme la première fois de l’autre côté de l’étang où je le voyais déambuler devant sa caravane, ce véritable homme des bois, est velue comme un mouton noir.
Noir comme ses vêtements qui doivent ignorer la lessive mais très noir, comme les touffes de poils qui sortent des trous qui jalonnent ce vêtement tout juste bon à finir dans une poubelle.
La verge qu’il a sortie de son pantalon est grosse, couverte de veines saillantes et d’un calibre impressionnant pour la jeune fille que j’étais il y a encore quelques semaines.
Vierge, je l’étais jusqu’à ce qu’un soir de débauche Sylvain mon copain de village se croie autorisé à m’enlever mon hymen.
J’aurais dû lui en vouloir me souvenant de rien sauf de la légère douleur ressentie au matin.
Mais comment lui en vouloir dans l’état où je m’étais mise quand me réveillant avec la plus belle gueule de bois de ma jeune vie, nous avons refait l’amour, là en toute conscience ?
Ludovic que je devrais nommer mon débaucheur aurait certainement voulu filmer le moment de mon dépucelage comme il le fait depuis quelques minutes ayant remplacé son appareil photo par une caméra !
Minute où il m’a offert à Ernest l’autorisant à ce que je remplace Annabelle pour les photos sadomaso et dans ma bouche pour une fellation.
Comme je l’ai déjà dit, j’aurais dû me rebeller.
Hélas, en plus d’être accro à l’alcool, aux cigarettes, aux cannabis depuis peu, le sexe des hommes même immonde comme celui d’Ernest est devenu chose classique pour moi.
Il aurait pu en rester là, mais je pense que Ludovic avait tout prévu et avait prémédité, avec Ernest, l’étape qu’il me faisait franchir, la caméra en faisant foi.
Grosse verge ayant du mal à entrer, mais gros bras tatouer « maman » qui m’a saisi, cloué contre la caravane et me faisant retomber sur sa verge que j’avais contribué à développer.
• Ernest bourre là, tu voulais la baiser comme tu le fait avec Annabelle, ce film va plaire.
Ludivine, je vais te donner 1 000 €, je savais que tu étais faite pour faire du porno hard.
Sylvain venait de me faire franchir cette ultime étape ayant compris que j’étais prête à tous pour gagner du fric facile.
Ernest a voulu m’embrasser, j’ai tourné la tête et j’ai vu l’intérieur de la caravane, comment peut-on dormir dans une telle poubelle.
Son marcel était propre comparé aux draps qui avaient dû être blancs au pire écru, il y a bien des années.
• Fais là entrer, je vous suis en filmant.
Il l’a fait, je me suis retrouvée sur ce lit immonde sans qu’il soit sorti de ma chatte.
Comment mon corps a-t-il pu accepter que je jouisse dans de telle circonstance, la nature est ainsi faite que pendant les longues minutes qui ont suivi, je me suis retrouvée en levrette, le nez sur ces draps ?
Je voulais retenir mon souffle tellement sentir les odeurs en rapport de leur couleur étaient insupportables, mais pour vivre ce que j’ignorais encore être ma déchéance, il faut bien respirer.
• C’est parfait Ernest, encore quelques plans lorsque tu vas l’enculer.
Profite de sa position pour l’enculer à sexe, entre d’une seule poussée, je me tais pour enregistrer ses vagissements en son réel, vas-y !
Je me souviens de cet instant où un fer rouge est entré en moi, gros, noueux et long.
Ludovic voulait des vagissements, il a été servi, des mugissements, des cris de douleur et de dépit d’accepter ça pour les billets qu’il allait me donner.
La séance terminée, c’est sur la petite table elle aussi d’un autre âge, qu’il a sortie de la poudre et qu’il en a fait des lignes.
Un par un, nous sommes passés et mis plein le tarin, en quelques minutes toute douleur avait disparu.
• Tient ça c’est ta paye.
Il m’a tendu le rouleau de papier qui nous avait servi pour snifer, je l’ai déroulé, il y avait deux billets de 500, une nouvelle fois il avait été fidèle à ses paroles.
Nous sommes rentrés, j’espérais qu’il allait m’emmener sur son lit dans la forge de l’enfer, mais c’est devant mon logement étudiant qu’il m’a conduit.
Je suis montée rapidement me doucher, voulant ôter l’odeur fétide des draps où j’avais frotté mon visage.
Je venais de finir de me doucher ressentant de nouveau mon anus qui me brulait lorsqu’on a frappé à ma porte.
• Ludivine, je t’ai vu revenir par ma fenêtre, je venais voir, comment tu allais, tu as encore séché les cours ?
La coke faisait encore effet sauf dans mon cul, je lui ai donné ce qu’il était venu chercher, j’ai commencé par lui sucer la verge avant d’écarter mes cuisses pour qu’il me baise.
Un instant de douceur dans ce monde brutal que je découvrais, c’est dans ses bras que j’ai finis cette journée de débauche.
Au moment de m’endormir, j’ai eu un trait de lucidité, comment pouvait-on être aussi bipolaire en aimant la douceur de Sylvain et la rudesse d’Ernest sous les ordres de Ludovic.
La fatigue m’a gagné, je verrais, comment je fonctionne plus tard.
Plus tard, ce fut quelques jours plus tard où Ludovic m’a envoyé un message.
Je m’apprêtais à aller en cours bien délaissé depuis que j’avais découvert ma vie parallèle.
• Ludivine, peux-tu venir, je voudrais te faire rencontrer quelqu’un.
La fac s’était tout droit, la forge s’était à droite sur quelques kilomètres, mes pas m’ont dirigé vers la droite.
• Ludivine, je te présente Annabelle, elle est en état de reprendre du service, j’aimerais filer quelques images de vous deux ensemble, j’ai une cliente qui adore les filles tourner entre filles.
Quand je disais que Ludovic me faisait passer des étapes, la ligne de poudre blanche qu’il m’a offert en même temps qu’une boîte qui en contenait dix grammes, devait être l’appât pour que je tourne avec cette jeune femme.
Là encore, je me souviens avoir pensé qu’il valait mieux que je gagne ma pitance en me gouinant que de me faire enculer par Ernest sur ses draps crasseux.
À leur évocation, l’odeur nauséabonde est remontée du plus profond de moi, me faisant éternuer.
• À tes souhaits ?
Ce furent ses souhaits, je devais apprendre qu’elle métrisait le « bondage », mot bien sûr ignoré de moi petite fille sage il y a peu de temps.
Je retrouvais le fond de la forge de l’enfer, entre femmes je pensais qu’une certaine solidarité se ferait jour.
Je devais vite déchanter lorsque Annabelle me mit des bracelets de cuir à chaque poignet et chaque cheville.
Je certifie que j’avais encore confiance lorsqu’elle m’a attaché au milieu de la pièce les bras levés et écartés en faisant de même avec mes pieds.
Ludovic filmait chaque étape de cette préparation dont j’ignorais la finalité.
Annabelle a pris une fine corde et a commencé à me saucissonner, jusqu’à s’attaquer à mes seins.
Chacun d’eux a été placé dans des boucles qu’elle a serrées.
• Serre un peu plus, je veux que le sang arrête de circuler.
Aussitôt dit aussitôt fait, à partir de la douleur devenait plus intense, j’avais l’impression que les petites cordes allaient sectionner mes seins et les séparer de mon corps.
Lorsque je baissais la tête, les calebasses qu’ils formaient étant rouges, mieux cramoisis.
À partir de ce moment je me suis mis à hurler prenant conscience que cette femme était loin d’être mon amie.
Je l’ai vu prendre une badine dont elle a essayé la souplesse dans ses mains.
Sur la table où elle se servait, il y avait plusieurs de ces baguettes.
Elle en a essayé trois pour reprendre la deuxième et là, elle s’est déchainée.
La badine est tombée sur mes fesses, j’ai hurlé tellement la douleur était intense.
Et que dire lorsqu’elle l’a fait tomber sur mes seins déjà si martyrisés.
Plus je criais et plus elle frappait là où elle sentait que la douleur était plus intense.
Frappant mon cul qui devait être zébré plus que de raison, la badine éclata.
Sans choisir elle en prit une autre sur la table et continua à me flageller.
Ma chatte eut droit à la sollicitude de ma tortionnaire, en moi un étrange phénomène s’est fait jour.
Plus elle punissait la méchante fille que je devais être, plus du fond de mes entrailles montait une boule qui a fini par éclater.
J’ai senti ma chatte expulser des tombereaux de liquide qui avec le temps j’ai appris qu’il s’agissait de cyprine, liquide que mon corps rendait au sol en terre là où mon supplice avait lieu.
Un dernier coup bien placé et j’ai tourné de l’œil sous la décharge d’adrénaline que cette salope venait de me fournir.
Combien de temps suis-je resté dans les vapes, je l’ignore, j’ai commencé à émerger, sentant que l’on m’avait détaché et qu’ils avaient dû me conduire sur le lit où j’avais baisé avec Ludovic.
Des voix parlaient, sans que je bouge et que j’ouvre les yeux.
• Annabelle, on a gagné le gros lot avec cette petite conne, le film que je viens de tourner va se vendre un max dans les milieux sadomasos.
Préviens les jumeaux et Ernest, demain on tourne les dernières scènes avant qu’elle prenne conscience qu’on la manipule.
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