COLLECTION SM. Accro au sexe violent (6/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION SM. Accro au sexe violent (6/6)
Lorsque je me retrouve nue devant la porte du foyer où je loge depuis que je suis venue dans cette ville faire mes études à la fac, je prends conscience que mes clefs sont restées à la forge de l’enfer.
Je sonne Sylvain mon copain et amant depuis qu’il s’est permis de me dépuceler lors de mon dernier retour dans un état lamentable.
Là, c’est pire, j’ai subi des sévices sadomasos aidés en cela par les lignes de coke que je me fourre dans le pif depuis quelques semaines.
J’aurais de la poudre blanche sur moi, je crois que je serais capable de me faire une ligne sur le trottoir à même le sol.
• Qui me réveille à cette heure ?
Ouf, Sylvain est là, qu’aurais-je fait s’il était parti à une soirée, j’ai de la chance, mon copain est un gars sérieux, il a toujours eu cette réputation dans le village.
Certains vont même jusqu’à dire qu’il pourrait devenir le maire dans les années futures.
• C’est-moi, ouvre, il faut que tu m’aides.
Certains auraient posé des questions dans l’état où je suis, lui se contente de me faire entrer dans sa chambre, là aussi, les clefs de mon logement sont restées dans ce lieu que je veux fuir afin de retrouver ma dignité.
Comme la première fois, il me met sous sa douche et fait couler l’eau.
Du sang tapisse le bac de récupération, des perles de sang coule de quelques endroits qu’Ernest a percés avec ses aiguilles et ses petites barres de fer.
• Je vais te ramener vers ta mère !
Non, trouve de la coke, je vais me relettre et je vais reprendre mes études, si ma mère apprend ce que je suis devenue, elle en mourra après tous les sacrifices qu’elle a faits pour m’élever.
• Hors de question que tu restes ici, regarde, comment tu es devenue accro à cette merde que vous vous enfilez dans le pif.
Enfile ce survêtement, je sais ce que je vais faire pour te sauver de ce que tu es devenue.
C’est ainsi qu’il me fait monter dans sa voiture garée à quelques mètres de la mienne.
• J’ai froid, trouve-moi de la poudre, je vais mourir.
• Prends se plaide sur le siège arrière et met le sur toi, je t’ai dit que je vais te débarrasser de cette saloperie.
Nous roulons, les turpitudes de la forge de l’enfer m’ont épuisé sans compter le coup de bite que j’ai prise par le veilleur de nuit.
Je sens qu’on me porte et qu’on m’installe dans un lit, pour la première fois depuis longtemps je suis bien, même si ma poudre commence à me manquer.
• Connard, tu crois que tu vas pouvoir me tenir enfermé longtemps dans cette chambre de merde, va me chercher de la coke sinon je casse tout.
Je balance la table de nuit faisant valser par là même le plateau qu’il a préparé pour que je me nourrisse.
De toute façon, je vais me suicider tellement j’ai mal, même s’il a cloué des planches sur ma fenêtre pour éviter de me suicider.
Je sais ou je suis, chez lui au milieu des vignes dans la maison dont il a hérité à la mort de ses parents.
À mon accès de colère, la deuxième depuis que je suis là, il reste d’un calme froid, il prend le plateau et sort laissant la quiche au sol.
Une fois qu’il est parti, certainement étant retourné à ses cours, la fac est somme toute assez près, je sais que je devrais rester seule toute la journée à dormir sous le tas de couvertures qu’il m’a apportées tellement mes os ont froid.
Petit à petit, sans savoir le combien on est, j’émerge de mon manque de stupéfiant.
Le sevrage se fait petit à petit et j’ai de moins en moins de périodes de tremblement et de grand froid.
Dans le même temps, les stigmates de mes débordements s’estompent, je redeviens la femme belle et jolie que j’étais avant de rencontrer Ludovic au Mac Do.
Je dois même reconnaitre que dans les derniers temps, ma chatte me laissait tranquille alors que maintenant les queues me manquent.
Depuis que je suis calme, j’ai le droit de sortir de la chambre pour aller jusqu’à la salle de bains.
C’est là qu’un soir, alors qu’il m’essuie comme tous les jours, je lui saute au cou et que nos bouches se trouvent.
Moins puissant qu’Ernest, il me prend par la main et m’entraine dans sa chambre.
Pour la première fois depuis mon sevrage et la dernière dans la voiture avec le veilleur de nuit, j’ai une verge qui me défonce.
J’ai beau faire des efforts, je reste au bord du chemin de ma jouissance, mais je sais qu’il va falloir que je me contente de ces moments où j’écarterais les cuisses pour plaire à mon mari.
J’ai refait surface dans le village et auprès de ma mère qui depuis que je suis partie me débaucher, s’est mise en couple avec Louis, un homme qu’elle a rencontré lors de la fête du village.
Tout à ses amours, s’est-elle aperçue que j’avais disparu de son paysage tout le temps où je me suis donné à Ludovic, Annabelle et autres Ernest sans oublier les jumeaux.
• Oui, je le veux !
C’est fait, je me suis mariée avec Sylvain, la boucle est faite et par mon serment je vais être la femme fidèle que je révais d’être lorsque j’étais jeune fille, pucelle de mon village.
Pour m’aider, car mon mari est loin d’être la bête de sexe que j’ai connu dans les forges, Jules vient au monde dix mois après que j’ai dit oui à ce garçon.
Dix mois me dédouanent de mes turpitudes, rapidement alors que mon mari ayant réussies ses études comparées à moi, il est nommé dans le collège dont dépend notre commune.
Tout roule jusqu’au jour où Jules entre en maternel.
J’aurais bien repris un emploi, mais deux obstacles se font jour.
Le manque d’emploi, sans la moindre expérience, sauf mon bac et mon mari concevant mal que je veuille l’aider à faire bouillir la marmite.
Sylvain lorsqu’il m’a ramené et isolé pour que je me désintoxique et retourné chercher mes affaires et ma voiture, je peux donc aller et venir à ma guise.
Un matin je dépose Jules, tous les midis, maman étant proche de l’école,c’est elle qui le récupère et le fait manger.
Dès neuf heures, je suis libre comme l’air.
Ce matin donc, les roues de ma voiture prennent la direction de la fac où tout a commencé.
J’arrive devant les forges de l’enfer, un panneau « à vendre » est apposé sur la porte, Ludovic semble avoir décidé de vendre.
C’est là que je me rends compte, que c’est une chose précise que les roues de ma voiture on prise cette direction.
Le sexe violent, le sexe pépère de Sylvain est loin de me satisfaire.
Dans un premier temps, je suis déçu, mais mes organes ont soif de défonce alors une idée le vient, Ernest.
Ma voiture se dirige vers l’étang ou était sa caravane, elle est là et lui aussi.
Il est assis sur un siège de camping, lorsqu’il me voit descendre, il se lève et je cours à lui pour lui sauté dans les bras et l’embrasser en pleine bouche.
• Es-tu allée à la forge ?
• Oui, ou est Ludovic !
• Après ton départ précipité, les ennuis leur sont tombés sur le dos.
Avec Annabelle, ils ont fui vers le Maroc où il avait une amie qui l’approvisionnait en poudre que vous vous bourriez dans le pif.
C’est ces arrivages de poudre dans un colis qui l’on trahit, la police l’a suivi et par chance lorsqu’ils ont débarqué, ils étaient ici.
Il m’a reposé au sol.
• Et toi, que viens-tu faire ici, j’ai su que tu t’étais mariée et que tu avais un fils, j’ai un cousin dans ton village.
Soit sans crainte, j’ai compris que tu avais refait ta virginité et je me suis bien gardé de lui parler des débordements que tu acceptais pour avoir tes doses.
• Je suis venue pour ça !
Je m’agenouille et je sors sa verge, toujours aussi grosse.
Je le suce, ce que Sylvain au fil du temps refuse que je lui fasse.
Bien sûr, il bande et rapidement m’entraîne sur ses draps toujours aussi crades.
Je recommence à vivre dès que je me suis déshabillé et qu’il me prend en levrette, c’est sûr, j’aime les grosses queues et même celles qui me labourent me tenant fermement par les hanches.
Je retrouve ce que j’avais perdu en me mariant avec Sylvain.
J’ai un méga orgasme qui justifie ma venue.
Je suis dans son bras lui caressant la verge négligement, j’ai encore le temps d’une deuxième sailli avant de retourner prendre mon fils à la sortie de l’école et de rentrer dans cette maison, trop propre pour moi.
• Dis-moi, as-tu des nouvelles des jumeaux ?
• Hier au soir, ils étaient ici et nous jouions au poker, nous parlions de toi, eux aussi ils te regrettent.
• As-tu leur numéro ?
• Bien sûr, tu veux que je les appelle !
• Il est trop tard pour aujourd’hui, demain c’est impossible, j’ai rendez-vous, chez Gladys, c’est la coiffeuse de mon village.
Après-demain dix heures, je serai là, dis leurs que je serais prête pour que nous fassions un double anal.
J’ai fui la première fois quand j’ai entendu que Ludovic leur demandait de me faire ça, depuis je dois reconnaitre que j’en rêve.
Voilà mon histoire, j’ai cru échappé à mon destin, mais l’amour hard lorsque vous y avez goutté, c’est dur de l’oublier.
Que tous soient sans crainte, je métrise ma vie et encore ma jeunesse, un jour je redeviendrais celle que j’ai été quelques années après mon sevrage.
Surtout qu’à part le sexe de mes trois amants, il est hors de question que je touche à toutes ces drogues, même l’alcool, seules les verges seront ma déviance et je veux être lucide lorsqu’elles me défonceront.
Je sonne Sylvain mon copain et amant depuis qu’il s’est permis de me dépuceler lors de mon dernier retour dans un état lamentable.
Là, c’est pire, j’ai subi des sévices sadomasos aidés en cela par les lignes de coke que je me fourre dans le pif depuis quelques semaines.
J’aurais de la poudre blanche sur moi, je crois que je serais capable de me faire une ligne sur le trottoir à même le sol.
• Qui me réveille à cette heure ?
Ouf, Sylvain est là, qu’aurais-je fait s’il était parti à une soirée, j’ai de la chance, mon copain est un gars sérieux, il a toujours eu cette réputation dans le village.
Certains vont même jusqu’à dire qu’il pourrait devenir le maire dans les années futures.
• C’est-moi, ouvre, il faut que tu m’aides.
Certains auraient posé des questions dans l’état où je suis, lui se contente de me faire entrer dans sa chambre, là aussi, les clefs de mon logement sont restées dans ce lieu que je veux fuir afin de retrouver ma dignité.
Comme la première fois, il me met sous sa douche et fait couler l’eau.
Du sang tapisse le bac de récupération, des perles de sang coule de quelques endroits qu’Ernest a percés avec ses aiguilles et ses petites barres de fer.
• Je vais te ramener vers ta mère !
Non, trouve de la coke, je vais me relettre et je vais reprendre mes études, si ma mère apprend ce que je suis devenue, elle en mourra après tous les sacrifices qu’elle a faits pour m’élever.
• Hors de question que tu restes ici, regarde, comment tu es devenue accro à cette merde que vous vous enfilez dans le pif.
Enfile ce survêtement, je sais ce que je vais faire pour te sauver de ce que tu es devenue.
C’est ainsi qu’il me fait monter dans sa voiture garée à quelques mètres de la mienne.
• J’ai froid, trouve-moi de la poudre, je vais mourir.
• Prends se plaide sur le siège arrière et met le sur toi, je t’ai dit que je vais te débarrasser de cette saloperie.
Nous roulons, les turpitudes de la forge de l’enfer m’ont épuisé sans compter le coup de bite que j’ai prise par le veilleur de nuit.
Je sens qu’on me porte et qu’on m’installe dans un lit, pour la première fois depuis longtemps je suis bien, même si ma poudre commence à me manquer.
• Connard, tu crois que tu vas pouvoir me tenir enfermé longtemps dans cette chambre de merde, va me chercher de la coke sinon je casse tout.
Je balance la table de nuit faisant valser par là même le plateau qu’il a préparé pour que je me nourrisse.
De toute façon, je vais me suicider tellement j’ai mal, même s’il a cloué des planches sur ma fenêtre pour éviter de me suicider.
Je sais ou je suis, chez lui au milieu des vignes dans la maison dont il a hérité à la mort de ses parents.
À mon accès de colère, la deuxième depuis que je suis là, il reste d’un calme froid, il prend le plateau et sort laissant la quiche au sol.
Une fois qu’il est parti, certainement étant retourné à ses cours, la fac est somme toute assez près, je sais que je devrais rester seule toute la journée à dormir sous le tas de couvertures qu’il m’a apportées tellement mes os ont froid.
Petit à petit, sans savoir le combien on est, j’émerge de mon manque de stupéfiant.
Le sevrage se fait petit à petit et j’ai de moins en moins de périodes de tremblement et de grand froid.
Dans le même temps, les stigmates de mes débordements s’estompent, je redeviens la femme belle et jolie que j’étais avant de rencontrer Ludovic au Mac Do.
Je dois même reconnaitre que dans les derniers temps, ma chatte me laissait tranquille alors que maintenant les queues me manquent.
Depuis que je suis calme, j’ai le droit de sortir de la chambre pour aller jusqu’à la salle de bains.
C’est là qu’un soir, alors qu’il m’essuie comme tous les jours, je lui saute au cou et que nos bouches se trouvent.
Moins puissant qu’Ernest, il me prend par la main et m’entraine dans sa chambre.
Pour la première fois depuis mon sevrage et la dernière dans la voiture avec le veilleur de nuit, j’ai une verge qui me défonce.
J’ai beau faire des efforts, je reste au bord du chemin de ma jouissance, mais je sais qu’il va falloir que je me contente de ces moments où j’écarterais les cuisses pour plaire à mon mari.
J’ai refait surface dans le village et auprès de ma mère qui depuis que je suis partie me débaucher, s’est mise en couple avec Louis, un homme qu’elle a rencontré lors de la fête du village.
Tout à ses amours, s’est-elle aperçue que j’avais disparu de son paysage tout le temps où je me suis donné à Ludovic, Annabelle et autres Ernest sans oublier les jumeaux.
• Oui, je le veux !
C’est fait, je me suis mariée avec Sylvain, la boucle est faite et par mon serment je vais être la femme fidèle que je révais d’être lorsque j’étais jeune fille, pucelle de mon village.
Pour m’aider, car mon mari est loin d’être la bête de sexe que j’ai connu dans les forges, Jules vient au monde dix mois après que j’ai dit oui à ce garçon.
Dix mois me dédouanent de mes turpitudes, rapidement alors que mon mari ayant réussies ses études comparées à moi, il est nommé dans le collège dont dépend notre commune.
Tout roule jusqu’au jour où Jules entre en maternel.
J’aurais bien repris un emploi, mais deux obstacles se font jour.
Le manque d’emploi, sans la moindre expérience, sauf mon bac et mon mari concevant mal que je veuille l’aider à faire bouillir la marmite.
Sylvain lorsqu’il m’a ramené et isolé pour que je me désintoxique et retourné chercher mes affaires et ma voiture, je peux donc aller et venir à ma guise.
Un matin je dépose Jules, tous les midis, maman étant proche de l’école,c’est elle qui le récupère et le fait manger.
Dès neuf heures, je suis libre comme l’air.
Ce matin donc, les roues de ma voiture prennent la direction de la fac où tout a commencé.
J’arrive devant les forges de l’enfer, un panneau « à vendre » est apposé sur la porte, Ludovic semble avoir décidé de vendre.
C’est là que je me rends compte, que c’est une chose précise que les roues de ma voiture on prise cette direction.
Le sexe violent, le sexe pépère de Sylvain est loin de me satisfaire.
Dans un premier temps, je suis déçu, mais mes organes ont soif de défonce alors une idée le vient, Ernest.
Ma voiture se dirige vers l’étang ou était sa caravane, elle est là et lui aussi.
Il est assis sur un siège de camping, lorsqu’il me voit descendre, il se lève et je cours à lui pour lui sauté dans les bras et l’embrasser en pleine bouche.
• Es-tu allée à la forge ?
• Oui, ou est Ludovic !
• Après ton départ précipité, les ennuis leur sont tombés sur le dos.
Avec Annabelle, ils ont fui vers le Maroc où il avait une amie qui l’approvisionnait en poudre que vous vous bourriez dans le pif.
C’est ces arrivages de poudre dans un colis qui l’on trahit, la police l’a suivi et par chance lorsqu’ils ont débarqué, ils étaient ici.
Il m’a reposé au sol.
• Et toi, que viens-tu faire ici, j’ai su que tu t’étais mariée et que tu avais un fils, j’ai un cousin dans ton village.
Soit sans crainte, j’ai compris que tu avais refait ta virginité et je me suis bien gardé de lui parler des débordements que tu acceptais pour avoir tes doses.
• Je suis venue pour ça !
Je m’agenouille et je sors sa verge, toujours aussi grosse.
Je le suce, ce que Sylvain au fil du temps refuse que je lui fasse.
Bien sûr, il bande et rapidement m’entraîne sur ses draps toujours aussi crades.
Je recommence à vivre dès que je me suis déshabillé et qu’il me prend en levrette, c’est sûr, j’aime les grosses queues et même celles qui me labourent me tenant fermement par les hanches.
Je retrouve ce que j’avais perdu en me mariant avec Sylvain.
J’ai un méga orgasme qui justifie ma venue.
Je suis dans son bras lui caressant la verge négligement, j’ai encore le temps d’une deuxième sailli avant de retourner prendre mon fils à la sortie de l’école et de rentrer dans cette maison, trop propre pour moi.
• Dis-moi, as-tu des nouvelles des jumeaux ?
• Hier au soir, ils étaient ici et nous jouions au poker, nous parlions de toi, eux aussi ils te regrettent.
• As-tu leur numéro ?
• Bien sûr, tu veux que je les appelle !
• Il est trop tard pour aujourd’hui, demain c’est impossible, j’ai rendez-vous, chez Gladys, c’est la coiffeuse de mon village.
Après-demain dix heures, je serai là, dis leurs que je serais prête pour que nous fassions un double anal.
J’ai fui la première fois quand j’ai entendu que Ludovic leur demandait de me faire ça, depuis je dois reconnaitre que j’en rêve.
Voilà mon histoire, j’ai cru échappé à mon destin, mais l’amour hard lorsque vous y avez goutté, c’est dur de l’oublier.
Que tous soient sans crainte, je métrise ma vie et encore ma jeunesse, un jour je redeviendrais celle que j’ai été quelques années après mon sevrage.
Surtout qu’à part le sexe de mes trois amants, il est hors de question que je touche à toutes ces drogues, même l’alcool, seules les verges seront ma déviance et je veux être lucide lorsqu’elles me défonceront.
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