COLLECTION SM. La pute de mon père (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SM. La pute de mon père (1/1)
Quand je parle de la pute de mon père, loin de moi l’idée de parler de ma maman morte à ma naissance, mais de sa deuxième femme qu’il a épousée quand elle avait vingt ans et trente de moins que lui.
Vingt ans alors que j’en ai vingt deux et que si la vie l’avait voulu elle aurait pu devenir ma femme.
Julie est la fille de Julien et Juliette, les métayers de notre domaine.
Nous vivions dans le manoir de notre famille alors qu’elle a grandi à la lisière de la forêt dans une masure que mon père leur louait fort chère.
C’est quand j’ai vu cette gamine venir sans en avoir l’air tourner auprès de mon père que je suis parti vivre en Angleterre dans un ferme que nous avions héritée de nos grands-parents maternels.
J’ai émis des doutes sur le but que la petite recherchait avec ses jolies boucles blondes et ses yeux bleus, il faut dire qu’il y avait des faux airs de ma mère dans son joli minois.
J’ai compris que mon père craquerait et qu’en devenant son épouse, elle me dépouillerait de la moitié de la succession venant de maman.
J’étais tranquillement en train de me faire sucer dans mon fauteuil quand un télégramme m’a été apporté.
Je suis un peu comme mon géniteur, je suis porté sur le beau sexe.
Si c’est la fille des métayers qu’il a baisée avant de l’épouser, moi, c’est la fille de l’épicière qui prépare son trousseau à quelques mois de ses noces avec sa bouche qui est avec moi.
Elle s’appelle Antoinette, Toinette pour ses intimes.
Un jour qu’elle venait livrer mes besoins pour la semaine, je lui ai payé un Porto ce qui l'a à moitié bourrée.
Si je m’étais écouté, j’aurais pu la dépuceler sur la table de ma salle à manger mais je suis un homme d’honneur aussi je me suis contenté de lui donner quelques livres pour qu’elle me soulage les couilles en suçant et avalant mon sperme.
C’est là qu’elle m’a parlé de son trousseau, je lui ai fait une proposition malhonnête qu’elle s’est empressée d’accepter : chaque semaine si elle me suçait et avalait mon sperme, je m’engageais à conserver sa virginité, tout en l’aidant à monter son trousseau.
Il faut dire que son galant était d’origine italienne et si au soir de ses noces les draps étaient sans les traces de son sang, la petite risquait de se retrouver exclue de leur famille jusqu’à sa mort et conduite dans un endroit où personne n’aurait plus entendu parler d’elle.
J’aurais pu lui prendre l’anus comme de nombreuses gourgandines le font pour éviter leur déchéance, mais la "boite à caca" de cette petite était loin de me faire envie.
Le télégramme venait du notaire de la famille.
« Père décédé, enterrement dans trois jours à 15 heures, à l’issue de la cérémonie, j’ouvrirai son testament. »
Mon premier réflexe a été de renvoyer un message disant que j’étais bien chez moi, mais j’ai eu des inquiétudes que la salope ait réussi à lui prendre tout jusqu’à la maison de ma maman que j’habite en Angleterre.
Je préviens donc mes propres métayers dont la femme d’une cinquantaine d’année qui entretient ma maison que je pars sur le continent, mon père étant mort.
La salope a dû subir mon vieux beau de père pendant dix ans depuis que je suis parti ce qui pour hériter est un temps très court.
Si la fortune de ma famille était son but, elle a assez bien calculé.
Train puis taxi, ma valise à la main, je débarque chez mon père et surtout chez ma belle-mère.
Julie est invisible, mon père a été emmené au funérarium de notre canton.
J’aurais été présent, en attendant les obsèques, j’aurais imposé qu’il soit placé dans la crypte sous la maison à température constante, aidant à conserver un corps sans qu’il subisse l’accélération du pourrissement dû à la chaleur.
Je retrouve ma chambre et je rencontre Julie cinq minutes seulement avant le début des obsèques.
Elle a revêtu une robe noire avec bas noirs et bottines noires elles aussi, le tout agrémenté d’un chapeau avec voilette qu’elle soulève pour se passer un mouchoir sur les yeux.
Je m’aperçois, dès qu’elle vient dans mes bras plaquer ses seins qu’ils se sont bien développés depuis ces dernières dix années.
Elle feint une grande souffrance, car je vois que ses yeux sont maquillés et que chaque fois que le mouchoir ressort, il est sec sans la moindre trace de rimmel.
- Charles-Antoine, te voilà, je me suis demandé si tu ferais le voyage, j’ai tout préparé pour que ton père soit le mieux traité du monde, nous allons l’enterrer au cimetière du village où j’ai acheté une concession à perpétuité.
- Comment, père sera inhumé avec les gens du peuple et non dans notre crypte ?
- Surtout pas, Charles-Antoine, vivre au-dessus de celui qui vous a aimé plus que tout m’était impossible à supporter, tu verras j’ai fait un caveau en béton conservant parfaitement son corps.
Je suis bien décidé à reprendre les choses en main et ramener père sur son domaine.
Je laisse faire dans un premier temps en attendant de voir jusqu’où vont les dégâts quand je rencontrerais le notaire tout à l’heure.
Le défunt étant dans sa dernière demeure provisoire, nous rejoignons l’étude.
Deux héritiers, deux personnes.
Julie a enlevé son chapeau et a ouvert son corsage comme si elle se remettait sur le marché avec ses cheveux blonds et ses yeux bleus qui ont fait craquer mon père.
Sur la partie visible de son sein, grâce à un décolleté qui lui va bien, je vois une trace rouge, une marque comme si une branche l’avait frappé.
- Bien, voilà, c’est assez court, et tout à fait légal en rapport des parts de chacun et de la répartition qu’il en a faite.
À vous madame Julie, le manoir français avec la totalité des terres qui l’entourent ainsi que les fermages.
Quant à vous monsieur Charles-Antoine, le cottage où vous habitez en Angleterre avec les terres et ses fermages.
J’en étais sûr, elle récupère une grosse part du gâteau, les biens Français ont bien plus de valeur que ceux de l’autre côté de la Manche.
Mais j’ai sauvé mes biens et mes habitudes en Angleterre, je suis globalement satisfait.
- Il y a une close supplémentaire, j’avais dit à votre père que c’était un risque de conflit, mais il a tenu à la maintenir.
Madame Julie, monsieur Charles-Antoine devra tenir à votre disposition une chambre dans sa maison anglaise où vous pourrez venir quand vous le voudrez avec le couvert bien sûr.
Quant à vous monsieur Charles-Antoine vous aurez la même jouissance dans le manoir où vous êtes né et où il y a la crypte dans laquelle votre mère est inhumée.
Bien sur madame Julie, vous lui devez le couvert.
- C’est scandaleux, je l’ai veillé jusqu’à sa mort et il faut que je subisse son fils.
- Madame, il est difficile de toujours gagner, je plains Charles-Antoine quand il devra vous récupérer lorsque vous déciderez de prendre des vacances dans la perfide Albion.
- Aller vivre dans la boue anglaise, au milieu de moutons, très peu pour moi.
- Eh bien moi, je vais profiter dès aujourd’hui de quelques jours de vacances auprès de ma maman.
La crypte, en été, c’est super pour éviter les grandes chaleurs, de plus Julie, je suis sûr que tu as des secrets et je les découvrirai.
Tout se passe relativement bien pendant les huit premiers jours, elle descend de sa chambre seulement pour manger quand moi je suis remonté dans la mienne.
Le repas toujours très agréable étant préparé par une gouvernante que je ne n’avais jamais vu.
Ce soir nous avons joué le même jeu, à qui se cache de l’autre.
La chaleur est si étouffante que je regarde la nuit tomber et les éclairs zébrer le ciel. Depuis mon balcon, je vois une ombre sortir de la maison.
Rapidement cette ombre devient une femme qui semble être Julie, elle s’engouffre dans le garage.
Après avoir fait basculer la porte, je la vois partir au volant de la Jaguar de mon père.
Je descends quatre à quatre, je prends sa Harley qu’il prenait le dimanche quand il faisait beau, rattrapant facilement la Jaguar crème que je suis à distance.
Nous parcourons plus de dix kilomètres sous la menace de l’orage qui monte.
Je la vois tourner à droite et prendre un chemin plus étroit.
À l’intersection, il y a un panneau qui indique « Club Privé » en lettres lumineuses, je roule au ralenti.
Devant une grosse bâtisse, la Jag est garée sur la partie arrière, je vois Julie entrer.
Je vais voir, c’est une porte certainement à accès réduit car aucune poignée ne permet d’essayer d’entrer, c’est faisable seulement avec une clef.
Je me glisse sur l’avant, juste au moment où un couple se présente. Je les suis, faisant croire que je suis avec eux, mon stratagème marche, j’arrive à entrer.
À l’intérieur, la lumière est rouge, une femme se tient derrière une table.
- Êtes-vous accompagné ?
- Je suis avec les gens qui viennent de franchir le rideau, je peux entrer ?
- Vous êtes recommandé par quelqu’un ici ?
Une idée me vient même si elle est tordue.
- Je vis avec la dame qui vient de rentrer par l’arrière.
- Vous connaissez Rosa la patronne, vous êtes sûr que vous la connaissez ?
- Elle a dû reprendre le boulot ce soir après avoir perdu son mari, il y a quelques jours.
- Je suis le fils de Gaspard.
- Évitez les vrais noms, ici il se faisait appeler Démoniaque.
Si c’était votre père vous pouvez entrer gratuitement.
Pouvez-vous me dire ou vous habiter afin que je sois sûr que vous êtes le fils que vous prétendez être.
Votre père nous parlait souvent de vous.
- Je suis Charles-Antoine, je vis en Angleterre, je suis venu pour son enterrement.
Ces cagoules que vous avez derrière vous, elles sont à vendre ?
- Oui, pour vous en voilà une à votre taille, vous me la rendrez en ressortant.
Je mets la cagoule et j’entre.
La salle où j’ai accès est composée d’un bar au fond et d’une pièce ou divers appareils de tortures trônent, principalement une immense croix en bois avec, à chaque extrémité, des menottes.
Je m’installe au bar où plusieurs personnes dont le couple boivent principalement du champagne, je commande une coupe quand la sono crache une phrase qui m’interpelle.
- De retour parmi nous, celle qui a fait le succès de notre club, Rosa avec pour remplacer Démoniaque, Belzébuth.
Julie entre avec sur son corps quelques lanières de cuir qui mettent en valeur ses seins que pour la première fois je vois.
Ils sont très développés, de vrais mappemondes gonflées, avec des pointes brunes comme de petites bites.
Belzébuth l’attache par les mains et les jambes, il lui place une boule à bouche et prenant un chat à neuf queues, il fait mine de frapper.
Les premiers coups arrivent mollement sur les seins de ma belle-mère puis les coups deviennent de plus en plus forts.
Je comprends d’où vient la marque que j’ai vue sur son sein chez le notaire, elle est maso et elle aime souffrir.
Père devait être son formateur et je comprends mieux pourquoi il l’avait épousé.
Julie, Rosa ici, était dominée par l’homme que je finis par entrevoir différemment de celui que je connaissais.
Mon père était Gaspard au manoir et Démoniaque ici.
Il était un sadique qui aimait faire souffrir les femmes.
Ma mère en faisait-elle parti ?
Il est vrai que j’ai entendu dire qu’elle avait été élevée dans un institut anglais et quand on connaît les sévices corporels de ces instituts, on peut le penser.
Les coups sont de plus en plus forts, la petite semble aimer, malgré la boule l’empêchant de hurler.
J’ai mal pour elle et au moment où il la détache, je sors, j’ai le moyen de reprendre la main sur elle.
Bien sûr, je tais le fait d’avoir trouvé le secret de ma belle-mère pour prendre l’avantage.
Dans les huit jours suivants, je prépare ma vengeance, jusqu’au jour où, avant d’aller se faire martyriser, elle mange un repas légèrement empli de somnifère.
Quelques minutes après, j’entre dans la cuisine où elle s’est endormie.
Je la prends sur mon épaule et la descends dans la crypte où j’ai fixé des chaînes au plafond avec un palan pouvant soulever son corps.
Ce transport est très jouissif pour moi, j’ai ma main sur son fessier et ses seins sont appuyés sur mon épaule.
Je l’attache et pour l’aider à se réveiller, je fais couler de la cire sur ses seins dénudés.
Je vais m’occuper de la salope qui a voulu me voler mon héritage.
Ici contrairement au club, elle peut hurler je m’en fiche.
Elle émerge et me voit.
- Charles-Antoine, que me veux-tu ?
- Que tu me rendes mon héritage.
- Tu es fou, plutôt crever.
Le premier coup de fouet vient atteindre sa chatte.
Elle a les lèvres assez longues et comme elle a rasé ses poils, sa fente est très visible.
- Tu aimes, je t’ai vu dans ton club, pourquoi le notaire me l’a caché ?
- Frappe-moi, ton père m’a initié à la douleur et rien ne me fera céder.
- Et si je te baisais ?
- Là encore plante moi ta bite, je t’ai vu au club, tu es parti avant la partie final de notre numéro.
Ton père avant et le gérant que j’ai placé pour diriger la boite maintenant m’a mis leur bite là ou j’adore que l’on me la mette.
J’aime souffrir, mais j’aime aussi être baiser.
- Si je t’épouse, on se retrouve à arme égal et c’est moi qui vais te faire souffrir.
- Montre-moi ce que tu sais faire, si tu es aussi bon que Gaspard, j’accepte de t’épouser.
Quand je venais chez ton père, au début c’est de toi que j’étais amoureuse.
C’est comme cela que je suis revenu chez moi.
Julie attend notre enfant, un mâle, j’espère, afin de prolonger notre lignée et l’œuvre de mon père.
Je viens de découvrir, que comme lui, je suis de tendance sado, ma femme de tendance maso, on ne peut que s’entendre.
Rosa ne pouvant assumer son spectacle, quand j’entre sur scène, c’est la femme qui était rentrée devant moi la première fois, que je fouette régulièrement devant son mari.
Et après la naissance de notre fils, lors d’un fouettage plutôt sévère, j’ai obtenu que père rejoigne maman dans la crypte.
Il faut savoir qui tient la culotte dans notre couple.
Corrigé par Anne, merci de sa participation.
Vingt ans alors que j’en ai vingt deux et que si la vie l’avait voulu elle aurait pu devenir ma femme.
Julie est la fille de Julien et Juliette, les métayers de notre domaine.
Nous vivions dans le manoir de notre famille alors qu’elle a grandi à la lisière de la forêt dans une masure que mon père leur louait fort chère.
C’est quand j’ai vu cette gamine venir sans en avoir l’air tourner auprès de mon père que je suis parti vivre en Angleterre dans un ferme que nous avions héritée de nos grands-parents maternels.
J’ai émis des doutes sur le but que la petite recherchait avec ses jolies boucles blondes et ses yeux bleus, il faut dire qu’il y avait des faux airs de ma mère dans son joli minois.
J’ai compris que mon père craquerait et qu’en devenant son épouse, elle me dépouillerait de la moitié de la succession venant de maman.
J’étais tranquillement en train de me faire sucer dans mon fauteuil quand un télégramme m’a été apporté.
Je suis un peu comme mon géniteur, je suis porté sur le beau sexe.
Si c’est la fille des métayers qu’il a baisée avant de l’épouser, moi, c’est la fille de l’épicière qui prépare son trousseau à quelques mois de ses noces avec sa bouche qui est avec moi.
Elle s’appelle Antoinette, Toinette pour ses intimes.
Un jour qu’elle venait livrer mes besoins pour la semaine, je lui ai payé un Porto ce qui l'a à moitié bourrée.
Si je m’étais écouté, j’aurais pu la dépuceler sur la table de ma salle à manger mais je suis un homme d’honneur aussi je me suis contenté de lui donner quelques livres pour qu’elle me soulage les couilles en suçant et avalant mon sperme.
C’est là qu’elle m’a parlé de son trousseau, je lui ai fait une proposition malhonnête qu’elle s’est empressée d’accepter : chaque semaine si elle me suçait et avalait mon sperme, je m’engageais à conserver sa virginité, tout en l’aidant à monter son trousseau.
Il faut dire que son galant était d’origine italienne et si au soir de ses noces les draps étaient sans les traces de son sang, la petite risquait de se retrouver exclue de leur famille jusqu’à sa mort et conduite dans un endroit où personne n’aurait plus entendu parler d’elle.
J’aurais pu lui prendre l’anus comme de nombreuses gourgandines le font pour éviter leur déchéance, mais la "boite à caca" de cette petite était loin de me faire envie.
Le télégramme venait du notaire de la famille.
« Père décédé, enterrement dans trois jours à 15 heures, à l’issue de la cérémonie, j’ouvrirai son testament. »
Mon premier réflexe a été de renvoyer un message disant que j’étais bien chez moi, mais j’ai eu des inquiétudes que la salope ait réussi à lui prendre tout jusqu’à la maison de ma maman que j’habite en Angleterre.
Je préviens donc mes propres métayers dont la femme d’une cinquantaine d’année qui entretient ma maison que je pars sur le continent, mon père étant mort.
La salope a dû subir mon vieux beau de père pendant dix ans depuis que je suis parti ce qui pour hériter est un temps très court.
Si la fortune de ma famille était son but, elle a assez bien calculé.
Train puis taxi, ma valise à la main, je débarque chez mon père et surtout chez ma belle-mère.
Julie est invisible, mon père a été emmené au funérarium de notre canton.
J’aurais été présent, en attendant les obsèques, j’aurais imposé qu’il soit placé dans la crypte sous la maison à température constante, aidant à conserver un corps sans qu’il subisse l’accélération du pourrissement dû à la chaleur.
Je retrouve ma chambre et je rencontre Julie cinq minutes seulement avant le début des obsèques.
Elle a revêtu une robe noire avec bas noirs et bottines noires elles aussi, le tout agrémenté d’un chapeau avec voilette qu’elle soulève pour se passer un mouchoir sur les yeux.
Je m’aperçois, dès qu’elle vient dans mes bras plaquer ses seins qu’ils se sont bien développés depuis ces dernières dix années.
Elle feint une grande souffrance, car je vois que ses yeux sont maquillés et que chaque fois que le mouchoir ressort, il est sec sans la moindre trace de rimmel.
- Charles-Antoine, te voilà, je me suis demandé si tu ferais le voyage, j’ai tout préparé pour que ton père soit le mieux traité du monde, nous allons l’enterrer au cimetière du village où j’ai acheté une concession à perpétuité.
- Comment, père sera inhumé avec les gens du peuple et non dans notre crypte ?
- Surtout pas, Charles-Antoine, vivre au-dessus de celui qui vous a aimé plus que tout m’était impossible à supporter, tu verras j’ai fait un caveau en béton conservant parfaitement son corps.
Je suis bien décidé à reprendre les choses en main et ramener père sur son domaine.
Je laisse faire dans un premier temps en attendant de voir jusqu’où vont les dégâts quand je rencontrerais le notaire tout à l’heure.
Le défunt étant dans sa dernière demeure provisoire, nous rejoignons l’étude.
Deux héritiers, deux personnes.
Julie a enlevé son chapeau et a ouvert son corsage comme si elle se remettait sur le marché avec ses cheveux blonds et ses yeux bleus qui ont fait craquer mon père.
Sur la partie visible de son sein, grâce à un décolleté qui lui va bien, je vois une trace rouge, une marque comme si une branche l’avait frappé.
- Bien, voilà, c’est assez court, et tout à fait légal en rapport des parts de chacun et de la répartition qu’il en a faite.
À vous madame Julie, le manoir français avec la totalité des terres qui l’entourent ainsi que les fermages.
Quant à vous monsieur Charles-Antoine, le cottage où vous habitez en Angleterre avec les terres et ses fermages.
J’en étais sûr, elle récupère une grosse part du gâteau, les biens Français ont bien plus de valeur que ceux de l’autre côté de la Manche.
Mais j’ai sauvé mes biens et mes habitudes en Angleterre, je suis globalement satisfait.
- Il y a une close supplémentaire, j’avais dit à votre père que c’était un risque de conflit, mais il a tenu à la maintenir.
Madame Julie, monsieur Charles-Antoine devra tenir à votre disposition une chambre dans sa maison anglaise où vous pourrez venir quand vous le voudrez avec le couvert bien sûr.
Quant à vous monsieur Charles-Antoine vous aurez la même jouissance dans le manoir où vous êtes né et où il y a la crypte dans laquelle votre mère est inhumée.
Bien sur madame Julie, vous lui devez le couvert.
- C’est scandaleux, je l’ai veillé jusqu’à sa mort et il faut que je subisse son fils.
- Madame, il est difficile de toujours gagner, je plains Charles-Antoine quand il devra vous récupérer lorsque vous déciderez de prendre des vacances dans la perfide Albion.
- Aller vivre dans la boue anglaise, au milieu de moutons, très peu pour moi.
- Eh bien moi, je vais profiter dès aujourd’hui de quelques jours de vacances auprès de ma maman.
La crypte, en été, c’est super pour éviter les grandes chaleurs, de plus Julie, je suis sûr que tu as des secrets et je les découvrirai.
Tout se passe relativement bien pendant les huit premiers jours, elle descend de sa chambre seulement pour manger quand moi je suis remonté dans la mienne.
Le repas toujours très agréable étant préparé par une gouvernante que je ne n’avais jamais vu.
Ce soir nous avons joué le même jeu, à qui se cache de l’autre.
La chaleur est si étouffante que je regarde la nuit tomber et les éclairs zébrer le ciel. Depuis mon balcon, je vois une ombre sortir de la maison.
Rapidement cette ombre devient une femme qui semble être Julie, elle s’engouffre dans le garage.
Après avoir fait basculer la porte, je la vois partir au volant de la Jaguar de mon père.
Je descends quatre à quatre, je prends sa Harley qu’il prenait le dimanche quand il faisait beau, rattrapant facilement la Jaguar crème que je suis à distance.
Nous parcourons plus de dix kilomètres sous la menace de l’orage qui monte.
Je la vois tourner à droite et prendre un chemin plus étroit.
À l’intersection, il y a un panneau qui indique « Club Privé » en lettres lumineuses, je roule au ralenti.
Devant une grosse bâtisse, la Jag est garée sur la partie arrière, je vois Julie entrer.
Je vais voir, c’est une porte certainement à accès réduit car aucune poignée ne permet d’essayer d’entrer, c’est faisable seulement avec une clef.
Je me glisse sur l’avant, juste au moment où un couple se présente. Je les suis, faisant croire que je suis avec eux, mon stratagème marche, j’arrive à entrer.
À l’intérieur, la lumière est rouge, une femme se tient derrière une table.
- Êtes-vous accompagné ?
- Je suis avec les gens qui viennent de franchir le rideau, je peux entrer ?
- Vous êtes recommandé par quelqu’un ici ?
Une idée me vient même si elle est tordue.
- Je vis avec la dame qui vient de rentrer par l’arrière.
- Vous connaissez Rosa la patronne, vous êtes sûr que vous la connaissez ?
- Elle a dû reprendre le boulot ce soir après avoir perdu son mari, il y a quelques jours.
- Je suis le fils de Gaspard.
- Évitez les vrais noms, ici il se faisait appeler Démoniaque.
Si c’était votre père vous pouvez entrer gratuitement.
Pouvez-vous me dire ou vous habiter afin que je sois sûr que vous êtes le fils que vous prétendez être.
Votre père nous parlait souvent de vous.
- Je suis Charles-Antoine, je vis en Angleterre, je suis venu pour son enterrement.
Ces cagoules que vous avez derrière vous, elles sont à vendre ?
- Oui, pour vous en voilà une à votre taille, vous me la rendrez en ressortant.
Je mets la cagoule et j’entre.
La salle où j’ai accès est composée d’un bar au fond et d’une pièce ou divers appareils de tortures trônent, principalement une immense croix en bois avec, à chaque extrémité, des menottes.
Je m’installe au bar où plusieurs personnes dont le couple boivent principalement du champagne, je commande une coupe quand la sono crache une phrase qui m’interpelle.
- De retour parmi nous, celle qui a fait le succès de notre club, Rosa avec pour remplacer Démoniaque, Belzébuth.
Julie entre avec sur son corps quelques lanières de cuir qui mettent en valeur ses seins que pour la première fois je vois.
Ils sont très développés, de vrais mappemondes gonflées, avec des pointes brunes comme de petites bites.
Belzébuth l’attache par les mains et les jambes, il lui place une boule à bouche et prenant un chat à neuf queues, il fait mine de frapper.
Les premiers coups arrivent mollement sur les seins de ma belle-mère puis les coups deviennent de plus en plus forts.
Je comprends d’où vient la marque que j’ai vue sur son sein chez le notaire, elle est maso et elle aime souffrir.
Père devait être son formateur et je comprends mieux pourquoi il l’avait épousé.
Julie, Rosa ici, était dominée par l’homme que je finis par entrevoir différemment de celui que je connaissais.
Mon père était Gaspard au manoir et Démoniaque ici.
Il était un sadique qui aimait faire souffrir les femmes.
Ma mère en faisait-elle parti ?
Il est vrai que j’ai entendu dire qu’elle avait été élevée dans un institut anglais et quand on connaît les sévices corporels de ces instituts, on peut le penser.
Les coups sont de plus en plus forts, la petite semble aimer, malgré la boule l’empêchant de hurler.
J’ai mal pour elle et au moment où il la détache, je sors, j’ai le moyen de reprendre la main sur elle.
Bien sûr, je tais le fait d’avoir trouvé le secret de ma belle-mère pour prendre l’avantage.
Dans les huit jours suivants, je prépare ma vengeance, jusqu’au jour où, avant d’aller se faire martyriser, elle mange un repas légèrement empli de somnifère.
Quelques minutes après, j’entre dans la cuisine où elle s’est endormie.
Je la prends sur mon épaule et la descends dans la crypte où j’ai fixé des chaînes au plafond avec un palan pouvant soulever son corps.
Ce transport est très jouissif pour moi, j’ai ma main sur son fessier et ses seins sont appuyés sur mon épaule.
Je l’attache et pour l’aider à se réveiller, je fais couler de la cire sur ses seins dénudés.
Je vais m’occuper de la salope qui a voulu me voler mon héritage.
Ici contrairement au club, elle peut hurler je m’en fiche.
Elle émerge et me voit.
- Charles-Antoine, que me veux-tu ?
- Que tu me rendes mon héritage.
- Tu es fou, plutôt crever.
Le premier coup de fouet vient atteindre sa chatte.
Elle a les lèvres assez longues et comme elle a rasé ses poils, sa fente est très visible.
- Tu aimes, je t’ai vu dans ton club, pourquoi le notaire me l’a caché ?
- Frappe-moi, ton père m’a initié à la douleur et rien ne me fera céder.
- Et si je te baisais ?
- Là encore plante moi ta bite, je t’ai vu au club, tu es parti avant la partie final de notre numéro.
Ton père avant et le gérant que j’ai placé pour diriger la boite maintenant m’a mis leur bite là ou j’adore que l’on me la mette.
J’aime souffrir, mais j’aime aussi être baiser.
- Si je t’épouse, on se retrouve à arme égal et c’est moi qui vais te faire souffrir.
- Montre-moi ce que tu sais faire, si tu es aussi bon que Gaspard, j’accepte de t’épouser.
Quand je venais chez ton père, au début c’est de toi que j’étais amoureuse.
C’est comme cela que je suis revenu chez moi.
Julie attend notre enfant, un mâle, j’espère, afin de prolonger notre lignée et l’œuvre de mon père.
Je viens de découvrir, que comme lui, je suis de tendance sado, ma femme de tendance maso, on ne peut que s’entendre.
Rosa ne pouvant assumer son spectacle, quand j’entre sur scène, c’est la femme qui était rentrée devant moi la première fois, que je fouette régulièrement devant son mari.
Et après la naissance de notre fils, lors d’un fouettage plutôt sévère, j’ai obtenu que père rejoigne maman dans la crypte.
Il faut savoir qui tient la culotte dans notre couple.
Corrigé par Anne, merci de sa participation.
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