COLLECTION SM. On s’est aimé à 16 ans (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2394 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 986 027 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-04-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 6 574 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION SM. On s’est aimé à 16 ans (3/3)
• Encore, encore, encore, oui encore.
C’est fait , je suis en train de passer dans le camp des sados comme Jade fait partie du clan des masos pour y arriver.
Je suis passé dans ce cap de ceux qui flagellent les femmes pour leur soi-disant plaisir.
Je frappe de plus en plus fort.
Les lanières s’enroulent autour du corps que j’ai commencé à fouetter.
Au bruit des lanières, mais surtout des boules de bois, sur les piercings accrochés à son vagin, je sais que j’ai atteint sa chatte.
Son corps se tord, j’ai dû lui faire bien mal, mais je frappe, encore, encore et encore.
J’en ai mal au bras et son magnifique corps se couvre de zébrures et de traces rouges.
C’est sur demain, elle sera marquée.
D’un seul coup, les encore s’arrêtent, je me rends compte qu’elle a tourné de l’œil.
Je pose mon chat avec ses neuf queues, je bande comme jamais.
Je vais pour la détacher, la prenant dans les bras.
C’est d’un souffle qu’elle me dit.
• Non, baise-moi, oui par-derrière.
Ah, c’est bon, pilonne-moi, met moi bien à fond.
Encore, encore, oui encore.
J’adore retrouver ses encore.
Une fraction de seconde j’ai cru que son corps avait arrêté de vivre.
Comment retransmettre le bruit que tout son corps fait quand elle part dans un plaisir, un orgasme, puis deux et encore trois ?
Si Jade explose, moi je pars en vrille, expulsant mon sperme comme jamais en de longs traits qui semblent inépuisables.
Je finis par la détacher, j’ignorais que j’étais capable de tant de violence.
J’ignorais que l’on pouvait jouir si fort après tant de violence.
• Il faut que je retourne à l’auberge afin de dormir un peu.
Demain, je pars de bonne heure, j’ai un rendez-vous en début d’après-midi à Lyon dans mes bureaux.
• Je vais retourner dans ma cage pour attendre mon maître et continuer ma vie avec le plaisir de la douleur, mais le cœur sec de notre amour.
Nous sommes assis sous les chaînes et bracelets source de ses plaisirs et du mien par contrecoup.
Je lui caresse le visage et pour la première fois depuis des années, je l’embrasse retrouvant ma tendresse.
Elle me rend mon baiser, devant nous je vois une cage ouverte avec une gamelle.
• Je vois que tu regardes ma cage, c’est là que je vis hors de mon travail.
• Je te le promets.
Je vais te faire une autre promesse Jade, attends-moi, je vais revenir.
• Tire la porte derrière toi, évite les promesses que tu seras bien incapable de tenir.
Elle quitte mes bras et c’est à quatre pattes que je vois son joli cul zébré de mille couleurs rejoindre son lieu de vie.
Je me lève, m’habille et récupère mon portable.
Dans ma voiture, je la regarde, comment peut-on accepter autant de violence.
Le temps passe, mais je reste loin d’être inactif, je veux donner à Jade l’amour qu’elle mérite même si cela doit passer par de la violence sexuelle.
Huit moi plus tard, j’arrête ma voiture devant la maison de la forêt.
Un gros camion se trouve devant.
Celui qu’elle appelle, son maître est là, j’ai tout prévu ce dimanche, je sais que le supermarché est fermé, car je suis passé devant.
J’ai dans ma poche un beretta, que l’on soit rassuré, un jouet, mais réplique exact.
C’est un vulgaire allume-cigarette, mais pour qui l’ignore il fait illusion, surtout quand je vais me retrouver devant un conducteur de poids lourds avec des bras comme des jambons.
Je frappe, du bruit, on ouvre.
Je manque d’éclater de rire, un avorton, cinquante kilos tout au plus, cinquante-cinq maxis avec des bras moins gros que mes poignets.
C’est ce petit machin qui a su satisfaire ma reine, ma princesse, la femme de ma vie.
• Ou est-elle ?
• Qui ?
Je l’ai saisi par le col de sa chemise et je le lève sans difficulté.
• Celle que tu m’as volée en trouvant, comment la satisfaire.
• Vous êtes Gabriel, celui qui est venu il y a quelques mois, dès que je suis rentré, j’ai vu quel me cachait quelque chose, elle m’a dit que vous l’aviez fouetté et baisé.
Vous avez vu la chienne que j’en ai faite.
• Ou est-elle ?
• Dans sa pièce, dans sa cage.
Je le repose et je le pousse vers la porte.
Inutile de sortir mon Colt, deux baffes et je vais le calmer, mais il avance sans rechigner.
Il ouvre la porte, elle est là, mais un cadenas est en place.
• Ouvre.
• Gabriel, c’est toi.
• Je t’avais promis de revenir, me voilà si tu le désires bien sûr.
Si tu me suis, j’ai une surprise pour toi !
Il ouvre, elle sort de cette cage où il lui est impossible de tenir debout.
Elle me saute au cou.
Elle est nue et je reçois ses seins contre moi.
Prépare-toi un sac avec tes produits d’hygiène, pour le reste, nous irons refaire ta garde-robe, inutile de t’encombrer.
Cinq minutes et elle est prête, son soi-disant maître est assis dans la salle les mains sur sa tête.
• Tu as déjà la cage, cherche-toi une autre femme à soumettre, je suis le nouveau maître de Jade et ce pour la vie.
• Oui, Gabriel, tu es mon maître.
Nous prenons la route, elle a une jolie robe qui lui arrive au bord de la chatte.
• Ou m’emmènes-tu !
• Tu verras, dans le sud.
Je trouve ce que je cherche, ma main attaque le premier joujou posé sur sa chatte.
Un à un, je lui enlève et je les jette par la fenêtre.
De nouveau son vagin est libéré.
À son tour, elle me caresse la queue me faisant bander.
Nous traversons un bois, je m’arrête dans un petit chemin.
Inutile de risquer l’accident.
Elle a sorti ma verge et me fait une fellation.
Baiser dans une voiture, même confortable et spacieuse, c’est la première fois que je le fais.
• Oui, claque-moi simplement les fesses, tu avais promis de revenir, j’avais presque cru que tu m’avais abandonnée.
Je percute les fesses de la femme de ma vie à m’en faire mal à la main, mais pour son bon plaisir.
Nous reprenons notre route et nous arrivons dans le massif de la sainte Beaume où j’ai acheté une propriété ou j’ai fait aménager l’habitat et la bergerie voisine.
Ce qui m’a intéressé, c’est son relatif isolement et la qualité de son bâtiment principal. J’avais en vue l’achat de ce bien avant de retrouver Jade et le pourquoi de son abandon lors de notre jeunesse.
La possibilité d’aménagement de la bergerie pour celle que je ramène et qui pourra pleinement trouver les plaisirs qu’elle m’a fait découvrir lors de ma visite dans notre pays d’origine m’a fait accélérer son acquisition.
Enfin, certes, la piscine m’intéressait dans cette région de chaleur, mais pour finir un mur d’enceinte avec système de surveillance, a emporté mon adhésion à son acquisition.
Pour vivre heureuse, je tiens à la tenir cachée à ses envies que j’espère lui apporter.
• Gabriel, C’est toi qui as fait installer cette salle dans ce vieux bâtiment ?
Tu as compris mes envies et mes besoins.
Que dire de plus, dans les jours qui suivent, Jade profite pleinement du matériel principalement allemand que j’ai fait venir et que j’ai fait installer ?
Pilori, croix, palan comme chez son avorton se prenant pour un maître.
Ce que j’ai interdit à Jade, ce sont les planches pour se clouer les seins au risque de problème grave pour la future naissance de notre enfant dont nous parlons de plus en plus souvent.
Dans sa bergerie, elle peut prendre son plaisir dans que le moindre voisin apprenne que ma future est maso et que je suis devenu sado, seulement pour la garder près de moi.
J’ai ma boîte d’architecture à Lyon que je gère par télétravail et seulement les lundis et vendredis sur place.
Bébé est attendu, car Jade a arrêté sa contraception et mon fils est attendu dans les jours prochains.
Bien sûr, les fouets et autres cravaches restent dans leur râtelier.
J’ai moi-même ôté les piercings des seins de la future maman, car mon petit aurait du mal à téter sa mère avec ces petits bouts de métal.
Il est né, beau bébé de 3 kilos 4.
J’adore regarder Jade l’allaiter lorsque je suis présent.
Nous avons commencé d’en faire un bébé nageur, il adore l’eau.
Ce lundi je pars vers Lyon avec regret surtout que je dois aller en avion à Rome pour un nouveau contrat.
Je dois rester quatre jours.
Le jeudi, je suis de retour.
Ils sont les deux à m’attendre.
Près de la piscine, les restes d’un feu ont dû être allumés.
• Gabriel, viens, j’ai fait quelques changements dans ma bergerie.
Je la suis et la porte ouverte, quelle transformation, plus aucun objet de torture.
Je vois tout de suite à quoi cette salle derrière sa baie vitrée que j’avais fait poser avec un rideau va servir et ou son passer tout ce dont elle avait besoin pour son plaisir.
Tout ce qu’il faut pour pouvoir faire ce qu’elle aimait quand je l’ai rencontré.
Sur un chevalet, une toile avec un début de la vue que l’on a avec la pente de la sainte Beaume.
• Ma chérie, es-tu sûr ?
• Oui, je le suis.
• Tu seras un peintre célèbre avec ton talent et les magnifiques paysages qui nous entourent.
Sa réponse est claire, je suis dans un transat, les deux sont en train de jouer dans l’eau.
Mon fils a transformé Jade de femelle avide de sexe en une mère aimante même pour moi, car elle a fini de dire que je suis trop doux.
Ai-je gagné au change ?
L’avenir nous le dira.
C’est fait , je suis en train de passer dans le camp des sados comme Jade fait partie du clan des masos pour y arriver.
Je suis passé dans ce cap de ceux qui flagellent les femmes pour leur soi-disant plaisir.
Je frappe de plus en plus fort.
Les lanières s’enroulent autour du corps que j’ai commencé à fouetter.
Au bruit des lanières, mais surtout des boules de bois, sur les piercings accrochés à son vagin, je sais que j’ai atteint sa chatte.
Son corps se tord, j’ai dû lui faire bien mal, mais je frappe, encore, encore et encore.
J’en ai mal au bras et son magnifique corps se couvre de zébrures et de traces rouges.
C’est sur demain, elle sera marquée.
D’un seul coup, les encore s’arrêtent, je me rends compte qu’elle a tourné de l’œil.
Je pose mon chat avec ses neuf queues, je bande comme jamais.
Je vais pour la détacher, la prenant dans les bras.
C’est d’un souffle qu’elle me dit.
• Non, baise-moi, oui par-derrière.
Ah, c’est bon, pilonne-moi, met moi bien à fond.
Encore, encore, oui encore.
J’adore retrouver ses encore.
Une fraction de seconde j’ai cru que son corps avait arrêté de vivre.
Comment retransmettre le bruit que tout son corps fait quand elle part dans un plaisir, un orgasme, puis deux et encore trois ?
Si Jade explose, moi je pars en vrille, expulsant mon sperme comme jamais en de longs traits qui semblent inépuisables.
Je finis par la détacher, j’ignorais que j’étais capable de tant de violence.
J’ignorais que l’on pouvait jouir si fort après tant de violence.
• Il faut que je retourne à l’auberge afin de dormir un peu.
Demain, je pars de bonne heure, j’ai un rendez-vous en début d’après-midi à Lyon dans mes bureaux.
• Je vais retourner dans ma cage pour attendre mon maître et continuer ma vie avec le plaisir de la douleur, mais le cœur sec de notre amour.
Nous sommes assis sous les chaînes et bracelets source de ses plaisirs et du mien par contrecoup.
Je lui caresse le visage et pour la première fois depuis des années, je l’embrasse retrouvant ma tendresse.
Elle me rend mon baiser, devant nous je vois une cage ouverte avec une gamelle.
• Je vois que tu regardes ma cage, c’est là que je vis hors de mon travail.
• Je te le promets.
Je vais te faire une autre promesse Jade, attends-moi, je vais revenir.
• Tire la porte derrière toi, évite les promesses que tu seras bien incapable de tenir.
Elle quitte mes bras et c’est à quatre pattes que je vois son joli cul zébré de mille couleurs rejoindre son lieu de vie.
Je me lève, m’habille et récupère mon portable.
Dans ma voiture, je la regarde, comment peut-on accepter autant de violence.
Le temps passe, mais je reste loin d’être inactif, je veux donner à Jade l’amour qu’elle mérite même si cela doit passer par de la violence sexuelle.
Huit moi plus tard, j’arrête ma voiture devant la maison de la forêt.
Un gros camion se trouve devant.
Celui qu’elle appelle, son maître est là, j’ai tout prévu ce dimanche, je sais que le supermarché est fermé, car je suis passé devant.
J’ai dans ma poche un beretta, que l’on soit rassuré, un jouet, mais réplique exact.
C’est un vulgaire allume-cigarette, mais pour qui l’ignore il fait illusion, surtout quand je vais me retrouver devant un conducteur de poids lourds avec des bras comme des jambons.
Je frappe, du bruit, on ouvre.
Je manque d’éclater de rire, un avorton, cinquante kilos tout au plus, cinquante-cinq maxis avec des bras moins gros que mes poignets.
C’est ce petit machin qui a su satisfaire ma reine, ma princesse, la femme de ma vie.
• Ou est-elle ?
• Qui ?
Je l’ai saisi par le col de sa chemise et je le lève sans difficulté.
• Celle que tu m’as volée en trouvant, comment la satisfaire.
• Vous êtes Gabriel, celui qui est venu il y a quelques mois, dès que je suis rentré, j’ai vu quel me cachait quelque chose, elle m’a dit que vous l’aviez fouetté et baisé.
Vous avez vu la chienne que j’en ai faite.
• Ou est-elle ?
• Dans sa pièce, dans sa cage.
Je le repose et je le pousse vers la porte.
Inutile de sortir mon Colt, deux baffes et je vais le calmer, mais il avance sans rechigner.
Il ouvre la porte, elle est là, mais un cadenas est en place.
• Ouvre.
• Gabriel, c’est toi.
• Je t’avais promis de revenir, me voilà si tu le désires bien sûr.
Si tu me suis, j’ai une surprise pour toi !
Il ouvre, elle sort de cette cage où il lui est impossible de tenir debout.
Elle me saute au cou.
Elle est nue et je reçois ses seins contre moi.
Prépare-toi un sac avec tes produits d’hygiène, pour le reste, nous irons refaire ta garde-robe, inutile de t’encombrer.
Cinq minutes et elle est prête, son soi-disant maître est assis dans la salle les mains sur sa tête.
• Tu as déjà la cage, cherche-toi une autre femme à soumettre, je suis le nouveau maître de Jade et ce pour la vie.
• Oui, Gabriel, tu es mon maître.
Nous prenons la route, elle a une jolie robe qui lui arrive au bord de la chatte.
• Ou m’emmènes-tu !
• Tu verras, dans le sud.
Je trouve ce que je cherche, ma main attaque le premier joujou posé sur sa chatte.
Un à un, je lui enlève et je les jette par la fenêtre.
De nouveau son vagin est libéré.
À son tour, elle me caresse la queue me faisant bander.
Nous traversons un bois, je m’arrête dans un petit chemin.
Inutile de risquer l’accident.
Elle a sorti ma verge et me fait une fellation.
Baiser dans une voiture, même confortable et spacieuse, c’est la première fois que je le fais.
• Oui, claque-moi simplement les fesses, tu avais promis de revenir, j’avais presque cru que tu m’avais abandonnée.
Je percute les fesses de la femme de ma vie à m’en faire mal à la main, mais pour son bon plaisir.
Nous reprenons notre route et nous arrivons dans le massif de la sainte Beaume où j’ai acheté une propriété ou j’ai fait aménager l’habitat et la bergerie voisine.
Ce qui m’a intéressé, c’est son relatif isolement et la qualité de son bâtiment principal. J’avais en vue l’achat de ce bien avant de retrouver Jade et le pourquoi de son abandon lors de notre jeunesse.
La possibilité d’aménagement de la bergerie pour celle que je ramène et qui pourra pleinement trouver les plaisirs qu’elle m’a fait découvrir lors de ma visite dans notre pays d’origine m’a fait accélérer son acquisition.
Enfin, certes, la piscine m’intéressait dans cette région de chaleur, mais pour finir un mur d’enceinte avec système de surveillance, a emporté mon adhésion à son acquisition.
Pour vivre heureuse, je tiens à la tenir cachée à ses envies que j’espère lui apporter.
• Gabriel, C’est toi qui as fait installer cette salle dans ce vieux bâtiment ?
Tu as compris mes envies et mes besoins.
Que dire de plus, dans les jours qui suivent, Jade profite pleinement du matériel principalement allemand que j’ai fait venir et que j’ai fait installer ?
Pilori, croix, palan comme chez son avorton se prenant pour un maître.
Ce que j’ai interdit à Jade, ce sont les planches pour se clouer les seins au risque de problème grave pour la future naissance de notre enfant dont nous parlons de plus en plus souvent.
Dans sa bergerie, elle peut prendre son plaisir dans que le moindre voisin apprenne que ma future est maso et que je suis devenu sado, seulement pour la garder près de moi.
J’ai ma boîte d’architecture à Lyon que je gère par télétravail et seulement les lundis et vendredis sur place.
Bébé est attendu, car Jade a arrêté sa contraception et mon fils est attendu dans les jours prochains.
Bien sûr, les fouets et autres cravaches restent dans leur râtelier.
J’ai moi-même ôté les piercings des seins de la future maman, car mon petit aurait du mal à téter sa mère avec ces petits bouts de métal.
Il est né, beau bébé de 3 kilos 4.
J’adore regarder Jade l’allaiter lorsque je suis présent.
Nous avons commencé d’en faire un bébé nageur, il adore l’eau.
Ce lundi je pars vers Lyon avec regret surtout que je dois aller en avion à Rome pour un nouveau contrat.
Je dois rester quatre jours.
Le jeudi, je suis de retour.
Ils sont les deux à m’attendre.
Près de la piscine, les restes d’un feu ont dû être allumés.
• Gabriel, viens, j’ai fait quelques changements dans ma bergerie.
Je la suis et la porte ouverte, quelle transformation, plus aucun objet de torture.
Je vois tout de suite à quoi cette salle derrière sa baie vitrée que j’avais fait poser avec un rideau va servir et ou son passer tout ce dont elle avait besoin pour son plaisir.
Tout ce qu’il faut pour pouvoir faire ce qu’elle aimait quand je l’ai rencontré.
Sur un chevalet, une toile avec un début de la vue que l’on a avec la pente de la sainte Beaume.
• Ma chérie, es-tu sûr ?
• Oui, je le suis.
• Tu seras un peintre célèbre avec ton talent et les magnifiques paysages qui nous entourent.
Sa réponse est claire, je suis dans un transat, les deux sont en train de jouer dans l’eau.
Mon fils a transformé Jade de femelle avide de sexe en une mère aimante même pour moi, car elle a fini de dire que je suis trop doux.
Ai-je gagné au change ?
L’avenir nous le dira.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est une fin inattendue mais heureuse.
Il n'existe rien de meilleur que d'être et de rester (voire redevenir) normal, comme la
quasi-totalité des femmes et hommes sur cette terre.
Bravo Chris71 pour le très bon exercice de style.
Phil.....
Il n'existe rien de meilleur que d'être et de rester (voire redevenir) normal, comme la
quasi-totalité des femmes et hommes sur cette terre.
Bravo Chris71 pour le très bon exercice de style.
Phil.....
Je t'adore La Chipie, biensur que ca serait possible, mais j'ai deux impératif que ca se
finisse le mieux possible sauf dans la Collection vengeance et que l'histoire s'arrête car
j'aime les histoires courte qui ont plus de punch alors que les autres traîne en longeur
sans rien de bien interressant.
finisse le mieux possible sauf dans la Collection vengeance et que l'histoire s'arrête car
j'aime les histoires courte qui ont plus de punch alors que les autres traîne en longeur
sans rien de bien interressant.
Magnifique fin :)
Enfin la suite. Rien n’empeche le BDSM une fois les enfants mis au lit.
La chipie
La chipie
belle fin