COLLECTION SM. Sœur Marie des Anges (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SM. Sœur Marie des Anges (1/1)
Souvent les idées d’histoires m’arrivent dans la nuit, du moins vers le matin.
Je me lève et si ce matin-là, je suis sans histoire à écrire, je la couche sur mon traitement de texte immédiatement.
Ce matin, j’ai fait fort, ça m’arrive de temps en temps, deux histoires sont venues dans ma tête.
Laquelle choisir, dilemme, les idées peuvent être rares, alors je commence par l’histoire de sœur Marie des Anges.
J’aime beaucoup écrire sur les nonnes sœurs, elles cachent quelquefois des secrets de cellules ou autres déplacements chez des gens en faisant de vraies salopes.
L’autre histoire, c’est une histoire d’Audrey, vous savez la jolie blonde de Bondues dans le nord, femme de Tony.
Une nouvelle fois elle a envie de nous faire voir que c’est une « folle du cul » malgré ses deux filles, mais elle attendra que sœur Marie des Anges nous ait raconté son histoire.
Collection SM, une bonne sœur, comment ces mots peuvent-ils se trouver dans une même phrase et pourtant.
• Sœur Marie des Anges, la mère supérieure vous demande de venir dans son bureau dès que vous aurez fini de butter les patates.
• J’ai fini, juste le temps de passer dans ma cellule me faire un brin de toilette et je vais la rencontrer.
Vous savez pourquoi elle veut le voir, sœur Angèle !
• Je l’ignore, elle vous le dira elle-même, vous savez ma sœur comme mère Thérèse de Lisieux est directe avec nous lorsqu’elle a quelque chose à nous dire.
Je finis mon travail, comme je l’ai dit, je passe dans ma cellule, je fais couler de l’eau dans le petit lavabo individuel qui nous a été placé là, il y a peu de temps.
Je déboutonne ma robe, et je sors le haut de mon corps, avec du mal depuis ma dernière séance de pénitence.
Je me rajuste après m’être rafraichi les seins très volumineux et bien caché par ma tenue de bonne sœur.
Je me rends à l’autre bout du monastère que j’ai rejoint depuis quelques années, après avoir été toucher par la grâce du seigneur et pourtant.
• Bonjour sœur Marie, pouvez-vous vous assoir quelques minutes, notre entretien sera rapide.
• Ai-je fait quelque chose qui vous ait déplu ma mère ?
• À moi non, mais à vous oui.
• De quoi voulez-vous parler ?
• Du bruit des flagellations que les sœurs entendent en passant devant votre cellule.
• Comment, certes, je me flagelle, mais c’est tout à fait personnel, est-ce interdit par le règlement du couvent ?
• Nullement, mais cette pratique de la flagellation, ce sont les frères franciscains.
• Pour quel motif, vous vous infligez ces sévices !
Lorsque notre mère a commencé à parler des flagellations que je m’impose, seule, dans ma cellule, j’ai vite compris qu’il me serait impossible de lui raconter ces grands moments de ma vie.
Grande partie de ma vie, car c’est depuis ma naissance, qu’ils ont commencée.
C’est papa, qui a dû me conditionner à accepter ce que je vais accepter tout au long de mon existence, même dans ce couvent.
Papa travaillait la nuit comme gardien de parking.
Il avait du mal à dormir et la moindre contrariété, j’avais droit à des fessées carabinées.
Au fil des années, cette main venant s’abattre sur mes fesses, m’est devenue familière, j’étais même enclin à le provoquer pour avoir ma dose de ce qui devenait un plaisir.
J’aurais dû en parler à maman et peut-être consulter, mais ma rencontre avec Freddy a légèrement changé la vie.
Du moins au début, car Freddy sans le savoir ce que j’avais subi dans ma jeunesse, devait réveiller mon addiction aux coups.
J’aimais qu’il me fasse l’amour, j’étais faite pour le plaisir et même pour le plaisir un peu appuyé lorsqu’un après-midi dans notre salon, me prenant en levrette, position que j’affectionnais, il me claque les fesses.
J’ai eu le malheur d’en redemander, jusqu’au jour ou ayant un coup dans le nez, Freddy s’est mis en colère, car je lui faisais remarquer, qu’il s’était mis dans un état lamentable.
À partir de ce jour, j’ai ramassé autant que l’on pouvait ramasser.
Un soir, j’ai même passé une nuit aux urgences, il m’avait massacré.
Mais lorsque l’on est venu me demander si je portais plainte, j’ai dit « non, » car ces coups avaient déclenché en moi une autre addiction.
Le sexe...
Freddy me frappait, comme avec papa, je le provoquais même, attendant les claques, finissant immanquablement par des coups de pied et des coups de poing.
Mais cela finissant chaque fois par de grands coups de bite, allant jusqu’à la sodomie.
C’est dans cette situation qu’un soir, il m’a tellement bousculé la tête venant frapper sur la table en verre du salon qu’elle a explosé me laissant en sang et aux urgences.
Côté sexe, il m’en fallait toujours plus aussi, un jour, j’ignore ce qui lui est passé par la tête, il m’a emmenée dans un club échangiste.
Me faire baiser par qui voulait de moi, c’était un pis-aller.
J’ai pratiqué la double pénétration, vaginale, anale, les deux, mais il me manquait la rudesse.
C’est moi qui suis allée sur Internet, j’ai vu des femmes aimant le sadomasochisme.
J’aimais les voir se faire ou se martyrisant, j’ai cherché et j’ai vu qu’à 50 kilomètres de chez nous un club avait ouvert.
J’en ai parlé à Freddy qui m’y a emmené tous les vendredis soir.
J’ai rapidement été la vedette de ces vendredis, les hommes, voire les femmes aimant faire souffrir l’autre, sont venus s’occuper de mon cul et surtout de mes seins.
Papa avait réussi à m’habituer à souffrir du cul, Freddy et mes tortionnaires, ce fut mes seins.
Avant de venir voir la mère supérieure, j’ai lavé et regardé mes seins.
Malgré les quelques années, des traces brunes me montrent encore les coupures qu’ils avaient subies et que je soignais la semaine avant d’y retourner le vendredi suivant.
Attaché mes seins étant attaché à mes anneaux qui m’avaient été posés, mais que j’ai enlevé en arrivant au couvent, j’étais pendu et ceux qui aimaient ma douleur, me baisant à me faire hurler.
J’avais trouvé mon équilibre, sans me rendre compte dans quelle déchéance j’étais tombée.
Alors, vous allez me demander comment une maso comme moi s’est retrouvée dans un couvent à se flageller.
Un vendredi où nous quittions le club, ayant à peine la possibilité de marcher dans l’état ou les fouets, les cravaches et les menottes qui m’ayant attaché toute la soirée m’avait mise.
Sans compter les perforations, anales et aussi vaginales avec en point d’orgue les fellations que j’avais été obligé de faire sur un très grand nombre des clients déchainés ce soir-là.
L’orage montant devait en être la cause.
Nous aventions jusqu’à notre voiture, que j’avais hâte de rejoindre, non pas à cause de la pluie qui commençait à tomber en même temps que les éclaires déchirant le ciel.
Non, mais pour m’écrouler sur la banquette arrière et me réveiller dans notre garage avant de m’écrouler et dormir pendant vingt-quatre heures.
Je venais de contourner notre véhicule quand j’ignore pourquoi Freddy a semblé disparaitre dans une grande lumière étincelante.
Une grande lueur blanche nous avait frappés, je me suis retrouvée une nouvelle fois aux urgences et mon mari à la morgue.
J’ai pris ça pour un signe de Dieu et une fois sur pied, j’ai décidé de changer de vie en venant dans ce couvent racheter ma mauvaise conduite des dernières années.
Quelques caresses clitoridiennes dans la nuit du couvent m’ont permis d’avoir l’impression que ma vie était équilibrée.
J’avais une nouvelle bague au doigt, celle de celui qui je le pensais m’avait fait un signe, me libérant de Freddy dans cette magnifique lumière blanche.
Mais la nature ayant horreur du vide, mes soirées du vendredi ont commencé à me manquer.
Les couvents sont un lieu de réclusion pour les femmes sans que pour autant ce soit des mondes clos.
J’ai réussi à me procurer un chat à neuf queues chaque fois que l’envie d’avoir mal me traverse et ça de plus en plus souvent.
Je me flagelle, étant le reste du temps une parfaite bonne sœur.
Comment penser que les coups que je m’assène s’entend par les sœurs passant devant ma cellule !
Vous comprenez pourquoi quand la mère me parle de ce travers que j’ai désespérément essayé de me défaire, il m’est impossible de rapporter aux chastes oreilles de notre mère supérieure pourquoi j’aime me flageller.
• Sœur Marie des Anges, sans que vous me disiez pourquoi vous vous flagellez, mon expérience dans ce couvent me fait comprendre plus de choses que vous le pensez !
Retournez dans votre cellule et en le cachant sous votre robe, rapportez-moi votre objet qui vous sert à vous flageller, je vous attends !
Je suis à deux doigts, de faire mon baluchon et de quitter le couvent pour retourner à ma débauche et à ma souffrance.
Je suis sûr que le club sadomaso sera prêt à embaucher la salope que je suis.
Mais une chose m’intrigue et je fais ce que notre mère Thérèse de Lisieux me dit et je reviens à elle.
Je frappe, j’entends que l’on me dit d’entrer.
La voix de notre mère me vient du coin de la cellule derrière un paravent.
• Fermez la porte à clef et déshabillez-vous, je vais m’occuper de vous.
C’est à ce moment après un court instant me permettant de me dénuder que je vois sortir notre mère supérieure de derrière ce paravent affubler des vêtements en lanières de cuir et tenant une cravache.
J’ai devant moi une dominatrice comme j’en ai tant vu dans le club sadomaso dans ma vie antérieure.
Elle porte des bottes montant au-dessus de ses genoux à la D’Artagnan.
• Ma belle salope, préfères-tu ma cravache ou ton chat à neuf queues.
Tu pourras constater qu’ici rien à craindre de déranger nos sœurs.
Mon bureau est parfaitement insonorisé tu vas pouvoir te lâcher autant que tu voudras.
J’aime m’occuper de petites masos comme toi.
Le premier coup tombe, quel coup de poignet.
Je crois que je vais passer de bons moments dans mon couvent à chanter Jésus et à apprécier les traitements de notre mère sœur Thérèse de Lisieux.
Voilà, j’ai fini ce premier texte, j’ai bien fait, ça s’est fait d’un seul trait.
Attaquons maintenant l’histoire d’Audrey, ma petite copine de Bondue qui aime ce que je lui suggère de faire, même de se prostituer dans une vitrine du quartier rouge d’Amsterdam.
Je me lève et si ce matin-là, je suis sans histoire à écrire, je la couche sur mon traitement de texte immédiatement.
Ce matin, j’ai fait fort, ça m’arrive de temps en temps, deux histoires sont venues dans ma tête.
Laquelle choisir, dilemme, les idées peuvent être rares, alors je commence par l’histoire de sœur Marie des Anges.
J’aime beaucoup écrire sur les nonnes sœurs, elles cachent quelquefois des secrets de cellules ou autres déplacements chez des gens en faisant de vraies salopes.
L’autre histoire, c’est une histoire d’Audrey, vous savez la jolie blonde de Bondues dans le nord, femme de Tony.
Une nouvelle fois elle a envie de nous faire voir que c’est une « folle du cul » malgré ses deux filles, mais elle attendra que sœur Marie des Anges nous ait raconté son histoire.
Collection SM, une bonne sœur, comment ces mots peuvent-ils se trouver dans une même phrase et pourtant.
• Sœur Marie des Anges, la mère supérieure vous demande de venir dans son bureau dès que vous aurez fini de butter les patates.
• J’ai fini, juste le temps de passer dans ma cellule me faire un brin de toilette et je vais la rencontrer.
Vous savez pourquoi elle veut le voir, sœur Angèle !
• Je l’ignore, elle vous le dira elle-même, vous savez ma sœur comme mère Thérèse de Lisieux est directe avec nous lorsqu’elle a quelque chose à nous dire.
Je finis mon travail, comme je l’ai dit, je passe dans ma cellule, je fais couler de l’eau dans le petit lavabo individuel qui nous a été placé là, il y a peu de temps.
Je déboutonne ma robe, et je sors le haut de mon corps, avec du mal depuis ma dernière séance de pénitence.
Je me rajuste après m’être rafraichi les seins très volumineux et bien caché par ma tenue de bonne sœur.
Je me rends à l’autre bout du monastère que j’ai rejoint depuis quelques années, après avoir été toucher par la grâce du seigneur et pourtant.
• Bonjour sœur Marie, pouvez-vous vous assoir quelques minutes, notre entretien sera rapide.
• Ai-je fait quelque chose qui vous ait déplu ma mère ?
• À moi non, mais à vous oui.
• De quoi voulez-vous parler ?
• Du bruit des flagellations que les sœurs entendent en passant devant votre cellule.
• Comment, certes, je me flagelle, mais c’est tout à fait personnel, est-ce interdit par le règlement du couvent ?
• Nullement, mais cette pratique de la flagellation, ce sont les frères franciscains.
• Pour quel motif, vous vous infligez ces sévices !
Lorsque notre mère a commencé à parler des flagellations que je m’impose, seule, dans ma cellule, j’ai vite compris qu’il me serait impossible de lui raconter ces grands moments de ma vie.
Grande partie de ma vie, car c’est depuis ma naissance, qu’ils ont commencée.
C’est papa, qui a dû me conditionner à accepter ce que je vais accepter tout au long de mon existence, même dans ce couvent.
Papa travaillait la nuit comme gardien de parking.
Il avait du mal à dormir et la moindre contrariété, j’avais droit à des fessées carabinées.
Au fil des années, cette main venant s’abattre sur mes fesses, m’est devenue familière, j’étais même enclin à le provoquer pour avoir ma dose de ce qui devenait un plaisir.
J’aurais dû en parler à maman et peut-être consulter, mais ma rencontre avec Freddy a légèrement changé la vie.
Du moins au début, car Freddy sans le savoir ce que j’avais subi dans ma jeunesse, devait réveiller mon addiction aux coups.
J’aimais qu’il me fasse l’amour, j’étais faite pour le plaisir et même pour le plaisir un peu appuyé lorsqu’un après-midi dans notre salon, me prenant en levrette, position que j’affectionnais, il me claque les fesses.
J’ai eu le malheur d’en redemander, jusqu’au jour ou ayant un coup dans le nez, Freddy s’est mis en colère, car je lui faisais remarquer, qu’il s’était mis dans un état lamentable.
À partir de ce jour, j’ai ramassé autant que l’on pouvait ramasser.
Un soir, j’ai même passé une nuit aux urgences, il m’avait massacré.
Mais lorsque l’on est venu me demander si je portais plainte, j’ai dit « non, » car ces coups avaient déclenché en moi une autre addiction.
Le sexe...
Freddy me frappait, comme avec papa, je le provoquais même, attendant les claques, finissant immanquablement par des coups de pied et des coups de poing.
Mais cela finissant chaque fois par de grands coups de bite, allant jusqu’à la sodomie.
C’est dans cette situation qu’un soir, il m’a tellement bousculé la tête venant frapper sur la table en verre du salon qu’elle a explosé me laissant en sang et aux urgences.
Côté sexe, il m’en fallait toujours plus aussi, un jour, j’ignore ce qui lui est passé par la tête, il m’a emmenée dans un club échangiste.
Me faire baiser par qui voulait de moi, c’était un pis-aller.
J’ai pratiqué la double pénétration, vaginale, anale, les deux, mais il me manquait la rudesse.
C’est moi qui suis allée sur Internet, j’ai vu des femmes aimant le sadomasochisme.
J’aimais les voir se faire ou se martyrisant, j’ai cherché et j’ai vu qu’à 50 kilomètres de chez nous un club avait ouvert.
J’en ai parlé à Freddy qui m’y a emmené tous les vendredis soir.
J’ai rapidement été la vedette de ces vendredis, les hommes, voire les femmes aimant faire souffrir l’autre, sont venus s’occuper de mon cul et surtout de mes seins.
Papa avait réussi à m’habituer à souffrir du cul, Freddy et mes tortionnaires, ce fut mes seins.
Avant de venir voir la mère supérieure, j’ai lavé et regardé mes seins.
Malgré les quelques années, des traces brunes me montrent encore les coupures qu’ils avaient subies et que je soignais la semaine avant d’y retourner le vendredi suivant.
Attaché mes seins étant attaché à mes anneaux qui m’avaient été posés, mais que j’ai enlevé en arrivant au couvent, j’étais pendu et ceux qui aimaient ma douleur, me baisant à me faire hurler.
J’avais trouvé mon équilibre, sans me rendre compte dans quelle déchéance j’étais tombée.
Alors, vous allez me demander comment une maso comme moi s’est retrouvée dans un couvent à se flageller.
Un vendredi où nous quittions le club, ayant à peine la possibilité de marcher dans l’état ou les fouets, les cravaches et les menottes qui m’ayant attaché toute la soirée m’avait mise.
Sans compter les perforations, anales et aussi vaginales avec en point d’orgue les fellations que j’avais été obligé de faire sur un très grand nombre des clients déchainés ce soir-là.
L’orage montant devait en être la cause.
Nous aventions jusqu’à notre voiture, que j’avais hâte de rejoindre, non pas à cause de la pluie qui commençait à tomber en même temps que les éclaires déchirant le ciel.
Non, mais pour m’écrouler sur la banquette arrière et me réveiller dans notre garage avant de m’écrouler et dormir pendant vingt-quatre heures.
Je venais de contourner notre véhicule quand j’ignore pourquoi Freddy a semblé disparaitre dans une grande lumière étincelante.
Une grande lueur blanche nous avait frappés, je me suis retrouvée une nouvelle fois aux urgences et mon mari à la morgue.
J’ai pris ça pour un signe de Dieu et une fois sur pied, j’ai décidé de changer de vie en venant dans ce couvent racheter ma mauvaise conduite des dernières années.
Quelques caresses clitoridiennes dans la nuit du couvent m’ont permis d’avoir l’impression que ma vie était équilibrée.
J’avais une nouvelle bague au doigt, celle de celui qui je le pensais m’avait fait un signe, me libérant de Freddy dans cette magnifique lumière blanche.
Mais la nature ayant horreur du vide, mes soirées du vendredi ont commencé à me manquer.
Les couvents sont un lieu de réclusion pour les femmes sans que pour autant ce soit des mondes clos.
J’ai réussi à me procurer un chat à neuf queues chaque fois que l’envie d’avoir mal me traverse et ça de plus en plus souvent.
Je me flagelle, étant le reste du temps une parfaite bonne sœur.
Comment penser que les coups que je m’assène s’entend par les sœurs passant devant ma cellule !
Vous comprenez pourquoi quand la mère me parle de ce travers que j’ai désespérément essayé de me défaire, il m’est impossible de rapporter aux chastes oreilles de notre mère supérieure pourquoi j’aime me flageller.
• Sœur Marie des Anges, sans que vous me disiez pourquoi vous vous flagellez, mon expérience dans ce couvent me fait comprendre plus de choses que vous le pensez !
Retournez dans votre cellule et en le cachant sous votre robe, rapportez-moi votre objet qui vous sert à vous flageller, je vous attends !
Je suis à deux doigts, de faire mon baluchon et de quitter le couvent pour retourner à ma débauche et à ma souffrance.
Je suis sûr que le club sadomaso sera prêt à embaucher la salope que je suis.
Mais une chose m’intrigue et je fais ce que notre mère Thérèse de Lisieux me dit et je reviens à elle.
Je frappe, j’entends que l’on me dit d’entrer.
La voix de notre mère me vient du coin de la cellule derrière un paravent.
• Fermez la porte à clef et déshabillez-vous, je vais m’occuper de vous.
C’est à ce moment après un court instant me permettant de me dénuder que je vois sortir notre mère supérieure de derrière ce paravent affubler des vêtements en lanières de cuir et tenant une cravache.
J’ai devant moi une dominatrice comme j’en ai tant vu dans le club sadomaso dans ma vie antérieure.
Elle porte des bottes montant au-dessus de ses genoux à la D’Artagnan.
• Ma belle salope, préfères-tu ma cravache ou ton chat à neuf queues.
Tu pourras constater qu’ici rien à craindre de déranger nos sœurs.
Mon bureau est parfaitement insonorisé tu vas pouvoir te lâcher autant que tu voudras.
J’aime m’occuper de petites masos comme toi.
Le premier coup tombe, quel coup de poignet.
Je crois que je vais passer de bons moments dans mon couvent à chanter Jésus et à apprécier les traitements de notre mère sœur Thérèse de Lisieux.
Voilà, j’ai fini ce premier texte, j’ai bien fait, ça s’est fait d’un seul trait.
Attaquons maintenant l’histoire d’Audrey, ma petite copine de Bondue qui aime ce que je lui suggère de faire, même de se prostituer dans une vitrine du quartier rouge d’Amsterdam.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci, j'ai eu du mal a trouver le texte dans mon portefeuille je l'ai écrit il y a bien longtems
j'ai beaucoup aimée