COLLECTION SOUMIS - SOUMISE. Ave Maria (1/7)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION SOUMIS - SOUMISE. Ave Maria (1/7)
• J’en ai marre de ces conneries, ils nous font chier avec leur messe du dimanche.
Tu crois toujours à cette histoire de Marie et de sa grossesse divine !
• Ludivine parle moins fort, nos parents ou notre curé vont nous entendre et je vais être obligée d’aller me confesser.
• Marie, je chuchote, chante avec moi !
« Ave Maria, toi qui pues du cul. »
• Ludivine arrête, de blasphémer sur l’Ave Maria.
• Blasphémer, tu rigoles, tu sais au moins comment on fait des enfants.
• Chut !
• Tu vois, mon père entend les conneries que tu dis et il nous réappréhende, tu vas me faire punir.
• Il te met la fessée sur tes jolies fesses.
• Chut !
• Là, c’est ton père, toi aussi, il te donne la fessée !
• Allez en paix, bon dimanche à tous mes chers enfants.
Ouf, c’est fini la messe de ce dimanche se termine, nos deux familles quand c’est leur tour sortes de l’église.
• Marie, vous vous voyez toute la semaine, Ludivine, pourquoi ces messes basses.
• Rien, monsieur Charles, c’est de ma faute, c’est l’excitation d’avoir réussi notre bac et de rentrer à la fac l’an prochain en colocation qui m’existe.
• Ludivine, si j’ai accepté cette colocation, c’est parce que je sais la fille sérieuse que tu es, tu sais comme Hubert ton père et moi, sommes strictes sur vos études.
Même si nous avons en vue des garçons de bonnes familles que vous pourriez épouser, au 21ème siècle il faut un diplôme même pour une fille pour s’en sortir en cas de malheurs.
Regarde ta cousine Adrienne, mariée, deux enfants et veuve à vingt-quatre ans.
Elle a dû accepter un poste de caissière à Aldi pour pouvoir les élever.
• Papa, tu es médecin, je vais faire des études pour te faire plaisir, mais je sais que tu aiderais ta fifille chérie si ça lui arrivait.
Quant aux deux enfants à vingt-quatre ans, tu peux toujours courir, si nous sommes au 21ème siècle, monsieur Charles, il existe ce que nous appelons des pilules contraceptives.
• Tu sais ce qu’avec ton père, nous pensons de la pilule, même si nos professions nous obligent à en prescrire.
Regarde avec ta mère, nous voulions un seul enfant, il nous a exhaussé, tu es seule et pourtant nous avons toujours refusé ces pratiques hors de notre moral.
• Amen !
• Ludivine arrête, Dieu, existe, au cours de ton existence, tu t’en apercevras très vite.
Nos pères, copains d’enfance ont fait leurs études ensemble et c’est ici à Blois que leurs études faites, ils ont ouvert ensemble un cabinet de généralistes.
Voilà comment en septembre avec Ludivine je quitte mes parents de Blois à Paris Sorbonne en vue afin de devenir médecin, moi aussi.
Voitures, nos mères à moitié en pleurs tenaient à venir nous installer.
Cinquième étage d’un petit immeuble au cœur du Quartier Latin à deux doigts du lieu ou nous allons faire nos études.
Le logement dont le loyer et les charges seront payés par nos parents sans qu’il soit nécessaire que nous nous inquiétions.
Deux pièces, cuisine salle de bains avec baignoire, c’est spacieux, surtout que dans la chambre, il y a deux lits séparés.
Un bureau et une armoire, Ludivine choisit le lit et le bureau.
Pour travailler, j’aurais la salle et la table, mais ça m’est égal, la seule chose qui compte, c’est que je réussisse mes longues études.
Le placard de la cuisine rempli et nos affaires en place, nous faisons les lits et nos parents nous embrasses avant de les voir partir nous sur le palier, eux dans le petit escalier.
• Ouf, enfin seul, je me demandais quand nos vieux croutons allaient se tirer.
Je vais prendre un bain, notre emménagement m’a épuisé, ça va me revigorer.
Le temps de le dire, elle se dénude, comme moi elle porte des vêtements stricts comme nos parents aiment nous voir en porter.
C’est la première fois que je la vois nue, en maillot tous les étés au bord de la Loire lorsque nous allons nous baigner.
Il va sans dire, que la seule personne que j’aurais pu voir dénuder, c’est maman, mais chez nous, la porte de la salle de bains est toujours close et fermée à double tour, lorsqu’un par un nous nous y succédons.
Je veux éviter de passer pour une gourde, devant elle qui semble avoir trois longueurs d’avance sur moi et sur les choses de la vie.
Je lui succède dans le bain ce qu’il me fait du bien, car il fait très chaud à Paris en ce début d’année universitaire.
• Viens, on va te trouver des fringues dignes de jeunes Parisiennes que nous sommes devenus !
• Ou as-tu trouvé cette valise avec ces vêtements ?
• Je viens de la sortir de dessous le lit, ça a été la croix et la bannière pour la mettre dans la voiture et la montée ici sans que mes parents se doutent de ce que tu y avais mis.
Je les achète depuis des semaines, je sais ou papa laisse de l’argent à maman pour faire ses courses, petits à petits, ma valise s’est remplie.
• Ce que tu y avais mis !
• J’étais sûr qu’il la repèrerait et me demanderait ce qu’il y avait à l’intérieur, je lui ai dit qu’elle était à toi et que vous manquiez de place dans votre voiture.
Je savais, vu leur éthique, qu’il éviterait de l’ouvrir.
Je l’ai monté en premier et pour coupé cour à d’autres questions, je l’ai planqué sous ton lit.
Elle a elle-même passé un petit short et un débardeur lui donnant l’allure des filles de notre temps.
Cinq minutes et je suis moi-même revêtu du même genre de vêtements impensable à porter à Blois en présence de mes parents et des siens, il va de soi.
• Tu es folle, il m’est impossible de sortir dans une telle tenue, que dirait mes parents s’ils le savaient, je les connais, leur colère serait terrible.
Et dit moi que se serait-il passé si ton père avait demandé au mien pourquoi il manquait de place dans notre voiture aussi grosse que la vôtre !
• Je reconnais que tu aurais eu un problème.
Tu es magnifique ma petite Marie, prends conscience qu’en venant ici, nous venons de briser les carcans qui nous oppressaient depuis notre plus jeune âge.
Dimanche finit de nous rendre à la messe, ce sera grasse matinée, même si nous avons juré à nos mères de continuer à y aller.
• Viens, je t’invite, nous allons découvrir le quartier, commençons par aller manger un morceau.
Tu verras, tu vas plaire, les garçons vont se retourner sur nous.
• Attention, nos parents nous versent 2 000 € chacune par mois, il faut faire attention à éviter de trop dépenser, tu as entendu nos pères, eux s’arrangeait avec la moitié de cela.
• On verra, il y a toujours des moyens de s’en sortir.
Cinq étages descendus en courant sur nos espadrilles que nous avions dans nos tenues bon chic bon genre.
Nous allons jusqu’à l’entrée de la Sorbonne et nous entrons dans un restaurant.
À la table voisine trois hommes en tenue d’été mais montrant qu’ils doivent avoir du fric dîne entre eux.
Ludivine se rend aux toilettes, je regarde mon portable, ça s’est ça de gagner, nos parents payent les forfaits.
Je lève la tête lorsque je la vois remonter, elle est avec l’un des trois hommes avec lequel elle discute.
• Marie, je te présente Édouard, il est anglais, qui est John et qui est Boby, ils sont en vacances à Paris.
• Je suis Boby.
• Et moi John, bonjour mademoiselle, vous êtes fort jolie, vive les petites Parisiennes.
Ces mots prononcés par Boby, grand blond plutôt genre suédois qu’Anglais dit en français avec l’accent de son pays, sont à deux doigts de me faire éclater de rire.
Nous venons de finir notre café, je pense qu’il est préférable de rentrer, il faut encore que je sorte mes affaires de mes valises.
• Mesdemoiselles, nous avons repéré une petite boîte le « tip toc », nous allons y boire un verre, vous nous accompagnez !
• On rentre Ludivine, il se fait tard.
• Ces messieurs viennent de nous offrir notre dîner et tu voudrais les remercier en te sauvant comme des voleuses.
Messieurs, nous vous suivons, je brûle d’envie de connaitre le « tip top ».
Comme d’habitude, Ludivine commande, je dispose, ça fait presque vingt ans, qu’elle commande et que je finis toujours par dire oui.
Nous trouvons la boîte, nous nous installons sur des banquettes en velours rouge.
• Marie, vous dansez, toutes les Françaises savent danser.
Bref, c’est vrai que Boby est bon danseur, nous dansons un rock en roll et je passe même dans les bras de John pendant que Ludivine semble s’intéresser à Édouard.
Elle flirte, même plus, car elle se laisse embrasser.
• Nous sommes devant notre hôtel, on vous offre un dernier verre.
• Acceptez Marie, nous repartons demain et vous êtes fort sympathique.
• Bien sûr qu’elle va accepter, je veux bien un dernier verre.
Comme je l’ai dit, Ludivine décide pour deux et je me retrouve dans l’une de leurs trois chambres.
Une demi-bouteille de mauvais champagne à cinq, non trois bouteilles car il y a un frigo par chambre.
Je suis un peu pompette, lorsque je vois Ludivine partir avec Édouard dans la chambre voisine.
• Amusez-vous bien, Marie ton grand moment est arrivé !
Que veut-elle dire, je le comprends bien vite lorsque Boby me prend dans ses bras et m’embrasse sur la bouche ?
Je voudrais lui dire que c’est suffisant qu’il faut s’arrêter là, mais je sens un corps venir se coller derrière moi.
Je tourne la tête, c’est John, mon mouvement met ma bouche à hauteur de la sienne au moment où je pensais leur dire d’arrêter, que j’étais loin de la fille facile qu’ils pensaient que j’étais.
Je me trouve pris dans un tourbillon et une situation que Ludivine semble avoir préméditée en acceptant de suivre ces trois garçons.
Elle a suivi Édouard dans la chambre voisine en connaissance de cause, car elle le tirait par la main.
Est-il possible qu’elle est déjà perdue sa petite fleur sans me le dire et depuis quand ?
Le temps que je me pose cette question, des mains viennent sur mes mains et une autre détache le bouton de mon short et plonge dans mon entrejambe.
« Non, oui, non, oui, papa aux secours »...
Tu crois toujours à cette histoire de Marie et de sa grossesse divine !
• Ludivine parle moins fort, nos parents ou notre curé vont nous entendre et je vais être obligée d’aller me confesser.
• Marie, je chuchote, chante avec moi !
« Ave Maria, toi qui pues du cul. »
• Ludivine arrête, de blasphémer sur l’Ave Maria.
• Blasphémer, tu rigoles, tu sais au moins comment on fait des enfants.
• Chut !
• Tu vois, mon père entend les conneries que tu dis et il nous réappréhende, tu vas me faire punir.
• Il te met la fessée sur tes jolies fesses.
• Chut !
• Là, c’est ton père, toi aussi, il te donne la fessée !
• Allez en paix, bon dimanche à tous mes chers enfants.
Ouf, c’est fini la messe de ce dimanche se termine, nos deux familles quand c’est leur tour sortes de l’église.
• Marie, vous vous voyez toute la semaine, Ludivine, pourquoi ces messes basses.
• Rien, monsieur Charles, c’est de ma faute, c’est l’excitation d’avoir réussi notre bac et de rentrer à la fac l’an prochain en colocation qui m’existe.
• Ludivine, si j’ai accepté cette colocation, c’est parce que je sais la fille sérieuse que tu es, tu sais comme Hubert ton père et moi, sommes strictes sur vos études.
Même si nous avons en vue des garçons de bonnes familles que vous pourriez épouser, au 21ème siècle il faut un diplôme même pour une fille pour s’en sortir en cas de malheurs.
Regarde ta cousine Adrienne, mariée, deux enfants et veuve à vingt-quatre ans.
Elle a dû accepter un poste de caissière à Aldi pour pouvoir les élever.
• Papa, tu es médecin, je vais faire des études pour te faire plaisir, mais je sais que tu aiderais ta fifille chérie si ça lui arrivait.
Quant aux deux enfants à vingt-quatre ans, tu peux toujours courir, si nous sommes au 21ème siècle, monsieur Charles, il existe ce que nous appelons des pilules contraceptives.
• Tu sais ce qu’avec ton père, nous pensons de la pilule, même si nos professions nous obligent à en prescrire.
Regarde avec ta mère, nous voulions un seul enfant, il nous a exhaussé, tu es seule et pourtant nous avons toujours refusé ces pratiques hors de notre moral.
• Amen !
• Ludivine arrête, Dieu, existe, au cours de ton existence, tu t’en apercevras très vite.
Nos pères, copains d’enfance ont fait leurs études ensemble et c’est ici à Blois que leurs études faites, ils ont ouvert ensemble un cabinet de généralistes.
Voilà comment en septembre avec Ludivine je quitte mes parents de Blois à Paris Sorbonne en vue afin de devenir médecin, moi aussi.
Voitures, nos mères à moitié en pleurs tenaient à venir nous installer.
Cinquième étage d’un petit immeuble au cœur du Quartier Latin à deux doigts du lieu ou nous allons faire nos études.
Le logement dont le loyer et les charges seront payés par nos parents sans qu’il soit nécessaire que nous nous inquiétions.
Deux pièces, cuisine salle de bains avec baignoire, c’est spacieux, surtout que dans la chambre, il y a deux lits séparés.
Un bureau et une armoire, Ludivine choisit le lit et le bureau.
Pour travailler, j’aurais la salle et la table, mais ça m’est égal, la seule chose qui compte, c’est que je réussisse mes longues études.
Le placard de la cuisine rempli et nos affaires en place, nous faisons les lits et nos parents nous embrasses avant de les voir partir nous sur le palier, eux dans le petit escalier.
• Ouf, enfin seul, je me demandais quand nos vieux croutons allaient se tirer.
Je vais prendre un bain, notre emménagement m’a épuisé, ça va me revigorer.
Le temps de le dire, elle se dénude, comme moi elle porte des vêtements stricts comme nos parents aiment nous voir en porter.
C’est la première fois que je la vois nue, en maillot tous les étés au bord de la Loire lorsque nous allons nous baigner.
Il va sans dire, que la seule personne que j’aurais pu voir dénuder, c’est maman, mais chez nous, la porte de la salle de bains est toujours close et fermée à double tour, lorsqu’un par un nous nous y succédons.
Je veux éviter de passer pour une gourde, devant elle qui semble avoir trois longueurs d’avance sur moi et sur les choses de la vie.
Je lui succède dans le bain ce qu’il me fait du bien, car il fait très chaud à Paris en ce début d’année universitaire.
• Viens, on va te trouver des fringues dignes de jeunes Parisiennes que nous sommes devenus !
• Ou as-tu trouvé cette valise avec ces vêtements ?
• Je viens de la sortir de dessous le lit, ça a été la croix et la bannière pour la mettre dans la voiture et la montée ici sans que mes parents se doutent de ce que tu y avais mis.
Je les achète depuis des semaines, je sais ou papa laisse de l’argent à maman pour faire ses courses, petits à petits, ma valise s’est remplie.
• Ce que tu y avais mis !
• J’étais sûr qu’il la repèrerait et me demanderait ce qu’il y avait à l’intérieur, je lui ai dit qu’elle était à toi et que vous manquiez de place dans votre voiture.
Je savais, vu leur éthique, qu’il éviterait de l’ouvrir.
Je l’ai monté en premier et pour coupé cour à d’autres questions, je l’ai planqué sous ton lit.
Elle a elle-même passé un petit short et un débardeur lui donnant l’allure des filles de notre temps.
Cinq minutes et je suis moi-même revêtu du même genre de vêtements impensable à porter à Blois en présence de mes parents et des siens, il va de soi.
• Tu es folle, il m’est impossible de sortir dans une telle tenue, que dirait mes parents s’ils le savaient, je les connais, leur colère serait terrible.
Et dit moi que se serait-il passé si ton père avait demandé au mien pourquoi il manquait de place dans notre voiture aussi grosse que la vôtre !
• Je reconnais que tu aurais eu un problème.
Tu es magnifique ma petite Marie, prends conscience qu’en venant ici, nous venons de briser les carcans qui nous oppressaient depuis notre plus jeune âge.
Dimanche finit de nous rendre à la messe, ce sera grasse matinée, même si nous avons juré à nos mères de continuer à y aller.
• Viens, je t’invite, nous allons découvrir le quartier, commençons par aller manger un morceau.
Tu verras, tu vas plaire, les garçons vont se retourner sur nous.
• Attention, nos parents nous versent 2 000 € chacune par mois, il faut faire attention à éviter de trop dépenser, tu as entendu nos pères, eux s’arrangeait avec la moitié de cela.
• On verra, il y a toujours des moyens de s’en sortir.
Cinq étages descendus en courant sur nos espadrilles que nous avions dans nos tenues bon chic bon genre.
Nous allons jusqu’à l’entrée de la Sorbonne et nous entrons dans un restaurant.
À la table voisine trois hommes en tenue d’été mais montrant qu’ils doivent avoir du fric dîne entre eux.
Ludivine se rend aux toilettes, je regarde mon portable, ça s’est ça de gagner, nos parents payent les forfaits.
Je lève la tête lorsque je la vois remonter, elle est avec l’un des trois hommes avec lequel elle discute.
• Marie, je te présente Édouard, il est anglais, qui est John et qui est Boby, ils sont en vacances à Paris.
• Je suis Boby.
• Et moi John, bonjour mademoiselle, vous êtes fort jolie, vive les petites Parisiennes.
Ces mots prononcés par Boby, grand blond plutôt genre suédois qu’Anglais dit en français avec l’accent de son pays, sont à deux doigts de me faire éclater de rire.
Nous venons de finir notre café, je pense qu’il est préférable de rentrer, il faut encore que je sorte mes affaires de mes valises.
• Mesdemoiselles, nous avons repéré une petite boîte le « tip toc », nous allons y boire un verre, vous nous accompagnez !
• On rentre Ludivine, il se fait tard.
• Ces messieurs viennent de nous offrir notre dîner et tu voudrais les remercier en te sauvant comme des voleuses.
Messieurs, nous vous suivons, je brûle d’envie de connaitre le « tip top ».
Comme d’habitude, Ludivine commande, je dispose, ça fait presque vingt ans, qu’elle commande et que je finis toujours par dire oui.
Nous trouvons la boîte, nous nous installons sur des banquettes en velours rouge.
• Marie, vous dansez, toutes les Françaises savent danser.
Bref, c’est vrai que Boby est bon danseur, nous dansons un rock en roll et je passe même dans les bras de John pendant que Ludivine semble s’intéresser à Édouard.
Elle flirte, même plus, car elle se laisse embrasser.
• Nous sommes devant notre hôtel, on vous offre un dernier verre.
• Acceptez Marie, nous repartons demain et vous êtes fort sympathique.
• Bien sûr qu’elle va accepter, je veux bien un dernier verre.
Comme je l’ai dit, Ludivine décide pour deux et je me retrouve dans l’une de leurs trois chambres.
Une demi-bouteille de mauvais champagne à cinq, non trois bouteilles car il y a un frigo par chambre.
Je suis un peu pompette, lorsque je vois Ludivine partir avec Édouard dans la chambre voisine.
• Amusez-vous bien, Marie ton grand moment est arrivé !
Que veut-elle dire, je le comprends bien vite lorsque Boby me prend dans ses bras et m’embrasse sur la bouche ?
Je voudrais lui dire que c’est suffisant qu’il faut s’arrêter là, mais je sens un corps venir se coller derrière moi.
Je tourne la tête, c’est John, mon mouvement met ma bouche à hauteur de la sienne au moment où je pensais leur dire d’arrêter, que j’étais loin de la fille facile qu’ils pensaient que j’étais.
Je me trouve pris dans un tourbillon et une situation que Ludivine semble avoir préméditée en acceptant de suivre ces trois garçons.
Elle a suivi Édouard dans la chambre voisine en connaissance de cause, car elle le tirait par la main.
Est-il possible qu’elle est déjà perdue sa petite fleur sans me le dire et depuis quand ?
Le temps que je me pose cette question, des mains viennent sur mes mains et une autre détache le bouton de mon short et plonge dans mon entrejambe.
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Les avis des lecteurs
J'aime cette histoire, mais "il nous réappréhende", je ne vois pas trop ce que ça veut dire dans ce contexte. Je ne pense pas que réappréhender existe dans un autre sens que "appréhender de nouveau", mais ce n'est pas grave.